Le dernier film que vous ayez vu ? V2
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Eponine
Madame Casse-Pieds  Sexe:  Age: 38 Inscrit le: 02 Fév 2009 Messages: 13631 |
Posté le: Dim Nov 13, 2011 16:57 pm Sujet du message:
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Will.i.am
Mister Genaisse 2012  Sexe:  Inscrit le: 19 Jan 2011 Messages: 8632 Localisation: Var |
Posté le: Dim Nov 13, 2011 17:06 pm Sujet du message:
 !!!!!!!!!!
Révéler une réplique dans un film est-il considéré comme un spoil ? c'est pas comme si on dévoilait les scènes clés 
Et je te signale que ce n'est pas moi qui ai dit la réplique, je ne spoil pas les autres, donc niveau respect, je pense m'en sortir plus que correctement 
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Eponine
Madame Casse-Pieds Sexe: Age: 38 Inscrit le: 02 Fév 2009 Messages: 13631 |
Posté le: Dim Nov 13, 2011 17:17 pm Sujet du message:
Et l'humour étant un des points clés du film, ouais, balancer toutes les vannes à l'avance, ça rendra le film nettement plus creux. C'est comme si on disait aux gens qu'à la fin, le Titanic coule. Ca gâche le suspense 
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Will.i.am
Mister Genaisse 2012 Sexe: Inscrit le: 19 Jan 2011 Messages: 8632 Localisation: Var |
Posté le: Dim Nov 13, 2011 17:19 pm Sujet du message:
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Guignol
Membre   Sexe: Age: 36 Inscrit le: 28 Oct 2010 Messages: 176 Localisation: France |
Posté le: Dim Nov 13, 2011 18:18 pm Sujet du message:
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Souki
Modératrice  Sexe: Age: 38 Inscrit le: 05 Nov 2011 Messages: 3273 Localisation: Lyon |
Posté le: Lun Nov 14, 2011 00:09 am Sujet du message:
- Le lac des morts-vivants / Zombie Lake : un film de série Z français dans lequel il est question de zombies nazis subaquatiques suceurs de sang. Dans ce film, un zombie s'attendrit quand il rencontre sa fille et ils s'en vont dans les rues du village main dans la main. Dans ce film, le réalisateur a investi dans une caméra amphibie pour filmer en contre-plongée des filles qui nagent nues dans le lac. Dans ce film, les acteurs sont tous terriblement mauvais mais les maquilleurs et les costumiers aussi. Nanarland dit de ce film que c'est peut-être le pire film français jamais tourné. - Les nuits de Dracula, de Jesus Franco, qui a lui aussi sa petite fiche Nanarland. C'est certain, il a fait le tournage avec un mini-micro-budget, n'empêche que je l'ai trouvé meilleur que celui de Coppola. Dommage qu'il n'ait pas pu faire de nuits américaines crédibles et qu'il abuse du zoom. - Suicide Club, de Takeshi Miike. Vraiment déstabilisant, ce film. en gros, ça tourne autour d'une affaire de suicides en série et parfois collectifs. On suit l'enquête mais pas seulement. J'ai trouvé ça excellent. |
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Genesis
Membre  Inscrit le: 11 Nov 2011 Messages: 109 |
Posté le: Lun Nov 14, 2011 09:48 am Sujet du message:
- Polisse de Maiwenn. Un gros casting, mais cela n'entâche pas le capital sympathe que l'on peut octroyer aux personnages du film. Une réele émotion, et de l'empathie envers des personnages aux caractères bien différents. Un film que je recommande vraiment, et le plus grand mérite du film est de ne pas tomber dans un certain pathos pour traiter du sujet très grave de la pédophilie ou du viol. http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=181893.html - On the Waterfront ( Sur les quais) , film de 1954 avec la légende, le très charismatique Marlon Brando. Il y a certaines lenteurs du au décalage technique cinématographique, mais que l'intrigue est alletante ! Ajoutez le jeu d'acteur formidable de Marlon Brando... et vous avez un film culte. A voir pour votre culture ciné ! http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1627.html à voir ici Dernière édition par Genesis le Jeu Déc 08, 2011 12:27 pm; édité 1 fois |
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Kadjagoogoo
Super actif   Sexe: Inscrit le: 30 Jan 2006 Messages: 2594 Localisation: Lyon |
Posté le: Mar Nov 15, 2011 12:43 pm Sujet du message:
Sans vouloir ergoter, je ne saisis pas le lien de cause à effet que tu fais là en suggérant un phénomène soit-disant fréquent : l'aversion probable du public pour les personnages incarnés par ledit gros casting. 
