Souki
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 12:33 pm Sujet du message:
beaudoin a
écrit: | """"""sources de
malheur, en oubliant qu’elles sont aussi des sources de jouissance""""
Il faudrait donc souffrir pour accéder au bonheur ???
rire |
Inutile de citer autant. (Je viens d’éditer mon message au-dessus, à
relire donc).
Pour ta gouverne, Beaudoin, ce topic est dédié à un texte de Freud. Il ne
t’aura pas échappé que la souffrance comme condition du bonheur par
alternance, c’est le propos de Freud. Ce n’est d’ailleurs pas sot, comme
remarque, puisqu’il faut du mauvais pour produire du bon, de l’obscurité
pour que la lumière soit par
contraste.
Et tu n’as pas répondu à ma question : pourquoi une telle agressivité ?
|
beaudoin
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 12:34 pm Sujet du message:
Plasma a
écrit: |
beaudoin a écrit: |
bravo plasma encore un copain à DIEU
je ne commenterais même pas ton message plusque stupide . bref
et le
Citation: | Je
déteste ce type, rendez-nous des Spinoza ! |
demontre bien que tu es toi aussi sur ton pied destal
c'est une évidence la réalité dérange! |
Je peux savoir ce qui me vaut une telle agressivité ?
beaudoin a
écrit: | comment prendre par aux
problèmes des autres si on est problème soi-même
tu as dejà vu remplir un sceau vide avec un autre sceau vide .
c'est vrai regarger un porno c'est moins fatiguant |
« Être un problème soi-même » n’est pas une option puisque je tentais
de démontrer que bonheur il pouvait y avoir de manière durable :
1. dans la logique binaire de Freud, où il faut de l’ombre pour voir de la
lumière.
2. en éliminant les sources exclusives du malheur selon Freud, à savoir le
corps, le monde, les autres.
Par ailleurs, je dis aussi que l’on peut être son propre malheur (cf
pessimistes/optimistes) mais c’est un autre angle
d’attaque. |
je t'invite a relire ton message !
l'agressif c'est toi . accusation et allusion
|
beaudoin
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 12:37 pm Sujet du message:
Plasma a
écrit: |
beaudoin a écrit: |
""""""sources de malheur, en oubliant qu’elles sont aussi
des sources de jouissance""""
Il faudrait donc souffrir pour accéder au bonheur ???
rire |
Inutile de citer autant. (Je viens d’éditer mon message au-dessus, à
relire donc).
Pour ta gouverne, Beaudoin, ce topic est dédié à un texte de Freud. Il ne
t’aura pas échappé que la souffrance comme condition du bonheur par
alternance, c’est le propos de Freud. Ce n’est d’ailleurs pas sot, comme
remarque, puisqu’il faut du mauvais pour produire du bon, de l’obscurité
pour que la lumière soit par
contraste.
Et tu n’as pas répondu à ma question : pourquoi une telle agressivité
? |
je t'invite a relire mon texte sur le bonheur
|
Souki
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 12:43 pm Sujet du message:
Dans ce cas, on va me relire ensemble, avec des explications :
Plasma a
écrit: |
Exist@ncE a écrit: |
Sur ce, je m'en vais me taper un bon porno. (= Une petite
accroche, juste pour voir si d'autres personnes
lisent.) |
Lecture sélective ; ça a l’air barbant et horriblement présomptueux,
cette conversation. Le mot « porno » m’est apparu comme une bénédiction.
Pour revenir à Freud, c’est un peu caduc
son truc dans le sens où, dans sa logique binaire,
on pourrait envisager un bonheur durable si le spectacle des malheurs
d’autrui suffisait à créer une tension. Nul besoin donc d’avoir des
problèmes soi-même, suffit de prendre part à ceux d’autrui (mais il ne
semble pas envisager l’empathie comme source de variation des humeurs, pas
plus que l’optimisme ou le pessimisme, qui viennent du sujet lui-même, pas
de son corps, du monde ou des autres).
Sinon, ce pessimisme m’afflige (celui de Freud !) ; il n’envisage pas la
possibilité d’une sérénité joyeuse et préfère identifier des sources
de malheur, en oubliant qu’elles sont aussi des sources de jouissance. En
bon cocaïnomane arriviste, il aurait dû le savoir.
Je déteste ce type (Freud !), rendez-nous des
Spinoza ! |
Désolée, Beaudoin, je ne parlais pas de toi mais bel et bien de Freud,
c’est-à-dire du sujet.
