Vous êtes surpris de vous percevoir


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comme étant un imposteur lorsque vous êtes dans une certaine vibration de bien-être?
Cela m'est arrivé occasionnellement
31%
 31%  [ 5 ]
Cela m'arrive souvent
18%
 18%  [ 3 ]
Cela ne m'est jamais arrivé
31%
 31%  [ 5 ]
Je ne comprends pas la question
18%
 18%  [ 3 ]
Total des votes : 16

Invité








Message Posté le: Dim Avr 03, 2011 19:56 pm    Sujet du message: Vous êtes surpris de vous percevoir
Exemple:

Vous sortez d'une réunion et avez participé à l'élaboration d'un projet créatif, l'énergie a circulé et vous en ressortez calme et assuré. À cet instant même que vous constatez cet état, le sentiment d'être un imposteur et de se prendre pour un autre vous envahit.
Bulbizarrexx
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Message Posté le: Dim Avr 03, 2011 20:21 pm    Sujet du message:
Qu'entend tu par imposteur exactement?

Le sentiment d'être suffisamment satisfait et insousciant pour ne pas ressembler à celui que l'on est habituellement ou autre?

Est ce que tu veux dire par là que le bien être masque toujours quelque chose?
route
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Message Posté le: Dim Avr 03, 2011 20:28 pm    Sujet du message:
Imposteur dans le sens où demeure l'impression de ne pas mériter ce bien-être ?
Invité








Message Posté le: Dim Avr 03, 2011 23:30 pm    Sujet du message:
Bien vu cet avatar. Je parlais l'autre jour avec quelqu'un du mot persona. C'est désespérant de se sentir ainsi. Ça colle au visage, c'est de la glue sur soi ; inepte.

Ça m'arrive surtout dans des fêtes ; je suis heureuse et je me laisse aller quand soudain, je me rends compte que ma personne prend le dessus sur moi. Et que je me mets à agir comme il se doit, en mode automatique, comme on l'attend de moi. En général, je repars dans le quart d'heure sauf s'il y a une bouteille de bourbon ou de vodka squattable.
Invité








Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 20:50 pm    Sujet du message:
L'énergie circulait bien et j'étais dans une atmosphère particulière. C'est à ce moment-là qu'une sensation d'imposture s'est emparée de moi, c'était la programmation qui venait de démarrer: un état de valorisation (vibration de bien-être) qui déclenche le programme de dévalorisation (sensation d'imposture).
_______________________

Note: Se valoriser veut dire se mettre en valeur, avoir le besoin de s'attribuer une valeur quelconque, de se sentir en valeur, et donc, en bien-être. Très souvent ce besoin de se valoriser est créé par un sentiment de dévalorisation qui amène l'ego à avoir constamment le besoin de se valoriser.

Ce que nous appelons l'orgueil est le besoin de l'ego de se valoriser, de se donner le sentiment d'avoir une valeur quelconque devant les autres, etc.
Pour la dévalorisation, c'est ne pas se sentir en valeur.
_______________________

Pour aller un peu plus loin, ce n'est pas l'effet de vivre un moment créatif qui est le déclencheur, mais de polariser l'événement positivement qui fait que le programme se déclenche – et comme c'est un package deal l'un ne va pas sans l'autre, valo/dévalo s'enclenchent. Ces réflexes conditionnés passent toujours à travers la polarité.
Lyriss
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Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 21:09 pm    Sujet du message:
Gretchen, tu es imcompréhensible.

Travaille sérieusement ta rédaction et reviens-nous.
XxLuciolexX
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Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 21:14 pm    Sujet du message:
Je comprends pas cette impression, soit j'ai apporté des idées, j'ai pu participer, c'est un sujet qui me concerne vraiment et j'ai l'impression de vivre mon taf, soit je suis à l'écart, j'écoute à titre informatif et quand je sors je dis "Voilà, j'peux retourner bosser!"

Après j'ai peut-être un manque de recul sur la situation où je cerne pas bien la situation.
Invité








Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 21:18 pm    Sujet du message:
Ça fonctionne aussi dans l'autre sens ; on est attaqué, autrui nous fait sentir que nous ne sommes pas dans sa faveur pour une raison x ou y et là, soudain, surgit le besoin impérieux de se sentir de nouveau "quelqu'un de bien". On se justifie comme on peut, et pas seulement consciemment, on malaxe les faits, on refait la scène jusqu'à ce que les faits nous donnent raison. Ou alors on se prend une grosse claque et on, revoit son système de valeurs (des choses bonnes deviennent mauvaises et vice versa).

