Tommy Angello
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Posté le: Jeu Mar 21, 2013 22:40 pm Sujet du message:
| Atreyu a
écrit: | Bon là manifestement
j'ai pas de chance.
J'leur dis que j'préfère rester sur l'île, et vu que j'ai caché la bouffe,
j'espère tenir avec. Qu'ils ont qu'à me laisser là.
(En général les mecs qui ressemblent plus ou moins à des militaires/à un
groupe armé, faut pas leur faire confiance.) |
Ils ne te font pas confiance non plus. Te laisser sur ton ile avec de la
bouffe, ca les emballe pas. Ils veulent bien te laisser sur l'ile. Ca ne les
intéresse pas de t’embêter. Seulement il faut juste leur donner la bouffe.
Tu leur montre la cachette, ils partent.
L'idée ne te tente pas trop. Le chef demande aux autres de démonter ton camp
et de l'embarquer. Tu te rend compte que le bateau est revenu à terre et que
presque tout ton matériel est en train d'être chargé. Il n'y a plus qu'un
homme à bord, mais tu vois ton navire au loin. Tu est coincé ici. Avec ces
mecs.
Vous négociez longuement et tu ne le sens pas. Tu n'est vraiment pas en
position de force. Finalement, ils te proposent de ne pas prendre ton camp.
Ils acceptent de te laisser aussi une partie du matériel, juste ce dont tu as
besoin pour survivre. Pas le matériel de pèche, tu ira dans la foret et tu
mangera des coquillages. Tout ce que tu as à faire c'est de les mener à la
cachette.
Si tu refuse, ils se fâchent. Ils te font remarquer que tu n'a pas vraiment
les moyens de faire le fier. Ils te bousculent, te chahutent.
Si tu continue de refuser, l'un d'eux te plaque au sol.
Si tu continue de refuser, ils commencent à te faire manger du sable, sortent
les couteaux, te parlent de ce qu'ils ont fait aux autres. Longuement. En
détail. Et tu ne veux pas ça.
Si tu continue de refuser, ils approchent la lame de ton oeil. Ils font de
petites entailles sur ta peau. Ils ne te parlent plus mais t'aboient des
ordres. Parfois le ton se calme et le chef recommence à te bercer de sa
rassurante voix monocorde. Tu pleure et ils lèchent tes larmes. Le couteau se
promène le long de tes jambes, de ton ventre de ta bouche. Le plus souvent,
coté qui ne coupe pas.
Si tu continue de refuser, les injonctions se font plus nombreuses, viennent
de tous les cotés pendant que tu sens ton bras de faire ouvrir.
Si tu continue de refuser, bref tu as compris ou ça va te mener. Ils ont
décidé de repartir avec la bouffe et s'ils ne bluffent pas, c'est toi qu'ils
vont bouffer. Note que tu peux te forcer à ne rien leur dire. C'est toi qui
vois.
Si tu accepte, ils prennent tout ce qui s'y trouve et commencent à partir en
ne te laissant que le minimum vital. Mais avant qu'ils ne partent, il y a
encore une chose...
Ils veulent bien te laisser ton matériel de pèche. Ils n'en ont pas vraiment
besoin. Ils peuvent te donner une trousse de secours aussi. Si tu est tétu,
tu en as l'usage.
Tu n'a rien à leur donner en échange. Juste, ils vont repasser dans une
semaine, et toutes les semaines après. A chaque fois, tu dois leur donner
deux kilos de poisson frais, ou d'autre nourriture si tu veux. Chaque kilo
manquant sera un problème de plus pour toi. De toute façon, ils vont
revenir. Autant que tu ait le matos, non? Ce sera plus facile pour toi et plus
nourrissant pour eux.
Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Malheur au vaincu. |
|
Sofiiiii
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Posté le: Jeu Mar 21, 2013 23:02 pm Sujet du message:
La fin approche pour nous...
Bon il faut à tout prix qu'on récupère de l'eau claire, donc je vois pour
ouvrir la fenêtre qui donne sur mon balcon (fermé mais pas au dessus) et j'y
dispose tous les seaux et bassines que j'ai chez moi. Je demande à tout le
monde de se rationner un peu et forcément de ne plus se laver.
J'allume la radio pour savoir où en sont les choses mais j'ai peur que
celle-ci nous annonce de bien mauvaises nouvelles...
J'attends.
