L'éducation sexuelle au collège et au lycée


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MarieCecile81
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Message Posté le: Lun Déc 05, 2011 06:21 am    Sujet du message:
wanda a écrit:
j'ai eu presque rien, en 2-3h en bio. reproduction de la baleine, explications du cycle menstruel, video d'un accouchement de face et en gros plan

whouhou


Exactement la meme chose!
A part traumatiser les filles et degouter les garcons en montrant et expliquant l accouchement ... rien de tres interressant !
Guignol
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Message Posté le: Lun Déc 05, 2011 10:11 am    Sujet du message:
En quatrième, j'ai eu quelques heures d'éducation sexuelle expliquée aux petits nenfants par une prof, vieille fille volontaire. Ca donnait à peu prés ceci.
"Le sexe de l'homme en érection est environ de la grosseur d'une banane et les testicules qui contiennent le sperme sont de la grosseur de... deux prunes"
Pour les filles, nous avions des seins de la taille de deux moitiés de pampemousse, le critoris de la taille d'une grosse fraise des bois et les ovulations en gappe de raisins.
Je me suis faite virer du cours, lorsque j'ai déclaré devant la classe médusée, que lorsqu'on faisait l'amour c'était une vraie salade de fruits !


Dernière édition par Guignol le Lun Déc 05, 2011 10:54 am; édité 1 fois
PacGirl
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Message Posté le: Lun Déc 05, 2011 10:16 am    Sujet du message:
Laughing
Tu m'as fait rire.
Guignol
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Message Posté le: Lun Déc 05, 2011 10:55 am    Sujet du message:
C'est guignol qui rigol !!
bionic
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 12:52 pm    Sujet du message:
je vis au Maroc, j'ai eu des cours de biologie de reproduction à partir de la dernière année du primaire (CE6 si on veut). au collège et au lycée on nous a en plus informés sur les méthodes de contraception et de protection contre les MST (je me rappelle aussi de journées organisées pour tous les niveaux et toutes les classes). çà permettait de comprendre pas mal de choses déjà. en parallèle on nous a appelés à l'abstinence sexuelle (*) avant le mariage et la fidélité après, ce que je trouve très bien. il y a aussi des documents, et aujourd'hui l'internet.


(*) : un article à propos de l'abstinence sexuelle prônée en exclusivité ou dans le cadre d'une approche globale :

http://www.fhi.org/fr/rh/pubs/network/v22_1/nwvol22-1adolabstn anc.htm


Dernière édition par bionic le Mer Déc 14, 2011 15:20 pm; édité 3 fois
Saphir
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 13:54 pm    Sujet du message:
Gentillefille a écrit:
Vos 3 derniers messages représentent aussi ce que j'ai vécu comme cours d'éducation sexuelle avec la vieille prof, l'accouplement chez les mammifères (hors humains), des schémas en tout genre et que la dame qui parle. Au final on n'apprenait rien...

Je voulais changer un peu mes méthodes pour cette rentrée scolaire mais en voyant vos témoignages je pense qu'il n'y a en fin de compte rien à modifier sur mes animations.


Alors que pensez-vous des méthodes suivantes ?

- Initiation aux préservatifs masculins et féminins et participation des élèves.
Sur des "modèles éducatifs", je demande à des élèves de venir installer des préservatifs. Je corrige les erreurs et montre le bon exemple. Je présente les risques d'utiliser un préservatif mal installé ou carrément 2 préservatifs superposés. En sachant que les modèles sont assez proches de la réalité niveau "fonctionnement" (voir sites spécialisés pour ceux qui ne connaissent pas).

- Réponses aux questions intimes.
Les élèves ont à leur disposition une sorte de boite à lettres où ils peuvent écrire leurs petits soucis de manière anonyme ou non. J'expose ensuite le soucis en cours ou vois l'élève en privé si il le désire.


Que pensez-vous déjà de ces 2 méthodes en comparaison de ce que vous avez connu ?