C'est d'ailleurs prouvé par des expériences de psychologie sociale. Si ça t'intéresse, il s'agit de la réduction de la dissonance cognitive. Quelqu'un accomplit un acte en désaccord avec son système de valeurs et se met ainsi en porte-à-faux. Petit à petit, cette personne réitèrera ce comportement problématique pour le banaliser et l'assimiler à son système de valeurs comme étant quelque chose de positif ou de "neutre". On y goûte, on se sent mal, on reproduit, on assimile et enfin on prône.

Je me suis éloignée de ce que tu disais mais il me semble percevoir une proximité entre les deux problèmes.
Bulbizarrexx
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Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 21:29 pm    Sujet du message:
Non, ne sois pas si trivial Lyriss, personnellement j'ai aussi un peu (non beaucoup) de mal à comprendre exactement ce dont il est question ici parce que Gretchen est précis et technique dans sa façon de s'exprimer, j'aborde ce qu'il dit par étape successive, j'essaie de décanter et je répondrais peut être dans quelques jours si j'y vois plus clair.

Tu sais, tu auras souvent cette impression en abordant certains textes et dans une salle d'exam', il est impossible de dire "Kant/Hegel (ou n'importe quel philosophe un peu technique), tu es incompréhensible, travailles ta rédaction et j'accepterais de travailler sur ton texte en retour." Même si j'en ai souvent eu envie, surtout avec Kant. Wink
Mais on doit s'adapter à l'auteur et essayer de se mettre à sa place, de rentrer dans sa pensée, et non l'inverse.

Comme nous galérons tout les deux, essayons de dégager par morceaux ce dont il est question:
-le décalage entre ce qu'on est et ce qu'on ressent à un instant précis.
-la question du mensonge. Illusion de l'instant : problème de la temporalité dans laquelle nous sommes inscrit et qui nous conditionne. Mobilisme universel : impossibilité de saisir de la stabilité.
-le rapport à soi, instabilité, impossibilité de se saisir purement, nous sommes toujours influençés par les évènements exterieurs, ceux ci font illusions.
-l'ego/l'orgueuil. Idée d'un contrat passé avec soi même pour se sentir bien, être valorisé.

Je me donne une semaine pour voir si je peux répondre à la question ou non.
En tout cas, elle me touche. Il me semble que j'y suis souvent confronté pour le peu que je crois avoir compris.
Invité








Message Posté le: Mar Avr 05, 2011 23:41 pm    Sujet du message:
Gretchen a écrit:
L'énergie circulait bien et j'étais dans une atmosphère particulière. C'est à ce moment-là qu'une sensation d'imposture s'est emparée de moi, c'était la programmation qui venait de démarrer: un état de valorisation (vibration de bien-être) qui déclenche le programme de dévalorisation (sensation d'imposture).

BIS. D'autres possibilités viennent d'apparaître. D'autres explications. Trop.

Pour que ça circule, il faut qu'il y ait un référentiel commun, qu'on se situe sur un même plan. Cela induit de se conformer aux attentes des autres, de s'accorder à eux, de collaborer.


Partant de là, plusieurs possibilités :

1. Si tu t'es construit en opposition, cela heurte la représentation que tu te fais de toi - ton identité - dans la mesure où pendant un temps, tu as adopté un mode de fonctionnement contraire à ton identité. En cela, on revient au concept de dissonance cognitive - ou quand l'individu s'est mis de son plein gré en porte-à-faux avec son propre système de valeurs.

Se construire en opposition signifie aussi être dans une logique de dénigrement / valorisation qui induit un conflit entre ce qu'on pense être (identité) et ce que l'on croit que les autres pensent de nous (moi social). Si l'identité s'oppose au moi social et que tout d'un coup les deux résonnent, il est probable qu'une euphorie précède le moment de la dissonance cognitive.

«Merde, j'ai fait le collabo, je me suis trahi, je me suis compromis en produisant le comportement qu'ils attendaient de moi au moment où leurs attentes me faisaient sentir que je n'étais pas comme il fallait. Je suis donc devenu ce qu'ils m'imposaient et pour cela j'ai tué ce qui s'imposait à moi comme un moi authentique
Ça rejoint la sensation d'imposture, comprise cette fois comme une traîtrise envers soi-même.

-> «Ils sont A.» vs «Je suis B.»
-> «Nous sommes C.»
-> «Et si nous avions en fait été A ? Et si, moi, j'étais devenu A ?»
-> «Je ne suis pas A. Je les ai dupés mais je suis bien B.»


2. Un vieux concept, oublié, presque : les égrégores. L'idée, c'est qu'un groupe crée un esprit qui agit. Version soft, on peut parler au moins de synergie : l'énergie produite par un groupe est supérieure à la somme des énergies produites par chacun de ses membres.