(Tommy j'adore ce jeu, tu as un don pour ça !)
|
Atreyu
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Posté le: Jeu Mar 21, 2013 23:14 pm Sujet du message:
Simple. J'essaie d'en amener 3 -pas plus- au milieu de la "forêt" sur l'île,
et je me débrouille pour les neutraliser (parce que oui, dans ce climat de
psychose totale, j'ai quand même des notions pour neutraliser des gens), et
j'les bute.
Puis j'retourne sur la plage, couvert de sang, en hurlant "OH MON DIEU, DES
ZOMBIES SONT SUR L'ILE, IL FAUT PARTIR, VITE".
Logiquement, vu le type de gaillards, ils devraient se barrer sans trop me
poser de questions et surtout en me laissant tranquille. Ce qui me laisse
quelque temps de répit avant qu'ils reviennent. D'ici là, j'peux essayer de
m'faire une cachette où vivre dans la forêt et SURTOUT préparer quelques
pièges s'ils décident de revenir (même si y'a de fortes chances qu'ils
crèvent avant de revenir, à cause de l'épidémie).
|
Tommy Angello
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Posté le: Jeu Mar 21, 2013 23:47 pm Sujet du message:
| Sofiiiii a
écrit: | La fin approche pour
nous...
Bon il faut à tout prix qu'on récupère de l'eau claire, donc je vois pour
ouvrir la fenêtre qui donne sur mon balcon (fermé mais pas au dessus) et j'y
dispose tous les seaux et bassines que j'ai chez moi. Je demande à tout le
monde de se rationner un peu et forcément de ne plus se laver.
J'allume la radio pour savoir où en sont les choses mais j'ai peur que
celle-ci nous annonce de bien mauvaises nouvelles...
J'attends.
(Tommy j'adore ce jeu, tu as un don pour ça !) |
D'avoir participé à l'opération de ravitaillement t'a auréolé d'une
certaine aura. Les autres ont maintenant un regard posé sur toi fait de
respect et de regrets.
Il fait beau. Dommage. Dehors, les rues sont désertes. Les voitures sont bien
garées. Le sol est propre. Le grondement sourd qui fait bruit de fond
ressemble à celui des voitures. L'odeur est bien plus acre et prenante qu'à
la normale. Tu vois une créature ici et là déambuler maladroitement et tu
leur trouve une ressemblance avec les mecs bourrés du soir. Il fait beau, la
vie est belle malgré tout.
Tu laisse les bassines au mieux et tu rente. Tout le monde est calme et
attend. Seul les grattements remplissent la pièce. Tout le monde se force à
attendre et réfléchit. Certains se perdent en frivolité, on leur dit de se
taire et de s'assoir.
Pour des raisons évidentes, la radio ne parle pas de météo. Vous comprenez
tous que vous n'êtes pas les plus à plaindre, mais ces histoires de pilleurs
qui vont d'appartement en appartement dans les grandes villes vous angoisse.
Tu entend parler de groupes de survivants qui s'organisent.
L'armée est retranchée dans les centrales nucléaires, non pas pour donner
à la France de l'électricité, grand dieux non, mais pour assurer une
présence sur chaque site en permanence. Le combustible est déchargé mais il
faut refroidir les produits de fission et d'activation sinon c'est 20
Fuckushima à la fois.
L'armée à arrêtée de tenir les ports et les centres de communication mais
n'a plus le carburant nécessaire aux grandes manœuvres. Un général
quelconque explique qu'il considère le pays comme perdu, que la guerre est
dure et que tenter de l'adoucir ne fait que la rendre plus longue et ne va pas
disperser des hommes pour poursuivre la chimère du plus de survivant
possible. Il explique son plan pour reconquérir le terrain, l'entraide avec
l'Espagne et l'Italie et reconnais que les pertes sont élevées, que la perte
du pays lui à fait perdre le respects de ses hommes, qu'il a du mal à faire
respecter la discipline et que les désertions sont nombreuses.
Vous buvez jusqu'à la dernière goutte le jus des conserves. Les bouteilles
d'evian vides servent à mesurer l'eau. Un litre par personne. 75 cl pour les
enfants. L'ado fait remarquer à longueur de temps qu'il n'est pas un enfant
et saoule tout le monde. On lui donne un litre pour le faire taire. Il reste
deux bassines d'eau. Vous êtes 20. Cela fait 4 ou cinq jours. Une femme
propose que chacun boive son urine pour augmenter le temps de survie. Une
autre femme lui dit qu'elle lui offrira la boisson si elle veux mais qu'on ne
lui oteras pas son litre. Discrètement, on te dis que les plus fragiles ne
survivrons de tout façons pas et que sacrifier des ressources pour les
maintenir en vie réduit les chances de ceux qui en ont.
