twiggy
Petit nouveau
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butterflyz0986
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Posté le: Lun Fév 20, 2006 20:57 pm Sujet du message:
mercure est très bien, un des meilleurs à mon avis........
quant aux catilinaires, il est franchement trop space, j'ai bcp aimé, ms
c'est vraiment un bouquin bizarre... on sait pas trop ce qui se passe du
début à la fin !
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Redz66
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JonaLX
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KLC
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Posté le: Ven Fév 24, 2006 13:58 pm Sujet du message:
Moi j'ai lu "Les Catilinaires" et "Stupeurs et tremblements", et j'ai bien
apprécié.
Elle a un style d'écriture qui fait que ça se lit assez facilement, c'est
agréable à lire.
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Minalou
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Posté le: Ven Fév 24, 2006 14:03 pm Sujet du message:
J'en ai lu pas mal, mais j'ai adoré cosmétique de l'ennemi et Mercure
également....J'aime ce qu'elle écrit 
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Invité
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Posté le: Ven Fév 24, 2006 14:22 pm Sujet du message:
[message supprimé]
Dernière édition par Invité le Mar Avr 27, 2010 17:07 pm; édité 1 fois
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Pi_0uh-hu0-iP
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Posté le: Dim Juil 22, 2007 17:17 pm Sujet du message:
J'ai lu Stupeur et tremblements, et une amie a lu Alcide sulfurique, qu'elle a
beaucoup aimé.
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Méphistophélès
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Posté le: Dim Juil 22, 2007 17:57 pm Sujet du message:
Le style d'Amélie Nothomb m'a énormément plu, elle fait parti des rares
auteurs contemporains dont j'ai lu avidement l'ensemble de l'oeuvre. Mes
préférés restent l'Hygiène de
l'assassin - un peu dans le genre de Peplum - pour la beauté des dialogues, les Catilinaires* dont l'idée directrice m'a
fascinée - à savoir, un vieil homme s'invitant jour après jour, à heure
fixe chez une famille, vraisemblablement sans but et sans jamais leur
décrocher une parole, cela, jusqu'à ce que la famille devienne folle et
cherche à l'assassiner. Je citerais également la Métaphysique des tubes, les premières pages sont simplement
éblouissantes, et Acide Sulfurique
qui est une analyse psychologique fine du grand public, le tout, sur un sujet
tout à fait d'actualité.
Je fois dire cependant que les Combustibles - malgré une thématique fascinante, à savoir,
bruler progressivement des livres, symboles de la culture, pour résister au
froid, jusqu'à ce qu'il faille choisir quel livre servira de combustible et
quel autre perdurera - et Cosmétique de
l'ennemi m'ont un peu ennuyés.
* Pour ceux qui l'ignoreraient, une catilinaire est un discours violent,
agressif.
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Pi_0uh-hu0-iP
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Posté le: Dim Juil 22, 2007 18:10 pm Sujet du message:
J'ai acheté Péplum. J'espère ne pas être
déçu.
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Méphistophélès
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Posté le: Dim Juil 22, 2007 18:14 pm Sujet du message:
Nothomb, elle l'avoue elle-même, est avant tout une dialoguiste. Or, il se
trouve que Péplum est exclusivement
constitué de dialogues. Si tu aimes l'esprit, les répliques à l'emporte
pièce et les joutes verbales, ce livre devrait te plaire.
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Pi_0uh-hu0-iP
De passage
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Posté le: Dim Juil 22, 2007 18:21 pm Sujet du message:
| Méphistophélès a
écrit: | | Nothomb, elle l'avoue
elle-même, est avant tout une dialoguiste. Or, il se trouve que Péplum est exclusivement constitué de
dialogues. Si tu aimes l'esprit, les répliques à l'emporte pièce et les
joutes verbales, ce livre devrait te plaire. |
Je sais pas si ça va me plaire ou pas, mais en
tout cas, merci du conseil. Dès que je lis, je te tiens au courant,enfin, se
sera pas avant un petit moment. Dis, jevoulais savoir, quel as-tu ?
|
Ceci
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 14:39 pm Sujet du message:
J'ai lu seulement Acide Sulfurique,
pas mal.
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Méphistophélès
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 15:25 pm Sujet du message:
| Citation: | | Dis, jevoulais savoir, quel as-tu ? |
Quel âge j'ai ? 19 ans, David de mon p'tit nom. Et toi ?
J'ai lu Acide sulfurique juste après
avoir fini le troisième tome de la Divine
Comédie d'Alighieri Dante: inutile de vous dire qu'à côté de la
Dante, n'importe quel ouvrage paraitrait incroyablement vif et moderne; aussi,
peut-être l'excellent souvenir que j'ai gardé de cet Acide Sulfurique est-il influencé par ma
lecture précédente...
