Le dernier film que vous ayez vu ? V2


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Juliette Hardy
Miss Genaisse 2012




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Message Posté le: Mar Déc 13, 2011 00:32 am    Sujet du message:
Ah oui tiens, je l'ai vu y'a pas longtemps moi non plus. C'était très très chiant.
unique556
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Message Posté le: Mar Déc 13, 2011 05:20 am    Sujet du message:
Hier,Fight Club!c'est magnifique!!!

jeudi
Petit nouveau
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Message Posté le: Mar Déc 13, 2011 06:27 am    Sujet du message:
pour moi ,le dernier film que j'ai vu est Flipped .c'est très classique !
Will.i.am
Mister Genaisse 2012


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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 09:20 am    Sujet du message:
Mission : Impossible 4

Excellent, rien à dire !! Des scènes d'action impressionnantes, marrant par moment... pas vu passer les 2h13 de film.
J'y suis allé avec une personne n'aimant pas trop les films d'action en général, et elle était franchement emballée.
unique556
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 09:47 am    Sujet du message:
Dans ses yeux
superbe!
Kadjagoogoo
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 15:50 pm    Sujet du message:
Will.i.am a écrit:
Mission : Impossible 4

Excellent, rien à dire !! Des scènes d'action impressionnantes, marrant par moment... pas vu passer les 2h13 de film.
J'y suis allé avec une personne n'aimant pas trop les films d'action en général, et elle était franchement emballée.

(Attention, j'enclenche là le mode rabat-joie Wink )
Je lisais la semaine passée, dans TéléObs, la chronique de l'impayable et salutaire François Forestier à propos de Quantum of Solace, édifiante :
François Forestier a écrit:
J'AI UN AVEU à faire : James Bond m'ennuie. Depuis « Bons Baisers de Russie », l'usine 007 est devenue une machine à fabriquer des saucisses à la chaîne. En 22 films (23 ou 24 selon les puristes), rien de neuf : pépées, traîtres, explosions, répliques à double sens, inventions abracadabrantesques... Et ce n'est pas parce que Daniel Craig est plus athlétique que Pierce Brosnan, moins shakespearien que Timothy Dalton ou plus brutal que Sean Connery que le film est meilleur.
Marc Forster, réalisateur allemand installé aux Etats-Unis, a signé « les Cerfs-Volants de Kaboul » et « A l'ombre de la haine », et a abdiqué toute ambition artistique avec James Bond. Une question demeure : comment se fait-il que le public soit toujours aussi nombreux pour « Quantum of Solace », pour « Meurs un autre jour » ou « Golden-Eye » ? Au moins deux générations sont passées, et 007 continue à dominer le boxoffice... On ressert la même soupe, et ça marche. On colle un peu plus d'effets spéciaux qu'autrefois, et en avant la musique. James Bond, maintenant, c'est le McDo du cinéma : même odeur, même saveur, même produit. Vous n'en avez pas marre, vous ?

Franchement, j'ai l'impression qu'il aurait pu écrire plus ou moins le même papier à propos de cette saga, Mission : impossible, qui n'en finit plus de décliner à l'envi les mêmes poncifs, les mêmes intrigues frelatées, les mêmes sempiternels gadgets et les mêmes tenants et aboutissants archi éculés.

Sur la page d'accueil de mon modeste blog, j'arbore (discrètement, mais tout de même) ces deux citations de créateurs que j'ai ici envie de brandir comme des talismans à la face de ceux qui payent ainsi pour un plaisir aussi médiocre que celui que promettent aux spectateurs (pas blasé, donc) les éternelles saga (franchises) James Bond et Mission : impossible :

« Le spectateur doit payer non pas pour consommer quelque chose mais pour travailler à définir son désir. » [Jérôme Bel, chorégraphe]

« Je préfère quand le spectateur sort avec des questions plutôt qu'avec des réponses. » [Louis Malle]


J'ai également mis en exergue ces deux autres sentences, ultimes et éclairantes :

« L'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art. » [Robert Filliou]

« La seule condition pour avoir du style, c'est d'avoir quelque chose à dire. » [Arthur Schopenhauer]