La chasse d'eau n'est pas tirée depuis la veille et la porte n'est jamais
ouvert plus d'une seconde. Personne ne se lave, même pas les mains et l'odeur
est semblable à celle de l’extérieur. Tout poisse. Ta grand mère a des
vertiges et dit qu'il lui faudrait plus d'eau. Elle a des calculs rénaux. Son
mari dit que c'est la première fois qu'il en entend parler.
Pendant que vous comptez le temps, la radio raconte l'histoire d'un capitaine
fusillé par ses hommes alors qu'il leur interdisait de piller une ferme
encore habitée.
Après le repas de midi, certaines bouteilles sont vides. Pas toutes.
Étonnement, personne ne trouve rien à redire. Même les enfants ne pleurent
pas. Tout le monde reste assis a se plaindre de chose et d'autres. Les
grattements semblent avoir entamé la porte et le bruit se fait différent.
Rien ne se passe. La nuit est bruyante mais calme.
Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Il n'y a pas d'avenir pour vous tous.
|
|
Tommy Angello
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Posté le: Jeu Mar 21, 2013 23:54 pm Sujet du message:
| Atreyu a
écrit: | Simple. J'essaie d'en
amener 3 -pas plus- au milieu de la "forêt" sur l'île, et je me débrouille
pour les neutraliser (parce que oui, dans ce climat de psychose totale, j'ai
quand même des notions pour neutraliser des gens), et j'les bute.
Puis j'retourne sur la plage, couvert de sang, en hurlant "OH MON DIEU, DES
ZOMBIES SONT SUR L'ILE, IL FAUT PARTIR, VITE".
Logiquement, vu le type de gaillards, ils devraient se barrer sans trop me
poser de questions et surtout en me laissant tranquille. Ce qui me laisse
quelque temps de répit avant qu'ils reviennent. D'ici là, j'peux essayer de
m'faire une cachette où vivre dans la forêt et SURTOUT préparer quelques
pièges s'ils décident de revenir (même si y'a de fortes chances qu'ils
crèvent avant de revenir, à cause de l'épidémie). |
C'est courageux, mais ils ont des bonnes armes et toi pas grand chose.
Le chef part avec toi. Il a un famas. Deux hommes viennent aussi. Famas et
pistolet mitrailleur. Ils ont des machettes ou des couteaux imposants. (dont
un qui est encore moite). En parlant de ça, seule ta peau est abimée. Du pus
transparent remplit les blessures et tu as d'autres choses à faire que de te
soucier de confort.
Tu les guide dans les bois, suffisamment loin. Puis tu te dis que le bruit
porte loin, donc tu continue un peu en attendant une occasion. Ils te
surveillent bien et ce n'est pas facile. Tu dis que tu as juste fait la
cachette en arrivant et que tu n'y est pas retourné depuis pour gagner du
temps. Tu les fait tourner en rond. Ils comptent mutuellement sur les autres
pour te garder à l'oeil et cherchent aussi la cache.
Ce qui semble être la meilleure opportunité possible se présente. L'un
fouille sous les feuilles mortes, les deux autres regardent ailleurs. Tu
saisit la lame cachée sous tes vêtements.
Attention, tu as une seule chance. Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Un suicide assisté. Voila ce que tu fait.
|
Dernière édition par Tommy Angello le Ven Mar 22, 2013 00:03 am; édité 1 fois
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Atreyu
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 00:01 am Sujet du message:
Simple (et là j'ai pas trop le choix) je plante ma lame dans le coup du mec
qui cherche sous les fouilles puis je prends rapidement son arme pour
dézinguer les deux autres.
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 00:09 am Sujet du message:
| Atreyu a
écrit: | | Simple (et là j'ai pas
trop le choix) je plante ma lame dans le coup du mec qui cherche sous les
fouilles puis je prends rapidement son arme pour dézinguer les deux
autres. |
Tu plante en effet le mec accroupi qui tente de se dégager. Il tient encore
son arme donc tu perd du temps à la lui prendre. comprenant que les balles ne
vont pas tarder, tu retourne le gars pour te retrouver derrière. Tu entend
des coups de feu mais tu n'est pas touché.
Le mec est toujours vivant, le couteau toujours planté au travers du cou. Tu
le tient à une main et lui deux. Si tu lache le couteau il sera libre de ses
mouvements. Avec la main gauche tu as réussis à prendre le fusil, par la
poignée qui plus est et tu le pointe vers un des gars.
