Vos chances de survie en millieu zombie


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Message Posté le: Ven Mar 22, 2013 16:09 pm    Sujet du message:
Ce n'est pas grave si je me joins a l'aventure mtn ? En partant du début ?

Bon, si non tant pis, si oui ;

Citation:
Comment allez vous faire pour survivre à cette horreur?


Tout d'abord je possède (oui je sais c'est grave), une armure et une épée fabriqué par mes soins (l'armure c'est pas vrai, j'en ai une mais c'est pas moi qui l'ai fait, et l'épée par contre c'est vrai). Je revêts donc cet équipement, certe un peu lourd mais trés protecteur. L'épée n'est pas forcément trés bonne mais elle coupe, c'est le principal pour ce défendre. Je pars avec mon meilleur ami qui possède lui un fusil.On défendra donc un lopin de terre que je possède au-dessus chez moi avec un mazet aménagé. (tout ce que je dis pour l'instant est réel). Dans ce mazet il y a un poil pour ce chauffer, des outils d'agriculture, peut etre quelque semence sinon je sais ou en chercher. Ensuite de faire pousser de quoi vivre, chasser les animaux du coin (sanglier), sans jamais s'approcher des villes (la plus proches est a 60 km). Le but serait de trouver, ou de ce faire contacter par des gens pour reformer un groupe de combattant pour défendre et ensuite attaquer les troupes zombies.
Tommy Angello
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Message Posté le: Ven Mar 22, 2013 17:23 pm    Sujet du message:
Les gros problèmes avec les armures:
-on vois rien
-on respire l'air qui est dans le casque, pas celui de dehors
-bling clong glang
-un faible bonus max de dex
-on est fatigué le matin si on dors avec.

Pour faire l'histoire, j'ai besoin de savoir:

Si tu met ton casque, en passant ta main devant ton visage, jusqu’où est que tu ne la vois pas? Est qu'un mec arrivé au contact et encore vivant peut saisir ton armure ?
Quelle est la taille de la ville? Combien il y a de fenêtres, d'étages? Parle moi de la porte.
Combien de nourriture peut tu emmener? Est que tu as un (ou deux) point d'eau? Du bois à couper pour se chauffer?

Est que tu est SUR de l'hétérosexualité de ton pote?


alley une fois, je commence:

Après avoir laissé derrière vous le monde qui se dit encore civilisé, vous vous installez. La baraque n'est pas grande mais il y a ce qu'il faut. Vous suivez les actualité sur une petite télé portative alimentée par le groupe électrogène de ton pote.

La chasse ne donne pas grand chose, quelques canard ici et la, mais rien d'imposant. Vous essayez de poser des collets et vous les améliorez sans cesse.

C'est la bonne période pour planter du maïs, trop tard pour le blé. Vous pensez qu'un champ principal de maïs et des petites plantations variées en complément sera la meilleure plantation possible vu votre situation. Vous découvrez aussi les joies des damnés de la terre. Vous pensez à vos ancètres.

Le temps passe.

Un matin, vous trouvez des zombies dans le champ. Peu nombreux, ils marchent tous vers l'est. Vous restez caché le temps qu'ils partent mais d'autres les suivent. Puis d'autres. Puis encore d'autres.
La vague n'est pas très dense là ou vous êtes, mais elle est large.

Après deux jours, il semble ne plus y avoir de vie dans le paysage. Vous sortez prudemment et reprenez vos activités habituelles sans vous presser. Un des collet à attrapé un lapin, mais c'est le renard qui en a profité. Ou un zombie.

Le temps continue de passer. Les zombies sont toujours seuls, loin, visibles, isolés. Vous découpez ceux qui s'approchent des champs pour vous faire la main. Les épées sont cools. Vous avez entendu des tirs dans la foret, plusieurs fois. Probablement d'autres chasseurs. Vous avez aussi trouvé un sanglier qui a visiblement chargé un zombie mais qui s'est fait bouffer.

Cela fait six semaines. Le maïs ne pousse pas encore. Vous économisez vos réserves avec la chasse.

Ton ami à mal à une dent. Elle est entamée par une carie et il faut soigner.

Que fais tu?

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Message Posté le: Ven Mar 22, 2013 19:41 pm    Sujet du message:
Beh non le casque est ouvert, genre casque hellénique du 3ième siecle.

C'est vrai que l'armure c'est un peu encombrant, mais je l'aime bien. Puis au moins moins de risque de morsure !

Taille de la ville ? beh c'est Monpellier, ou Nimes.

Je peux emmener je pense pour aller... 5 semaine de bouf dans mon mazet (beh il fait 4 m de haut sur 5 de long pour 3 de large). Oui j'ai du bois, Il y a un ruisseau qui coure a coté du pré et deux point d'eau qui ne tarisse jamais et aussi deux sources un peu caché.

Alors aprés ormis le fait que :

- Il y a bcp de sanglier par là ou je vis, en fait il y en bcp trop ! Par contre y a pas bcp de canard
- Il y a pas mal de baies autour de mon pré, entre autre des prunes, du raisin, des asperges...
- comment on chope une carrie sans manger du sucre ?

Aller je reprends donc;

Je soigne la carrie grace a un clou que j'ai au préalable stérilisé au feu, j'enleve le gros de la caries, puis je fais mâcher a mon ami des herbes aseptisante, du sel et un peu de cendre pour éviter toute infection (tu sais pas a qui t'a affaire MdJ). Je lui annonce aussi que si ca suffit pas je vais devoir lui arracher la dent pour éviter toute infection. Je me met en quete aussi de pénicilline au cas ou. Pour ca j'ai besoin de faire du pain, et donc de trouver de la farine. Je fabrique, pour éviter d'autre désagrément, grace a des poils de sanglier, une petite brosse a dent. Pour le savon/dentifrice ce sont des zest de citron, de la cendre, de l'argile et un peu de graisse de sanglier mélanger.
Le mais ne pousse toujours pas mais qu'importe on est donc au moins de juin et les cerises [a beh j'ai rien dis pour le sucre] commence a apparaitre, la chasse est toujours bonne. Grace au cuir récolté on peut ce fabriquer des protections, des couvertures. On a aussi confectionner un arc grace au bois, et moi je forge a l'occasion des ustensiles, on prend le fer autour de nous, j'ai toute une caisse remplie de vieux outils inutilisable.
On commence, grace a nos équipements a commencer a chercher comment faire pour ramener des gens vers nous pour créer une force capable de se battre.
Grace a de l'engrais que j'ai (oui je n'invente vraiment pas) je fais pousser bcp de pissenlit, ainsi que des poireaux.
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Message Posté le: Ven Mar 22, 2013 20:53 pm    Sujet du message:
Penseur Pensif a écrit:
Beh non le casque est ouvert, genre casque hellénique du 3ième siecle.