Au risque de passer, donc, pour un "empêcheur de se divertir en rond", je le déplore sans ambages : ces films non définitivement rien à dire, et ils en ce sens vides de contenu, derrière leur pyrotechnie cache-misère. Ils ne rendent pas la vie plus intéressante durant les deux (précieuses) heures qu'ils volent à leurs victimes consentantes ("pas vu passer les 2h13 de film" nous dit là Will : aucune aspérités, aucune interrogation, aucune considération métaphysique est en effet venue troubler cette plage de "temps de cerveau disponible", pour reprendre la fameuse formule de l'autre c0nnard cynique, Patrick Le Lay, ex-PDG de TF1).
Ils ne rendent pas "la vie plus intéressante que l'art" : ils ne sont pas de l'art. Au mieux, du divertissement, donc, mais sans la moindre ambition, contrairement à la pléthore de films plus équivoques, astucieux et satisfaisants qui forment l'alternative salvatrice à ces escroqueries rabâchées par une industrie hollywoodienne radotante, moins sénile que terriblement pragmatique.

Sinon, pour faire chier encore Twisted Evil :
unique556 a écrit:
Hier,Fight Club!c'est magnifique!!!

Faudra qu'on m'explique un jour en quoi cette apologie creuse, grotesque et caricaturale de la violence gratuite serait "magnifique", "bluffante" ou même simplement "intéressante". Mystère... Question Shocked
Sweetie Des Arts
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 15:55 pm    Sujet du message:
Mission Impossible me tente bien aussi, j'irais le voir tout à l'heure.
Will.i.am
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 16:13 pm    Sujet du message:
tu ne devrais pas être déçu y a des scènes impressionnantes
Souki
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 16:42 pm    Sujet du message:
unique556 a écrit:
Hier,Fight Club!c'est magnifique!!!

L'un de mes films préférés ! Le bouquin est très bien aussi d'ailleurs.

Pour Kadja : forcément, si tu ne vois qu'une apologie de la violence dans ce film, alors tu n'as RIEN compris. Tyler représente le sauvage et sa sauvagerie permet à Jack (nom qui signifie le serviteur... ^^) de sortir de sa vie mécanisée, dans laquelle faire un choix se résume à éliminer des possibilités préétablies par diverses institutions. C'est l'histoire d'un homme qui redécouvre l'inventivité, la liberté, la matérialité de son existence dans le sexe mais aussi ─ et surtout ─ dans la vie publique.

La défaite de son double malicieux, qui à une barbe pointue près, m'évoque Faust, marque son accession à une forme de vie idéale : il a recouvré tout son pouvoir de prise en main de son propre destin tout en se délestant de l'appétit frénétique et irraisonné de la violence. Il est parvenu à se transcender, en réintégrant des valeurs délaissées dans le premier stade exposé de son existence : la force, la créativité, l'amour, la critique, la LIBERTÉ et tant d'autres.

Cette histoire nous indique que l'on peut sortir du cercle des répétitions, de cet enfer quotidien qui consiste à subir sans révolte ce qui nous coupe de nous même chaque jour, complètement aliénés à la convention sociale. Même si ce processus ne peut passer que par l'exploration de la face la plus sombre de notre personnalité : la folie.
Juliette Hardy
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 16:47 pm    Sujet du message:
Plasma a écrit:
Cette histoire nous indique que l'on peut sortir du cercle des répétitions, de cet enfer quotidien qui consiste à subir sans révolte ce qui nous coupe de nous même chaque jour, complètement aliénés à la convention sociale. Même si ce processus ne peut passer que par l'exploration de la face la plus sombre de notre personnalité : la folie.

Assez d'accord avec ça. Il faudrait vraiment que je lise le livre mais le film m'avait bien plu quand je l'avais vu (ça date un peu, je le crains).
Kadjagoogoo
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 16:51 pm    Sujet du message:
@Plasma : merci pour avoir pris la peine de cette explication, éclairante, je le concède.
Toutefois, la dernière séquence du film (je ne "spoilerais" pas), tellement improbable et abusivement grotesque, suffit à elle seule à discréditer ce film "culte" à mes yeux.
Sur la violence cathartique, je lui préfère incomparablement American Psycho, Taxi Driver, Orange Mécanique - mais on va me dire que ces films sont sans rapport aucun avec l’œuvre "métaphysique" de David Fincher... Rolling Eyes
Souki
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 17:13 pm    Sujet du message:
Attention : JE SPOILE


Kadjagoogoo a écrit:
Toutefois, la dernière séquence du film (je ne "spoilerais" pas), tellement improbable et abusivement grotesque, suffit à elle seule à discréditer ce film "culte" à mes yeux.

