Vos chances de survie en millieu zombie


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Tommy Angello
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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 21:46 pm    Sujet du message:
C'est un vrais grenier ou des combles non aménagées avec juste un chemin de visite? Tu est dans quelle région?

Vous découvrez avec joie que l'industrie du batiment ne pratique plus les retards de livraison et aménagez votre bunker tout neuf. Attention peinture fraiche.

Papy vous raconte la fois où il a vécu dans une casemate pendant la guerre, et où il a ... heu bon, il vous racontera ça une autre fois.

L'invasion a maintenant touché tout le continent sud américain et des foyers apparaissent en Europe et en Asie. Les mesures sanitaires, toujours plus expéditives, poussent la population à les contourner à chaque fois que c'est possible, et même d'autres fois quand la situation l’exige. Une grande ville allemande est placée en isolement. Tout le monde panique. Tu reçois des coups de fils de tes amis, collègues et du reste de ta famille qui te demandent ce que tu as prévu.

Ce nouveau bâtiment intrigue beaucoup les villageois du coin qui sont prêts à tout pour un véritable abri, et un policier veut inspecter le bâtiment.


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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 22:00 pm    Sujet du message:
Nous possédons un grenier aménagé où seule une trappe nous permet d'y entrer. En Bretagne, non loin de la mer, et mon village ne possède pas de gendarmerie, la plus proche est à une trentaine de kilomètres (véridique).
Il n'est pas neuf, il a été construit dès ma sortie de l'école (il y a déjà une décennie), aucun aménagement nouveau à y apporter car nous vérifions chaque année qu'il est en bon état et cette construction a été faite secrètement bien entendu. Je n'ai aucun voisin à plus de quelques kilomètres et la main d'oeuvre employée était immigrée et sans papiers, ces ouvriers sont rentrés chez eux.
J'envoie poliment mes amis gérer leurs propres histoires, si ils ont décidé de venir, ils tomberont face aux nombreuses défenses. Ma famille proche est par ailleurs avec moi, seuls 4 membres peuvent nous rejoindre en se débrouillant par leurs propres moyens, je n'irais pas les chercher et je leur ouvrirai si bon me semble.
Tommy Angello
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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 22:55 pm    Sujet du message:
Essaye de préciser avant.

Le secret total donc. Quinze vendeurs de ciments sont venus vous livrer de quoi construire une grande piscine, la terre en trop a été jetée dans la mer et les portes de sorties ont la forme d'un rocher. La complète. Seul le NRO sais qu'il y a quelque chose dans le sol, mais ils croient à un truc militaire et ne vont pas t’emmerder. Il y a aussi les ouvriers mais ils aurons du mal à venir sans tes papiers.


Vous n'auriez peut être pas du confier le job à cet architecte avec un "diplaume de l'iniversité de Tombouctou" écrit au feutre au verso d'une pub pour les pizzas, mais vous n'aviez pas vraiment le choix et tout à l'air l'aller bien.

L'invasion commence sans vous et vous n'avez pas à vous en faire. La vague est éparse. Vous flinguez ce qui passe à portée et des cadavres de zombies sont maintenant dispersés dans les champs.

Cela fait un mois. En dehors de quelques zombies égarés, tout va bien.

La lumière de la salle qui sert à stocker les explosifs est cassée. Il y règne un noir absolu et avec la poussière qui s'est déposée sur les charges, a moins de gratter une allumette pour mieux voir, on ne peut plus lire les étiquettes. Vous avez pensé à tout et un plein carton de lampe attend de servir. En entrant, vous vous rendez compte que la pièce est humide. Ca arrive souvent dans ces pièces mal ventilées. Vous craignez que l'humidité ne nuise à l'efficacité des charges. Il est temps de remettre de l'ordre la dedans.

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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 23:35 pm    Sujet du message:
PacGirl a écrit:
En tant qu'architecte, j'ai par ailleurs au préalable fait construire un bunker [...]

