Pixelle
Genaissienne de l'année 2013
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Posté le: Lun Fév 18, 2013 21:51 pm Sujet du message: Chercher du travail en étant enceinte
| Citation: | Je suis enceinte et j’ai le culot de chercher du
travail.
Voilà ce que je vis depuis plusieurs semaines de la part de recruteurs qui
tenaient absolument et urgemment à me rencontrer au vu de mon CV.
Il y a d’abord ceux qui me disent ouvertement que le fait d’être enceinte
empêche purement et simplement mon recrutement. Pourquoi ?
« Votre calendrier personnel n’est pas compatible avec le nôtre »
;
« Vous ne pouvez pas vous absenter six mois. »
Chacun sait qu’un congé maternité est de quatre mois, non de six, mais la
mauvaise foi est une arme qui a de tout temps fait ses preuves. Par ailleurs,
la crainte de cet employeur public dans le cas présent, c’est que j’ose
prendre à la suite un congé parental. Aussi, que son supérieur
hiérarchique lui reproche ce recrutement en parfaite connaissance de cause :
« Quoi, embaucher une femme enceinte ? Mais ce n’est pas l’Armée du
Salut ici ! »
« Revenez nous voir »
C’est comme si les mots de son président sifflaient déjà dans les
oreilles de cette jeune femme directrice d’une institution publique, par
ailleurs mère, que j’ai face à moi. Cette première attitude de rejet sans
appel de ma candidature alors même que sur le terrain des compétences, elle
l’a jugée excellente, a généré chez elle, après coup, un sentiment de
culpabilité qui l’a poussée à un mouvement qu’elle a cru généreux :
« Après la naissance de votre enfant, revenez nous voir, le poste de
directeur de service sera pourvu mais en-dessous il y aura peut être des
possibilités. »
La gifle causée par un tel mépris m’a chauffé la joue longtemps,
d’autant qu’elle émanait d’une institution publique dont le sens de la
responsabilité aurait dû être renforcé en la matière.
A la sortie de cet entretien, j’ai donc compris qu’on ne pourrait
m’offrir un poste à la hauteur de mes compétences parce que j’étais
enceinte. A croire que le fait de porter la vie m’avait soustrait des
capacités intellectuelles.
« Toutes nos félicitations !
»
La seconde attitude consiste à ne pas donner suite au processus d’embauche
sans avancer de raisons, voire, si j’avais l’impertinence de réclamer des
comptes à cor et à cri, à en inventer de vagues ou de parfaitement
incohérentes tant mes compétences professionnelles collaient au profil
recherché, ce que l’employeur pouvait souligner lui-même au cours de
l’entretien.
« J’espère vraiment que nous aurons l’occasion de travailler ensemble
», avait dit un directeur en présence de sa directrice des ressources
humaines et de son adjoint. Mais c’était avant d’apprendre l’existence
d’un fœtus dans mon ventre :
« Je vous remercie de nous l’avoir dit. Toutes nos félicitations !
Mais ne vous inquiétez pas, cela ne changera rien, ce ne sera pas pris en
compte dans notre processus de décision. »
Pourtant, il ne me raccompagnera pas à la porte ni ne répondra jamais plus
à mes messages électroniques. L’empressement qu’il avait manifesté pour
me rencontrer quelques jours auparavant avait mystérieusement fondu. Le plus
simple alors, et cela se vérifie, c’est finalement de faire le choix d’un
homme pour le poste. C’est ce que cet employeur fit. Choisir la facilité et
faire preuve d’une vision à court terme menacent les plus fragiles
d’entre nous. Sans le garde-fou de l’Etat et du droit, la situation risque
d’empirer encore davantage.
Je ne suis pas obligée de révéler ma grossesse
Ayant éprouvé à plusieurs reprises les deux types de refus précédemment
exposés, je me suis demandé ce que la loi prévoyait. Avais-je le droit de
rechercher un emploi ? Les refus d’embauche pour cause de grossesse
étaient-ils permis ?
J’ai découvert alors que j’étais protégée par la loi qui ne m’oblige
aucunement à révéler mon état de grossesse, considérant que l’égalité
des chances et de traitement doit être au principe d’un recrutement et que
seules les compétences prévalent. Il n’est pas prévu que le fait
d’être enceinte soit un critère de non-recrutement. Cette attitude relève
purement et simplement de méthodes discriminatoires.
