oeildenuit
Suprème actif


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Posté le: Lun Déc 24, 2007 00:35 am Sujet du message:
La première evidemment .
La seconde étant dèja caduque par mon précédent post
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Silver Mercure
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 11:20 am Sujet du message:
ah c'est vexant, et c'est faux !
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oeildenuit
Suprème actif


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Posté le: Lun Déc 24, 2007 11:50 am Sujet du message:
Citation: | ah
c'est vexant, et c'est faux ! |
Tu es en train de me dire que tu as eu l'audace de demander ici qui veut
savoir ta note de littéarature alors qu'elle est supèrieure à 15 ?
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Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Lun Déc 24, 2007 12:32 pm Sujet du message:
Allons, dis-nous tout Silver. Et je peux aussi vous révéler mes notes
d'écrit:
8/20 à l'épreuve anticipée du bac de français,
11/20 à l'épreuve écrite de littérature.
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Silver Mercure
Habitué(e)
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 12:52 pm Sujet du message:
oh je ne me serais pas permis de me faire remarquer si je ne relevais pas la
moyenne de nos jeunes écrivains surdoués favoris
enfin bon, désolée, ça faisait un moment que je n'avais pas pavané avec
ça ^^
(et pour cause, j'ai arrêté mes progrès en matière de littérature depuis,
je suis restée au modeste niveau d'amateur)
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Tsubi
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 14:44 pm Sujet du message:
Ce poème est à chier.
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Fr.
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 14:48 pm Sujet du message:
Ce message a-t-il un rapport quelconque avc ton poème ?
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Ozimandias
Banni(e)
Inscrit le: 21 Aoû 2006
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 15:18 pm Sujet du message:
11 écrit 14 oral, vive le tourisme !!!
Bon alors d'habitude ça commence avec un Heureusx qui comme et non
directement par un comme, comme suit :
Comme un sous-marin à la dérive,
Comme ils disent ça commence assez lourdement. Pour un sens assez réduit :
tu es perdu, et bien perdu, on comprend.
Je
divague et je me prive,
Je supplie et je suffoque,
Je me moque et je prie,
Mes semblables les astres,
Pour qu'ils me sortent de ce désastre,
En me tendant, de manière fraternelle,
Leurs douces mains charnelles,
C'est du déclaratif, pas très dramatiquement perdu tous ça. La répétition
du "je" est étrange, la rime souligné est particulièrement forcée.
Mais capitaine, je ne peux plus rêver,
Non Némo, je ne peux plus espérer,
En effet, en omettant le respect,
Mes semblables les astres ,
Regardent leurs reflets ,
Seulement pour paraître,
Dans le miroir que sont mes yeux,
Encore plus impérieux ,
Une deuxième tirade, sans point d'exclamation propre du tragique, ou
interrogation d'effroid, bof. As-tu vraiment réfléchit à l'état de perte
?
Bon là les astres reviennent dès les troisième vers avec un vai non rimé :
paraitre. La forme est étrange, peu
agréable.
Mais peut-être, moi aussi fais-je
rencontrer,
D'autres délaissés,
Qui comme moi en ont assez,
De ce monde de dégénérés ,
Fait de créatures emmitouflées! dans le labyrinthe de la vie,
Fait de monstres étant aveuglés! par la clarté trop lumineuse de leur
esprit,
Là la forme est à chier, on passe d'une structure à une déstructuration,
ça dégénère encore là ça peut un peu coller au thème.
L'obsucre clarté, le front éclairé, etc. Prend une lampe de poche met toi
là dans les yeux, la poésie qui en sortira sera plus personnelle et plus
inspirée.
En s'octroyant notre guide la raison ,
A la manière dionysiaque d'Apollon,
Oui, je le hurle! les hommes mes émules,
En perdent leur humanité au profit de la bestialité,
Et muent tous en Minotaure ,
Hormis, quelques érudits, qui restent des toréadors,
Réunir Appolon et Dionisos, pourquoi ? Où est la finesse de la structure de
cieux de l'Olympe après ?
Après, les sortes de personnifications sont amenées l'une après l'autre
sans effet de style très appropriés.
Les Hommes, ont pour ultime sentiment,
l'animosité,
Dévorés, par leur instinct de centaure, ils doivent être chassés,
O! Thésée! revient sur Terre me sauver,
De ces prédateurs assoiffés,
Demande à ton père, de lever les océans,
Demande à Zeus, de foudroyer les vivants,
Permets aux hommes de franchir l'Achéron,
En leur Donnant la barque de Charon ,
Tuer tous le monde c'est ça ta solution ? reflexion, réflexion ... La figure
de la bête est éludée alors qu'elle est le centre de ce paragraphe.
Comme un radeau [De la méduse] à la dérive, imbibé de rancoeur,
Qui part et qui s'égare ,
Je souhaite me fracasser, contre un rocher acéré,
En ayant pour dernier désir ,
Le seul espoir que mon coeur éclate et se déchire,
Sous l'impact, du choc et de la roche,
Afin de submerger sans anicroche
,
Le monde des sans coeur, ce monde des sans moeurs,
"Mobilis in mobile".
Terminer par une citation, EXPLDR !!! Tu veux apprendre quoi à qui ? Un
poème c'est pour soi, on crée, on se crée, on va pas utiliser des citation
venues d'ailleurs !!!
A la limite on peut en modifier une, pour donner un effet de style (assez
merdique).
Les mots soulignés cassent le rythme, ils ne sont pas nécessaire.
L'utilisation du point par contre l'est.
En conclusion un thème difficile, donc une réalisation difficile et un
résultat que l'on pouvait attendre qui se réalise, une expression lourde
sans vraiment envolées de sens. Personnelement je n'aurais pas fait mieux,
normal car je trouve le thème merdique et je ne suis pas maso pour rien. Car
qu'est-ce qu'il y a de transcendant ? Quoi ? Quand ? Où ? Comment ?
C'est un déclaratif qui reste les pieds dans la flotte, par peur de couler ?
Où de s'envoler vers les abysses ?
|
vince le chat
Membre