C'est vrai que l'armure c'est un peu encombrant, mais je l'aime bien. Puis au moins moins de risque de morsure !

Taille de la ville ? beh c'est Monpellier, ou Nimes.

Je peux emmener je pense pour aller... 5 semaine de bouf dans mon mazet (beh il fait 4 m de haut sur 5 de long pour 3 de large). Oui j'ai du bois, Il y a un ruisseau qui coure a coté du pré et deux point d'eau qui ne tarisse jamais et aussi deux sources un peu caché.

Alors aprés ormis le fait que :

- Il y a bcp de sanglier par là ou je vis, en fait il y en bcp trop ! Par contre y a pas bcp de canard
- Il y a pas mal de baies autour de mon pré, entre autre des prunes, du raisin, des asperges...
- comment on chope une carrie sans manger du sucre ?

Aller je reprends donc;

Je soigne la carrie grace a un clou que j'ai au préalable stérilisé au feu, j'enleve le gros de la caries, puis je fais mâcher a mon ami des herbes aseptisante, du sel et un peu de cendre pour éviter toute infection (tu sais pas a qui t'a affaire MdJ). Je lui annonce aussi que si ca suffit pas je vais devoir lui arracher la dent pour éviter toute infection. Je me met en quete aussi de pénicilline au cas ou. Pour ca j'ai besoin de faire du pain, et donc de trouver de la farine. Je fabrique, pour éviter d'autre désagrément, grace a des poils de sanglier, une petite brosse a dent. Pour le savon/dentifrice ce sont des zest de citron, de la cendre, de l'argile et un peu de graisse de sanglier mélanger.
Le mais ne pousse toujours pas mais qu'importe on est donc au moins de juin et les cerises [a beh j'ai rien dis pour le sucre] commence a apparaitre, la chasse est toujours bonne. Grace au cuir récolté on peut ce fabriquer des protections, des couvertures. On a aussi confectionner un arc grace au bois, et moi je forge a l'occasion des ustensiles, on prend le fer autour de nous, j'ai toute une caisse remplie de vieux outils inutilisable.
On commence, grace a nos équipements a commencer a chercher comment faire pour ramener des gens vers nous pour créer une force capable de se battre.
Grace a de l'engrais que j'ai (oui je n'invente vraiment pas) je fais pousser bcp de pissenlit, ainsi que des poireaux.


Ok, j'avoue que je m’attendait à la tenaille rouillée qui arrache la moitié de la bouche, fout un plein sceau de sang partout et butte ton pote deux jours après. La viande est pire que le sucre pour les caries: on s'en coince entre les dents et ca reste longtemps. Et une carrie met du temps à murir. Il l'avait bien avant l'invasion.
Nous sommes dans 2+6=8 semaines, soit en mai. Vous avez pensé aux brosses à dents et vetements de rechanges, mais un peu de bricolage ne fait jamais de mal. Et puis ca peut servir pour après.

Tu parviens à soigner sa carie, il se rétabli vite et il a maintenant une armure en cuir de sanglier. Ca protège mal contre les épées mais bien contre les dents.

Au cours de la semaine suivante, vous trouvez le cadavre d'un voyageur mort. Il n'a pas été mangé mais ses affaires sont dispersées autour de lui. Vous ne trouvez rien d’intéressant. En revantant d'une chasse au sanglier fructueuse, vous voyez de l'agitation autour de votre mazet. Ils sont encore en vie. Vous êtes toujours sous le couvert des arbres.

Que faites vous?

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Message Posté le: Ven Mar 22, 2013 23:06 pm    Sujet du message:
A oui dsl pour juin, mais en meme fin mai il me semble qu'il y a quand meme les début des cerises... je peux me tromper hein...

Pöur les carie une question d'acidité buccal qui rentre en jeux, de la viande coincé qui moisit ca donne une haleine de chacal mais pas de pblm de carie, mais tu as parfaitement raison, il a du la choper avant (minimum deux semaines).

Qui ca "Ils [sont encore en vie]" ?
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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 09:12 am    Sujet du message:
Des survivants sont autour de te maison et semblent la fouiller. Ils ne t'ont pas encore vu et ont l'air organisés.
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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 13:31 pm    Sujet du message:
Comme on est caché dans les bois ca nous permet de réfléchir, il est vrai qu'on peut rentrer facilement dans cette bicoque. On est pas vraiment armée pour faire face a un groupe, donc il va falloir qu'on leur inspire autant de peur que de confiance dans notre force. En meme temps si on pouvait les rallier a notre cause... en plus il y a un chef assez fort, qu'il va falloir mater.

On commence donc a échafauder un plan, comme on est équipé on a l'avantage d'etre protéger, en plus ce ne sont pas gens du coin, on ne connait personne dans ces rangs. Mon ami fait le tour par la foret en restant a couvert, pdt que moi j'attends qu'il soit placé. Dès que c'est le cas je sors de ma cachette et me dirige vers, toute armes rangées, et casque enlevé. Il ne m'ont pas encore remarquer alors je les appelles. Aussitôt ils regardent tous dans ma direction, je les appèlles, il se détachent, en deux groupes, ils doivent etre une dizaine. 5 ce dirige vers, et 5 autre reste avec le chef en retrait.