Euh... Tout le film est improbable ! La schizophrénie ne se passe pas vraiment comme ça et on a du mal à concevoir qu'il ait pu pendant des mois sortir de chez lui comme ça, avoir d'autres jobs sans s'en rendre compte, etc. Le simple succès du Fight Club est improbable.

Si j'ai pu aimer ce film, c'est que j'ai accepté ces incohérences comme on accepte en commençant un conte qu'il y ait de la magie (le pacte de lecture), aussi la cohérence n'est pas tant matérielle que psychologique. Après, si on a du mal à accepter les pactes de ce type, je ne vois pas comment on peut apprécier la SF ou le fantastique ou tout ce qui sort du réalisme.

Citation:
Sur la violence cathartique, je lui préfère incomparablement American Psycho, Taxi Driver, Orange Mécanique - mais on va me dire que ces films sont sans rapport aucun avec l’œuvre "métaphysique" de David Fincher... Rolling Eyes

J'ai jamais parlé de catharsis, au contraire ! Quand il y a catharsis, c'est une purge et pas une invitation ! En somme, le message moralisateur final est très fort, avec une défaite finale de celui qui se sera défoulé, et le but est que le spectateur se vide de ses instincts à blanc. On cherche donc son calme...

Ici, il y a une victoire finale, puisqu'il se débarrasse de Tyler (= le gardien de la porte, le videur. Intéressante étymologie, non ?) mais en l’intégrant, puisque Tyler et lui, c'est kif-kif. La morale, c'est donc qu'il faut passer par la folie mais dominer son daimon, le réintégrer comme une facette consciemment acceptée de sa personnalité. La preuve : il arrive à se faire Marla sans se fractionner, soit à accepter le fait que l'amour est possible pour et par lui. quand ils regardent l'explosion des bâtiments, ils n'ont pas franchement l'air horrifiés non plus... Je vois donc Fight Club comme un récit initiatique et non comme une œuvre cathartique.

Dans Orange mécanique, je ne crois pas qu'il y ait une morale, pour moi c'est une fable qui pose la question de la violence face à la société, du libre-arbitre, de la liberté, etc. Pour les deux autres, je ne me souviens pas assez de Taxi Driver mais si je ne me trompe pas, il y a un échec final, comme dans American Beauty. Il y a bien cette dimension de libération mais c'est pas si probant puisque le mec, à la fin, se fait butter (super, la libération ! ^^).

Après, American Psycho, je ne l'ai pas vu.
Georges
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 17:23 pm    Sujet du message:
@Kadja :

Tu dis :
« Le spectateur doit payer non pas pour consommer quelque chose mais pour travailler à définir son désir. » [Jérôme Bel, chorégraphe]

Le spectateur, va par définition assister à un spectacle, dont la nature intrinsèque est le divertissement.
Le divertissement culturel, qui d'ailleurs nous cultive n'est qu'une facette infime et d'ailleurs relativement décrié par les spectateurs et appréciés des critiques (ces théoriciens du cinéma finalement).

En général, je suis plus du genre à écouter les praticiens que les théoriciens. La réalité du cinéma c'est le divertissement, je pense que le divertissement intellectualisant est une tendance propre à la sécurité économique et sociale (quand tout va bien, ça nous dérange pas de nous prendre la tête), le divertissement "avilissant" (par opposition et par raccourci) lui est plus stable et encore plus prolifique en période de crise.

Pour ma part, je ne vais pas au cinéma pour "travailler". J'aime réfléchir bien sur, j'aime les films nécessitant plusieurs lectures pour mieux apprécier les ressorts scénaristiques (à l'image de "dédales" par exemple). J'aime les films qui ont une fin ouverte, mais parfois aussi je veux connaître la fin et parfois même plus (ça me frustre souvent de voir qu'on me colle le générique alors même que les protagonistes semblaient enfin toucher du doigt le bonheur auquel ils ont aspirés pendant tout le film).

Aussi pour moi ton critique se trompe sur les James Bond, car il ne les apprécie pas dans la perspective de leur destination. C'est d'ailleurs à mes yeux la où c'est aussi planté le réalisateur des deux derniers (car objectivement Craig est bon).

