Invité
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Posté le: Mer Mar 29, 2006 16:15 pm Sujet du message:
C'est bizarre, quand je te lis, j'ai une double impression paradoxale : que tu
en dis à la fois trop et pas assez. Je serais bien bête de dire que je
comprends ce que tu ressens, mais il est clair que tu "lâches" ton ressenti,
ton vécu, sans rien laisser au hasard et pourtant, ça n'en reste pas moins
déroutant...
Well...je viens de me relire, j'espère que c'est pas trop confus!
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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Jeu Mar 30, 2006 00:12 am Sujet du message:
lytusmis11_, j'te remercie de ce "grand" bienvenue
Shangora, je n'en dis pas assez dans le sens où si l'on veut comprendre
absolument tout, il faut connaître ce qui m'est arrivé. De plus, mes textes
sont volontairement censurés par mes soins lors de l'écriture. En effet, je
les mets en accès sur mon blog, et ici, hors mon blog est visité par ma
soeur de 15 ans, et mon père... Donc il y a des choses qu'il ne vaut mieux
pas évoquer au grand jour.
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chelmi_p
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Posté le: Jeu Mar 30, 2006 15:05 pm Sujet du message:
Mais de rien
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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Jeu Mar 30, 2006 23:22 pm Sujet du message:
Une chute dans l'ombre
Le noir
m'entoure, il m'ensert, il s'inflitre en moi tel un poison.Il me pénètre et
s'enfonce dans mon âme, qui se met à hurler, essayant de refouler cette
ombre envahissante. Mais elle ne peut lutter longtemps. Trop tard, les larmes
n'ont pu couler, l'ombre est là, en moi, tout au fond de moi, tapis au creux
de mon âme. Elle se fait mienne. L'ombre prend possession de mon corps, mes
pensées. Plus rien n'est rose, tout s'efface.Un espoir tente de persister
mais rien, rien ne se ressent, rien ne résiste. Il se tapit au fond de moi,
se protégeant pour essayer de ne pas disparaître de ce corps si fragile.Mon
corps s'habitue à l'ombre, s'en accomode. La musique aide cette acoutumance.
Je ne fais plus qu'un avec elle. Je m'y sens mieux, je n'entends plus mon âme
criée. Elle se tait. Tout me parait aussi noir, tout est sombre. Le froid...
Le froid est le plus beau refuge. Il prend mon corps, l'immobilise. Il le
berce pour qu'il se sente bien. L'ombre s'en abreuve, calme, épanouie.Des
frissons, des frissons de bonheur, des frissons de bien-être.Mon corps
s'endort, laissant place à l'ombre. Mon âme hurle, elle souffre, mais elle
ne peut s'exprimer. Les larmes refusent de caresser ma peau, cette carresse
douce et chaude, cette carresse qui peut être si réconfortante.Une autre
carresse, peut-être... Non, il ne faut pas. Mon corps s'y refuse, une partie
de mon âme s'y oppose. Cette carresse si sombre ne doit pas exister. Une
partie de mon âme est là, elle me le rappelle.Je dois enfermer cette ombre,
l'empêcher d'atteindre cette idée. C'est dur. Elle est forte, si forte. Elle
n'attend que ça. Dormir... Mon corps m'impose un somme. Mon corps veut lutter
contre cette idée, ainsi que mon âme. Elle veut dormir. L'ombre, elle, veut
vivre, veut profiter de sa nouvelle demeure. Mais mon corps est trop fatigué
pour abriter cette ombre comme elle l'entend. Dormir. Seul salut de mon âme
usée par la douleur.
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violaine
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Posté le: Ven Mar 31, 2006 09:38 am Sujet du message:
merci de ces moment...
mon ame a moi ne m'avait pas trahis..je l'avais ressentis...
a bientot.
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Lucinda
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Posté le: Ven Mar 31, 2006 09:42 am Sujet du message:
Mon âme ne me trahit pas. Je n'ai jamais vu mes textes ainsi. Comment vois-tu
cette trahison ?
Et qu'avais-tu ressenti ?