Il n'ont pas l'air armé, en tout cas rien de dangereux comme des armes a feu. Sauf le chef qui a un révolver plus qu'ostensible. Dès qu'il arrivent a ma hauteur, sans attendre je les salue poliment. Il n'ont pas l'air trés agressif, juste affamé, (ce qui rend asez agressif). Je leur explique que j'ai de la nourriture et sais comment m'en procurer mais qu'il faut qu'il arrete de saccager le mazet sinon on ne pourra plus etre protéger. L'armure les a quand meme impressionné, c'était le but recherche et aucun d'eux ne semble etre près a ce battre. Il appelle donc leur chef qui vient vers nous. J'arrive a rapidement cerné la personnalité de ce dernier, en gros il est pas trés intelligent mais fort, il a sauvé la vie a plusieurs d'entre eux donc on ne pourra pas prendre sa place, il lui sont trop loyal. Pdt que le second groupe parle avec moi de nourriture, mon ami, discrètement fait le tour de la bicoque, rentre dedans et la referme complètement.
Je vais devoir maintenant les inciter a me laisser parler avec leur chef seul. Ca prend un moment et je suis obligé de laisser mes armes a coté de moi mais je peux finalement lui parler. Je lui explique la situation global la ou on est, lui demande d'ou il vient, aprés de longue tractation j'arrive enfin a le rallier a notre cause mais je sens que ca ne vas pas etre gagné d'avance.

L'ambiance s'échauffe un peu quand il se rende compte que le mazet est fermé, mais tout s’apaise quand je dis a mon ami d'ouvrir. Son unique but était de cacher des outils, outils sans lesquels on aurait était bien emmerder (marteau, couteau, etc..). Les deux groupe se rejoignent donc pour un soir, je leur offre un arcs et une lame grossièrement facturé. Apparemment le contact est passé.
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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 14:16 pm    Sujet du message:
Hé, ho, c'est moi qui dit ce qu'ils ont sur eux! Et puis ils sont pas si cons que ça: il y avais des guetteurs cachés à la lisière de la foret. Au cas ou tu demanderais, ils ont des talkies avec écouteurs.

Ton ami est passé devant sans le voir mais il s'est fait suivre de loin. Tu n'étais pas encore à découvert qu'ils savaient que quelque chose se passait. Ils l'ont cru seul et l'on juste fait surveiller. Quand tu sors des bois, ils comprennent que vous avez planifié quelque chose. Ils ne vous croient pas nombreux mais vous êtes peut être copain avec d'autres types comme vous des environs. Un groupe viens vers toi en marchant rapidement.

Ceux que tu rencontre sont propres, on du matériel sommaire mais bien entretenu. Ils comprennent que tu viens discuter et n'ont rien à gagner à se battre encore une fois. Tout le groupe se réunit. Le temps qu'ils viennent, tu remarque que vous vous tenez au seul endroit des environs dont le terrain soit assez accidenté pour s'y protéger des tirs.

Tu rencontre cellui qui semble être le chef. C'est un colosse qui semble être capable de couper un tronc d'arbre en tapant dessus avec les poings. Sa poignée de main tord ton armure. Tu entame la discussion. Ce n'est pas une lumière mais il sais ce qu'il veux. Tu entend ses hommes discuter et tu comprend qu'il est tetu comme une brique. Ca va pas être facile.

Ton ami sors de la foret, se glisse entre les hautes herbes et fille droit sur la maison. Un homme est caché à proximité dans les herbes, le guet le surveille. Il rentre et referme la porte derrière lui. Ils craignent une surprise du genre mitrailleuse mais peuvent s’abriter et neutraliser le tir. (je n'ai pas dit qu'ils ont des armes hein).

Tu propose au chef de rentrer seul avec toi et il te propose de retourner à la maison, que tu lui montre tout ce dont tu lui a parlé. Les hommes restent derrière. Deux vont vers la foret. Le chef marche à ta gauche et tu remarque que tu pourrais prendre son arme par surprise.

Il acceptent ton idée de faire groupe tous ensemble, mais refuse d'être statique. Il est obligé de parcourir la campagne et change de sujet quand tu lui demande pourquoi.

Tu le laisse entrer et vous continuez la discussion. Trois autres hommes rentrent, pas de nouvelle des autres. A force de tractation, le soir tombe et vous finissez la soirée ensemble.

Le lendemain matin, il vont partir et il faut faire un choix. Ils refusent poliment tes cadeaux, mais te propose du commerce. Ils ont un purificateur d'eau, des materieux diverses et peuvent te procurer toute sorte de choses. Il ne peuvent pas te donner de matériel radio ou de choses trop précieuses mais te proposent du véritable matériel d'agriculture, voire un animal pour tirer une charrue qu'ils peuvent aussi te fournir. Ils ne peuvent fournir cela contre la participation d'une personne à leur expédition.


Que fais tu?

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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 17:42 pm    Sujet du message:
Je leur demande de me balancer la tringle, je m'en servirai comme arme. Nous tentons l'escalier, celui qui a la tringle entre les mains passe en premier et défonce tout ce qui bouge. Je prie.
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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 19:08 pm    Sujet du message:
Sofiiiii a écrit:
Je leur demande de me balancer la tringle, je m'en servirai comme arme. Nous tentons l'escalier, celui qui a la tringle entre les mains passe en premier et défonce tout ce qui bouge. Je prie.



Vous faites votre chemin jusqu'au hall d'entrée. L'ado refuse d'y retourner. Il reste sur sa camionnette, un créature se dirige vers lui. Tout le monde lui crie dessus ce qui couvre ses explications. Vous n'arrivez pas à le convaincre et vous ne pouvez plus rester.

Il y a un zombie avec une main coincée dans une boite aux lettres un reste de cadavre vrombissant de mouches au milieu du chemin et une croix peinte en rouge sur un mur. Tu retient ta respiration et saute par dessus les restes. Ton cousin ne peut pas en faire autant.

Avec la tringle tu arrive à détourner l'attention du zombie coincé et ils peuvent contourner le cadavre. Il y a une créature à la porte d'entrée.