Ragaillardie, je me suis alors présentée à de nouveaux entretiens sans
faire état de ma grossesse. A présent, je le savais, j’étais dans mon
droit. Je le sentais, la loi était saine, je n’avais plus à jeter ma vie
privée en pâture, ce que je trouvais très obscène au fond. Des idées,
j’en avais, enceinte ou non, et c’est avec ma force de travail que
j’entendais convaincre.
Ma situation personnelle correspondait aux aléas de l’entreprise, de même
qu’un recruteur attend souvent sa prochaine recrue trois mois le temps
qu’elle aille au bout du préavis de son précédent emploi.
A la Maison Blanche ou pour le lancement de la fusée Ariane, on comprend que
cela soit difficile d’attendre, mais dans le contexte d’une institution
publique et à l’heure du télétravail, on peut considérer que ces choses
s’organisent avec facilité quand les compétences et les idées sont là.
« Les femmes ne jouent pas le jeu de nos jours »
Désormais au fait du droit, je pensais qu’enfin cette situation personnelle
temporaire n’allait plus obstruer la discussion sur mes compétences ni sur
le contenu du travail à long terme qui seule m’importait. Mais ce que
j’ai découvert alors, c’est que le fait de ne pas révéler ma grossesse
ne réglait pas le problème, omniprésent dans les échanges, ni
n’éteignait les appréhensions de la part des employeurs, hommes ou
femmes.
Quelle était la difficulté majeure pour eux ? C’est que je sois en âge
d’en avoir, c’est d’être au fond à leurs yeux une menace permanente,
une bombe à retardement. Les craintes sont telles que les employeurs
n’hésitent pas à faire intrusion dans ma vie privée et à enfoncer le
clou à outrance.
« Avez-vous des enfants ? Non, oh cela viendra ! », avant de poursuivre :
« Les femmes ne jouent pas le jeu de nos jours. Elles ne sont plus
joignables quand elles sont en congé maternité. Et puis, vous voulez que je
vous dise ? Moi j’ai eu trois enfants et je me suis arrêtée quinze jours,
et bien personne n’est mort. »
Ce fut une autre douche froide, mais au milieu de l’entretien, il fallait
que j’abonde dans le sens des propos aberrants qui m’étaient tenus si je
voulais décrocher cet emploi. Pourtant, une fois encore, les questions sur la
vie privée sont censées être bannies des processus d’embauche. De retour
chez moi, la pression sournoise de l’employeur distilla son poison et je me
surpris à accepter par anticipation cet arrachement brutal à mon enfant pour
garantir à mon foyer des conditions de vie acceptables.
« C’est si beau d’être enceinte, faut en profiter
»
Quel soutien une femme enceinte qui ne parle pas de sa grossesse dans son
processus de recrutement est-elle susceptible de rencontrer ? Aucun. J’ai
même suscité des réactions violentes, irrationnelles. Certaines personnes
se sont littéralement détournées de moi.
« Passer des entretiens enceinte, c’est kamikaze, c’est d’une
telle évidence que c’est étonnant que personne d’autre que moi, dans
votre entourage proche, ne vous le dise. Inutile d’accuser la terre entière
d’injustice, ce que vous récoltez de refus est bien normal » ;
« Et puis, pourquoi se mettre exprès dans une situation délicate au
lieu d’attendre bien sagement la naissance ? C’est si beau d’être
enceinte, il faut en profiter, ce sont des moments rares. »
L’un n’empêche pas l’autre, et figurez-vous que mes droits au chômage
s’arrêtent très peu de temps après la naissance. La passivité est un
luxe que je ne peux pas m’offrir.
« Ce n’est pas bon pour votre bébé de le cacher…
»
Par ailleurs, vu le contexte actuel, l’attitude la plus sensée n’est peut
être pas de conserver la posture extatique de la femme enceinte dans laquelle
vous préférez que je végète. Je croyais être libre de mes choix, mais
non, en la matière, la société décide pour moi. Enceinte je suis,
écartée du monde du travail je resterai.
Qu’en pensent les instances d’autorité qui chaque jour prodiguent des
conseils aux femmes enceintes à la recherche d’un emploi ? J’ai
interrogé ma conseillère Pôle emploi, sa réponse fut sans appel :
« Nous ne conseillons pas à une femme de ne pas dire qu’elle est
enceinte. Cela fausse la confiance avec le futur employeur. Vous vous imaginez
? Vous partez sur de mauvaises bases, c’est tout à fait malhonnête. Vous
allez vous griller. »
Si je me grille, c’est que je commets une faute professionnelle, pourtant la
loi dit l’inverse ?