Tes réponses, je ne les ai qu’à peine survolées dans la mesure où il
m’a semblé avoir affaire à quelqu’un qui venait faire de la promo et
dont la forme des messages allait me faire très mal aux yeux. D’autre part,
je ne vois pas ce que quelqu’un de visiblement intéressé, hargneux et
hostile pourrait m’apprendre sur le bonheur.
|
beaudoin
De passage

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Posté le: Mer Jan 11, 2012 12:49 pm Sujet du message:
Plasma a
écrit: | Dans ce cas, on va me
relire ensemble, avec des explications :
Plasma a
écrit: |
Exist@ncE a écrit: |
Sur ce, je m'en vais me taper un bon porno. (= Une petite
accroche, juste pour voir si d'autres personnes
lisent.) |
Lecture sélective ; ça a l’air barbant et horriblement présomptueux,
cette conversation. Le mot « porno » m’est apparu comme une bénédiction.
Pour revenir à Freud, c’est un peu caduc
son truc dans le sens où, dans sa logique binaire,
on pourrait envisager un bonheur durable si le spectacle des malheurs
d’autrui suffisait à créer une tension. Nul besoin donc d’avoir des
problèmes soi-même, suffit de prendre part à ceux d’autrui (mais il ne
semble pas envisager l’empathie comme source de variation des humeurs, pas
plus que l’optimisme ou le pessimisme, qui viennent du sujet lui-même, pas
de son corps, du monde ou des autres).
Sinon, ce pessimisme m’afflige (celui de Freud !) ; il n’envisage pas la
possibilité d’une sérénité joyeuse et préfère identifier des sources
de malheur, en oubliant qu’elles sont aussi des sources de jouissance. En
bon cocaïnomane arriviste, il aurait dû le savoir.
Je déteste ce type (Freud !), rendez-nous des
Spinoza ! |
Désolée, Beaudoin, je ne parlais pas de toi mais bel et bien de Freud,
c’est-à-dire du sujet.
Tes réponses, je ne les ai qu’à peine survolées dans la mesure où il
m’a semblé avoir affaire à quelqu’un qui venait faire de la promo et
dont la forme des messages allait me faire très mal aux yeux. D’autre part,
je ne vois pas ce que quelqu’un de visiblement intéressé, hargneux et
hostile pourrait m’apprendre sur le bonheur. |
Désolée, Beaudoin, je ne parlais pas de toi mais bel et bien de Freud,
c’est-à-dire du sujet.
autant pour
moi, je te présente mes excuses .
par contre, tu m'attribue le qualificatif de hargneux et hostile! peut être
un peu vite.
mais c'est pas important.
entre autre! tu dis :
Je déteste ce type (Freud !), rendez-nous des
Spinoza ![/quote]
détester!!!!! est-ce de l'hostilité ? de la hargne ??? de la compassion?
je crois savoir que la compassion c'est se reconnaitre en l'autre ?!
hors la compassion est ni unipersonnelle, ni multipersonnelle, ni personnelle!
c'est un fait. ?
la compassion "est" tout simplement
tout comme l'amour est ni unipersonnelle, ni multipersonnelle, ni personnelle!
l'amour "est" tout simplement
sinon ce n'est pas de l'amour .
si je dis : je nie Freud, c'est comme dire je me nie. n'est-ce-pas ?
la compassion est un état d'esprit
Pas une construction de la pensée.
Même si je conteste certains travaux de FREUD il n'en reste pas moins que
c'est un père de la philosophie contemporaine et sans son existence et ses
travaux , nous serions different aujourd'hui de par notre
héritage social, culturel, familial: qui est notre conditionnement .
si nous sommes tous differents, nous fonctionnons tous sur le même principe!
intelligence universelle oblige.
quant à ma présence intérrésé ici sur ce site reste de pure imagination
interréssé de quoi ?? je vends rien ici ??
et pardonne moi de mon erreur
d'interprétation a propots de FREUD.
je ne dis pas que j'ai raison loin de là ce serait me porter en autorité
.
compassion , empathie oblige
a chacun sa reflexion , a chacun son introspection .
bonne fin de journée.