Vous grimpez le plus vite possible. Premier étage: toutes les portes ouvertes et trois créatures en vue. Il vous est seulement possible de rentrer dans le premier appartement au plus vite sans savoir ce qu'il y a dedant. Ce n'est plus le moment de discuter.

Vous êtes à bout de souffle, il y a une créature dans l'appart, deux autres vous suivent et le dernier ne doit pas être loin. Tu pousse le zombie avec la tringle, il se ramasse, Ton oncle lache ton cousin et lui plaque une chaise dessus, puis monte sur la chaise. Il organise tout. Tu tient ton cousin et vous attirez les deux monstres dans la pièce. Sensation de déjà vu. Tour de la table. Sortir. La dernière créature. Un coup de tringle la repousse mais elle agrippe la tringle. Pas perdre de temps. On monte.

Ton étage. Plus d'air. Fatigué. Le monstre est en train de frotter le mur en face de vous avec le dos de sa main. Il le regarde pas. En silence vous vous approchez. La porte s’entrouvre, ce qui fait un petit bruit. La créature se retourne. Tu fonce avec ton cousin dans l'appart et la créature n'a que le temps de s’aplatir derrière toi. Ton oncle est derrière. Le chemin est bloqué.

La créature regarde dans l'appart et s'approche de la porte. Cris. On claque la porte. Quand vous rentrez dans l'appart tout le monde semble content de votre retour, mais vous sentez de la déception. Tout est en désordre, plusieurs draps sont en lambeaux et une autre corde de trois mètres est déjà construite. Les meubles de la porte sont renversés et abimés. Pendant un moment, tu avais oublié l'odeur de la pièce. Bon dieu, ça sentais meilleur dans le hall.


Une femme regarde au judas pour voir ce qu'il de passe. Ton oncle rentre dans l'appart en face. La créature le suis. Il ne se passe plus rien. Quelques petits bruits. Ton oncle crie.

Tu est a bout de force, tes jambes ne te portent plus et il te faut un nouveau pantalon. C'est au tour des autres. Les autres, ils sont comme toi: ils veulent rester dedans. Ca s'engeule encore. On demande aux "forts qui eux ont une chance de survie" à quoi ils servent. Ton oncle réapparait. Il a le bras et le coté gravement blésé. Discussion.

Vous avez tous entendu ce qu'a dit l'armée à la radio. Vous savez que c'est foutu. Il bourrine la porte. On remet les meubles en place et ça s’engueule. On en viens au mains. Ton oncle hurle si fort que tu as mal à la tête. Ils font se taire tout le monde.


Les cris sont de moins en moins forts. Ils sont remplacés par des grincements, des bruits de rideaux déchirés et de mastication.


L'ambiance reprend et on vous explique la situation. Pendant que tout le monde était aux fenêtres, le niveau de l'eau dans la bassine de la cuisine à baissé de plusieurs centimètres. On ne sais pas qui a pu faire ça, mais plusieurs personnes sont désignées comme pouvant être le coupable. Au fait, l'ado est parti en courant et a esquivé les zombies sans aucune difficulté.

Tout le monde se remet à se crier dessus. Les "forts" sont groupés autour du canapés et prennent la défense d'un des leurs accusé, disent ils, à tord. Tu te sens trop lasse pour intervenir. Au bout d'une demi heure, une sorte de parodie de tribunal est mis en place. un viellard qui est résté discret tout le temps est contraint sous la menace de devenir juge. Il y a plus d'avocats que d'audience et tout le monde parle en même temps. La seule chose sur laquelle tout le onde tombe d'accord (saus les accusés) est la sentence, pas d'eau le lendemain. Les tentatives pour accuser l'ado ne fonctionnent pas.

Finalement, au soir, c'est un petit jeune qui a eu le malheur de se fâcher avec tout le monde qui est reconnu coupable. Il proteste que c'est une condamnation à mort mais tout le monde est contre lui.

A defaut d'eau, certain finissent la journée en buvant de l'alcool. On leur dit que la dégradation de l’alcool dans le corps consomme de l'eau et ils répondent de se taire.

En regardant par le judas, on apercois trois créatures qui se partagent ton oncle. La nuit est agitée. A la faveur de la nuit, un homme tente de sortir par la fenêtre. On le retient de force, et après un jugement éclair, on vide un placard, on le jette dedans et on met une commode devant. On lui donneras de l'eau demain.


La nuit se termine mal. Il fait chaud. Il y en a qui tousse. Personne ne dors.

Il reste deux jours d'eau. Il y a cinq malades. Ceux qui ont bu de l'alcool sont mal en point et boivent trop vite leur eau. Les anciens fumeurs sont encore plus irritable que les autres et demandent une sortie en force. Un enfant vomi son petit déjeuner et vous nettoyez au sopalin. Il semble qu'il va pleuvoir aujourd’hui. Dehors, des zombies sont attroupés autour de votre porte d'entrée.

Que fais tu?


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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 20:34 pm    Sujet du message:
Comme jamais je ne laisserais mon meilleur ami et lui de meme nous rejoignons le groupe, partageant nos ressource et nos équipement sauf nos armes. Le but serait de partir avec eux puis essayer de les influer pour prendre la place de leur chef, pour ensuite diriger tout ca, ou influer le chef pour arriver a chercher d'autre personne et créer une force tangible.
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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 22:05 pm    Sujet du message:
Penseur Pensif a écrit:
Comme jamais je ne laisserais mon meilleur ami et lui de meme nous rejoignons le groupe, partageant nos ressource et nos équipement sauf nos armes. Le but serait de partir avec eux puis essayer de les influer pour prendre la place de leur chef, pour ensuite diriger tout ca, ou influer le chef pour arriver a chercher d'autre personne et créer une force tangible.