On est plus puissant en groupe, même si bien souvent cela signifie aussi être plus bête. Quand on est au sein d'un groupe, on a cette énergie supplémentaire à disposition, on en jouit. Les possibles des autres deviennent un peu nos propres possibles, alors l'actualisation de ces possibles, que nous vivrions dans la solitude comme des phantasmes - pour peu que l'on manque un brin de confiance en soi -, semble à portée de main. On sent que ça vient, que les projets vont se réaliser, on croit que l'on évolue beaucoup plus vite ; on est tout d'un coup plus puissant (or la puissance est tout à la fois le fait de pouvoir, soit d'être en puissance et le fait de dominer, acquérant ainsi une forme de liberté).

Une fois replongé dans la solitude, ces lueurs s'éloignent et les ténèbres regagnent du terrain. J'en reviens donc à des concepts très archaïques, le Feu et la Nuit. La Nuit de Céline, peut-être... Ce serait donc le fait de replonger brutalement dans soi, dans ses peurs, ses impuissances, ses embourbements, etc, qui serait déprimant. Tout ceci est bien sûr illusoire, puisque le soi qui pouvait au sein du groupe peut aussi une fois seul, à moins que l'énergie synergique, le petit plus produit par le groupe lui-même, soit nécessaire, ce qui est rare. Mais ça n'explique pas très bien la sensation de dégoût, à moins que ce soit l'impuissance et la peur qui dégoûtent. Ce serait alors l'expression d'un avilissement ressenti.


Dans tous les cas, poser le problème de la duplicité, de l'imposture, c'est considérer l'acte, et à travers lui l'être, sous l'angle de la sincérité. J'espère ne pas trop extrapoler en ajoutant ce réseau de dualités :

fallace // authenticité
jeu // sérieux.
comédie // tragédie
légèreté // gravité

Tout cela disparaîtrait sûrement par la disparition de toute croyance en une essence, au profit je pense d'une pensée relativiste qui prendrait bien en compte les jeux de placement et les situations. On agit peu en fonction d'un quelque chose que l'on serait mais plutôt en fonction du contexte, presque pieds et poings liés. Aussi le jeu est-il un outil langagier dont nous usons chaque fois que l'on refuse de faire ce que l'on fait sans pour autant cesser de le faire.
Puisque j'ai joué au con, je ne suis pas si con, hein...

La panacée, je crois donc qu'elle réside dans l'acceptation de son propre indicible et la mise en suspens du jugement porté sur soi. Quel besoin de se justifier à soi-même ? Arf, il y a le bien et le mal dans tout cela...

Je me souviens d'un vieux poète arabe qui écrivait - et cela prend sens à présent pour moi, quoique je cite de mémoire et sans doute déforme - :
Pour juge, je ne tolère que mon œil
Qui donc s'interposera entre lui et moi ?



Qu'en penses-tu, Gretchen ?
Typhaine
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 09:49 am    Sujet du message:
Moi j'ai tout compris, notamment grâce à la définition des concepts, mais je suis un peu folle ^^

Gretchen dit que si on ajoute une valeur positive à un événement, on crée inconsciemment sa valeur opposée, c'est une affaire de senti et c'est là que s'opère la polarité (bien/mal).
Si polarité il y a, le senti peut soudainement basculer en fonction des circonstances que l'on rencontre (de dévalorisation à valorisation ou inversement), et là on parle de réflexes conditionnés si j'ai bien compris.
La dépolarisation confère donc une vision authentique et réelle de la vie, mais c'est au prix de sa personnalité initiale, ce que souligne peut-être Lyriss dans ce "reviens-nous".

Sinon, en te lisant une deuxième fois, Gretchen, j'ai cru à un moment donné que tu faisais exprès d'imiter exist@nce (du peu que j'ai lu de lui), je ne sais si c'est voulu ni tout ce que cela cache (peut-être que cela rejoint le sujet, à savoir le sentiment d'imposture/de jouer un autre que soi?), l'intention est peut-être malsaine et pas claire mais elle m'attire bizarrement. Enfin, je délire sûrement.
Nitiya fusion
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 14:53 pm    Sujet du message:
y'a des cachets pour les gens comme vous
Lyriss
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 18:20 pm    Sujet du message:
En fait ce que je ne comprends pas dans son postula c'est qu'il part du principe que la valorisation est toujours le fruit d'une quête de valorisation. Ce qui est fondamentalement faux étant donné qu'une valorisation peut très bien être la résultante naturelle de l'exercice de capacités supérieur dans un domaine précis.
La recherche de l'efficacité prime alors sur la quête de valorisation qui vient au second plan comme un corolaire systématique mais ni essentiel ni primordiale dans la démarche initiale.