Pour ton idée de "modèles éducatifs", pour ma part j'aurais tellement honte que je sortirais du cours!! Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Les garçons, eux, le feront plus facilement je pense, mais les filles, faire ça devant tout le monde, mecs compris, c'est gênant.............. Un exemple expliqué DE LA PART du prof oui, mais testé par les élèves, non, sauf les volontaires. A moins de séparer garçons et filles, là ce sera meiux^^

La boîte quant à elle peut être cool, si lors de la présentation des messages à toute une classe, rien ne laisse entendre qu'il s'agit de tel ou telle élève. Je pense que c'est mieux de faire un résumé et de l'exposer, sans dire que qqln a demandé ça, genre que ça vienne du prof et non de la classe, si tu vois ce que je veux dire xD

Sinon, mes cours d'éducation sexuelle, bah, ils n'ont servi à rien, je ne vois pas pourquoi on s'entête à expliquer toutes ces choses. A la rigueur, oui pour les risques sans protections maladies etc, mais les exemples pour mettre des capotes, les vidéos d'accouchement (j'y ai eu droit, j'étais en 4e ou 3e, et au premier rang devant la télé........... Le mur du fond de la classe ne m'a jamais paru aussi beau que ce jour là xDDD), ce n'est pas ce qu'il faut. Ca peut au contraire faire peur, bloquer certaines personnes plus sensibles...Il est nécessaire d'apprendre par soi même. Ces cours devraient être donné uniquement au lycée, car au collège c'est trop jeune même si les enfants sont de plus en plus précoces, et pas obligatoires. Un forum est encore plus approprié!7

Voilà, j'espère t'avoir aidée^^
Juliette Hardy
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:01 pm    Sujet du message:
bionic a écrit:
(*) : un article à propos de l'abstinence sexuelle prônée en exclusivité ou dans le cadre d'une approche globale :

http://www.fhi.org/fr/rh/pubs/network/v22_1/nwvol22-1adolabstn anc.htm

Foutaises. Ce qui empêche la propagation des MST et IST, ce n'est pas l'abstinence, mais l'éducation et l'accès à la contraception et aux moyens de protection.
Eponine
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:08 pm    Sujet du message:
Saphir a écrit:
A moins de séparer garçons et filles, là ce sera meiux^^


Quand j'étais au lycée, on avait 1 heure d'atelier sur des thèmes divers et variés. On avait la possibilité de choisir une espèce de cours sur le sexe/l'amour/les sentiments, cours pendant lequel les garçons et les filles étaient effectivement séparés. Ça permettait de poser certaines questions sans avoir le regard pesant du sexe opposé (et les rires puérils, aussi).

Mais étant dans un lycée catho, évidemment, certaines choses me faisait bondir, entres les méthodes "naturelles" pour savoir les moments du mois où on risquait de tomber enceinte, la campagne pro-abstinence, le sexe vu comme moyen de procréer et pas de prendre du plaisir...

Là où je te rejoins, c'est que le collège, c'est trop jeune. Oui, il faut aborder le sujet, mais plus sur les côtés indispensables (capote/pilule), pas forcément rentrer dans des détails qui, à cet âge, auront plus tendance à bloquer les gens qu'à donner envie.
Juliette Hardy
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:10 pm    Sujet du message:
Idem, j'ai eu droit à la séparation entre filles et garçons. C'est peut-être mieux, je n'ai pas trop d'avis sur la question.
En revanche, je ne pense pas que le collège soit réellement trop tôt, parce que la réalité actuelle, c'est que beaucoup de jeunes perdent leur virginité aux alentours de 13 ou 14 ans. Donc autant leur en parler dès cet âge-là (perso, j'y ai eu droit en 4è et je n'en suis pas sortie traumatisée, même si je n'ai pas commencé ma vie sexuelle à ce moment-là).
Fromthesouth
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:28 pm    Sujet du message:
mode vieux jeu : on

Aborder la sexualité à 14 ans c'est légitimer le fait d'avoir des rapports sexuels à cet âge là, ce qui me dérange un peu car je trouve ça beaucoup trop tôt.

