Explication de Texte


Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forum pour jeunes -> Philosophie

Ahah
Petit nouveau
Petit nouveau


Sexe: Sexe:Féminin

Inscrit le: 17 Déc 2011
Messages: 4

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:37 pm    Sujet du message: Explication de Texte
Bonjour !
J'ai recu un Devoir maison a faire durant ces vacances, et c'est une explication de texte. C'est la première explication que je dois faire et je vous avoue que je ne sais pas trop comment m'y prendre ...
Pouriez-vous me donner quelques conseils ?
Merci
Will.i.am
Mister Genaisse 2012


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 19 Jan 2011
Messages: 8632
Localisation: Var

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:39 pm    Sujet du message:
à part bien lire le texte plusieurs fois, et essayer de trouver différents "mouvements", je ne vois pas ^^

bon courage Wink
Penseur Pensif
Super actif
Super actif


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 18 Avr 2011
Messages: 2251
Localisation: Entre deux neurones.

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:44 pm    Sujet du message:
D'abord il faut bien lire le texte.

Ensuite tu rédige une introduction ou tu peux placer le sujet dans le cadre historique, peut etre si tu connais l'auteur, bon une intro quoi sur la base de ta réflexion.

Ensuite tu prend chaque phrase du texte et tu la décortique, en gros un paragraphe par phrase, ou groupe de phrase partageant la meme idée.

ensuite tu explique le texte dans sa généralité, et finalement tu donne ton avis, et finalement tu conclus.
Eponine
Madame Casse-Pieds


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 02 Fév 2009
Messages: 13631

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:50 pm    Sujet du message:
Et tu te prends 2.
Penseur Pensif
Super actif
Super actif


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 18 Avr 2011
Messages: 2251
Localisation: Entre deux neurones.

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:51 pm    Sujet du message:
C'est la méthode CNED... mais bien sur je peux me tromper.
Souki
Modératrice


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 05 Nov 2011
Messages: 3273
Localisation: Lyon

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 16:55 pm    Sujet du message:
Ma méthode, c'est ça :

Lire le texte très attentivement une ou plusieurs fois.
Voir d'où on part, où on arrive. -> les assertions
Repérer les connecteurs logiques. -> les articulations

Après, faut voir en fonction de ce que tu as trouvé. Certains concepts vont s'imposer comme étant les plus importants. En général, Tu passes de A à A' par le truchement de B. Faut réfléchir sur le lien entre A et B, voir en quoi B transforme A, le discuter, le contester, éventuellement, voir en quoi c'est une nouveauté.

L'histoire de la philosophie peut être utile. Souvent, on dit quelque chose parce que la pensée dominante dit le contraire. Parfois, des pensées postérieures ont apporté d'autres élément qui changent la donne. Pour le commentaire à proprement parler, le plus facile c'est de procéder à une remise en contexte, je dirais.
Ahah
Petit nouveau
Petit nouveau


Sexe: Sexe:Féminin

Inscrit le: 17 Déc 2011
Messages: 4

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 17:02 pm    Sujet du message:
Merci beaucoup. Je vais essayer de me lancer !
C'est un texte de Sartre, <<Cahiers pour une morale>> si ça vous dit quelque chose Smile & si par hasard vous n'auriez pas quelques petites indications sur ce texte ^^
Souki
Modératrice


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 05 Nov 2011
Messages: 3273
Localisation: Lyon

Message Posté le: Dim Déc 18, 2011 17:09 pm    Sujet du message:
J'ai pas lu ce texte mais pour Jean-Paul Tartre, je peux te dire qu'il a été beaucoup influencé par la phénoménologie quoiqu'il s'en distingue avec l'existentialisme. Après, faudrait que tu nous donne + de renseignements (par exemple, de quoi parle-t-il ?) voire que tu balances un lien vers ce texte.
Ahah
Petit nouveau
Petit nouveau


Sexe: Sexe:Féminin

Inscrit le: 17 Déc 2011
Messages: 4

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 13:22 pm    Sujet du message:
Voilà le texte :