Vous emballez les affaires les plus indispensables, leur donnez toute la nourriture disponible et partez avec eux.
Vous rejoignez le reste de la troupe à la lisière de la foret. L'un d'eux, qui se tient seul, ne vous apprécie pas. Il n’apprécie rien. Votre arrivée le fache. Il dit qu'il faut faire des petits groupe et qu'on va juste s'attirer des emmerdes. On essaie, l'air lassé de le raisonner mais il dit ses quatre vérités à tout le monde, ramasse son fatra et fout le camp. Vous savez maintenant qu'un des gars est un meurtrier, que la nana du groupe écarte si souvent les jambes que ça fait du vent, qu'un mec ne sert à rien et qu'un autre casse tout ce qu'il touche, surtout quand c'est aux autres.

Pendant la première journée de voyage, vous apprenez bien des choses.
Pour commencer, ils sont 14, vous comprit. Ils n'ont pas de chef bien désigné mais prennent les décisions importantes en commun et la répartition des tâches est décidée en groupe, le soir lors des veillées. Ils ont des planques à bouffes partout dans la région, des contacts dispersés partout et un renault master qui transporte le gros du matos. Il n'y a que deux ou trois personnes dans le fourgon, le reste est à pied et à couvert. Le fourgon ne roule que par saut de puce.

Ils ont un fusil mitrailleur avec un viseur qui ne quitte jamais son porteur, un tireur remarquable à ce que l'on t'en dit. Ils ont aussi 5 revolvers fournis par deux des membre qui donnaient dans "l'import export" avant l'invasion. Ils vous conseillent d'oublier le fusil de chasse et sont équipés de pelles et de haches. Dual purpose. Ils ont des talkies et d'autres petits appareils électroniques qu'ils rechargent avec un appareil à dynamo. C'est l'ingénieur du groupe qui est responsable de ça.

Il y a aussi un mec à l'air pas net qui se balade avec un micro d’écoute à distance, une lunette d'astronomie et des jumelles avec monocle infrarouge.

Ils ont l'habitude de toujours jouer le même tour lors des rencontres. Le balaise, qui est plus malin qu'il en a l'air et redoutable en affaires se fait passer pour le chef. Il a un pistolet factice toujours tenu en évidence, mal rangé dans son étui trop grand. Il sert à savoir si les inconnus qui ont l'air amicaux le sont vraiment quand on leur donne les moyens de te planter. Si tu tire avec, un cure dent empoisonné sort de la poignée. Il a servit cinq fois, personne n'a survécu plus d'une minute. Redoutable. C'est le chimiste du groupe, celui avec plein de fioles dans ses sacs qui a le secret du poison. On te conseille d'être ami avec lui.

Ils ne voyagent jamais par les chemins et marchent en fille dans les pas des autres pour faire croire à une seule personne. La nuit, ils établissent leurs campement dans les arbres ou font de bonnes cachètes dans le sols. Ils ont le matos pour ça. Il y a toujours deux veilleurs. Ils ont des cartes 25000ème de la région sur lesquelles ils annotent tout ce qu'ils trouvent. Vous vous dirigez vers une vallée dans laquelle, d'après un mec du coin, un camion faisait sans cesse des allers retours juste avant l'invasion.

Normalement, ils voyagent sans parler, le plus discrètement possible, alors ils ne vous raconterons pas tout aujourdhui.

Première nuit. Vous êtes de garde. Vous êtes à distance de la veillée, un de chaque coté et ne pouvez pas entendre ce qui se dit. Nuit de garde. Vous n'avez pas encore l'habitude du manque de sommeil. Vous entendez un avion au loin.

Le matin. Levé avant le soleil, petit dej et pliage fini aux premières lueurs. L'itinéraire passe par une falaise. On vous donne un baudrier et on vous demande de le mettre sous votre pantalon. Les guetteurs passent presque une heure cachés en haut de la falaise puis font signe de venir. Deux cordes sont accrochées, tout le monde est en bas en deux minutes, un mec reste en haut, défait les cordes en jette une doublé et descend. Il tire sur une des corde est les deux retombent. Vous remontez la rivière.

En début d'après midi, vous êtes sur place. Le fourgon est déjà là. Vers 18h, vous trouvez la planque. Bien cachée, la planque, tu l'aurais jamais trouvé, mais on la fait pas à Francis. Bien fermée aussi. 18h15, vous rentrez prudemment avec des frontales. Dedans, p***** de dieu, dedans il y a des palettes entières de lingots. Il y a des sacs entiers remplit de billets maintenant sans valeurs et bouffé par les souris. Il y a aussi des disques durs et des DVDs.

Vous sortez. Tout le monde à une idée. Personne ne sais quoi faire. La nuit tombe et vous allez dormir la dedans. Il y a même la place pour le master.

La plaque est refermée, avec autant de camouflage que possible. Un peu de lumière filtre encore et on allume des lampes de camping. La veillée va commencer. L'ordre du jour est évident.

Que fais tu?

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Message Posté le: Sam Mar 23, 2013 23:16 pm    Sujet du message:
Avant d'arriver a ce point là j'avais quand meme remarqué avec mon ami l'esprit du groupe, au final c'est toujours chacun pour soi. La facon de penser et d'agir du groupe me fait penser a des mercenaires, je n'ai aucune envie de rester une minute de plus là.

Avec mon ami on c'est concerté a l'avance par demi-mot, jamais un plus haut que l'autre, juste de quoi ce comprendre, il n'aime pas non plus cette ambiance, et comprend bien que nos objectif sont caduc.

Lorsque j'ai vue le "trésor" ma réflexion n'a fait qu'un tour, j'ai de suite vue le massacre arrivé. J'ai beau porter une armure je sais parfaitement que personne y réchappera, le problème ce ne sont plus les zombies mais les vivants. On ne pouvait plus ostensiblement quitter le groupe puisqu'on connaissait la planque et on ce ferrait de suite lyncher. L'homme qui tire comme Lucky Luc ne ratera personne, je le met en haut de ma liste des personnes dangereuses, surtout son pistolet mitrailleurs. Vient ensuite ce foutu chimiste, je ne l'ai jamais quitter des yeux ceui-là, me demandant comment il m'empoisonnerait, il y a aussi le gros dur... J'ai beau retourné la situation dans mon esprit peu de solution s'offre a moi. Je ne tient pas non plus a tous les tuer, si ce n'est dire en avoir la possibilité. Mon ami aussi tire une sale tronche, de celle qui dise "on est dans la merde".