« Non, mais bon, nous ne le conseillons pas… » ;
« Etre enceinte quand on est dans une entreprise depuis deux-trois
ans c’est normal mais sinon… »
Un autre argument qu’elle croit massue, tout empreint de culpabilité pour
une future mère :
« Ce n’est pas bon pour votre bébé de le cacher… »
La corde sensible à plein régime. Et si un salarié tombait gravement
malade, pouvons-nous considérer qu’il faille le conserver dans
l’entreprise ?
« Oui, bien sûr car dans ce cas, ce n’est pas de sa faute. »
J’ai bien ce que je mérite
Il faut donc comprendre que j’ai bien ce que je mérite car j’ai consenti
à porter cet enfant. Si on suit ce raisonnement, il faudrait donc que je
n’aie pas désiré être enceinte pour oser prétendre me faire embaucher en
état de grossesse.
Voilà les pratiques et les responsabilités partagées en matière de
discrimination à l’endroit des femmes enceintes. En revanche, sur le
papier, rassurons-nous, Pôle emploi comme de nombreuses institutions
publiques et entreprises sont signataires de moult chartes et engagés dans
d’ambitieux processus de soutien à l’égalité professionnelle et de
lutte contre les discriminations à l’embauche. |
Question aux recruteurs de Genaisse : comment vous réagiriez si la femme que
vous voyez en entretien vous annonce qu'elle est enceinte ?
Et vous les filles ? Si vous étiez enceintes, passeriez vous des entretiens
d'embauche ?
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nova
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Posté le: Lun Fév 18, 2013 22:26 pm Sujet du message:
Une amie à moi a eu un job alors qu'elle était enceinte. Elle ne l'a pas
caché à ses recruteurs. C'est elle qu'ils voulaient car elle avait le
profil. J'ai trouvé ça vraiment bien 
Après je pense que cela dépend aussi de ce qu'attend la boite. Par exemple
si un société recherche un poste pour un projet sur une durée pus ou moins
précise, je pense que cela est difficile d'embaucher une femme enceinte.
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Penseur Pensif
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Posté le: Lun Fév 18, 2013 23:29 pm Sujet du message:
De base en étant un type qualifié, et avec de l’expérience, 3 langues au
compteur, j'ai du mal a trouver, si ce n'est dire impossible, donc j'ose a
peine imaginer si qqn est enceinte...
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Sweetie Des Arts
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 01:39 am Sujet du message:
...passe ton bac d'abord !
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Hama'
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 09:27 am Sujet du message:
C'est sûr que s'il s'agit d'un CDD pour un projet court et déterminé, ça
va être compliqué d'embaucher une femme enceinte.
Après, si c'est pour un truc à long terme, je vois pas vraiment le
problème.
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alcibiade
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 13:22 pm Sujet du message:
Embaucher quelqu'un en sachant que dans quelques semaines/mois elle va peut
être prendre un congé maternité... Je connais quelqu'un qui a bossé
quelques mois chez un employeur, et qui depuis, a pris 4 ans de congé
maternité, avec 4 gosses d'affilée.
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Sofiiiii
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 16:37 pm Sujet du message:
Comme tout le monde je suis d'accord qu'il est extrêmement difficile
d'embaucher une personne qui part quelques semaines après l'embauche. Sachant
qu'en plus il approximativement 6 mois pour se mettre dans le bain et
maitriser correctement son métier (surtout si la personne est cadre), c'est
prendre un gros risque que d'embaucher quelqu'un tout en se privant de cette
personne 4 mois. Si on choisit d'embaucher c'est tout d'abord parce qu'on a un
besoin. Sauf qu'on ne comble pas un vide avec un autre vide. Donc c'est
dommage mais à choisir non je n'embaucherais probablement pas une personne
enceinte. Après bon, il ne faut jamais dire jamais...
| Penseur Pensif a
écrit: | | De base en étant un
type qualifié, et avec de l’expérience, 3 langues au compteur, j'ai du mal
a trouver, si ce n'est dire impossible, donc j'ose a peine imaginer si qqn est
enceinte... |
Qualifié comment ? Quelles expériences as tu ? Quelles langues parles tu ?
Tout cela est hyper subjectif. Tu peux trouver que tu as tout cela alors qu'un
recruteur qui va parcourir ton CV ou qui te recevra en entretien va trouver
que tu es juste ou en dessous de ce qu'il recherche.
|
Penseur Pensif
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|
Posté le: Mar Fév 19, 2013 16:57 pm Sujet du message:
| Sofiiiii a
écrit: |
| Penseur Pensif a
écrit: | | De base en étant un
type qualifié, et avec de l’expérience, 3 langues au compteur, j'ai du mal
a trouver, si ce n'est dire impossible, donc j'ose a peine imaginer si qqn est
enceinte... |
Qualifié comment ? Quelles expériences as tu ? Quelles langues parles tu ?