« Me voilà tuberculeux par exemple. Ici apparaît la malédiction. Cette maladie qui m’infecte, m’affaiblit, me change, limite brusquement mes possibilités et mes horizons. J’étais acteur ou sportif, je ne puis plus l’être. Ainsi, négativement, je suis déchargé de toute responsabilité touchant ces possibilités que le cours du monde vient de m’ôter . C’est ce que le langage populaire nomme être diminué. Et ce mot semble recouvrir une image correcte : J’étais un bouquet de possibilité, on ôte quelques fleurs, le bouquet reste dans le vase, diminué, réduit à quelques éléments. Mais en réalité il n’en est rien. Cette image est mécanique. La situation nouvelle quoique venue du dehors doit être vécue c’est-à-dire assumée dans un dépassement. Il est vrai de dire qu’on m’ôte des possibilités mais il est vrai aussi que j’y renonce ou que je m’y cramponne ou que je ne veux pas voir qu’elles me sont ôtées ou que je me soumets à un régime systématique pour les reconquérir. En un mot ces possibilités ne sont donc pas supprimées mais remplacées par un choix d’attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités. Et d’autre part, surgissent avec mon état nouveau des possibilités nouvelles possibilités à l’égard de ma maladie (être bon ou mauvais malade), possibilités vis-à-vis de ma condition (gagner tout de même ma vie, etc.), un malade ne possède ni plus ni moins de possibilités, qu'un bien portant ; il a son éventail de possibles comme l'autre et il à décider sur sa situation, c'est-à-dire à assumer sa condition de malade pour la dépasser (vers la guérison ou vers une vie humaine de malade avec de nouveaux horizons).
Autrement dit la maladie est une condition à l’intérieur de laquelle l’homme est à nouveau libre et sans excuses. Il a à prendre la responsabilité de sa maladie. Sa maladie est une excuse pour ne pas réaliser ses possibilités de non-malade mais il n'en est pas une pour ses possibilités de malade qui sont aussi nombreuses. [...]
Ainsi suis-je sans repos : toujours transformé, miné, laminé, ruiné du dehors et toujours libre, toujours obligé de reprendre à mon compte, de prendre la responsabilité de ce dont je ne suis pas responsable. Totalement déterminé et totalement libre.


(J'ai du écrire des passages moi-même, désolé si il y a l'une ou l'autre faute d’orthographe.)
Gelmah de Rothmir
Suprème actif
Suprème actif


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 17 Déc 2007
Messages: 3371
Localisation: Céleste Normandie

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 13:55 pm    Sujet du message:
Bah le sujet est clair. C'est clairement une déclaration de guerre au déterminisme et au fatalisme. Il serait judicieux que tu développes la dichotomie entre les deux (libre choix et fatalité) et que tu introduises la pensée des philosophes du destin.
Expliquer un texte c'est expliciter la thèse mais aussi la mettre en relief avec des antithèses que tu découvres et introduit.

Une explication de texte n'est pas de la paraphrase ou de la description, c'est clairement une mise en perspective.

Un conseil pratique : le plan. Tu fais un plan du texte, avec les différentes idées exprimées. Ensuite tu fais un plan de ton explication en insérant tes explications, tes étoffements, tes entithèses.

Un autre conseil : rédige bien ton intro. Il n'est rien de plus ennuyeux pour un prof de philo que de débuter une copie qui promet d'être chiante comme la pluie. Apostrophe, surprends, interpelle. En gros fais du marketing pour que ta copie donne envie d'être lue.

Un troisième conseil : Rédige clairement et fluidement. Brise l'écrit scolaire, trouve de bonnes connections, transitions mais ne montre pas que tu suis un plan que tu juges suprême. En gros, intéresse ton lecteur.
Souki
Modératrice


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 05 Nov 2011
Messages: 3273
Localisation: Lyon

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:03 pm    Sujet du message:
Oui, Gelmah a raison : il faut découper le texte pour faire émerger son plan et rédiger avec clarté (et enthousiasme si possible !).

Je te propose un découpage. Peut-être celui-ci ne te conviendra pas. L'idée, c'est qu'il doit être cohérent, c'est-à-dire suivre l'argumentation.

La difficulté ici, c'est que le découpage de l'extrait débute par un exemple. Il est possible que ce qui précède ton extrait soit de l'argumentatif pur, ce qui est plus facile à analyser. Là, il va falloir boucher les trous et retrouver les concepts gommés dans l'exemple.

Je n'ai plus vraiment en tête toute la démarche existentialiste, en tout cas je me souviens que la notion de responsabilité est au centre et que Sartre a essayé de la penser sans Dieu (cf l'après-guerre mondiale et le désespoir / sentiment d'absurdité qui en est sorti).

Pour moi, le problème se situerait plutôt autour de la responsabilité dans le malheur. Est-on responsable des malheurs qui nous frappent ?