Les deux te visent à la tête et se déplacent lentement. Ils sont encore à
peu près devant toi tous les deux. Pour l'instant. Le planté t’empêche de
te déplacer. Tu as du mal à viser.
Celui que tu vise est très nerveux et fixe attentivement ton doigt.
Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | C'est foutu pour toi. |
|
Atreyu
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 00:55 am Sujet du message:
La technique jeux vidéos: je commence à tirer et en même temps je me
démerde pour essayer de déplacer le planté jusqu'à ce que son corps fasse
une barrière entre les deux autres et moi, et j'essaie de tirer en rafale
pour toucher les deux gars.
Bon faut être rapide, ok. Mais en étant rapide j'peux m'débrouiller pour
que le mec planté n'aie pas le temps de bouger. Et de toute, au point où
j'en suis, j'vais pas m'mettre à hésiter.
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 08:25 am Sujet du message:
| Atreyu a
écrit: | La technique jeux
vidéos: je commence à tirer et en même temps je me démerde pour essayer de
déplacer le planté jusqu'à ce que son corps fasse une barrière entre les
deux autres et moi, et j'essaie de tirer en rafale pour toucher les deux
gars.
Bon faut être rapide, ok. Mais en étant rapide j'peux m'débrouiller pour
que le mec planté n'aie pas le temps de bouger. Et de toute, au point où
j'en suis, j'vais pas m'mettre à hésiter. |
Tu tire. Le gars est touché, tire aussi mais rate. Tu veux faire face au
dernier bonhomme mais tu sens ta tête se faire jeter vers l’arrière. Tes
muscles se relachent,tu te sens tomber et ta main glisse sur le couteau. Tu
veux te débatre. De la main gauche, tu fait feu vers ce qu'il y a en face de
l'arme, quoi que ce soit. Il y a du vent derrière ta tête. Tes idées sont
confuses.
Tu est maintenant au sol. Ta vue est trouble et tu ne vois plus ou sont les
autres. Tu te relève mais une autre secousse dans la tête t'en empêche.
Tu entend des cris désordonnés, de l'agitation et tu ne peut rien faire. Tu
ne vois plus rien. Rideau.
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Demande à Jesus te te résurecter, on sais jamais, sur
un malentendu ça peut marcher. |
Tu est mort mais non sans foutre la merde chez les assaillants. Tu as planté
le chef qui est mort une minute après toi alors que le dernier bien portant
tentait d’arrêter hémorragie. Celui que tu as touché s'est prit la balle
dans l'épaule et survivra.
Les autres, attirés par les tirs finissent par les rejoindre. Le chef est
mort, ses deux prétendants les mieux placés pour le remplacer sont ceux qui
étaient là quand il s'est fait tuer. L'un deux est blésé par l'arme du
chef. Ca fait jaser.
Ils aurons inintelligence de ne pas revendiquer la tête du groupe et
éviterons une bataille rangée.
Les survivants empilent du bois pendant toute la matinée, jettent vos
cadavres dessus, foutent le feu et repartent avec tout ce qu'ils ont estimé
utile. Ton matériel de pèche et ton fusil sont resté sur la plage.
|
MissJulie
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 08:31 am Sujet du message:
lol !!
à quand un grand jeu de role avec tous les membres ? 
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 08:37 am Sujet du message:
Je pourrais faire un topic "en temps réel" dans quelques semaines.
Un jour dans le jeu = un jour réel. Tout le monde joue en même temps, on
peux faire des groupes, s'unir contre les autres, se trahir, deux joueur qui
évoluent dans la même ville peuvent se rencontrer.
Ca me botte bien, ça.
|
MissJulie
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 08:40 am Sujet du message:
| Tommy Angello a
écrit: | Je pourrais faire un
topic "en temps réel" dans quelques semaines.
Un jour dans le jeu = un jour réel. Tout le monde joue en même temps, on
peux faire des groupes, s'unir contre les autres, se trahir, deux joueur qui
évoluent dans la même ville peuvent se rencontrer.
Ca me botte bien, ça. |
en tout cas je serais partante il suffirait d'être 7 ou 8 pas plus !
j'en faisais un sur un autre fofo sur le thème des loups garous et ce fut
super fun en fait !
par contre c beaucoup de taf pour celui qui organise..il y avait même la zic
pour le suspens !
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 08:48 am Sujet du message:
Ca fait déjà du monde ca.