Dernière édition par beaudoin le Mer Jan 11, 2012 23:31 pm; édité 1 fois
|
beaudoin
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 17:05 pm Sujet du message:
beaudoin a
écrit: |
Plasma a écrit: | beaudoin a
écrit: | """"""sources de
malheur, en oubliant qu’elles sont aussi des sources de jouissance""""
Il faudrait donc souffrir pour accéder au bonheur ???
rire |
Inutile de citer autant. (Je viens d’éditer mon message au-dessus, à
relire donc).
Pour ta gouverne, Beaudoin, ce topic est dédié à un texte de Freud. Il ne
t’aura pas échappé que la souffrance comme condition du bonheur par
alternance, c’est le propos de Freud. Ce n’est d’ailleurs pas sot, comme
remarque, puisqu’il faut du mauvais pour produire du bon, de l’obscurité
pour que la lumière soit par
contraste.
Et tu n’as pas répondu à ma question : pourquoi une telle agressivité
? |
je t'invite a relire mon texte sur le bonheur |
J'ai comme qui dirais une intérrogation!
tu dis detester FREUD et tu le soutiens ici ??
Paradox ? on peut détester une personne et le soutenir dans ce qu'il
affirme ?
j'ai besoin de toi pour comprendre !
qu'est ce qui fait que tu détestes FREUD? .
|
Souki
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 22:02 pm Sujet du message:
Hum, hum, hum, je ne vais pas tout reprendre. Ce serait plus facile si tu
structurais davantage ta pensée. C’est très… nucléaire, là.
beaudoin a
écrit: | si je dis : je nie
Freud, c'est comme dire je me nie. n'est-ce-pas ? |
Absolument pas. Je peux concevoir un amour inconditionnel dirigé vers la vie
elle-même, celle qui anime l’individu, mais aucunement dirigé vers
l’individualité elle-même ou la moindre de ses émanations. En
l’occurrence, au palmarès de Freud, on peut noter :
- la vision horriblement négative de la femme, « homme castré », être en
conséquence essentiellement incomplet. Merci aussi pour nous avoir collé
l’étiquette d’hystériques, ça nous a vachement aidées.
- le matérialisme consternant qui
beaudoin a
écrit: | Même si je conteste
certains travaux de FREUD il n'en reste pas moins que c'est un père de la
philosophie contemporaine et sans son existence et ses travaux , nous serions
different aujourd'hui de par notre héritage social, culturel, familial: qui
est notre conditionnement . |
Nous serions différents, évidemment. Serait-ce vraiment une mauvaise chose ?
Quant à son statut de père de la philosophie occidentale… dans sa tête
peut-être. C’est le père de la psychanalyse mais sinon, il a surtout lu et
exploité les textes de Nietzsche. En dehors de ça, la philosophie doit
beaucoup plus à des personnalités comme Kant ou encore Hegel pour ce qui est
de la modernité.
beaudoin a
écrit: | si nous sommes tous
differents, nous fonctionnons tous sur le même principe! intelligence
universelle oblige.
donc, dans notre fonctionnement mental, ce qui est bon pour moi est bon pour
toi et bon pour le monde entier.
je me trompe ??? |
Oui, tu te trompes, du moins tout dépend de ce à quoi tu appliques ces
concepts de « bon » et « mauvais ». Comme tu l’as dit, nous dépendons
beaucoup d’une culture, or il y a plusieurs cultures donc il doit y avoir
plusieurs notions du « bien ». Après, il faudrait préciser ton propos, en
l’état c’est une pensée pour le moins dangereuse dans la mesure où elle
tant à l’impérialisme.
Citation: | J'ai comme qui dirais une intérrogation!
tu dis detester FREUD et tu le soutiens ici ??
Paradox ? on peut détester une personne et le soutenir dans ce qu'il
affirme ?
j'ai besoin de toi pour comprendre !
qu'est ce qui fait que tu détestes FREUD? |
Je ne soutiens pas Freud. Au contraire.
Pour l’explication, voir plus haut dans mon message. Sinon, je n’aime pas
Freud parce que j’ai lu des choses qui m’ont semblé bien supérieures
ailleurs. Et puis le personnage est assez puant pour qu’on puisse le
mépriser (misogyne, drogué, ambitieux, avide de pouvoir et d’argent…).
Le seul truc que j’aime bien chez Freud, c’est que sans lui, il n’y
aurait PEUT-ÊTRE pas eu Jung.