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violaine
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Posté le: Ven Mar 31, 2006 09:49 am Sujet du message:
oups le a moi ne t'etait pas destinee.. je ne parlais pas de ton ame qui
t'aurais trahis.. excuse...
j'ai peu etre ecris un peu vite a cause de l'emotion...
ce que j'ai ressentis ?
je te dirais cela plus tard, par pm si tu veux bien.
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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Ven Mar 31, 2006 09:52 am Sujet du message:
Il n'y a aucun souci. J'attends alors cela avec impatience.
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Lucinda
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Posté le: Jeu Avr 06, 2006 16:32 pm Sujet du message:
La mort d'un âme.
Une caresse,
une petite boule de poil qui vous offre sa tendresse. Elle n’attend qu’un
peu d’attention en retour. Un souvenir d’une soirée merveilleuse, la
preuve d’un amour éternel, le plus bel amour sur Terre, celui qui ne pourra
jamais être brisé, celui de deux sœurs. Une âme qui vit, qui virevolte et
commence à espérer, une âme pleine de joie. L’heureux n’est pas là,
mais le cœur est réchauffé. Tel un grand feu de joie, l’âme danse et
espère. Elle a chassé les ombres dans un coin, bien verrouillées sous de
grands barreaux. Elle se sent grandie et aimante, prête à se battre de
nouveau. Elle reprend le dessus. La petite boule de poil s’en va, elle
n’offrira plus ses caresses, elle sera loin. L’âme est seule mais
joyeuse. Jusqu’à ce qu’une ombre arrive à se glisser derrière les
barreaux, elle se faufile, infiltre mon âme. Doucement, elle passe,
doucement, elle vient. Puis l’âme se sent blessée, tellement blessée
qu’elle recule et laisse passer l’ombre. Mais pourquoi ? Elle qui était
si joyeuse. L’âme a ses faiblesses, et l’ombre a su la trouver. Elle
s’installe, lentement, empêche mon corps de s’exprimer. Je ne peux plus
parler. Besoin d’écrire… Puis une autre ombre s’immisce, si
surprenante, si terrible, si horrible, si destructrice. Pourquoi ? Pourquoi
cela détruit la seule chose en laquelle je croyais dur comme fer, la seule
chose qui pouvait me rendre heureuse, la seule chose qui réussissait à me
rendre le sourire, la seule chose qui pouvait me dire que j’existais pour
quelque chose. Ce seul et unique lien à la vie, ce seul fil essentiel à ma
vie. Brisé en un instant. Une mort subite, telle une flèche inattendue.
Droit dans mon âme, elle me brise en menu morceaux, si petits, si détachés.
Ma vie ne peut se reconstruire, mon âme est éparpillée et je ne peux rien y
faire. Tout ça d’une simple phrase, d’un simple mot… Pourquoi la vie
nous reprend-elle tout ce à quoi l’on tient en l’espace d’un instant,
en l’espace d’une seconde, comme pour nous enfoncer encore plus loin, plus
profondément. Comme si les ombres n’étaient pas déjà suffisantes, elle
nous en rajoute une. La dernière, la plus terrible de toute. Celle de la
mort.
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Invité
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Posté le: Jeu Avr 06, 2006 18:25 pm Sujet du message:
Celle-là, je sais pas pourquoi, elle réussit à m'attrister...très beau,
comme toujours!
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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Jeu Avr 06, 2006 18:30 pm Sujet du message:
Peut-être parce qu'il est très triste... quand je l'ai écrit en tout
cas..Merci pour le compliment.
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CLAIR OBSCUR
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Lucinda
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Posté le: Sam Avr 08, 2006 16:38 pm Sujet du message:
Merci
Du coup, allez hop, dans la foulée, j'vous en mets un autre (oui, j'en ai
encore en stock).
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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Sam Avr 08, 2006 16:39 pm Sujet du message:
Quand notre coeur a 7 ans
Quand notre cœur a 7ans, on rêve qu’on
s’occupe de nous. Pour une petite maladie de rien du tout, on voudrait
pouvoir rester au lit avec nos parents qui veillent sur nous, qui
t’appellent pour savoir comment tu vas, qui t’interdisent de trop jouer à
l’ordinateur, pour ne pas t’abîmer les yeux. Mais ce n’est plus ma vie.