Ou alors on pourais décentraliser le rôle du MJ. S'il y a un groupe à Paris
et des gars paumés en campagne par exemple, ceux de la campagne peuvent faire
avancer le jeu de ceux qui sont à Paris et vice vera.
|
MissJulie
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 09:10 am Sujet du message:
| Tommy Angello a
écrit: | Ca fait déjà du monde
ca.
Ou alors on pourais décentraliser le rôle du MJ. S'il y a un groupe à Paris
et des gars paumés en campagne par exemple, ceux de la campagne peuvent faire
avancer le jeu de ceux qui sont à Paris et vice vera. |
pas compris !
|
Sofiiiii
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 13:24 pm Sujet du message:
Bon je ne vois pas trop ce que je pourrais faire de plus puisque de toute
façon on ne peut pas sortir, ni par la porte ni par la fenêtre. Ah tiens si,
je tente quand même d'aller regarder dehors et de rejoindre ma voiture garée
dans le parking privé juste en dessous de mon balcon. Pour cela j'ai noué
des draps ensemble comme dans les films et je descends en rappel. J'emmène
avec moi mon cousin et un de mes oncles un peu bourrin. Je laisse à l'appart'
les autres hommes avec femmes et enfants et leur demande de barricader la
porte le plus possible, au cas où elle viendrait à se trouer.
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 14:19 pm Sujet du message:
| Sofiiiii a
écrit: | | Bon je ne vois pas trop
ce que je pourrais faire de plus puisque de toute façon on ne peut pas
sortir, ni par la porte ni par la fenêtre. Ah tiens si, je tente quand même
d'aller regarder dehors et de rejoindre ma voiture garée dans le parking
privé juste en dessous de mon balcon. Pour cela j'ai noué des draps ensemble
comme dans les films et je descends en rappel. J'emmène avec moi mon cousin
et un de mes oncles un peu bourrin. Je laisse à l'appart' les autres hommes
avec femmes et enfants et leur demande de barricader la porte le plus
possible, au cas où elle viendrait à se trouer. |
Il ne reste plus que 3 jours d’eau. Le ciel est couvert mais il ne pleuvra
pas aujourd’hui. Dehors, tout est calme. Il y a quelques contaminés dehors
mais ils sont calmes eux aussi. Aucun n’est prêt de ton immeuble et tu
attache la corde de fortune aux barreaux du balcon.
Tu glisse doucement le long du drap. Les frottements brulent ta peau. Arrivé
au premier nœud, tu change de méthode et désescalade la corde en t’aidant
des nœuds.
Tu es arrivé au troisième nœud. Un des contaminé t’a remarqué et
s’approche. Tu remarque que le second nœud est mal fait et glisse. Tu
descend aussi vite que tu peut. Tu rate un nœud et tombe.
Tu n’est pas tombée de haut et tu as juste mal aux pieds et aux poignés.
La créature est à au moins cinq mètres. Le cousin commence à descendre. Il
fait remarquer que le drap n’est pas coupé droit et que le tissus
s’effiloche. Il arrive en bas sans problème. Ton cousin attire
l’attention de la créature en restant à bonne distance et te demande de
surveiller les autres. Ton oncle bourrin passe la rambarde. En descendant, il
entend le drap craquer par endroit. Un des nœuds mérite d’être refait. Il
arrive au sol et demande à ce que l’on refasse le nœud. La corde remonte.
Ton oncle leur crie de ne pas leur refaire le coup de la porte ou ça va mal
aller.
La voiture devant la tienne a une vitre fracturée et semble avoir été
fouillée. Tu ouvre ta voiture. Elle n’a pas bougée. Tout est en ordre, il
n’y a rien sur la banquette arrière. Tu prends discrètement la petite
bouteille d’eau entamée qui était dans ta voiture et tu la cache dans une
poche. Le réservoir est vide. En faisant le tour de la voiture, tu te rends
compte que le bouchon à été fracturé.
Ta famille te signale que les créatures sont proches. Il y en a un à cinq
metres, un à 10, un à 12 dans la direction du balcon. Ceux d’en haut
crient de revenir et que la corde est presque prête, mais dépéchez vous
enfin, vous foutez quoi ?
La corde finit par redescendre et on l’attache au plus vite aux barreaux.
Une des créature n’est plus qu’à trois mètres. Ton oncle vous dit de
monter et lui donne un coup de botte dans le thorax. La créature est a terre
mais elle a agrippée le pantalon de ton oncle. Les autres s’approchent. Le
fusil est résté en haut et vise depuis une fenêtre la créature au sol.