mode vieux jeu : off

Mais la réalité impose de les prévenir avant leurs premiers rapports, donc finalement le collège c'est pas trop tôt... Sauf que je ne pense pas qu'il soit nécessaire de "donner des cours d'éducation sexuelle". A mon sens c'est le rôle de l'infirmière de l'établissement, lors de la visite médicale.
Eponine
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:48 pm    Sujet du message:
Il me semblait que l'âge moyen de dépucelage était de l'ordre de 17 ans, fille comme garçon. Non ?
-Tutiz?
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:52 pm    Sujet du message:
C'est pas vieux jeu de considérer qu'une meuf de 14 ans ne devrait pas boire/fumer/se faire baiser et devrait recevoir une baffe dans la gueule quand elle rentre après l'heure prévu, et dépasse les bornes en général.
Ca me ferait mal au bide que ma fille soit comme ça et que je la laisse faire en baissant les yeux.

De même pour un mec, mais c'est plus facile et t’arrêtes les conneries quand tu chopes une MST.

17 ans et quelques pour F et M en France ué.
Fromthesouth
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 19:53 pm    Sujet du message:
J'en ai absolument aucune idée, en revanche si quelqu'un a la réponse ça m'intéresse vraiment de la connaître. Parce que si c'est 17 ça change tout ^^

edith : bon bah dans ce cas je reviens sur ce que j'ai dit, le collège c'est trop tôt pour développer ce sujet, la période lycée suffit largement. Et d’ailleurs ça me rassure, car je pensais vraimpent que c'était plus près de 14 ans... Confused
.Mg.
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 20:28 pm    Sujet du message:
Ben moi j'ai l'impression que la réalité et les stats sont très différents... officiellement c'est 17 ans mais la majeure partie des filles autours de moi l'ont perdue entre 13 et 15 ans. Ce qui m'a beaucoup étonnée d'ailleurs par-ce que ça concerne aussi bien des filles de mon âge que des plus âgées (jusqu'a la trentaine quoi).

Donc jme demande si ya pas un mensonge pour rendre la réalité plus acceptable dans les médias.
Juliette Hardy
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 20:38 pm    Sujet du message:
La moyenne ne change pas, non, mais l'écart se creuse néanmoins : de plus en plus de vierges tardifs et de précoces.
Je n'invente rien quand je parle de jeunes de 13 ou 14 ans qui parlent de fellation, qui proposent d'aller dans les toilettes pour se faire sucer, ou autres.
Je n'ai jamais dit que c'était bien, je n'ai jamais dit qu'un parent devait permettre à son ado de commencer sa sexualité à cet âge-là. Sauf que c'est une réalité aujourd'hui, et qu'il faut se poser la question en ces termes : vaut-il mieux ne pas leur permettre l'accès à l'information nécessaire pour savoir comment aborder leur sexualité, ou jouer le père la morale en disant que ce n'est pas de leur âge et donc les laisser dans le flou, quitte à ce qu'ils agissent n'importe comment ?
Quand on m'a parlé de sexualité en 4è, je n'ai pas eu l'impression qu'on me disait : « tu es prête, baise donc ». Il n'empêche que ça a enlevé de mon esprit pas mal d'idées reçues et qu'on m'a expliqué que je pouvais toujours me tourner vers le planning familial si j'en avais besoin, ce qui a pu servir à d'autres personnes qui étaient en cours avec moi.
Eponine
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 20:47 pm    Sujet du message:
.Mg. a écrit:
Ben moi j'ai l'impression que la réalité et les stats sont très différents... officiellement c'est 17 ans mais la majeure partie des filles autours de moi l'ont perdue entre 13 et 15 ans. Ce qui m'a beaucoup étonnée d'ailleurs par-ce que ça concerne aussi bien des filles de mon âge que des plus âgées (jusqu'a la trentaine quoi).

Donc jme demande si ya pas un mensonge pour rendre la réalité plus acceptable dans les médias.