La tension je la vois monter a chaque seconde, comme de l'eau dans un vase petit a petit et y a un moment ou ca va déborder. Je réfléchie qu'en fait il y a 7 personnes véritablement armé dangereusement. Il nous faut aussi deux cordes, l'une pour ce sécuriser et l'autre pour monter qu'on lancera entre de parois rocheuse avec une pierre au bout ainsi qu'un solide noeud pour bloquer le tout. Moi et mon ami on a l'habitude de ce genre d'exercice, on a déja fait de la spéléo et de l'escalade ensemble.

Je réfléchis ensuite au moyen de nous partir le plus vite possible. Je retire donc les parties les plus inutile de l'armure, le poitrail et les épaulières, mais je garde la cote de maille. Je fais don de ses cadeaux a l’ingénieur, de façon ostensible pour qu'on croit a notre amitié. Mon ami n'est pas dupe il est au courant du plan d'évasion.

Je n'ai pas vraiment le choix et je regrette déja ce que je vais devoir faire. Alors que Lucky Luc dit qu'il va pisser je viens avec lui en disant que moi aussi. A peine somme nous or de vue que je lui tranche d'un coup la gorge, sans un bruit (c'est ca l'avantage d'une lame c'est qu'il ne faut qu'une seconde pour dégainer et tuer. [franchement qu'elle situation de merde], je récupère son arme. Mon ami est resté assis avec les autres, avant que les autres est pu bouger je déscends 3 des porteur de flingues a la rafales, et mon ami qui se tenait près avec son fusil de chasse descend les deux autres porteur de flingues, reste le gros costaud qui n'a meme pas eu le temps de porter la main a son armes grossières. Je lui intime calmement que si il bouge il est mort. Je dis que je ne souhaite tuer personne d'autre, on récupère tout les flingues ainsi de celui du gros costaud en les menaçant de nos armes. On garde toute les cordes pour les empêcher de ressortir ou de nous poursuivre trop vite. Il reste donc 8 du groupe.

On ré-escalade la falaise, sans toucher a l'or ni a rien d'autre. Je vomi, mon ami aussi, tuer des zombis ne nous en chantez guère mais tuer des hommes et qui plus est sain... Je m'en veut mais me dis qu'au moins on a évité trop de mort. On sort de la falaise, on passe discrètement la route pour ne pas etre repéré par le van puis on ce concerte... Ou aller ? J'ai une idée, je lui dis que peut etre que une chance de salut serait un avion, on ce dirige donc vers l'aérodrome de Millau.

Le sol près de la planque est certe rouge [j'ai pas trouvé meilleur solution]
Tommy Angello
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Message Posté le: Dim Mar 24, 2013 00:26 am    Sujet du message:
C'est donc ça que tu fais avec le meilleur groupe de chasse au zombie et d'organisation des survivant dont tu puisse rêver? Je te prévient, t'en auras pas d'autre!
Si tu avais demandé, tu saurais que c'est une communauté anarchiste auquel s'est joint toute sorte d'amis. Les mercenaires ne sont pas ingénieurs ou chimiste, ils sont mercenaires. Ils comptaient déplacer l'or mais seulement deux ou trois auraient tué les autres au fur et à mesure des semaines suivantes.

Bon, Lucky Luke aime être seul pour faire ces choses la et égorger un mec ou une bête, en fait, ça fait un boucan du diable.
Le chimiste avais aussi une toute petite bonbonne de Sulfure d'hydrogène et la solution qu'il faut pour se protéger. Il avais aussi une bonne réserve de chloroforme.

On va dire que tu as été rapide et que le chimiste s'est prit la première balle. Le temps de tirer tes rafales, un couteau traverse la salle et viens se planter dans ton bassin. Ouille. Vous arrêtez les tirs quand les porteurs sont tombés. Tout le monde était en cercle, les mourants et les vivants sont entremêlés.

Tu est encore protégé au bassin et l'armure à dévié le couteau. Il s'est planté dans la cote de maille en dessous et tu n'a rien de grave. Il faut maintenant récupérer les armes.
Ils refusent de reculer pour te laisser prendre les armes. Tu ne veux pas les tuer pour cela et hurle les pires menaces auquel tu pense. Un coup de feu résonne dans la salle et ce n'est pas un fusil. Encore un. Un des mourant viens de tirer sur ton pote. Tu l'achève et parvient à tenir les autres à distance mais il faut que tu recule.

Ton pote se relève. Il dit qu'il n'a rien mais son blouson a une tache rouge. Tu n'a pas le temps de bien l'observer. Il faut que tu sois sur que personne ne se baisse.

Le reste du groupe pourrait se défendre mais ils voient que tu va partir et te laisse faire. Il faut leur laisser les pistolets. ils savent qu'ils vont mourir s'ils ne les ont plus. Impossible de faire autrement.

Tu leur fait mettre les mais sur la tête et se retourner. Tu veux qu'ils partent au fond de la cave mais ils n'irons nul part si les flingues restent par terre. Tu dis à ton pote de les surveiller et tu ouvre la cachette. Le soleil est tombé mais on vois encore un peu. La lune est à demi pleine et il n'y a pas de gros nuages. Tu te prend un carreau d’arbalète dans le bidon. Il viens de dehors. La cote de maille, ça n'a jamais bien protégé des flèches.

La surprise, plus que le recul, te fait tomber. Le carreau n'est pas planté profond. Tu casse la tige et te relève, on verra ça après mais pour l'escalade, c'est chaud. Tu te met à couvert sur le coté de la grotte et demande à ton pote de faire pareil. Il se retourne vers toi et avance en titubant. La moitié de son blouson est rouge.