Je suis l'architecte. Wink

Nous décidons dans la journée printanière (aucune humidité, ni vent, ni trop de soleil, nous sommes en Bretagne) de sortir les explosifs de la salle en faisant attention à les manipuler avec précaution (mes grands-parents ne participent donc pas, sait-on jamais). Nous les entreposons dans le jardin afin de les trier, aucun objet électronique à portée, aucune allumette. Les explosifs qui a priori sont abîmés sont placés en dehors de la limite faite par le fossé, ma mère est postée pour faire le guet avec une paire de jumelles lui permettant de repérer le moindre mouvement à plus d'un km (le repli est aisé) pendant que nous les déposons, chacun armé d'une arme blanche.

Nous fabriquons quelques absorbeurs d'humidité avec une bouteille vide, un peu de coton, une huile essentielle dont ma mère raffole et que nous avons dans la maison, un élastique et du gros sel, des produits simples que nous avons. Nous faisons en sorte de les installer de telle sorte que les bouteilles ne puissent tomber, replaçons une des ampoules et nous y remettons les explosifs en fin de journée après que le niveau d'humidité y fut moins fort.

Nous aimons lire.
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Message Posté le: Mer Mar 27, 2013 22:34 pm    Sujet du message:
Je l'aimais bien mon architecte sans papier. Sad A la surface, il peut faire beau mais sous terre, c'est toujours humide. Autrement on est dans le désert. Le béton est poreux et les membranes anti infiltrations ne font que détourner la circulation de l'eau.

Je note donc: pas de protection antistatique, pas d'explosimètre, pas de traitement des poussières, pas de bracelets de mise à la terre, les charges posées au sol...
Vous n'avez pas de vêtements en laine ou en polyester au moins? Vous avez de la chance et pas de moquette, rien ne vous saute à la figure.

Vous réussissez à faire baisser le taux d'humidité mais aux mêmes causes les mêmes effets. Une semaine après, la salle est à nouveau humide mais il y a maintenant de la lumière.

Tient, au fait, comment vous créez votre électricité?

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Message Posté le: Mer Mar 27, 2013 23:00 pm    Sujet du message:
Je propose donc au clan des forts de me suivre et à tous ceux qui seront motivés également. On va y aller par la fenêtre, pas d'autre option possible. On cache dans nos sacs le peu de bouffe qu'on trouve et un peu d'eau. Je retrouve une demie bouteille d'eau dans mon sac de boxe, pourquoi n'y avais je pas pensé avant. Je ne le dis à personne, elle sera pour ceux qui me suivront. Ceux qui restent choisissent de rester, à mon avis ils ont peu de chance de s'en sortir... Je me prépare donc à leur dire au revoir et à leur souhaiter bonne chance.

Mon plan : sortir par la fenêtre et courir sans s'arrêter. Trouver un moyen de rejoindre soit la Seine qui est à quelques minutes à pied, soit le centre commercial où je travaille qui est à 5min en voiture. Tenter de retomber par hasard sur l'ado aussi, avec un peu de chance.
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Message Posté le: Jeu Mar 28, 2013 16:39 pm    Sujet du message:
Seuls le dernier balaise et deux cousines veulent bien faire partie de l'expédition. Vous réunissez discrètement le matériel possible en esquivant menaces et objets volants et vous réunissez l'air de rien devant la fenêtre du fond avec vos sacs.
L'itinéraire de l'ado est le meilleur pour réussir à sortir sans se faire attraper par les autres.

Une fois sur l'autre balcon, la majorité de la famille est venue vous voir. On vous déb*** les aneries habituels sur le "il faut rester chez soi" et sans les écouter, vous faites une bise à distance à tout le monde. Ce n'est qu'un au revoir, c'est promis.

Le sol est dégagé. Les créatures qui se trouvent la vous observent et s’intéressent. Il n'y a qu'a se laisser tomber du balcon sur la camionnette puis de la camionnette dans la rue.
Vous sortez de la résidence décidés à suivre l'itinéraire le moins zombifié. Le destin choisira ou vous irez, et pour vous, l’occasion fait le larron.