Pourtant mon cœur est toujours là, à la recherche de ces petits moments que
j’aimais tant. Mais en même temps, ce qu’il y a de formidable quand on
grandit, c’est que les choses que l’on aime faire quand on a 7 ans mais
qui peuvent paraître ridicule devant les autres, on les fait sans complexe.
Je peux chanter « Lundi matin, l’empereur… » sans me soucier de ce que
vont penser les autres. Je peux aussi regarder les dessins animés sans me
soucier de savoir si c’est encore de mon âge. Peu importe puisque ce sont
des choses qui me font plaisir, alors je les fais. C’est sans doute ce qui
fait de moi une personne entière.
Mon cœur a 7 ans, mais ma raison en a beaucoup plus. Ma vie s’est écoulée
et ne m’a pas épargné les souffrances nécessaires pour grandir. J’ai
évolué, toujours dans la souffrance, parce que sans doute est-ce ce qui
forme une âme. Ma raison s’est forgée sans que mon cœur évolue
réellement. Sans doute est-ce parce que je me souviens de cette époque comme
d’une vie heureuse et épanouie. Je crois que chaque vie possède une
période en or, une période que l’on souhaiterait conserver tout le long de
la fin de notre vie. Bien sûr, la morale exige que 83 ans environ, ce n’est
pas la fin de la vie, que nous n’en sommes qu’au commencement. Et après
tout, si nous n’avions pas qu’une vie mais plusieurs ? Si en vérité,
notre vie était tronquée en plusieurs petits morceaux de vie ? Et si pour
moi, la vie c’était fini à 7 ans mais devait reprendre plus tard ?
J’ignore quand elle reprendra vraiment, mais j’ose espérer qu’elle
reprendra un jour. Mon cœur a le sentiment de pouvoir évoluer ces derniers
temps. En bien ? En mal ? Qui peut le savoir… Seule moi peut décider
aujourd’hui de me battre ou non. C’est ce en quoi je suis le seul maître
à bord, dans ma propre vie. Les gens qui me connaissent me diront que je suis
la première à penser que nous ne sommes pas les seuls maîtres de notre vie.
C’est vrai. Je ne vais pas changer d’opinion là-dessus. Mais
aujourd’hui, je crois avoir la force d’abandonner mon rêve de petite
fille.
Je me souviens quand j’étais petite, j’adorais faire des puzzles. Mais
j’avais une règle à la fin de chacun d’eux. Si le tableau devait être
collé et jamais défait, alors lorsque l’on pose la dernière pièce, il
faut faire un vœu. Ce vœu se réalisera alors. Le puzzle prend alors une
toute autre dimension que la simple finalisation d’un travail de recherche.
C’est l’espoir de l’évolution d’une vie. C’est peut-être pourquoi
j’ai tant rêvé dans un magasin de posséder ce magnifique puzzle. Pouvoir
faire à nouveau un vœu, un vœu scellé à jamais dans un puzzle. Est-ce que
cela a marché pour les puzzles précédents ? Oui. Je n’ai pourtant jamais
scellé le rêve qui m’était le plus cher dans mon cœur, mais que j’ai
abandonné il y a bien longtemps, même si une part de lui continue de
subsister dans le fond de mon cœur. Une idiotie ? Non, mon rêve, bien
qu’impossible, reste une chose qui pourra en partie se réaliser. Quand on
grandit, on découvre de nouvelles familles, de nouveaux horizons. Jusqu’à
7 ans, j’étais très heureuse. J’avais une famille, dont une petite sœur
que j’affectionnais particulièrement. Des amis, une maison, un chien. Les
problèmes sont arrivés. Mais les pires je pense pour un enfant sont les
problèmes familiaux. Quand un enfant va rendre visite à un de ses amis, il
va forcément découvrir un nouvel environnement familial. Mais bien sûr, il
n’en verra que les bons côtés. Sauf que ma famille s’est dégradée.