Un James Bond, c'est à l'instar des films qui marchent en ce moment, un film qui nous vend un peu de rêve, les derniers échouent la où ils veulent nous vendre une fiction réaliste, James Bond n'est pas Jason Bourne. Un James Bond plait car on y voyage, on y voit de magnifiques paysages et un parfait gentleman, pour faire rêver les ménagères, on y voit de belles femmes qui tombent toutes dans les bras du héros, de belles voitures, pour faire rêver les hommes, on y voit des gadgets ingénieux qui font rêver tous les enfants et de l'action pour les émerveiller. On y ajoute un peu de suspens pour les tenir en haleine et on a un bon James Bond. Et on en sort content.


Il y a donc les films divertissement, un peu avilissant, puis il y a les films français ... nan je rigole.

Bref globalement un bon film c'est un film qui nous transporte, qu'il le fasse par ton intellect ou par tes rêves, c'est le résultat qui compte et aucun ne prime à mes yeux sur l'autre.

Il s'agit purement au final d'attentes et de goûts :
Je déteste aller me détendre au ciné et tomber devant l'histoire médiocre de gens médiocres dans un environnement médiocre (typiquement "le dernier jour du reste de ta vie"), à l'inverse quand je veux un bon film plus "recherché" et que je tombe sur du vide, ça me tend.


Bref, rendez moi mes James Bond contre docteur No.
Sweetie Des Arts
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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 17:46 pm    Sujet du message:
Citation:
Il y a donc les films divertissement, un peu avilissant, puis il y a les films français ... nan je rigole.


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Message Posté le: Jeu Déc 15, 2011 21:05 pm    Sujet du message:
J'ai finalement tenté de combiner les deux discussions ici amorcées dans un même topic Arrow http://www.genaisse.com/forums/viewtopic-42121.html
Pour ceux que le(s) débat(s) intéressent... Wink
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Message Posté le: Ven Déc 16, 2011 14:47 pm    Sujet du message:
Kramer contre Kramer

Je ne l'avais jamais vu, bien qu'il fait partie des films cultes :
- Oscar du meilleur acteur pour Dustin Hofmann
- Oscar du meilleur film

Un très beau film, qui passe tout seul, pas un seul temps de pause... j'ai succombé au charme de ce film.

Dustin Hoffman , merveilleux, le petit garcon joue également trés bien et Meryl Streep avec un deal santé incroyable dans son rôle de mère complétement perdue et névrosée.

Je vous le conseille vraiment, pour ceux qui n'ont pas eu la chance de le voir.

Je pleure trés très rarement, mais je dois avouer que j'ai lâché quelques larmes.

Classique.


Dernière édition par Genesis le Mar Jan 03, 2012 14:58 pm; édité 1 fois
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Message Posté le: Sam Déc 24, 2011 21:38 pm    Sujet du message:
Pour Noël, j'ai regardé The Human Centipede.
Probablement le film le plus malsain que j'aie vu.
J'ai aimé.
Papillon

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Message Posté le: Dim Déc 25, 2011 01:06 am    Sujet du message:
Je sais pas si c'est une nouvelle mode de regarder ça les soirs de réveillons mais j'ai un pote qui fait pareil et je commence à me poser des questions.
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Message Posté le: Dim Déc 25, 2011 01:31 am    Sujet du message:
Lenina a écrit:
Je sais pas si c'est une nouvelle mode de regarder ça les soirs de réveillons mais j'ai un pote qui fait pareil et je commence à me poser des questions.

Des films malsains, tu veux dire ?

Criterium a écrit:
Pour Noël, j'ai regardé The Human Centipede.
Probablement le film le plus malsain que j'aie vu.
J'ai aimé.
Papillon

Le thème à l'air potache à souhait (on jurerait le délire d'un duo de scénaristes retors fraichement sortis d'une prestigieuse école de cinéma, gavés de porno et/ou de SF déviante). Intrigué (plutôt que séduit), je vais tâcher de le voir. Merci pour cette suggestion indirecte. Idea
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Message Posté le: Dim Déc 25, 2011 03:09 am    Sujet du message:
Le malsain, c'est A Serbian Film.

(pourquoi un "e" à "que j'aie vu"?)

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