La rue n'est pas non plus trop habitée. La plupart des créatures sont affairées au sol en petit groupe, vous préférez ne pas savoir à quoi. La rue vers la gare semble la plus facile. Vous courrez vers la gare. Les créatures se déplacent maladroitement et ne parviennent pas à maintenir le rythme. Celles qui essaient de courir se vautrent en moins de dix mètres, celles qui marchent sont lentes.
Au bout de la rue, vous apercevez un groupe compact de créatures qui bloquent l'accès aux rails. La route qui longe les rails est moyennement peuplé mais derrière vous, vos poursuivants commencent à être nombreux donc a la gare comme à la gare. Vous foncez dans la rue le long des rails et parvenez à toujours avoir au moins deux mètres entre vous et les créatures.

Vous finissez votre course dans un quartier pavillonnaire. Vous n'avez plus de souffle mais comme aucune créature n'est à proximité immédiate, vous pouvez respirer et faire le point. Vous entendez pour la première fois depuis trop longtemps le champ d'un oiseau. Il fait le bruit de la vie et de l'espoir. Vous reprenez courage et votre souffle. Tu sais que la Seine n'est plus très moins à vol d'oiseau mais il faut faire des tours et des détours dans le quartier pour y parvenir par la rue. Vous vous mettez daccord pour escalader les clôtures et couper à travers les jardins.

Première cloture:
Une grille en fer par dessus un petit muret en pierre et immédiatement suivie d'une haie dense aussi haute que la grille. Le pilier de la porte est le seul endroit ou l'on ne risque pas de se faire embrocher. Tu fait la courte échelle. Beau frère balaise passe en premier et grimpe sur le pillier. Le jardin est vide.
Il aide tes cousines, puis toi à passer.

Premier jardin:
De l'herbe mal entretenue et une balançoire pour les enfants. Les volets de la maison sont fermés.

Seconde cloture:
Un simple grillage souple fait de fils de fer recouvert d'un plastique vert qui se croisent et se recroisent. Le classique qu'on trouve partout. Le jardin derrière est vide. Vous posez un manteau par dessus et grimpez sans problème. Quand vous reprenez le manteau, le haut du grillage est tellement déformé qu'il vous arrive aux épaules.

Second jardin: Deux arbres et un potager dont les légumes sont perdus faute de soins. Les volets de la maison sont clos et il y a une cabane en préfabriqués pleine de vieux outils.

Troisième cloture: semblable à la seconde. Vous savez comment faire.

Troisième jardin: Il semble vide mais en atteignant la cloture en face, vous apercevez un monstre avec la tête dans une niche. Ses épaules sont encastrés sur l'entrée et il ne vous a pas vu. Vous continuez discrètement.

Dernière cloture: un mur de dalles de béton retenues par des piliers en béton, haut de deux mètres et pas épais. Il est couvert de mousse et glisse. Avec une courte échelle, beau frère balaise grimpe facilement dessus.

Derrière il y a environ trois mètres d'herbes et d'arbustes puis la seine. Il y a une petite embarcation au milieu et personne n'est en vue, ni vivant ni mort.
Vous faites passer vos deux cousines, puis toi et vous retrouvez face à de l'eau. C'est aussi simple qu'incroyable. Alors que vous voulez la toucher pour être sur de son existence, vous entendez des clapotis. Cinq metres à votre droite, une créature s'aide des arbustes pour se hisser hors de l'eau. A gauche, un taillis de ronces rend le passage difficile.


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Message Posté le: Ven Mar 29, 2013 14:25 pm    Sujet du message:
A beh ouai mais tu m'a fait peur avec "le sol recouvert de sang), je laisse tombé, tu m'a fais tuer bcp trop de gens.
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Message Posté le: Ven Mar 29, 2013 18:53 pm    Sujet du message:
Tout le monde dans la barque, on embarque ! Une fois que tout le monde est à bord on se met à ramer pour s'éloigner du rivage et faire un peu le point sur notre situation.
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Message Posté le: Ven Mar 29, 2013 23:37 pm    Sujet du message:
Penseur Pensif a écrit:
A beh ouai mais tu m'a fait peur avec "le sol recouvert de sang), je laisse tombé, tu m'a fais tuer bcp trop de gens.