A l’intérieur de la grotte, tu entend une voix qui dit "les carreaux sont empoisonnés. Rendez vous et nous vous soignerons." Une autre fait "J'ai tué un des leur quandj'ai rejoint le groupe, et pourtant je suis là."

Que fais tu?

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Message Posté le: Dim Mar 24, 2013 13:03 pm    Sujet du message:
A ce qu'il parait faut pas lire ce que les autres racontent :

Il me reste deux semaines avant le jour Z c'est ça ?
Je prends un billet pour les USA parce que là bas ils savent trop comment vaincre un zombi et accessoirement je pourrais m'acheter des armes sans problème.
Tommy Angello
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Message Posté le: Dim Mar 24, 2013 14:59 pm    Sujet du message:
Pixelle a écrit:
A ce qu'il parait faut pas lire ce que les autres racontent :

Il me reste deux semaines avant le jour Z c'est ça ?
Je prends un billet pour les USA parce que là bas ils savent trop comment vaincre un zombi et accessoirement je pourrais m'acheter des armes sans problème.


Comme tu veux. Tu fais tes valises, prend un billet d'avion et laisse derrière toi ta famille et tes amis. Il te faut plusieurs jours pour obtenir une autorisation ESTA. Il y a autant de voyageurs qu'à la normale. En fait, on EST à la normale. Tu fait des affaires au duty free. L'invasion arrive un peu plus tôt sur le continent nord américain, il ne te reste plus qu'une semaine. L'ambiance commence à paniquer.

Tu est dans une grande ville, genre NY ou Washington. Il y a des pillages, les familles des commerçants sont postées sur les toits avec des fusils. Nombreuses boutiques sont fermées. Les voitures de police ressemblent à ça: http://thetimetimes.files.wordpress.com/2012/05/beforeitnews-c om.jpg

Tu veux acheter des armes et on te demande ta carte d'identité. Désolé, la vente d'arme est interdite aux non-américains.

Tu sors du magasin et te fait voler ton sac par des gens armés. Les tenant du magasin font fuir les voleurs et t'évitent de te faire violer. Tu n'as plus ni argent ni papiers. Il te reste seulement 40$ que tu avais dans ta poche.

Que fais tu?

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Message Posté le: Lun Mar 25, 2013 19:55 pm    Sujet du message:
Je sais pas du tout quoi faire. Si on reste là (et même s'il pleut demain) on va mourir parce que tout le monde va crever la dalle, péter un câble et s'entretuer.

Je propose une nouvelle sortie par la fenêtre puisque la porte d'entrée est bloquée. Tout le monde doit s'habiller le plus chaudement possible et prendre avec lui ce qui pourra lui servir d'arme ou d'armure : cuvette des toilettes, couvercle de casserole, poêle à frire, tringle à rideau, etc...

Les malades restent ici, les enfants aussi, les autres tentent la sortie (et de retrouver l'ado parti en courant si possible).
Tommy Angello
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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 20:26 pm    Sujet du message:
Sofiiiii a écrit:
Je sais pas du tout quoi faire. Si on reste là (et même s'il pleut demain) on va mourir parce que tout le monde va crever la dalle, péter un câble et s'entretuer.

Je propose une nouvelle sortie par la fenêtre puisque la porte d'entrée est bloquée. Tout le monde doit s'habiller le plus chaudement possible et prendre avec lui ce qui pourra lui servir d'arme ou d'armure : cuvette des toilettes, couvercle de casserole, poêle à frire, tringle à rideau, etc...

Les malades restent ici, les enfants aussi, les autres tentent la sortie (et de retrouver l'ado parti en courant si possible).



La matinée commence... comme on aurais pu s'y attendre. Un cousin révèle que son père a tout un répertoire caché de photo d'enfants nus sur l'ordi familial. Le père lui font des baffes et dit que c'est un complot de sa mère. Ta grand mère ressort une vielle histoire d'héritage et se refâche avec une branche de la famille.

Le "mouvement continu" de vidange dans les toilettes ne semble plus fonctionner et il faut être téméraire pour s'y lancer. Certains vont chier par le balcon et attirent les zombies. On refuse ce droit au mec enfermé dans l'armoire, il doit aller aux toilettes, non mais ho. Les fumeurs sont sur le point de casser la porte, et la tête à tous ceux qui veulent faire blocage. Tout le monde à entendu l'armée, "il faut rester chez soi".

Tu propose ton plan de sortie et l'attention (la tension aussi) tombe sur toi. Les dernières sorties n'ont pas été un franc succès. Tu est tenue pour responsable de la situation. C'est ton idée. C'est ton appart. C'est ta faute. C'est à cause de toi que ton oncle est mort. C'est a toi de te débrouiller pour que tout aille bien. Les membres les plus conservateurs de la famille ajoutent qu'ils n'aurais jamais du faire confiance à une gouine et en profitent pour expliquer le paradis à un cousin homo, s'il doit mourir, il faut qu'il se repente avant et demande pardon au petit Jésus.

Arrivé là, tu te dis que surtout il faut rester calme. Tu n'est plus le centre des querelles, une bonne chose mais il faut organiser la sortie. Tu en parle aux personnes les plus prometteuses en privé, à supposer qu'il puisse y avoir du privé à 20 dans un appart.

Un mec donne un coup de couteau à un autre, on ne sais pas vraiment pourquoi. On le soigne.

Le "clan des forts" ne veulent pas que la baffe qu'un gars a donné à un des leurs hier ne soit pas payée. On organise le tribunal pour juger cette affaire et d'autres propositions de procès commencent à être ajoutées.

Parlant de procès, si tu insiste trop pour sortir tu va te retrouver au tribunal. Une femme propose de couvrir la dernière bassine d'eau pour ne pas qu'elle s'évapore. Oui, comme ça on verra pas si un mec à piqué dedans, je me demande pourquoi tu as eu cette idée.


Les buveurs d'alcool ont fini leur ration d'eau. Ils ne tiendrons pas la journée si on ne leur donne rien d'autre. Tout le monde a suffisamment soif pour le savoir. Le privé d'eau en profite pour négocier sa portion et obtient quelques soutiens.