Inscrit le: 18 Déc 2007
Messages: 177
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Posté le: Lun Déc 24, 2007 16:14 pm Sujet du message:
Citation: | 11
écrit 14 oral, vive le tourisme !!!
Bon alors d'habitude ça commence avec un Heureusx qui comme et non
directement par un comme, comme suit :
Comme un sous-marin à la dérive,
Comme ils disent ça commence assez lourdement. Pour un sens assez réduit :
tu es perdu, et bien perdu, on comprend.
Je divague et je me prive,
Je supplie et je suffoque,
Je me moque et je prie,
Mes semblables les astres,
Pour qu'ils me sortent de ce désastre,
En me tendant, de manière fraternelle,
Leurs douces mains charnelles,
C'est du déclaratif, pas très dramatiquement perdu tous ça. La répétition
du "je" est étrange, la rime souligné est particulièrement forcée.
Mais capitaine, je ne peux plus rêver,
Non Némo, je ne peux plus espérer,
En effet, en omettant le respect,
Mes semblables les astres ,
Regardent leurs reflets ,
Seulement pour paraître,
Dans le miroir que sont mes yeux,
Encore plus impérieux ,
Une deuxième tirade, sans point d'exclamation propre du tragique, ou
interrogation d'effroid, bof. As-tu vraiment réfléchit à l'état de perte ?
Bon là les astres reviennent dès les troisième vers avec un vai non rimé :
paraitre. La forme est étrange, peu agréable.
Mais peut-être, moi aussi fais-je rencontrer,
D'autres délaissés,
Qui comme moi en ont assez,
De ce monde de dégénérés ,
Fait de créatures emmitouflées! dans le labyrinthe de la vie,
Fait de monstres étant aveuglés! par la clarté trop lumineuse de leur
esprit,
Là la forme est à chier, on passe d'une structure à une déstructuration,
ça dégénère encore là ça peut un peu coller au thème.
L'obsucre clarté, le front éclairé, etc. Prend une lampe de poche met toi
là dans les yeux, la poésie qui en sortira sera plus personnelle et plus
inspirée.
En s'octroyant notre guide la raison ,
A la manière dionysiaque d'Apollon,
Oui, je le hurle! les hommes mes émules,
En perdent leur humanité au profit de la bestialité,
Et muent tous en Minotaure ,
Hormis, quelques érudits, qui restent des toréadors,
Réunir Appolon et Dionisos, pourquoi ? Où est la finesse de la structure de
cieux de l'Olympe après ?
Après, les sortes de personnifications sont amenées l'une après l'autre
sans effet de style très appropriés.
Les Hommes, ont pour ultime sentiment, l'animosité,
Dévorés, par leur instinct de centaure, ils doivent être chassés,
O! Thésée! revient sur Terre me sauver,
De ces prédateurs assoiffés,
Demande à ton père, de lever les océans,
Demande à Zeus, de foudroyer les vivants,
Permets aux hommes de franchir l'Achéron,
En leur Donnant la barque de Charon ,
Tuer tous le monde c'est ça ta solution ? reflexion, réflexion ... La figure
de la bête est éludée alors qu'elle est le centre de ce paragraphe.
Comme un radeau [De la méduse] à la dérive, imbibé de rancoeur,
Qui part et qui s'égare ,
Je souhaite me fracasser, contre un rocher acéré,
En ayant pour dernier désir ,
Le seul espoir que mon coeur éclate et se déchire,
Sous l'impact, du choc et de la roche,
Afin de submerger sans anicroche ,
Le monde des sans coeur, ce monde des sans moeurs,
"Mobilis in mobile".
Terminer par une citation, EXPLDR !!! Tu veux apprendre quoi à qui ? Un
poème c'est pour soi, on crée, on se crée, on va pas utiliser des citation
venues d'ailleurs !!!
A la limite on peut en modifier une, pour donner un effet de style (assez
merdique).
Les mots soulignés cassent le rythme, ils ne sont pas nécessaire.
L'utilisation du point par contre l'est.
En conclusion un thème difficile, donc une réalisation difficile et un
résultat que l'on pouvait attendre qui se réalise, une expression lourde
sans vraiment envolées de sens. Personnelement je n'aurais pas fait mieux,
normal car je trouve le thème merdique et je ne suis pas maso pour rien. Car
qu'est-ce qu'il y a de transcendant ? Quoi ? Quand ? Où ? Comment ?
C'est un déclaratif qui reste les pieds dans la flotte, par peur de couler ?
Où de s'envoler vers les abysses ? |
Ah enfin un vrai avis au bout de 30 messages inutile... Enfin une personne,
donne un avis complet et précis sur ce poème...
Merci a toi pour ta franchise, et pour ton avis...
J'ai bien aimé que tu aies vu l'idée de "destruction" et de
"dégénèrescence" (je sais pas si c'est francais, mais un académicien ou un
Fan de monsieur Larousse, va surement me le dire)... C'est aussi un thème du
poème... D'ailleurs au début je voulais appeller le poème
:"dégénèrescence"... Ca prouve que t'as compris le poème donc que ton avis
est fiable...
Quant'as la forme, le coté lourd et déstructuré du poème, colle de mon
point de vue bien au thème du poème... Mais je respecte ton point de vue et
le prend en considération...
JE vais surement faire une version plus simple de ce poème... Et si je
mettais le poème a la trosième personne du singulier?: "Il divague et il se
prive, Il supplie et il suffoque..
Citation: |
on passe d'une structure à une déstructuration, ça dégénère encore là
ça peut un peu coller au thème. |
Dernière édition par vince le chat le Lun Déc 24, 2007 16:31 pm; édité 2 fois
|
Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Lun Déc 24, 2007 16:21 pm Sujet du message:
Hilarant
Il fait exprès d'être maladroit, il est volontairement lourd dans son
écriture, somme toute, c'est sciemment qu'il fait de la merde. Et nous
autres, pauvres hères, tristes rejetons de l'infâme Larousse, n'avons mot à
dire puisque le sujet nous dépasse.
Saluez poètes, voici le Désordre.
Dernière édition par Méphistophélès le Mar Déc 25, 2007 11:37 am; édité 1 fois
|
Petimuel
De passage