Alors j’ai toujours rêvé de pouvoir un jour retrouver cette famille que
j’avais, celle qui m’a fait grandir pendant un peu moins d’une dizaine
d’année heureuse. Bien sûr, maintenant que le divorce est prononcé, il
devient selon la morale classique, impossible d’avoir une famille. Pourtant,
je ne crois pas que ce soit réellement la définition que j’ai toujours
donnée au mot famille. Pour moi, ma famille, c’est avant tout des personnes
soudées, capables de s’écouter et de passer de bons moments ensemble. Je
n’ai plus ça sauf avec une seule personne, la personne la plus chère pour
moi au monde : ma petite sœur. C’est une personne sensible, et avant tout
le plus grand amour de ma vie. Et ce qui me fait espérer de retrouver un jour
cette notion de famille, c’est bien elle. Il y a aussi ces derniers temps
mon père. Après des années de discussions sans sens, de conversations
muettes, les choses se sont enfin un peu dissipées. Peut-être le sont-elles
suffisamment pour enfin me permettre de retrouver cette famille que j’avais
et que j’ai connu.
On a tous dans notre cœur une part qui n’a jamais grandi, et qui ne
grandira jamais. Non, ce n’est pas un regret, c’est un rêve. La mienne a
7 ans, et elle restera à jamais gravée à cet âge-là. Pour autant, mon
cœur n’est plus composé uniquement de cette part-là. Et aujourd’hui,
j’ai le sentiment de pouvoir encore réduire cette partie en la faisant un
peu rentrer dans ma vie de jeune fille de 20 ans. Celle-ci n’est pas simple,
mais je sens comme une ouverture que je n’avais pas auparavant. Un coin de
ciel bleu dans mon âme noire.
Alors quand notre cœur grandit, c’est pour stabiliser un rêve d’enfance
qui a évolué. Pour autant, tout au fond de lui, c’est le même rêve. Et
ce soir, je rêve d’être dans ma chambre, sur mes coussins transformés en
lit pour la journée, avec mon ordinateur portable, et mes « moi, je lis »,
mon petit interphone pour appeler papa en cas de besoin, et papa ou maman qui
passe pour savoir comment je vais. Mais j’ai grandi, et tout cela n’est
qu’un souvenir doux. Mais si doux qu’il me permet de revivre ces moments
comme si c’était hier.
Merci à vous de m’avoir fait connaître ça au moins une fois dans ma
vie.
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CLAIR OBSCUR
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Posté le: Sam Avr 08, 2006 16:48 pm Sujet du message:
Plein de sensibilité ce récit !!!
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Lucinda
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Posté le: Sam Avr 08, 2006 17:11 pm Sujet du message:
J'imagine, et profitez-en, car je crois que c'est le seul que j'avais "en
stock" aussi positif.
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Lucinda
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Posté le: Dim Avr 09, 2006 01:40 am Sujet du message:
Je ne sais pas où mettre ça... Je suis mal, très mal... je ne sais plus
quoi penser... Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus me retenir, je
deviens folle, ma raison m'abandonne... je ne sais même pas pourquoi j'ai
fait tout ça, je ne sais même pas pourquoi je respire, je ne sais même pas
pourquoi je me retiens en fait, je ... devrais le faire, tout simplement, agir
sans réfléchir... Oui c'est ça, c'est ce que je devrai faire sans me poser
de question... Folie de mon être, folie de mon âme, folie de mes mains...
Qui suis-je ? Où suis-je ? Pourquoi ?
Je ne sais pas si quelqu'un peut vraiment quelque chose pour moi... je ne me
comprends plus, je ne me suis vraiment plus, je suis complètement folle...
folle à lier, folle de faire ça... Pourquoi ? Pourquoi ma vie n'est pas
simple ? Pourquoi j'peux pas simplement être AMIE avec un gars, mais pourquoi
?
Et pourquoi je ne sais pas ce que je veux ? Pourquoi mon coeur est
complètement traitre avec moi ? Pourquoi me fais-je tant de mal ? Pourquoi
...
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CLAIR OBSCUR
Actif


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Lucinda
Suprème actif


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Posté le: Dim Avr 09, 2006 12:09 pm Sujet du message:
Parce que c'est l'état du moment.
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Styphoon
De passage

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Posté le: Dim Avr 09, 2006 17:15 pm Sujet du message:
Tout mal a une fin... toute question a une réponse... courage, tous ceux qui
te lisent sont avec toi.
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