Tout cela est hyper subjectif. Tu peux trouver que tu as tout cela alors qu'un
recruteur qui va parcourir ton CV ou qui te recevra en entretien va trouver
que tu es juste ou en dessous de ce qu'il recherche. |
J'ai fait deux ans en saison de direction de salle de restaurant, et
d'animation de soirée (plus cocktail), (je suis d'office réembauché pour la
saison prochaine), j'ai un certificat d'étude supérieur (8/20 au bac), je
parle anglais et italien, niveau expérience j'ai aussi une plétroire de tout
un tat de petit truc (rénovation, maconnerie, peinture, etc...) .... et meme avec ca
je vois de toute facon des gens moins qualifié que moi ce faire embaucher,
pour des tours de poitrine, du léchage de cul caractérisé, fin bref... Et
le bac c'est pour cette année Sweetie :p.
Edit : mais là j'ai été embauché pour mois (finie dans deux trois jours)
mais aprés plus rien.
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Sofiiiii
Admin
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 19:55 pm Sujet du message:
Un certificat d'études supérieures est considéré comme validé avec 8/20 ?
Tu parles anglais et italien couramment ? Pour tout ce qui est rénovation,
maçonnerie, peinture, ce sont des expériences de petits jobs de type
intérim non ?
Tu sais après tu auras beau être qualifié, il faut aussi savoir parler à
son recruteur et lui donner envie de t'embaucher. Sais tu faire ça ?
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Penseur Pensif
Super actif
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 21:25 pm Sujet du message:
Non il est délivrait on le demande mais il faut avoir entre 8 et 9.8 au bac,
a peu prés. Je ne l'ai pas demandé c'est vrai mais c'est le niveau que j'ai.
Je parle et écrit l'anglais et l'italien couramment oui, ce sont des travaux
de rénovations complet réalisé pour chez moi ou des tiers avec ou sans
aide. Mais je ne vais pâs décrire tout mon cv, j'ai des stages aussi, des
diplomes aéronautiques, etc... ca n'a pas d'importance, je tenais juste a
souligner que, de base, moi j'avais du mal a trouver du boulot, donc j'avais
du mal a imaginer pour une femme enceinte !
Savoir parler a son recruteur ca je ne peux pas en juger par moi meme, ce qui
a c'est que dans la plupart des cas on envoie juste un cv, au final pour
l'instant je n'ai eu que un entretien d'embauche qui a déboucher sur mon CDD
actuel.
Mais ce n'est pas le sujet du sujet  .
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Lyriss
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 21:38 pm Sujet du message:
Moi c'est tout l'inversse, je sais rien faire et j'ai aucun diplome mais je
suis super bon en entretient d'embauche xD
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louiserie
Suprème actif
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 21:47 pm Sujet du message:
Sérieusement, c'est quoi l'intérêt de la question posée par ce sujet ?
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Hama'
Actif
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Posté le: Mar Fév 19, 2013 23:58 pm Sujet du message:
Selon moi, à 19 ans, on ne peut pas se dire "qualifié et avec de
l'expérience".
Et je ne vois pas pourquoi une femme enceinte ne pourrait pas trouver de taff
puisque tu n'en trouves pas, ça n'a aucun sens. On ne cherche pas tous la
même chose et on n'a pas tous les mêmes
compétences/qualifications/affinités pour tous les jobs.
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Penseur Pensif
Super actif
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Posté le: Mer Fév 20, 2013 00:47 am Sujet du message:
| Hama' a
écrit: | Selon moi, à 19 ans,
on ne peut pas se dire "qualifié et avec de l'expérience".
Et je ne vois pas pourquoi une femme enceinte ne pourrait pas trouver de taff
puisque tu n'en trouves pas, ça n'a aucun sens. On ne cherche pas tous la
même chose et on n'a pas tous les mêmes
compétences/qualifications/affinités pour tous les
jobs. |
J'ai 20 ans (et demi) :p.