Que fais tu ? (et surtout, qui passe en premier ?)
Le conseil du pro :
| Spoiler | | Si j'étais toi, je n'essaierais même pas de remonter
dans l'appart. |
|
Sofiiiii
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 14:55 pm Sujet du message:
Mon cousin me fait la courte échelle et me fait passer la première. Mon
père penché vers le bas me tend la main pour qu'on gagne du temps. Mon
cousin me suit et remonte lui aussi le plus vite possible. Pendant ce temps
tout le monde vise la créature agrippée à mon oncle avec le fusil, ça a
marché, il lache prise. Décision douloureuse : s'il a été mordu on ne
prend pas le risque de lui laisser la corde... Sinon il peut remonter.
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 15:11 pm Sujet du message:
| Sofiiiii a
écrit: | | Mon cousin me fait la
courte échelle et me fait passer la première. Mon père penché vers le bas
me tend la main pour qu'on gagne du temps. Mon cousin me suit et remonte lui
aussi le plus vite possible. Pendant ce temps tout le monde vise la créature
agrippée à mon oncle avec le fusil, ça a marché, il lache prise. Décision
douloureuse : s'il a été mordu on ne prend pas le risque de lui laisser la
corde... Sinon il peut remonter. |
Tu passe devant et commence à grimper. La corde glisse mais tu t'aide des
noeuds. Tu entend un coup de feu. En prenant de la hauteur, tu observe en deux
mouvements de têtes la situation. Il y a trois autres créatures proches, et
plus au bout de la rue.
Ton cousin n'a pas attendu que tu finisse de monter pour grimper à son tour.
Il secoue beaucoup la corde et tu as du mal à progresser. Tu entend un autre
coup de feu. Tu entend aussi des craquements. Pas bon. Tu veut foncer vers le
haut et d'un coup tu deviens légère. Tu as l'impression de ne plus avoir de
poids. Le temps que tu te rende compte que la corde n'est plus tendu, que le
mur passe vite devant toi et que le vent est fort, tu tombe sur ton cousin.
La corde a tenu mais elle s'est détachée. Tout le monde en haut crie. Tu
vois des gens partir vers l'intérieur. Ton oncle te relève. C'est douloureux
mais tu pense que ça va. Ton cousin à mal à la jambe et ne peut pas se
relever. La créature au sol rampe vers vous, un bras en lambeau. Trois autres
sont entre 6 et 10m. Pas le temps d'attendre. Ton oncle passe le bras de ton
cousin sur ses épaules et l'aide à se tenir droit. Ca crie en haut.
Alors que vous reculez en pensant à ce qu'il faut faire en suite, un truc que
vous refusez de croire se produit. L'ado est sur un autre balcon et se jette
sur une camionnette.
Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Fait comme dans l'appart, attend la mort.
|
|
Sofiiiii
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 15:15 pm Sujet du message:
Une camionnette située sur le même parking que nous ? C'est sans doute la
voiture de ses parents. Je lui demande de l'ouvrir et je cours vers la
camionnette. On essaie tant bien que mal de tous entrer dedans et de
s'enfermer. Le plan ? Sortir du parking en fonçant dans les zombies qui
pourraient nous barrer la route et aller voir si dehors il n'y aurait pas un
magasin avec des vivres, ou des maisons abandonnées, etc..
|
Tommy Angello
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Posté le: Ven Mar 22, 2013 15:25 pm Sujet du message:
| Sofiiiii a
écrit: | | Une camionnette située
sur le même parking que nous ? C'est sans doute la voiture de ses parents. Je
lui demande de l'ouvrir et je cours vers la camionnette. On essaie tant bien
que mal de tous entrer dedans et de s'enfermer. Le plan ? Sortir du parking en
fonçant dans les zombies qui pourraient nous barrer la route et aller voir si
dehors il n'y aurait pas un magasin avec des vivres, ou des maisons
abandonnées, etc.. |
C'est un bon plan, mais il n'a pas les clés de la voiture de ses parents. Il
te fait aussi remarquer qu'il n'y a surement plus d’essence dans la
camionnette non plus. Les créatures s'approchent, il propose de partir. Ton
cousin pense que vous pouvez passer par les escaliers et distraire le monstre
comme la première fois.
En haut tout le monde crie en même temps. On vous tend la tringle à rideau
et on descend une ficelle.
Que fais tu?
Le conseil du pro:
| Spoiler | | Pend toi avec la ficelle. |
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