Cependant, je conseille à tous les curieux en quête de classiques de lire au
moins le premier tome de la Divine
Comédie, l'Enfer - les deux
autres tomes sont un peu chiants - c'est à la fois très beau et très
intéressant.
| Citation: | "Par moi, on va dans la cité dolente,
par moi, on va dans l'éternelle douleur,
par moi, on va parmi la gent perdue.
Justice à mue mon sublime artisan,
Puissance divine m'a faite, et la Haute Sagesse, et le Premier Amour.
Avant moi, rien n'a jamais été créé qui ne soit éternel, et moi je dure
éternellement.
Vous qui entrez laissez toute espérance."
La Divine Comédie - tome 1: l'Enfer - chant 3 -Alighieri Dante |
|
Ceci
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 15:51 pm Sujet du message:
| Méphistophélès a
écrit: | J'ai lu Acide sulfurique juste après avoir fini le
troisième tome de la Divine Comédie
d'Alighieri Dante: inutile de vous dire qu'à côté de la Dante, n'importe
quel ouvrage paraitrait incroyablement vif et moderne; aussi, peut-être
l'excellent souvenir que j'ai gardé de cet Acide Sulfurique est-il influencé par ma lecture
précédente...
Cependant, je conseille à tous les curieux en quête de classiques de lire au
moins le premier tome de la Divine
Comédie, l'Enfer - les deux
autres tomes sont un peu chiants - c'est à la fois très beau et très
intéressant. |
1. On peut pas parler des tomes, mais des poèmes.
2. La Divine Comédie est l'ouvrage le plus vif et moderne parce que le
parcours personel de croissance intérieure et personelle est toujours basé
sur le doute.
3. Puis, si on lit aussi la troisième poème, il faut tenir compte de la foi
et, ça,c'est une autre histoire.
|
Méphistophélès
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 15:58 pm Sujet du message:
J'emploie le terme "tome", dans la mesure où mon édition - ce n'est pas le
cas de toutes les éditions j'en conviens - est scindée en trois tomes. En
outre, si l'on voulait se montrer rigoureux sur les appellations, l'on
parlerait à ce sujet de cantiques, plus que de poèmes.
En ce qui concerne le "doute", c'est adorable tout ça, mais je te demanderais
de développer un peu ton propos: je suis tout disposé à parler de Dante
avec toi.
Enfin, tu en conviendras, il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour
s'intéresser à un ouvrage à forte connotation religieuse - et je parle là
de l'ouvrage dans son ensemble, pas seulement du troisième tome. D'ailleurs,
j'avais un professeur athée, en histoire contemporaine, qui avait fait sa
thèse sur l'Eglise catholique.
|
Ceci
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 16:59 pm Sujet du message:
| Citation: | | On
peut parler de tomes, dans la mesure où mon édition - ce n'est pas le cas de
toutes les éditions j'en conviens - est scindée en trois tomes. Faut-il que
je rappelle la définition d'un "tome" ? |
Quand on parle de l'ouvrage de Dante, on parle toujours des poèmes parce que
ça n'a aucun sens de se référer aux tomes de ton édition, parce que c'est,
justement, un choix éditorial.
Mais, ces sont des bagatelles, au fond.
| Citation: | | En
ce qui concerne le "doute", c'est adorable tout ça, mais je te demanderais de
développer un peu ton propos: je suis tout disposé à parler de Dante avec
toi. |
Cet ouvrage est moderne parce que aussi dans la vie on rencontre des
difficultés, des obstacles et aussi les fauves qui nous tentent; on est entouré d'hommes qui se
trompent, nous-mêmes nous ratons.
Et comme serait agréable la loi du contrappasso, n'est pas?
La Divine Comédie fait réfléchir sur problèmes actuels.
| Citation: | | Enfin, tu en conviendras, il n'est pas nécessaire d'avoir la
foi pour s'intéresser à un ouvrage à forte connotation religieuse - et je
parle là de l'ouvrage dans son ensemble, pas seulement du troisième tome.
D'ailleurs, j'avais un professeur athée, en histoire contemporaine, il avait
pourtant fait sa thèse sur l'Eglise catholique. |
Oui, évidemment, la foi n'est pas nécessaire mais pour mieux comprendre
l'esprit du Paradis ça ne ferait pas
mal.
J'ai parlé du troisième poème parce que tu as défini "chiants" les "deux
autres tomes".