Et enfin, pour répondre à tes questions par rapport à toi, ton attitude
vis-à-vis de Sweetie des Arts et de tes contradicteurs en général me semble
être à l’exact opposé de tes propos très politiquement corrects sur
l’empathie, la négation d’autrui, etc. M’enfin… La chasse au Sweetie
des Arts semble être un sport apprécié des nouveaux arrivants. ^^
|
beaudoin
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 23:33 pm Sujet du message:
entre autre! tu dis :
Je déteste ce type (Freud !), rendez-nous des
Spinoza ![/quote]
détester!!!!! est-ce de l'hostilité ? de la hargne ??? de la compassion?
je crois savoir que la compassion c'est se reconnaitre en l'autre ?!
hors la compassion est ni unipersonnelle, ni multipersonnelle, ni personnelle!
c'est un fait. ?
la compassion "est" tout simplement
tout comme l'amour est ni unipersonnelle, ni multipersonnelle, ni personnelle!
l'amour "est" tout simplement
sinon ce n'est pas de l'amour .
|
Fromthesouth
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 23:47 pm Sujet du message:
Beaudoin, il va falloir que tu fasses un effort dans la rédaction de tes
posts.
Tout d'abord, plutôt que de poster 3 posts à la suite, essaye de tout
condenser en un. Si tu te rends compte après coup que tu as oublié qqch, tu
peux utiliser le bouton "éditer" en haut à droite de tous tes posts.
Ensuite, si tu ne sais pas utiliser les balises quote, ne les utilise pas,
mais trouve autre chose. Mets des guillemets, par exemple, lorsque tu cites
qq'un (et le nom de la personne que tu cites si ça n'est pas la dernière
personne ayant posté avant toi, ex : "message cité" (untel) )
Ca permettra à tout le monde de pouvoir mieux te lire.
Tous les messages superflus du type "bonsoir" ou " " seront
supprimés car vraiment inutiles au milieu de tous tes posts.
Merci.
|
Exist@ncE
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Posté le: Mer Jan 11, 2012 23:56 pm Sujet du message:
Sweetie Des Arts a
écrit: | Explique moi Exist@nce,
ce que tu as compris et en quoi tout cela te semble juste. Je n'ai plus envie
de parler à Beaudeloin. |
En deux mots : Ça ressemble
à mes écrits de collège/lycée, mais avec des schèmes logiques provenant
d'un milieu que je qualifierai d'ouvrier/peu cultivé.
En plus précis : En fait la
base de sa pensée, comme la mienne (dans une mesure dramatiquement plus
structurée) et la votre (dans une mesure vraiment moins consciente)
fonctionne en certains endroits par "visualisations" globales.
C'est grossièrement "voir" un flash de TOUTE la logique d'un sujet selon une
représentation/une orientation/une méthodologie qui rend le tout je dirais
"harmonique"/"beau"/"cohérent" (si je peux me permettre des références
subjectives avec l'extrémiste d'à côté).
Je lis une phrases,
[flash qui m'oriente dans un sens]
Je continue par la suivante,
[flash qui m'oriente dans un sens
légèrement dévié]
De fait, je vois littéralement "bouger" sa logique et je n'ai donc pas besoin
de comprendre ses mots ou ses références ou ses intérêts (la couleur ou
l'intensité), mais juste de saisir les formes et les directions qui se
raffinent à chaque phrase. C'est ensuite que j'en déduis le sens figé de
chaque mot et référence.
Analogie : C'est passer d'un style logique descriptif plat à un style logique
en volume et mobile.
Le problème de ce genre de capacités de conceptualisation/expression est
qu'elles sont très addictives, car c'est ressentir l'intellect vivre.
S'abstenir de cette "drogue" revient non seulement à parler comme un
trisomique, mais à le devenir petit peu par petit peu, car il faut intégrer
des schèmes froids et plats en lieu et place de joli trucs vibrants et
arrondit (je n'ai pas dis sex toy, mais je l'ai pensé très fort ).
Autant dire qu'on le vit très mal.
D'autant plus qu'on devient certain que les formes et les mouvements sont plus
avancées car les autres ne les perçoivent pas (= ils ne peuvent pas les
préciser) alors qu'on voit leurs couleurs et leurs intensités (= on peut les
préciser).
De fait il y a un éloignement respectif progressif.
Il s'en suis logiquement, une a-socialisation car les colorés sont plus
nombreux et sont donc "la société" et les formels sont donc les "a-sociaux"
...