Si tu écoute les conseils du pro aussi...

Je vois un cas dans lequel tu peux encore survivre et éventuellement faire survivre ton copain. Il va juste falloir perdre cette habitude de s'attaquer seul à un groupe de bon niveau.
Tu as tué du monde mais tu est loin d'être le seul. Pendant une invasion, ce sont des choses qui arrive. Ca ne va pas être évident de survivre à la suite mais c'est possible. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Essaye un truc pour voir.

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Sofiiiii a écrit:
Tout le monde dans la barque, on embarque ! Une fois que tout le monde est à bord on se met à ramer pour s'éloigner du rivage et faire un peu le point sur notre situation.


La barque contient 20 cm d'eau et est recouverte de mousse. Il n'y a pas de rames. A défaut d'autres issues possibles, Vous détachez la corde pourrie qui la relie au rivage et poussez le rivage du pied.
Vos jambes sont maintenant trempées et vous êtes définitivement rassurés sur la réalité de l'eau.


En s'aidant des mains vous parvenez à maneuvrer lentement mais surement. Une cousine est chargée d'écoper l'eau avec sa chaussure. Alors que vous progressez vers le centre de la rivière, vous vous sentez dériver. Le courant n'est pas fort mais il vous porte.

L'écopage ne marche pas et le niveau de l'eau semble monter. Comme vous vous êtes éloigné du zombie, vous décidez donc de revenir sur le rivage en ne cherchant pas à lutter contre le courant. Cela ne marche pas bien.

Une bonne heure après, vous y êtes parvenus. Vous êtes un peu en aval de votre point de départ, devant une sorte de port industriel surement proche d'une zone urbaine. Aucune forme de vie n'est en vue. L'air est nauséabond mais vous parvenez à apprécier le vent souffler sur vos vissages.
Il vous faut une petite demi heure pour essorer les pantalons, chaussettes et "sécher" les chaussures. le reste de vos vêtements sont couvert de crasse. La barque est pleine d'eau. Elle peut encore servir à des traversées si on la vide avant, mais surement pas à des grands voyages.


Il est midi passé, vous voulez passer le reste de la journée assis sur l'herbe à écouter couler l'eau mais ce n'est surement pas une bonne idée. Il vous faudra deux ou trois heures pour rentrer et vous n'avez toujours rien à ramener.

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Message Posté le: Dim Mar 31, 2013 20:13 pm    Sujet du message:
On planque la barque au pied de quelques arbres près du rivage et on part en expédition vers le port industriel. Nous partons donc visiter la zone en restant très prudents et silencieux. Nous allons tenter de trouver quelques vêtements de rechange, de quoi boire et manger et pourquoi pas quelques survivants.
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Message Posté le: Dim Mar 31, 2013 21:46 pm    Sujet du message:
Le port industriel n'est pas grand. Quelques murs en béton forment des réserves dédiées à toutes sortes de gravats, sables, terres, minéraux... Un grand nombre de camions sont garés sans ordre apparent, certains ont leur porte encore ouverte. Des cannettes de bières et du grignotage sucré dedans. Aucun n'a de diesel. Une grue face à un vraquier fait un bon point d'observation. La grue a manifestement servi de dernier refuge à une dame et ca ne semble pas lui avoir porté chance: les éclats de son cadavre sont mélangés à ceux de son poursuivant. Vous grimpez et ne voyez que des immeubles, au loin la capitale, profond dans la ville, ce qui ressemble à un fort de Vauban. Des passants déambulent au millieu des rues. Il y a un pont de chaque coté du port et il y a du mouvement sur l'un d'eux.