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Posté le: Lun Déc 24, 2007 18:14 pm Sujet du message:
C'est donc ça le Désordre?
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Méphistophélès
Suprème actif


Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 4299
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Posté le: Mar Déc 25, 2007 11:38 am Sujet du message:
Il paraît.
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Ozimandias
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Localisation: Rien.
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Posté le: Mar Déc 25, 2007 17:27 pm Sujet du message:
Ozimandias a
écrit: | Prend une lampe de
poche met toi là dans les yeux, la poésie qui en sortira sera plus
personnelle et plus inspirée. |
Le côté destructuré est effectivement plus qu'apparent, il est. Au
contraire d'un réel poème où il aurait été gentillement forcé présenté
pathétiquement voir tragiquement au lieu d'être aussi platement
destructuré.
Il manque de l'inspiration, je le répète. On dirait du déclaratif partout,
ce n'est pas un manuel d'utilisation d'un mixer c'est un poème !
Je ne peut pas te dire comment être inspiré, méphisto a peut-être une
idée dessus après nombre de "déchiquexion" de poème, mais il vaut mieux
que tu trouves par toi même. J'ajouterais quand même une petite différence
à l'avis de méphisto, il n'y a pas que la lecture pour comprendre
l'inspiration il y a d'autre choses.
|
Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Mar Déc 25, 2007 17:29 pm Sujet du message:
Je ne dis pas le contraire.
|
Silver Mercure
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Posté le: Mar Déc 25, 2007 19:02 pm Sujet du message:
ceci dit, la lecture présente le double avantage d'inspirer et d'instruire de ce qui a déjà
été fait.
(français écrit 16, oral 14, littérature 20...)
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alcibiade
Suprème actif


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Posté le: Mar Déc 25, 2007 21:32 pm Sujet du message:
Euh, avoir de bonnes notes ne suppose pas forcément une connaissance
poétique ou une sensibilité extraordinaire. Pas mal de grands écrivains ont
fait des études assez foireuses ou bordéliques Ceci dit bravo
quand même. Pour ma part 15 à l'écrit et 16 à l'oral en français et 11 en
littérature.
Pour revenir au sujet, je trouve ce poème lourd, ennuyeux et
incompréhensible. Je conseille une cure de Musset, de Hérédia et de
Lamartine. Et pour dormir la nuit, du Bossuet.
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Petimuel
De passage


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Posté le: Mar Déc 25, 2007 22:36 pm Sujet du message:
Verlaine et Hugo demeurent mes préférés.
Après, on peut parler de Laforgue, d'Aragon, de Du Bellay, de Vigny, de
Villon, de Ronsard...
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Silver Mercure
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Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Mer Déc 26, 2007 12:04 pm Sujet du message:
Je constate cependant que je suis détenteur de la plus mauvaise moyenne au
bac de français, épique
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alcibiade
Suprème actif


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