Ou alors on apprend à parler le trisomique (non sans quelque remous) : on
perd en variété de formes, on garde un goût amer à chaque mot qu'on
prononce avec en plus la conscience aiguisée de leur faible utilité pour soi
et pour les autres.
Ce faisant l'impasse devient absolue car avant il restait toujours un doute
sur le fait qu'on puisse posséder un décalage de perception, mais là il
n'est même plus possible de réellement se vexer, s'énerver et pourtant on
est en vie ?
|
beaudoin
De passage

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Posté le: Jeu Jan 12, 2012 00:28 am Sujet du message:
beaudoin a écrit:
si nous sommes tous differents, nous fonctionnons tous sur le même principe!
intelligence universelle oblige.
donc, dans notre fonctionnement mental, ce qui est bon pour moi est bon pour
toi et bon pour le monde entier.
je me trompe ???
pardon! ce que je voulais dire est:
si nous sommes tous differents, nous fonctionnons tous sur le même principe!
intelligence universelle oblige.
donc, ce qui est bon pour moi est bon pour toi et bon pour le monde entier.
le subjectif
bonne soirée à tous
|
Souki
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|
Posté le: Jeu Jan 12, 2012 01:17 am Sujet du message:
N’empêche que je maintiens mon objection ; c’est très culturel, le «
bien » et le « mal ». On peut gravement offenser quelqu’un dont on ignore
la culture en voulant lui rendre service, par exemple. Parce qu’on juge sa
situation sur des critères qui ne sont pas les siens.
En fait, tout dépend de ta définition du « bien ». Toutes les définitions
ne sont pas également universalisables.
|
Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013

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Posté le: Jeu Jan 12, 2012 05:42 am Sujet du message:
"Ce qui est bon pour moi l'est pour toi et
pour le monde" me donne plutôt l'impression qu'il cherche à formuler,
de façon maladroite, une critique de ce mental qu'il juge égocentrique et inapte à dresser un
portrait de la réalité plutôt qu'un argument en faveur de "l'unicité de
valeurs"(?), forme d'ethno(égo)centrisme; mais je ne trouve beaucoup trop
lourd. Nous ne sommes plus des enfants et avons conscience, dans une certaine
mesure, peut être trop limitée, que ce qui est bon, vrai pour l'un ne l'est
pas forcément pour l'autres, et Plasma le souligne.
Je reformulerais ça phrase en :"Le mental pense que ce qui est bon pour vous
est bon pour les autres, non ?"
édit:...ouais finalement non,
j'saisis absolument pas ce qu'il veut dire, peut être que sa phrase est
effectivement à prendre au sens propre...
Baudoin me parait mauvais partisan, comprenant à peine les concepts qu'il
aborde, ou au moins ne les ayant pas réalisé; il s'entête à nous rabâcher
que nous nous accrochons à l'illusion, à cette impression d'objectivité
absolue là où ne résiderait que du subjectif mais ne prend pas en compte
qu'il réside lui même dans cette état et ne fait que ramener de l'absolue
dans du relatif. Très grossièrement,
je le vois dire "Chacun ses goûts puisque
former par le mental...mais quand même ce tableau est beau, et tu ne peux pas
dire qu'il ne l'est pas !", nous accusant d'incompréhension alors
même qu'il est le premier à réinterpréter nos propos à travers un mental
dont il se targue d'être libéré, et à faire preuve d'intolérance en nous
parlant de compassion, et voilà tout ce que je lui reproche.
Et je rapprocherais plus ça de l'autisme que de la trisomie, pour des
similitudes cliniques
|
beaudoin
De passage

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Posté le: Jeu Jan 12, 2012 08:40 am Sujet du message:
Sweetie Des Arts a
écrit: | Dans la phrase " ce qui est bon pour moi est bon pour toi et bon
pour le monde entier", j'ai plutôt l'impression qu'il porte accusation
au mental qui à partir de ses critères plutôt qu'une forme
d'ethno(égo)centrisme; mais je trouve la critique beaucoup trop lourde aussi,
nous ne sommes plus des enfants et avons bien conscience dans une certaine
mesure, peut être encore trop limitée, que ce qui est bon, vrai, pour l'un
ne l'est pas forcément pour l'autre, comme le souligne Plasma.
Beaudoin écrit:
c'est ce que je dis, bon et vrai pour le mental reste relatif et a
l'appréciation de chacun.
je parle de bon au niveau conscience, intelligence universelle qui découle de
la nature.