Dans un bâtiment en préfabriqué vous trouvez les vestiaires et la salle de repos. Vous faites le tri de ce qui peut vous servir et placez au milieu de la salle une combinaison de chantier, robuste et voyante, de la taille du beau frère, des gants, casques et chaussures de sécurité, un paquet de café et un grand nombre de bouteille d'eau minérale bon marché en paquets de 6*1,5l.

vous placez autant de bouteilles que possible dans vos sacs. Ca fait lourd mais c'est le poids de la vie. Pour ne pas aller tout de suite dans la rue, vous continuez de fouiller le chantier. Derrière un hangar, vous trouvez toute sortes d'engins de manutention (vous n'avez pas les clés) et trois créatures allongés, visiblement endommagées. Vous les approchez prudemment et tapez dedans avec une perche. Elles ont l'air "désactivée". Dans le hangar, vous trouvez des machines en réparations, un groupe électrogène au fioul et de bons gros outils de mécanique gros comme le bras.

Armés de clés à molettes gigantesques, vous sortez. Il y a du mouvement dans la rue. Un groupe de zombis empêtrés dans un filet se démènent pour progresser au loin. D’après le bruit de fond, vous estimez qu'il y a "pas mal" de zombis dans les rues. Alors que vous débattez sur la suite des événements, un son rauque et proche vous remet d'aplomb. Trois zombies sont au milieu du port et vous ont vus.

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Message Posté le: Mer Avr 03, 2013 17:39 pm    Sujet du message:
On s'organise pour se planquer dans la pièce où nous sommes et on prévoit de cogner les 3 zombies avec nos outils énormes. A 3 qui marchent de travers contre 4 fatigués mais surmotivés on devrait s'en sortir. Ensuite on prévoira de filer d'ici.
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Message Posté le: Sam Avr 06, 2013 22:33 pm    Sujet du message:
Drôle de scène. Dans l’atelier, ceux qui vivent vont utiliser les morceaux des machines pour faire face à ceux qui sont morts. Les règles sont simples. Une porte ouverte. Trois morts marchent dans la lumière du soleil, vers l'ombre où se trouvent quatre vivants et leurs outils. Le fort en face, les cousines sur les cotés toi en couverture. Tout ce qui rentrera sera broyé. Voila les adversaires.

Le chant des morts vous perce les oreilles. Deux créatures veulent entrer à la fois par la porte. elles se gênent, se tirent l'une l'autre. Elles veulent entrer la première au magasin le jour des soldes. Vous êtes la solde. Elles hurlent et se mordent. Dans un élan elles s’écroulent, masse grouillante rampant vers vous.

La dernière créature fixe l'homme, séparé de vous par les deux autres. La créature bondit d'un geste sur et agile, marche sur les autres et s’étale. Elle regarde l'homme à sa portée. L'homme prend son élan et son inspiration, lève l'outil à travers les airs, il hurle à son tour toute la rage de ses entrailles. Il vois le sang dans l'appartement, il entend son oncle, il sent la moiteur des créatures, il hurle sa rage et abat sa fureur.

Le coup est éclatant. L'outil a frappé le crane de la bête, de haut en bas il l'a traversé. Le crâne est toujours entier autour de l'outil. La main de la bête attrape le manche comme pour s'en défaire. Ce n'est pas fini. La pièce est prisonnière de la mort. Que peut l'homme si le fer ne peut vaincre la violence primale? Vous ne pourrez jamais frapper plus fort encore et la créature vit toujours. Elle tressaute et racle le sol. Elle veut se relever. Les deux autres le sont.

Elles ne se concurrencent plus car chacune à trouvé sa chacune. La fuite est la seule solution. L'une se déplace vers une place vide et l'homme saute sur l'autre. Il n'est plus question de vie ou de mort. C'est maintenant une abeille écrasée dans une main qui doit choisir entre piquer ou non l'objet de sa destruction. Celui qui ira le plus loin aura le droit de voir la destruction de l'autre.