Première partie : la malédiction, conception négative de l'événement.
Jean-Paul Tartre a écrit:

Me voilà tuberculeux par exemple. Ici apparaît la malédiction. Cette maladie qui m’infecte, m’affaiblit, me change, limite brusquement mes possibilités et mes horizons. J’étais acteur ou sportif, je ne puis plus l’être. Ainsi, négativement, je suis chargé de toute responsabilité touchant ces possibilités que le cours du monde vient de m’ôter. C’est ce que le langage populaire nomme être diminué. Et ce mot semble recouvrir une image correcte : J’étais un bouquet de possibilité, on ôte quelques fleurs, le bouquet reste dans le vase, diminué, réduit à quelques éléments.


-> L'événement est marqué par le déictique "voilà".

-> Malédiction = fatalité négative. Il faut comprendre cette négation ; Théologiquement, c'est intrusion d'un mal imposé par des puissances supérieures dans la vie d'un homme. Sartre redéfinit la malédiction comme perception négative de l'événement, c'est-à-dire qu'on n'y perçoit que ce dont on est privé, en niant la créativité de l'événement perçu comme mauvais. Ici, la puissance supérieure est nommée "cours du monde", marquant l'athéisme de l'existentialisme.

-> La négativité est marquée par des termes dérivés dont la construction utilise
- un privatif : dé-chargé,
- un radical indiquant le moins, la faiblesse : af-faibl-it, ôter, di-minu-er (cf minor / minus en latin)
= marques dans le langage de cette vision du bouleversement comme privation non-créative. La doxa s'oppose à la pensée existentialiste dans la mesure où elle considère la nouvelle situation par le biais d'une norme implicite.

-> La notion de responsabilité est intrinsèquement liée à la notion de puissance (cf pouvoir / potentiel / possible -> concept né chez Aristote par opposition à l'acte). La conception de la responsabilité dérive donc de la perception de notre potentiel, donc il a besoin de travailler sur celle-ci pour déployer entièrement son concept de responsabilité.


Deuxième partie : vers une conception responsable et active de la malédiction. (l'inconditionnelle créativité de l'événement)

Citation:
Mais en réalité il n’en est rien. Cette image est mécanique. La situation nouvelle quoique venue du dehors doit être vécue c’est-à-dire assumée dans un dépassement. Il est vrai de dire qu’on m’ôte des possibilités mais il est vrai aussi que j’y renonce ou que je m’y cramponne ou que je ne veux pas voir qu’elles me sont ôtées ou que je me soumets à un régime systématique pour les reconquérir. En un mot ces possibilités ne sont donc pas supprimées mais remplacées par un choix d’attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités. Et d’autre part, surgissent avec mon état nouveau des possibilités nouvelles, possibilités à l’égard de ma maladie (être bon ou mauvais malade), possibilités vis-à-vis de ma condition (gagner tout de même ma vie, etc.), un malade ne possède ni plus ni moins de possibilités, qu'un bien portant ; il a son éventail de possibles comme l'autre et il à décider sur sa situation, c'est-à-dire à assumer sa condition de malade pour la dépasser (vers la guérison ou vers une vie humaine de malade avec de nouveaux horizons).

-> La négativité apparente d'un événement s'oppose à l'indéfectible créativité de l'être. Ce n'est pas le monde (extériorité) qui crée les possibles mais l'être (intériorité).

-> Assumer, c'est prendre part aux événements, c'est-à-dire s'attribuer une part de liberté quoi qu'il arrive. Le cours des événements, qu'il soit le fait d'une transcendance ou du hasard ne peut réduire la liberté intérieure de l'être qui consiste à faire ce qu'il veut de ce qui lui tombe dessus. Nécessité externe mais liberté interne, donc.

-> aucun événement ne saurait donc être considéré comme pure négativité, en cela que rien ne peut nier le choix. (en somme, JP enfonce es portes ouvertes depuis l'Antiquité puisque cela revient à effectuer la distinction stoïcienne entre 1) ce qui dépend uniquement du monde, 2) ce qui dépend du monde et de moi et 3) ce qui ne dépend que de moi).

-> on peut élargir sa réflexion à la question de l'existence du mal. en suivant son idée, il n'y aurait pas de mal puisque pas de négativité pure. On n'ôte rien à sa propre vie, donc.


Troisième partie : Universalité de la responsabilité, chimère de l'excuse. (on n'y échappe pas)

Citation:
Autrement dit la maladie est une condition à l’intérieur de laquelle l’homme est à nouveau libre et sans excuses. Il a à prendre la responsabilité de sa maladie. Sa maladie est une excuse pour ne pas réaliser ses possibilités de non-malade mais il n'en est pas une pour ses possibilités de malade qui sont aussi nombreuses. [...]
Ainsi suis-je sans repos : toujours transformé, miné, laminé, ruiné du dehors et toujours libre, toujours obligé de reprendre à mon compte, de prendre la responsabilité de ce dont je ne suis pas responsable. Totalement déterminé et totalement libre.