L'autre "fort" avec qui tu as été chez le voisin te dis qu'il est prèt à sortir avec toi, mais qu'il faudra sortir comme l'ado et si vous ramenez pas d'eau ce ne sera pas la peine de rentrer.

Une fumeuse hurle "ben oui, allons y, gâchons toute l'eau qui nous reste!" et donne un coup de pompe dans la bassine. Mélée générale. On parvient à sortir la bassine avec un fond d'eau. En ajoutant les maigres récoltes de la pluie, il n'y en aura pas assez pour demain.

L'infirmerie arrive à cours de bandage. On ne peut pas soigner tout le monde. Les blessés finissent la bagarre qu'ils avaient commencé pour les derniers pansements. Personne n'arrive a calmer la situation parce que tout le monde veut régler ses comptes avant qu'il ne soit trop tard.

Deux personnes qui ont aussi essayé de fuir l'appart et attendent leur jugement te font savoir qu'a la moindre occasion elles te suivent.

Cinq personnes déclarent la cuisine territoire autonome et barricadent la porte avec un meuble. Ils cassent les chaises et le balais pour avoir des objets pointus et repoussent tous ceux qui s'approchent. On se souviens que toute la nourriture est dans la cuisine. Les cuisiniens proposent du troc: de l'eau contre de la nourriture.

Il n'est que 10h, la journée promet d'être longue. A part pour ceux pour qui la journée sera courte bien sur. Au sol, le sang se mélange au vomi que plus personne ne nettoie parce qu'il est occupé à autre chose. Personne ne s'est même rendu compte que l'enfermé dans l'armoire était devenu un "réfugié politique" dans la cuisine.

On donne une messe dans le salon pour "réconcilier tout le monde et apporter la paix", exactement comme avais fait le pape avant de foutre le camp en sureté et laisser tout le monde crever sur place. Des millions de gens sont morts parce qu'ils ont cru ne pas pouvoir se préparer. Ca hue, mélée générale. On lorgne ceux qui ont des pansements sur eux et on dépiotte les draps en lambeaux pour se faire des pansements.


Que fais tu?

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Tommy Angello
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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 20:44 pm    Sujet du message:
J'ai pas vraiment précisé de règles, vous êtes libre de faire plusieurs persos, de proposer plusieurs stratégies et de les faire évoluer dans des univers parallèles, ou de jouer plusieurs personnages à la fois dans un seul monde, dans un seul groupe ou pas.
Vous pouvez reroll si vous voulez.

Là, on est en mode réaliste. Si on veut, on peut aussi inclure de la fantaisie. Vous êtes un athlète olympique, formé au maniement de toutes les armes et commencez avec un char ou une base secrète et 10 potes commandos. Bon, dans ce cas, a moins de chercher l'origine ou le remède zombie, ca va manquer d’intérêt. Vous pouvez être général ou ministre et tenter de contenir la situation.

Mais quoi qu'il se passe: la situation va mal tourner. Avec les zombies, ca ne se passe jamais bien. Les gens montrent leur vrai visage et finissent par vouloir vous bouffer. Il n'y a que des demies victoires au gout amère et des échecs cuisants.

Parvenir à survivre à la première invasion zombie est le mieux que l'on puisse espérer. Ha oui, je ne vous ai pas dit? Il y en aura une autre dans 30 ans quand vos enfants ne prendrons plus au sérieux la "prévention contre l'agent Z".
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Message Posté le: Mar Mar 26, 2013 21:19 pm    Sujet du message:
J'habite à la campagne, la maison est entourée de champs ce qui nous laisse une visibilité d'au moins 1km alentour. Elle possède aussi un grenier accessible par une trappe dans la salle de bain, endroit où les zombies ne peuvent accéder à moins d'avoir l'intelligence d'aller chercher une échelle et qui peut nous permettre de poster un guetteur.
Dès que j'apprends l'existence de cette épidémie, je vais chercher dans la journée mes grands-parents maternels, nous sommes donc 6 dans la maison. De son côté, mon frère se sera occupé de récupérer dans la journée tout ce qui peut s'apparenter à une arme et au matériel de survie, tronçonneuse, etc (et entre autres de nombreuses allumettes et de l'essence permettant de brûler les corps à moitié mangés), mon père ira faire des stocks en nourriture qu'il complétera par les nombreux stocks du débarras et de mon appartement. Ma mère, quant à elle, s'occupera de récupérer tout le matériel médical dans son laboratoire ainsi que d'amener divers bouquins et objets traîtant de ce type d'épidémies même si ses recherches sont basées sur le cancer. Mon père qui est aussi scientifique (véridique tout ça) l'aidera.
Tout cela en une journée.
Ma grand-mère aura la charge de s'occuper des tâches ménagères, je l'aiderais partiellement lorsque je ne saurais pas occuper à gérer notre défense avec mon frère et mon grand-père (ancien de la guerre d'Algérie).
En tant qu'architecte, j'ai par ailleurs au préalable fait construire un bunker possédant deux issues de secours dont l'une est un grand tunnel en béton armé de plusieurs kilomètres qui permet de laisser passer des véhicules (certains véhicules ont été laissés ici par précaution). Par diverses activités illégales, j'ai réussi à récupérer de nombreux explosifs et des armes. Je pratique par ailleurs le self defense, de part mon passé d'athlète de haut niveau, je suis endurante tout comme mon frère qui lui fait du judo.
Bien sûr, personne ne boit ni fume.
En plus du bunker, j'aurais creusé avec ma famille (sauf ma grand-mère) et sous les ordres de l'ancien maçon qu'est mon grand-père un fossé profond que seuls nous pourrons franchir via une passerelle dirigeable de notre côté et permettant de faire passer nos motos, nous avons aussi des barbelés. Tout cela en 3 jours.
Nous possédons aussi une réservoir d'eau de pluie, de très nombreuses litres d'eau en bouteille et dans des bidons que nous aurons rempli lorsque l'eau coulait encore. Par ailleurs, nous possédons un puits.

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