Tu te souviens de ton rôle. C’était ton choix. L'appartement. La sortie. Le fleuve. L'atelier. Tes responsabilités. Tu entre sur la scène. Tes pas gagnent en amplitude. Tu vole vers la folie de ce monde, touche terre à un pas du monstre et de la créature et transmet l'élan à ton outil pour frapper le plus fort ce que tu crois être l'autre. Le coup est éclatant. la masse des corps roule. Tu vois maintenant ton beau frère au sol. Il tient la créature à distance de se dernières forces. Il tient sa tête. En l'air. Devant toi. Il veut parler mais le cri des morts couvre son message. Tu lève l'outil dans le vent. Tu te souviens de ce qu'il était un instant avant. C'est toi maintenant. Tu sens la force oubliée dans tes entrailles. Elle agite ton ventre, renforce ton bras et nettoie ton oeil. Tu hurle à ton tour.

Le coup est fracassant. Il entraine le corps de la créature avec lui. Les corps de l'homme et de la bête reposent maintenant en paix l'un contre l'autre. Il expire, elle stagne. La vérité te revient d'un coup: il y en a encore une, une autre au sol. Tu te retourne pour ne voir qu'une de tes cousines, accrochée au dos de la créature. Elle l'étrangle de son outil. Tu ne sais pas comment elle a fait mais elle l'a fait. Il faut l'aider. Ils sont au sol, gigotent trop. Il faut les immobiliser. Tu n'y parvient pas. Elle t’accroche veut te mordre. Tu est maintenant dans la lutte. A deux, vous gardez vos distance avec la mâchoire. Vous la plaquez. Ses secousses vous soulèvent et la gravité vous fait plonger. Tu te sens comme un grain de sable dans une tempête. Si tu la lache, elle ne sera plus stabilisée. Si tu la garde, tu fatigueras. L'autre cousin est partie. Il n'y a pas d'issues.

Le coup est explosif. L'étreinte se lâche. Tu lève le visage vers le ciel pour apercevoir ton beau frère. Debout. Il vous relève.

La créature de la porte ne fait que des tressauts, les deux autres sont "parties". Tu est griffée. Il est en sang. Elle est en sueur. Vous êtes en vie, mais ou est la dernière? La fenêtre est ouverte. Vous ne la voyez pas.

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Message Posté le: Mar Avr 09, 2013 21:15 pm    Sujet du message:
On s'essuie, on boit un coup et on bouge d'ici. L'autre créature s'est surement planquée, maintenant il faut changer d'endroit pour tenter de se reposer un petit peu.
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Message Posté le: Mar Avr 09, 2013 21:35 pm    Sujet du message:
J'ai mal précisé: une cousine est partie par la fenêtre pendant la baston.
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Message Posté le: Mer Avr 10, 2013 17:27 pm    Sujet du message:
Bon donc on s'essuie, on boit en vitesse et on se démerde pour partir à sa recherche. On ne peut pas crier son nom sinon on risque de se faire repérer. J'espère qu'elle s'est planquée quelque part et qu'elle nous attend, j'ai pas tellement envie de partir sans elle la pauvre.
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Message Posté le: Jeu Avr 11, 2013 09:04 am    Sujet du message:
Pour vous donner de l inspiration et surtout un peu d entrainement avant la reelle attaque Zombie, voici une ecole qui vous prepare a vous defendre:

Comment se préparer à une invasion de zombies ?

Une société américaine crée des "mannequins-cibles de tirs" pour s'entraîner avant l'attaque. Une incitation au meurtre, pour certains.