J'ai plutôt l'impression qu'il entend que le mental juge agit comme un enfant
égocentrique,
Beaudoin écrit.
c'est tout à fait cela. bonne déduction, en effet . c'est ce que j'entend.
et je ne voix pas qui peut contester le fait que l'ego reste la construction
du mental. désolé ce n'est pas une accusation, c'est un fait et un fait
reste la réalité et non une illusion.
Lorsque le sujet est enfermé dans son mental, il ne peut le perçevoir ni
même l'avoir a l'esprit" c'est logique.
la raison est que: la pensée à divisé l'individu pour créer le sujet
pensant c'est a dire l'observateur et l'observé.
l'observateur est : je suis et l'observé l'ego
hors ce mecanisme n'est que le fruit de la pensée qui a divisé le sujet.
l'ego est illusion, comme la souffrance psychologique car en fait qu'est ce
qui souffre en soi ! c'est l'image ! donc l'ego.
le mental est le lieux de stockage des images en souvenir et uniquement cela,
donc c'est l'ego.
dans le mot mental, j'entend mentalité donc action liée au désir
.
Baudoin me parait mauvais partisan, comprenant à peine les concepts qu'il
aborde, ou au moins ne les ayant pas réalisé; il s'entête à nous rabâcher
que nous nous accrochons à l'illusion, à cette impression d'objectivité
absolue là où ne résiderait que du subjectif mais ne prend pas en compte
qu'il réside lui même dans cette état et ne fait que ramener de l'absolue
dans du relatif. Très grossièrement,
je le vois dire "Chacun ses goûts puisque
former par le mental...mais quand même ce tableau est beau, et tu ne peux pas
dire qu'il ne l'est pas !", nous accusant d'incompréhension alors
même qu'il est le premier à réinterpréter nos propos à travers un mental
dont il se targue d'être libéré, et à faire preuve d'intolérance en nous
parlant de compassion, et voilà tout ce que je lui reproche.
Beaudoin écrit:
qui parle d'intolérance ici ?
ici, je parle de fonctionnement et certainement pas d'individu.
je respect chacun. mes mots ne sont que mes mots. ils peuvent servir d'outils
a qui le veux bien.
je suis vraiment désolé si cela te frousse "l'ego" mais c'est toi qui à
rejeté et rejete encore aujourd'hui tout en bloc.
je t'invite a relire " Existence"
Existence à écrit:
"Tu produits des démontrations logiques. venant de ma petite personne, c'est
un des plus grands compliment intellectuel que quiconque pourra jamais
recevoir en philosophie, et je suis loin de le distribuer à la légère ( à
1 mort et maintenant à 2 vivants).". .
Et je rapprocherais plus ça de l'autisme que de la trisomie, pour des
similitudes cliniques  |
beaudoin écrit:
Existence à écrit:
"ce genre de capacités de conceptualisation/expression permet de ressentir
l'intellect vivre".
tu entends peut être que: Existence et beaudoin présenteraient des troubles
de l'autisme
Petit rappel : Existence à écrit: "c'est un des plus grands compliment
intellectuel que quiconque pourra jamais recevoir en philosophie, et je suis
loin de le distribuer à la légère "
compassion
|
Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013

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beaudoin
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Exist@ncE
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Posté le: Ven Jan 13, 2012 23:19 pm Sujet du message:
Plasma a
écrit: | N’empêche que je
maintiens mon objection ; c’est très culturel, le « bien » et le « mal
». On peut gravement offenser quelqu’un dont on ignore la culture en
voulant lui rendre service, par exemple. Parce qu’on juge sa situation sur
des critères qui ne sont pas les siens.
En fait, tout dépend de ta définition du « bien ». Toutes les définitions
ne sont pas également universalisables. |
baudoin ne fait en rien mention au
"bien" en tant que bien en soi ni au "mal" en tant que mal en soi qui sont des
références inutilisables sans subjectivité :
A) Il fait appel à la formation d'une pensée qui serait "intelligence
universelle" pour tous les humains même s'ils sont légèrement différents.
B) Puis il atterrit sur le fait qu'une généralisation soit/doive être
possible à partir d'un individu vers un ou tous les autres.
=> La justification du passage de A) à B) est contenue dans le postulat
que sous entend A) c'est à dire que l'intelligence est commune.