(moi aussi je peux écrire des truc incompréhensibles pour fait style)
Invité








Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 19:18 pm    Sujet du message:
Non, la valorisation ce n'est pas exactement le fait de chercher à se placer au-dessus des autres, c'est in extenso le fait d'attribuer une valeur bonne ou mauvaise à des comportements, à des faits, à des traits de caractères.

Stricto sensu, on parle de valorisation dans le cas particulier d'une valorisation positive (jugement "c'est bien, bon, beau, agréable) et d'un dénigrement dans le cas d'une valorisation négative (c'est mal, mauvais, laid, désagréable).

C'est plus un mode de fonctionnement global qu'un pragmatisme usant de l'outil comparatif pour trouver plus d'efficacité.
Exist@ncE
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 19:45 pm    Sujet du message:
Cheshire Cat a écrit:
Pour que ça circule, il faut qu'il y ait un référentiel commun, qu'on se situe sur un même plan.

Ça s'appèle le monde physique, ou le "plan" physique, si on reprend le même vocabulaire.

Cheshire Cat a écrit:
Cela induit de se conformer aux attentes des autres, de s'accorder à eux, de collaborer.

Non. Ce qui est décris ci-dessus s'appèle la servilité.


Il est assez important que les postulats initiaux soient bien fondés.



Cheshire Cat a écrit:
Non, la valorisation ce n'est pas exactement le fait de chercher à se placer au-dessus des autres, c'est in extenso le fait d'attribuer une valeur bonne ou mauvaise à des comportements, à des faits, à des traits de caractères.

Stricto sensu, on parle de valorisation dans le cas particulier d'une valorisation positive (jugement "c'est bien, bon, beau, agréable) et d'un dénigrement dans le cas d'une valorisation négative (c'est mal, mauvais, laid, désagréable).

C'est plus un mode de fonctionnement global qu'un pragmatisme usant de l'outil comparatif pour trouver plus d'efficacité.

+1

Dommage que cela s'adresse à Lyriss, ça gâche l'effort de rédaction.
Invité








Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 19:54 pm    Sujet du message:
Exist@ncE a écrit:
Non. Ce qui est décris ci-dessus s'appelle la servilité.

Non, c'est le simple principe de collaboration. On adopte une attitude conciliante sans laquelle le groupe menace de disparaître. J'aurais dû parler de soumission à des codes communs :
- linguistique (on parle la même langue, dans le vocabulaire approprié à la tâche à accomplir)
- comportemental (on bloque un créneau, on se parle courtoisement si possible, on respecte les autres)
- pragmatique (on fait quoi ? quel est notre objectif ?)

Bref, agir en groupe, c'est toujours se conformer à des codes permettant une certaine forme de vivre-ensemble. La forme la plus aboutie de ce mécanisme est à chercher du côté des corporations qui ont longtemps eu un vocabulaire spécifique (cf l'argot des bouchers, cf aussi les termes techniques dans n'importe quelle discipline).

On pourrait appeler ça le versant phatique de l'être. On se check pour voir si la communication fonctionne. On dit «Allô» dans chaque sourire. Etc.


Dernière édition par Invité le Mer Avr 06, 2011 20:02 pm; édité 1 fois
Lyriss
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 19:59 pm    Sujet du message:
Je comprends absolument pas voter débat.

Oui, le bien et le mal existe, oui, les relations de groupes nécessitent des codes communs …

De beaux lieux communs mais quel rapport avec la question initiale ?
Invité








Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 20:01 pm    Sujet du message:
Lyriss a écrit:
Je comprends absolument pas voter débat.

Oui, le bien et le mal existe, oui, les relations de groupes nécessitent des codes communs …

De beaux lieux communs mais quel rapport avec la question initiale ?

Justement, ce débat a pour principe que le bien et le mal n'existent pas mais qu'ils sont des jugements produits par l'individu. L'invention du bien crée le mal et vice versa.

On essaie de voir au-delà.
Bulbizarrexx
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 20:04 pm    Sujet du message:
Trop difficile pour moi, je préfère lire Stephen King. Laughing
Lyriss
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Message Posté le: Mer Avr 06, 2011 20:10 pm    Sujet du message:
Cheshire Cat a écrit:

Justement, ce débat a pour principe que le bien et le mal n'existent pas mais qu'ils sont des jugements produits par l'individu. L'invention du bien crée le mal et vice versa.

On essaie de voir au-delà.


mdr, oui en générale le bien et le mal n'est pas produit par le flan caramel.

Bon, les valeurs morales, esthétiques et éthiques sont relatives, bien bien, j'aurais apris pleins de choses aujourd'hui-hui !


Dernière édition par Lyriss le Mer Avr 06, 2011 20:24 pm; édité 1 fois

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