Pour ma part, j'ai vu - au cinéma : - Contagion de Soderbergh : là encore, gros casting (mais pas "époustouflant" comme le clame un certaine presse), qui n'est hélas même pas mis en valeur par une réalisation (toujours irréprochable, comme avec le wonder boy du ciné américain) sans affect, imperméable à toute émotion : même le deuil d'une épouse et d'un enfant ne permettent une réelle empathie avec le mari-parent dévasté. La faute au principe du film choral, à double tranchant : on passe, sans arrêt, d'une trajectoire à une autre, sans s'attarder comme il conviendrait sur la personnalité des protagonistes, les tenants et aboutissants de leur drame intime. Soit un film catastrophe absolument sans surprise (pas même de switch final digne de ce nom) et diffusant un ennui... contagieux. Le film, qui ne dure "que" 1h46 parait largement le double, tant on aspire à arriver au bout de ce long métrage inutile (un court aurait suffit) qui n'apporte strictement à la grande tradition (révolue) des films d'épidémies. Surtout que, dans celui-ci, on ne croise pas l'ombre d'un zombie, ce qui aurait, avouons-le, pimenter l'affaire... Indigeste. Des personnages dénués (privés, surtout, du fait du procédé zappeur et volatil du récit) de charisme - et dont on se contrefout, donc - décimés par un virus (très original, ça), le tout regardé d'un oeil torve par des spectateurs eux-mêmes dévorés par l'ennui (pour décliner la belle et implacable formule de Bernanos : "Le monde est dévoré par l'ennui.") : voilà un bon résumé de l'expérience déceptive (plutôt que décevante) proposée par ce film contaminé par l'absence d'ambition. Un conseil : ne perdez pas votre temps - et votre argent - à aller vérifier mes dires : il y a trop d'autres films (et des bons, ceux-ci) à voir actuellement en salles pour ce permettre ce luxe. 
Personnellement, ce post critique, que ce film insipide m'aura donc inspiré, sera ma seule et unique consolation, car j'ai hélas cru bon d'y emmener une amie dont le premier commentaire, en sortant de la salle, fut éloquent : "Il durait combien de toi ?...   "
et sans vouloir éventer plus encore l'histoire aux inconscients qui iront malgré tout voir ce film (qui n'est toutefois pas un navet, soyons clair), j'en terminerais par cette déclaration goguenarde : cool, encore une fois, c'est les USA qui se coltinent le plus gros du fléau ! 
Dernière édition par Kadjagoogoo le Mar Nov 15, 2011 18:11 pm; édité 4 fois |
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La Bête
Silver Mercure  Sexe: Inscrit le: 03 Nov 2008 Messages: 13812 Localisation: Montréal |
Posté le: Mar Nov 15, 2011 13:08 pm Sujet du message:
ça semble couler de source, il est souvent difficile, si bon que soit l'acteur, de se projeter dans l'univers émotionnel d'un personnage fictif si sa trogne et sa gestuelle nous sont trop familières. pour prendre un exemple caricatural, désormais si tu vois Depardieu dans un film, quelque soit son rôle, tu ne vois pas le personnage, tu vois Depardieu. réussir à créer l'empathie avec des acteurs sur-médiatisés est un exercice risqué, pour cette raison certains réalisateurs choisissent sciemment des acteurs méconnus voire des novices, lorsque leur soucis premier est l'immersion du spectateur. |
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Kadjagoogoo
Super actif Sexe: Inscrit le: 30 Jan 2006 Messages: 2594 Localisation: Lyon |
Posté le: Mar Nov 15, 2011 13:18 pm Sujet du message:
J'avoue que ton argumentation me convainc, très pertinente qu'elle est. Maintenant, on peut nuancer le phénomène qui consiste à employer plutôt des acteurs, sinon anonymes, en tout cas moins charismatiques, en y voyant encore du pur pragmatisme économique.
Et puis bon, Depardieu se met encore en danger, parfois ; plus que ne le faisait Gabin, en son temps, qu'on a toujours considéré comme des grands acteurs (et pas seulement français) du XXième siècle. (Je n'en dirais peut-être pas autant de John Wayne, un autre monolithe du cinéma abonné aux rôles de cowboys caricaturaux.) Je veux dire que si un acteur de cet acabit est capable - comme sait le faire encore Brad Pitt, par exemple - d'endosser des rôles divers et variés, parfois même à contre-emploi, il devient dès lors plus aisé pour le spectateur de s'identifier à son personnage, qui n'est plus seulement une énième déclinaison de son personnage emblématique (voire de sa vraie personnalité - on peut se le demander, parfois...). |
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La Bête
Silver Mercure Sexe: Inscrit le: 03 Nov 2008 Messages: 13812 Localisation: Montréal |
Posté le: Mar Nov 15, 2011 22:27 pm Sujet du message:
C'est aussi pour ça que je désignais Depardieu, quand bien même il serait l'acteur aventureux et investi que tu dis, on ne verrait encore que son gros nez fendu. |
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fary
De passage  Sexe: Inscrit le: 03 Nov 2011 Messages: 25 |
Posté le: Mer Nov 16, 2011 07:09 am Sujet du message:
Juli Baker croit fermement à trois choses: que les arbres sont sacrés (surtout son très cher sycomore), que les oeufs qu'elle récupère dans son jardin sont un véritable bienfait, et qu'un jour elle embrassera Bryce Loski. Depuis qu'elle a vu Bryce, Juli est tombée amoureuse. Malheureusement, Bryce n'a jamais partagé ses sentiments. Il pense au contraire, que Juli est bizarre. Mais un jour, tout change brusquement... |
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Criterium
Suprème actif  Age: 40 Inscrit le: 08 Sep 2008 Messages: 4223 Localisation: ailleurs |
Posté le: Mar Nov 29, 2011 01:22 am Sujet du message:
Un film de 1938 avec de l'humour et du mystère. Hitchcock. J'ai bien aimé. Visible gratuitement en anglais là: http://www.bnwmovies.com/the-lady-vanishes.html |
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Fromthesouth
Admin  Inscrit le: 16 Nov 2008 Messages: 16792 Localisation: Bastia, sur un caillou paumé |
Posté le: Jeu Déc 01, 2011 21:19 pm Sujet du message:
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Souki
Modératrice Sexe: Age: 38 Inscrit le: 05 Nov 2011 Messages: 3273 Localisation: Lyon |
Posté le: Ven Déc 02, 2011 01:06 am Sujet du message:
RÉALISATEURS FRANÇAIS, MAIS POURQUOI AVEZ-VOUS RENONCÉ A ÊTRE BANDANTS ? Sinon, hier, j'ai regardé Magnolia, hier, suivant les conseils du plan de métro cinématographique de Tommy Angelo. C'est un film choral, dans le genre de ces films qui ne racontent pas grand choses mais ne disent long. Allez, je repompe une critique sur la page Wikipédia :
J'ai bien aimé, même si c'est assez déroutant de passer de l'un à l'autre sans arrêt, sans que tous les personnages soient liés les uns aux autres. La qualité des dialogues m'a quand même motivée à aller jusqu'au bout de ce film de 3h (!!) et je ne regrette pas du tout. Je crois que certaines scènes, certaines situations ou certaines répliques vont rester dans ma tête longtemps. En outre, Tom Cruise y joue l'un des meilleurs rôles que je l'aie vu interpréter. Son personnage est vraiment très intéressant, tout comme celui de l'enfant. Je recommande, mais en soirée d'introspection. Seul point négatif : il y a vraiment BEAUCOUP de musique. J'aime la musique mais là, c'était un peu trop. |
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Genesis
Membre Inscrit le: 11 Nov 2011 Messages: 109 |
Posté le: Ven Déc 02, 2011 14:35 pm Sujet du message:
Rappel des faits : http://www.youtube.com/watch?v=LayW8aq4GLw Ce film m'a SUBJUGUE. L'atmosphère est lyrique, presque surnaturelle.. mais Lars Von Trier arrive à tisser une relation métaphorique forte entre le réel et l'iréel. La musique de Wagner nous conduit vers des émotions cinématographiques peut-être encore inconnues pour certains. A voir sur grand écran aussi.. c'est une expérience singulière et À part entière . Je vous le conseille.. et je ne peux pas trop m'étendre sur le film par peur de tout vous gâcher. |
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Eponine
Madame Casse-Pieds Sexe: Age: 38 Inscrit le: 02 Fév 2009 Messages: 13631 |
Posté le: Ven Déc 02, 2011 15:55 pm Sujet du message:
J'approuve. |
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Juliette Hardy
Miss Genaisse 2012  Inscrit le: 03 Mai 2010 Messages: 1908 |
Posté le: Ven Déc 02, 2011 16:31 pm Sujet du message:
Julianne Moore qui pète un câble dans une pharmacie, mais quelle scène. |
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Souki
Modératrice Sexe: Age: 38 Inscrit le: 05 Nov 2011 Messages: 3273 Localisation: Lyon |
Posté le: Ven Déc 02, 2011 17:07 pm Sujet du message:
Owi ! Et elle a tellement raison ! en écrivant cela, je pensais surtout à une envie pressante...  C'est ridicule mais c'est assez tragique, je trouve (d'autant que j'ai connu quelqu'un
qui était un peu dans la même situation...).
Ou Tom Cruise à la fin de l'interview. Elle était tellement crasse ! J'ai eu un peu la même sensation en regardant American Beauty, mais en miniature. |
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Pacifica
Suprème actif  Sexe: Inscrit le: 21 Juil 2008 Messages: 4068 Localisation: R'lyeh |
Posté le: Dim Déc 04, 2011 22:02 pm Sujet du message:
Ce que j'ai réellement aimé est - outre- la perspective de l'existence d'une planète à la nôtre, est l'idée de la "seconde chance" offerte par cette dernière. Mener une existence différente, sans doute plus réussie que cette vie "d'aujourd'hui", ne pas commettre certaines erreurs qui nous scellent et qui nous font une personne différente de celle que nous aurions pu/dû être. Même si la trame dramatique se traine de façon assez laborieuse et s'imbrique maladroitement avec le côté SF du film, on la suit avec intérêt et empathie pour le personnage de la belle (blonde) Brit Marling en quête de rédemption. On a également le droit à une très belle photographie, pour un coup d'essai, c'est un coup réussi, n'en déplaise à certain(e)s !
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