-> Qu'est-ce qu'une excuse ? (indice : au tarot, l'excuse est une des cartes les plus importantes. On l'utilise quand on n'a rien à mettre et on la récupère. C'est une carte zéro, qui est jouée sans risque puisqu'elle ne fait ni gagner, ni perdre).

-> Puisque l'homme est nécessairement libre, on peut le juger. Rien ne permet donc d'échapper à la liberté et donc au jugement de la société.

-> La liberté interne de me positionner par rapport à ce qui m'arrive est donc paradoxalement ce qui me lie au monde, puisque celui-ci peut me juger sans cesse. En somme, l'indépendance de l'être vis-à-vis des événements fonde ici son devoir de rendre des comptes.


On peut se questionner sur la moralité de cette thèse, qui consiste à vouloir juger ceux que le malheur frappe. par exemple, dans la Bible, Job est accablé de tous les malheurs (c'est un pari entre Dieu et le Diable, pour voir si Job est si bon que ça... Ils décident de l'accabler de tous les maux en le rendant pauvre, en tuant ses enfants, sa femme, etc. Mouahaha, qu'est-ce qu'on se fend la poire au septième ciel ! Non ?). Job fait "contre mauvaise fortune joyeux visage" ou presque, pour citer Robin des Bois de Disney (^^) MAIS justement, pour cela, il est montré comme un exemple exceptionnel de foi et de sainteté. On peut donc se poser quelques questions sur l'application de cette thèse ; l'existentialisme est-il un humanisme si humain que ça ??

Je te laisse trouver d'autres objections...


Dernière édition par Souki le Lun Déc 19, 2011 17:10 pm; édité 2 fois
Gelmah de Rothmir
Suprème actif
Suprème actif


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 17 Déc 2007
Messages: 3371
Localisation: Céleste Normandie

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:05 pm    Sujet du message:
Caco, c'est parfait !
Souki
Modératrice


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 05 Nov 2011
Messages: 3273
Localisation: Lyon

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:18 pm    Sujet du message:
Merci Gelmah ! Toi seul sais reconnaître mes qualités... Very Happy
Will.i.am
Mister Genaisse 2012


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 19 Jan 2011
Messages: 8632
Localisation: Var

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:28 pm    Sujet du message:
en effet, c'est très bien... si ce n'est que maintenant il y a le risque que le jeune Padawan nommé Ahah ne réfléchisse plus trop, et se contente de reprendre ton travail

Laughing
Gelmah de Rothmir
Suprème actif
Suprème actif


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 17 Déc 2007
Messages: 3371
Localisation: Céleste Normandie

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:40 pm    Sujet du message:
Ho mais après il y a une différence entre s'inspirer du plan de Caco en rédigeant un morceau de littérature et recopier bêtement en rédigeant un truc de merde.
Will.i.am
Mister Genaisse 2012


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 19 Jan 2011
Messages: 8632
Localisation: Var

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:50 pm    Sujet du message:
Oui, je suis d'accord... Dans le sens où je l'entendais, reprendre = recopier sans réfléchir
Souki
Modératrice


Sexe: Sexe:Féminin
Age: 38
Inscrit le: 05 Nov 2011
Messages: 3273
Localisation: Lyon

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:51 pm    Sujet du message:
Après, c'est à lui de voir... Il est responsable de sa copie et de son attitude face à l'événement que je viens de produire ! Twisted Evil
Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 10 Oct 2011
Messages: 3977

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 17:53 pm    Sujet du message:
Ca reste hyper intéressant.
Ahah
Petit nouveau
Petit nouveau


Sexe: Sexe:Féminin

Inscrit le: 17 Déc 2011
Messages: 4

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 19:01 pm    Sujet du message:
Merci beaucoup ! Est ce que je pourrais vous demander votre avis sur mon introduction lorsque celle-ci sera rédigée ? Smile
Will.i.am
Mister Genaisse 2012


Sexe: Sexe:Masculin

Inscrit le: 19 Jan 2011
Messages: 8632
Localisation: Var

Message Posté le: Lun Déc 19, 2011 19:02 pm    Sujet du message:
oui, mais la première réponse est gratuite, les autres sont payantes Laughing

Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forum pour jeunes -> Philosophie