Non plus sérieusement, je me suis mal expliqué. Je souhaitais faire un
comparatif, mais enfait j'ai fait un double comparatif. Ma situation
présente, je cherche un emploie dans a restauration principalement, mais j'ai
un cv, qui, pour mon age, me semble, et m'a été confirmer comme tel, comme
étant bon, et avec ce cv je cherche un travail pas bien compliqué. Le pblm
c'est que il y a bcp de monde, et alors entre les nanas mignonnes, les mecs
qui habitent sur place, les meilleurs cv que moi,, etc... Je faisais donc une
comparaison avec le fait qu'une femme enceinte, malgré son bon cv, avait
aussi du mal a trouver un travail, parce que le marché du travail c'est la
jungle. Mais bien sur une femme enceinte est, dans la généralité, plus
agée que moi, plus qualifié, plus formé, etc... que moi.
Je ne dis pas qu'une femme enceinte trouve pas de travaille parce que moi non
plus, non c'est raccourci mon raisonnement en le déformant. Je montre
simplement que malgré de bonne qualifications, ou ce qui m'en semble etre, il
est difficile de trouver un emploi, et comme les recruteurs ou DRH on bcp de
cv il trie a leur gout, et donc ne font pas un boulot forcément objectif.
C'est la situation actuel qui veut ca.
Je débute  !
|
Lyriss
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Posté le: Mer Fév 20, 2013 13:07 pm Sujet du message:
Une femme enceinte résponsable en cherche pas du boulot ...
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nova
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Posté le: Mer Fév 20, 2013 13:10 pm Sujet du message:
Non, une femme enceinte responsable ne cache pas son état lors d'une
recherche d'emploi, c'est tout.
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Gentillefille
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Posté le: Mer Fév 20, 2013 15:09 pm Sujet du message:
Une personne n'est pas tenue à informer son futur employeur de son état de
grossesse. A partir d'un certain stade ça se voit de toutes façons.
Donc si une femme ne parait pas être enceinte on sait que lors de l'embauche
on court le risque que celle-ci soit absente dans 3-4 mois...
Voilà pour ce qui est de celles qui sont enceintes et que ça ne se voit
pas.
Pour celles chez qui ça saute aux yeux...
Je n'ai jamais rencontré de femmes avec un énorme ventre oser venir en RDV
d'embauche mais si ça arrive je lui conseillerai de s'occuper d'elle et de
son enfant et de revenir me voir après.
|
Sofiiiii
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Posté le: Mer Fév 20, 2013 17:02 pm Sujet du message:
| Hama' a
écrit: | Selon moi, à 19 ans,
on ne peut pas se dire "qualifié et avec de l'expérience".
Et je ne vois pas pourquoi une femme enceinte ne pourrait pas trouver de taff
puisque tu n'en trouves pas, ça n'a aucun sens. On ne cherche pas tous la
même chose et on n'a pas tous les mêmes
compétences/qualifications/affinités pour tous les
jobs. |
Je rejoins Hama et Lyriss avec une phrase : on peut être enceinte et tout à
fait diplômée donc parfaitement apte à gérer un entretien et on peut
également n'avoir aucun diplôme ni expérience et gérer tout aussi bien
l'entretien parce qu'on a ça dans le sang, la tchatche tout ça tout ça.
Parfois il suffit de bien écouter son recruteur et de lui dire ce qu'il
souhaite entendre, c'est très simple.
|
MarieCecile81
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Posté le: Jeu Fév 21, 2013 02:25 am Sujet du message:
| Gentillefille a
écrit: |
je lui conseillerai de s'occuper d'elle et de son enfant et de revenir me voir
après. |
J aurais tendance a penser de la meme maniere.
Enfin, c est facile de dire si c etait moi, mais c est pas grave: si c etait
moi je mettrais bas d abord et ensuite quand la periode de sevrage est terminee,
et que le bebe peut etre pris en charge pendant que je travail pas de soucis.
Mais j organiserais d abord ma vie privee, car une naissance est un grand
chamboulement, et ensuite, je m occuperais de m occuper.
Apres chaque personne a un parcours different, et si une femme enceinte DOIT
absolument chercher du travail pour des questions financieres, et pouvoir
subvenir aux futurs besoins de l enfant, par exemple, c est autre chose, mais
je dirais qu il fallait y penser avant de tomber enceinte, mais je risque de
choquer enormement en disant cela !
|
nova
Super actif
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Posté le: Jeu Fév 21, 2013 08:05 am Sujet du message:
| Gentillefille a
écrit: | | Une personne n'est pas
tenue à informer son futur employeur de son état de grossesse. A partir d'un
certain stade ça se voit de toutes façons. |
Effectivement ce n'est pas une obligation mais c'est quand bien plus honnête
et donc responsable d'en faire part au recruteur.
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