Nous allons tous prochainement mourir, submergés par une invasion de morts-vivants ! Surfant sur le buzz de la zombie-mania, c'est en tout cas ce qu'annonce l'entreprise Zombie Industries. La société américaine crée et vend en ligne des "mannequins-cibles de tirs" réalistes, représentant des zombies destinés à être exterminés grâce à des carabines. Car, après tout, l'unique espoir de survivre à l'attaque imminente reste l'entraînement, d'où l'utilité vitale de se procurer un de ces mannequins qui saignent et éclatent en morceaux sous l'impact des balles. Prévenante, l'entreprise pousse le vice jusqu'à répertorier la présence des revenants sur une carte des États-Unis.
Le sérieux de la description de l'invasion, censée "aider les militaires, les forces de l'ordre et les équipes d'intervention civiles à travers le pays, pour comprendre toute la portée de l'attaque", peut, au choix, faire froid dans le dos ou prêter à rire.
Tirez sur votre ex...
Mais c'est sur un autre terrain que l'entreprise a suscité une intense polémique. Des internautes ont considéré que certains modèles étaient de véritables invitations à la haine. L'ex-girlfriend,notamment, a déclenché l'ire des féministes. L'ex est en effet vendue avec un teaser d'un goût douteux : "Attention, l'enfer est plus doux que la fureur d'une femme humiliée, mais redoutez aussi celle d'un homme méprisé !" Une invitation à se défouler en mutilant la cible dont on peut choisir la couleur de cheveux. D'où des commentaires explicites : "J'aime que la cible ressemble à Britney Spears et qu'elle saigne" ou encore "celle aux cheveux foncés ressemble à mon ex-femme, j'ai hâte de la massacrer".

L'entreprise se défend en rappelant qu'il ne s'agit que d'un "monstre fictif". Pis, s'insurge Zombie Industries, "ne pas représenter les femmes dans leur gamme de produits serait tout simplement sexiste". Et, comme un ultime pied de nez, la société propose 50 % de réduction sur les mannequins "en l'honneur de toutes les femmes". Rappelons quand même que, l'année dernière, un Américain a tiré dans le dos de sa petite amie qui refusait de croire qu'une attaque de zombies était possible.
... ou dégommez un terroriste
Et que dire du "zombie terroriste". Barbu et vêtu d'une "robe beige", il est censé incarner un zombie islamiste juste après la mort d'Oussama Ben Laden. Le concept fait un tabac dans les commentaires : "C'est trop bien, c'est comme si je tuais Oussama", "ce produit est génial, tuons le zombie Oussama". D'autres témoignent : "C'est génial pour ceux d'entre nous qui veulent ressentir la satisfaction d'avoir tué un terroriste..."
Zombie Industries supprime les commentaires qu'elle estime abusifs. Ainsi, ce "J'ai beaucoup aimé utiliser ce mannequin avant de partir en Afghanistan, c'était fun. Maintenant, c'est l'heure pour moi de tirer sur des talibans" a disparu de leur site. L'entreprise se barricade derrière la formule d'usage : "Toute ressemblance avec des personnes réelles (vivantes ou mortes) serait purement fortuite."



DONC MOI JE VAIS M ENTRAINER D ABORD ET JE REVIENS VERS VOUS PRETE POUR LE DERNIER COMBAT FINAL !!!
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Message Posté le: Sam Avr 13, 2013 23:20 pm    Sujet du message:
Ils vendent que les cibles? Ca n'a aucun aspect pratique ou technique, c'est juste pour avoir l'impression de défoncer des gens connus. Chaez les libéraux, les psycos sont des clients comme les autres. Enjoy your freedom.

Vous sortez de la baraque après vous être débarbouillé. Personne n'a de blessures grave mais il faudra économiser le balaise. Vous fouillez la zone et la retrouvez roulée en boule dans un tas de ferraille en train de pleurer. Vous ne parvenez pas à la faire se ressaisir et à lui faire reprendre la route. Vous avez le choix entre la méthode forte ou passer une heure à la rassurer et vous n'avez pas une heure devant vous.

Trois paires de baffes plus tard, elle est toujours en larmes mais elle veux bien se forcer à continuer. Vous observez la rue discrètement. Il y a quelques zombies dispersés en petits groupes et ne font pas vraiment attention à ce qui se passe. La rue principale longe les quais et une rue s'enfonce dans la ville. Tous les bâtiments sont de la friche industrielle a part un immeuble de bureau flambant neuf.

Que fais tu?

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MarieCecile81
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Message Posté le: Lun Juin 24, 2013 04:48 am    Sujet du message:
Petit test pour voir vos chances de survie Smile

http://uk.movies.yahoo.com/movie/world-war-z/would-you-survive -a-global-disaster-survival-survey/

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