La confusion sur le "bon/bien"
:
Il utilise ce mot dans le sens le plus général (c'est assez visible dans la
caractérisation du contexte qui se veut simpliste), par conséquent le "bon"
n'est pas une référence d'ordre moral, mais tout simplement le moyen le plus
normal du langage pour dire : "si une idée fonctionne chez quelqu'un alors elle fonctionne chez n'importe qui".
Dans le sens généralisable et pas dans le sens bénéfique.
D'une manière générale je ne saurais que trop vous conseiller de ne pas
essayez de traduire les notions morale de baudoin selon un critère "émotionnel" ou "moral". Ne conservez
que la partie "mécanique" ou "fonctionnelle" de ces notions, car vous n'êtes
pas en mesure de comprendre le reste (vous n'avez pas accès à ce genre de
perceptions internes).
Bon. Maintenant que vous avez tous eu un exemple corrigé, réessayez avec un
autre échange. Et réussissez, svp (j'ai sommeil).
Sweetie Des Arts a
écrit: | Et je rapprocherais
plus ça de l'autisme que de la trisomie, pour des similitudes
cliniques |
Hey ! Pas besoin d'aller jusqu'à l'autisme ! Raciste !
Il y a un nombre non négligeable d'individus (~2 pour 1000) qui ont un QI
supérieur à 140.
A ajouter à cela il y a l'ensemble des individus parfaitement normaux qu'on qualifie de "schizoïdes" du à leur
faible entrain social, ce qui en psychiatrie est considéré comme un
symptôme de maladie mentale TRÈS grave ... (Des claques se perdent.)
Je te fait remarquer que je t'apprends ce qu'il y a autour de toi ^^.
Objectivement tu ne semblais pas le voir, peut-être que tu ne pouvais pas le
voir, ou peut-être que tu ne voulais pas le voir.
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Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013

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Posté le: Sam Jan 14, 2012 00:09 am Sujet du message:
"Objectivement, il semblerait" est un non-sens puisque je ne peux sembler
qu'à travers un regard, et donc de manière subjective; et ce que je peux
te sembler être, savoir et voir
commence à franchement m'indifférer.
Outre, c'est très jolie gentil de vouloir m'enseigner, notamment ce qu'il y a
autour de moi, mais jusqu'à preuve du contraire on ne se connait pas et n'es
pas clairvoyant, ne possédant aucun savoir objectif sur les connaissance qui
me sont nécessaires ou des expériences que j'ai à réaliser dans l'ici et
maintenant, ni même des connaissances que je possède et des paradigmes au
sein desquels j'évolue.
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beaudoin
De passage

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Posté le: Sam Jan 14, 2012 11:24 am Sujet du message:
From The South à écrit:
"Non, "lego" est un petit personnage en plastique auquel il ne faut pas
s'identifier. Il permet juste aux enfants de développer leur imagination. Je
n'arrive pas à copier d'image, mais en général ils ont la tête jaune et
font qq cm de haut."
exact. donc pour le sujet qui utilise l'ego
: ses vérités, ses conclusions, ne sont que pur imaganition.
une vérité si noble ou vil soit-elle reste une projection
mental.
notre vision de l'autre reste le reflet de ce que nous sommes.
en conclusion: le sujet qui se référe a ses vérités, ses conclusions,
utilise le petit personne en plastique avec je crois !!!!!! une tête jaune
et font quelques cms de haut !
eheh . la pensée inverse, elle projette sur l'autre , ou elle attribue a
l'autre !!!!!! et çà c'est un fait je ne vois pas comment cela pourrait
être autre.
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Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013

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Posté le: Sam Jan 14, 2012 11:56 am Sujet du message:
Alors maintenant médite sur ce que tu viens de dire, "notre vision de l'autre reste le reflet de ce que
nous sommes.; et souviens toi que ce que tu vois en moi n'est que le
reflet de ce que tu es, que mon manque de classe, de compassion, ce que tu
juges être ma méconnaissance et mon dédain ne sont finalement que ton
propre reflet. Peut être ne suis-je que le Satan tentateur, crachant à ton
visage ce que tu refuses de voir, ta propre imperfection. Voilà pourquoi tu
ne m'aimes pas, je suis le démon incarné de tes faiblesses, de celles même
dont tu penses d'être débarrasser.
J'imagine déjà ta réponse, un mélo-mélo incompréhensible pour me dire :"
Non, pas du tout...je suis en total adéquation avec mes propos...je te trouve
vil, mais ça ne rentre pas en compte dans le reflet que je suis de toi
même."
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