Il ne faut pas croire tout ce qu'on dit, non plus. Quand t'écoutes la plupart des gens au collège, ce sont tous des tueurs au lit alors qu'une bonne partie n'a pas encore passé le stade du bisou. Vu que chacun se monte un roman là dessus, dire la vérité, ça serait mal vu, et c'est comme ça que tout le monde finit par avoir couché à la maternelle.
Juliette Hardy
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 22:04 pm    Sujet du message:
Ouais. Enfin, quand j'étais pionne, j'avais quand même capté un concours de fellations dans les chiottes des filles. Et c'était des élèves de 4è, qui parlaient beaucoup de cul sur leurs agendas, mais tout le monde avait tenu le même discours : oh, mais c'est de l'esbroufe. Ben tiens.
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 22:11 pm    Sujet du message:
Saphir a écrit:
Un exemple expliqué DE LA PART du prof oui, mais testé par les élèves, non, sauf les volontaires. A moins de séparer garçons et filles, là ce sera meiux^^

ouais, enfin en partant du principe qu'ils seront tous 100% hétéro et que le fonctionnement de leur propre sexe ne les intéresse absolument pas Confused
bionic
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 22:27 pm    Sujet du message:
Juliette Hardy a écrit:
bionic a écrit:
(*) : un article à propos de l'abstinence sexuelle prônée en exclusivité ou dans le cadre d'une approche globale :

http://www.fhi.org/fr/rh/pubs/network/v22_1/nwvol22-1adolabstn anc.htm

Foutaises. Ce qui empêche la propagation des MST et IST, ce n'est pas l'abstinence, mais l'éducation et l'accès à la contraception et aux moyens de protection.

déconnes pas, l'article est sérieux car il n'en parle pas comme le seul moyen mais comme une option, càd avec la condition que çà se présente dans le cadre d'une approche éducationnelle globale. en plus çà parle d'études avec sources à l'appui. ton déni et ta fermeture obsessionnels sont vains comme d'habitude et ne changent rien à la réalité, des foutaises quoi ! au cas tu ne t'es pas intéressée je te cite juste ceci :

Citation:
On sait aujourd'hui qu'en Ouganda l'abstinence sexuelle a sans doute joué un rôle important dans la réduction du nombre des infections par le VIH.1 Ce résultat a relancé l'intérêt pour cette méthode de protection contre les grossesses accidentelles et contre les infections sexuellement transmissibles (IST) comme celles par le VIH.

Pour les adolescents, l'abstinence sexuelle est une méthode de choix, qui leur offre plusieurs avantages. Bien qu'exposés au risque d'une grossesse non planifiée, les jeunes ont souvent des difficultés à se procurer des contraceptifs. Or, l'abstinence ne requiert ni stock de préservatifs ou de pilules, ni visite dans un dispensaire ou un centre de planification familiale. En outre, c'est la méthode prophylactique et anticonceptionnelle la plus sûre qui soit.

Dans la pratique cependant, elle s'avère moins efficace que la plupart des autres méthodes contraceptives, car une abstinence totale exige une forte motivation, un contrôle de soi et un engagement mutuel des partenaires. De plus, bien des questions demeurent sans réponse. Comment peut-on inciter les jeunes à l'adopter ? Comment faut-il la définir ? Par ailleurs, les programmes qui prônent l'abstinence comme le seul moyen de protection contre les IST et les grossesses sont la source de controverses et on ignore leur réel impact.

Les données recueillies dans de nombreux pays suggèrent que les programmes de santé sexuelle qui encouragent l'abstinence tout en fournissant des informations médicales exactes sur la contraception et sur l'usage des préservatifs contribuent à réduire l'activité sexuelle des jeunes. De tels programmes peuvent aussi aider les adolescents sexuellement actifs à mieux se protéger avec un préservatif ou avec un autre moyen contraceptif.2

tu sais lire mais je suppose que tu vas encore t'épancher Very Happy


Dernière édition par bionic le Mer Déc 14, 2011 22:37 pm; édité 1 fois
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Message Posté le: Mer Déc 14, 2011 22:57 pm    Sujet du message:
Tu as réfléchis avant de poster une étude affirmant que "l'absence de rapport sexuel conduit à une diminution de la transmission de maladie sexuellement transmissible"?

Si tu veux j'ai aussi une étude révolutionnaire qui affirme que si on donnait à manger aux gens affamés, ils auraient moins de carences alimentaires ! 'fin, à deux-trois vaches prêt, c'est pas une science exacte non plus !

Wink

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