Je parle français avec peine, sorry.
|
Méphistophélès
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Posté le: Lun Juil 23, 2007 18:11 pm Sujet du message:
| Citation: | | Je
parle français avec peine, sorry. |
Je vois ça, ce n'est pas grave.
| Ceci a
écrit: | Quand on parle de
l'ouvrage de Dante, on parle toujours des poèmes parce que ça n'a aucun sens
de se référer aux tomes de ton édition, parce que c'est, justement, un
choix éditorial.
Mais, ces sont des bagatelles, au fond. |
Tu insistes pour que nous nous montrions rigoureux sur le vocabulaire, et
c'est une très bonne chose - je suis un puriste de la langue. Aussi
parlerons-nous de cantiques plutôt que de poèmes.
Enfin, en ce qui concerne la thématique du doute, s'il est vrai que tout au
long de son périple Dante craint d'aller plus avant, qu'il est poussé
tantôt par Virgile, tantôt par Béatrice; je ne suis pas sûr que cela
constitue pour autant le point central de l'oeuvre. La dénonciation de
l'ordre politique de son temps, la lutte entre Guelfes et Gibelins, ainsi que
cette réflexion métaphysique et théologique sur le Bien et le Mal, sur
l'au-delà, me semblent des aspects autrement plus importants. Tu ne penses
pas ?
Toutefois, au travers de cette idée du "doute", il est vrai que l'on peut
interpréter la Divine Comédie comme
une recherche de soi, une introversion nous poussant à définir plus
clairement ce que nous sommes et ce que nous valons au travers des diverses
épreuves jalonnant notre chemin: somme toute, une invitation à se sublimer
dans le cadre de la foi chrétienne.
|
Ceci
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Posté le: Mar Juil 24, 2007 00:16 am Sujet du message:
| Citation: | | Tu
insistes pour que nous nous montrions rigoureux sur le vocabulaire, et c'est
une très bonne chose - je suis un puriste de la langue. Aussi parlerons-nous
de cantiques plutôt que de poèmes. |
Moi aussi je suis une puriste de la langue, je ne peux pas voir qu’on parle
des tomes de la Divine Comédie.
Je ne savais pas traduire « cantica », j’ai cherché dans le dictionnaire
et j’ai trouvé « poème ». Merci pour ton éclaircissement.
| Méphistophélès a
écrit: |
Enfin, en ce qui concerne la thématique du doute, s'il est vrai que tout au
long de son périple Dante craint d'aller plus avant, qu'il est poussé
tantôt par Virgile, tantôt par Béatrice; je ne suis pas sûr que cela
constitue pour autant le point central de l'oeuvre. La dénonciation de
l'ordre politique de son temps, la lutte entre Guelfes et Gibelins, ainsi que
cette réflexion métaphysique et théologique sur le Bien et le Mal, sur
l'au-delà, me semblent des aspects autrement plus importants. Tu ne penses
pas ?
Toutefois, au travers de cette idée du "doute", il est vrai que l'on peut
interpréter la Divine Comédie comme
une recherche de soi, une introversion nous poussant à définir plus
clairement ce que nous sommes et ce que nous valons au travers des diverses
épreuves jalonnant notre chemin: somme toute, une invitation à se sublimer
dans le cadre de la foi chrétienne. |
La thématique du doute est la première à laquelle j’ai pensé mais oui,
on peut trouver des aspects autrement plus importants. La lutte entre Guelfes
et Gibelins ? Cela a beaucoup peu d’importance, plutôt alors la lutte entre
Guelfes blancs et Guelfes noirs à Florence. Et ça, malheureusement, peut
être actuel en Italie, si on est très pessimiste…je pense à la guerre
entre les laïques et les catholiques qui est encore vive, parce que
l’Eglise intervient toujours et influence les choix de l’Etat (C’est la
même histoire : la division entre pouvoir spirituel et pouvoir temporel).
Et puis, la dénonciation de l’ordre politique de son temps n’est pas
moderne ? Il a critiqué avec force la société à lui contemporaine parce
que ses valeurs étaient tous dans la logique du gain, aujourd’hui on parle
du « Dieu argente » et blabla.
Dante exprime l’identité de la culture occidentale et ses valeurs :
l’individualité, la fidélité, la piété, la liberté (il y a aussi qui
choisit l’enfer) et les droits de l’homme.
|
Tsubi
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Posté le: Mar Juil 24, 2007 00:47 am Sujet du message:
Moi j'suis pas un puriste de la langue.
*retourne à ses cavalcades*
|
mais c'est le seul
j'en ai lu un paquet d'elle et les autres m'ont tous plu. surtout la 
