Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 00:00 am Sujet du message:
L'amour et la peur
C'est sur l'amour passionel que repose le succès de l'évolution. On peut
dès lors imaginer l'importance des enjeux appréciés par la passion.
Qu'attendons nous réellement? De vivre jusqu'au bout avec ce qu'on appelle:
sa moitié.
Une moitié peut être un contraire comme elle peut être un équivalent,
comme si l'être devrait plutôt se compléter.
La peur viens de cet état, ce besoin de vivre avec cette moitié nécessaire.
Comme toutes les peurs, ils faut les affronter. Les affronter dans le cas de
l'amour, c'est aller de l'avant, ne jamais se reposer sur ses lauriers.
Affronter tout les dangers, allant de la lassitude a la jalousie. Garder a
l'esprit que rien n'est gagné, ce mode combattif ne laisse pas de place a la
peur
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Marion17
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 08:21 am Sujet du message:
[ Supprimé par l'auteur ]
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Lyriss
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 08:32 am Sujet du message:
Vous etes complétement a coté de la plaque : la peur vient du choix, plus il
est large et capital, plus il est effrayant, or dans le cas de l'amour, il est
universel et nous implique totalement aussi bien dans l'espace que dans le
temps.
Conclusion : la peur de l'amour est induite par l'idéologie moderne qui
consiste a être libre du choix de son partenaire. Avant (et depuis presque le
début de l'humanité), le concubin était choisi par un tiers selon des
critères concret et identifiables gouverné par le pragmatisme et la
logique.
La peur de l'amour est donc en réalité subsumé par al peur générale du
choix.
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Marion17
Suprème actif
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 08:35 am Sujet du message:
[ Supprimé par l'auteur ]
Dernière édition par Marion17 le Mar Mar 13, 2012 14:48 pm; édité 1 fois
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 11:04 am Sujet du message:
Je pense avoir ressenti la même chose lorsque j'étais plus jeune. J'avais
peur de décevoir ou qu'on m'abandonne au cours de route.
Actuellement, la seule chose qui me fait le plus peur, c'est le premier
baiser. Ce moment a toujours eu le don de m'effrayer. Peut-être est-ce parce
qu'à ce moment, je sais que je me suis engagée. Ensuite, tout va comme sur
des roulettes !
Mais je ne pense plus "craindre" l'amour car cela m'apporte plus de positif
que de négatif. Bien sûr, j'ai peur des ruptures ou de l'infidélité (bien
que cela ne me soit jamais arrivé) mais je n'y pense pas et profite du moment
présent.
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Fromthesouth
Admin
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Localisation: Bastia, sur un caillou paumé
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 11:29 am Sujet du message:
merci DJ et Sushi ! Vous êtes les premiers à m'apporter une réponse comme
je l'attendais  merci !
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 11:49 am Sujet du message:
Ouf ! Je ne suis pas entièrement inutile ^^
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Liloo
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 12:25 pm Sujet du message:
Pour moi l’amour c’est avant tout une question de confiance, croire en
l’autre et aussi croire en soi… peut-être en raison de mon parcours
amoureux chaotique… C’est aussi un don de soi, c’est s’en remettre à
l’autre, lui confier son cœur, sa vie, l’amour ne peut-être pour moi que
passionnel et déraisonnable. C’est aussi fusionner avec l’autre, un même
cœur, un même esprit, une même direction. On entre en amour comme on se
jette dans le vide, sans savoir si on saura voler ou si on s’écrasera
lamentablement, et c’est sûr que ça fait peur mais c’est tellement bon,
c’est pour moi le sentiment le plus fort que l’on peut rencontrer dans sa
vie, mais mon expérience m’a aussi appris qu’il peut-être aussi le plus
douloureux. L’amour c’est souvent violent et destructeur mais ça aide
aussi à s’aimer et à s’accepter dans le regard de l’autre, à se
sentir unique...
Je t'aime Sara...
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Pacifica
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 12:41 pm Sujet du message:
Une cassure s'est faite.
Je n'arrive plus à ressentir quoi que ce soit pour qui que ce soit, et ce
même avec des personnes que je trouvais intéressante d'aborder.
Je ne sais plus ce que c'est. Une totale indifférence.
Cela fait deux ans maintenant.
Voilà, tout ça pour dire que j'ai une vie sentimentale à chier.
C'était la minute Servlet.
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Fromthesouth
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Localisation: Bastia, sur un caillou paumé
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 12:43 pm Sujet du message:
| Liloo a
écrit: | Pour moi l’amour
c’est avant tout une question de confiance, croire en l’autre et aussi
croire en soi… peut-être en raison de mon parcours amoureux chaotique…
C’est aussi un don de soi, c’est s’en remettre à l’autre, lui confier
son cœur, sa vie, l’amour ne peut-être pour moi que passionnel et
déraisonnable. C’est aussi fusionner avec l’autre, un même cœur, un
même esprit, une même direction. On entre en amour comme on se jette dans le
vide, sans savoir si on saura voler ou si on s’écrasera lamentablement, et
c’est sûr que ça fait peur mais c’est tellement bon, c’est pour moi le
sentiment le plus fort que l’on peut rencontrer dans sa vie, mais mon
expérience m’a aussi appris qu’il peut-être aussi le plus douloureux.
L’amour c’est souvent violent et destructeur mais ça aide aussi à
s’aimer et à s’accepter dans le regard de l’autre, à se sentir
unique...
Je t'aime Sara... |
Tout pareil ! Et c'est tellement bon de se jeter dans le vide sans craindre la
chute... et c'est très beau ce que tu dis 
hey toi là bas, puisque tu liras, je suis
timide, tu le sais, je le sais donc je ne dis pas grand chose, mais j'en pense
pas moins !
désolée pour toi Pacifica  ... mais c'est comme le vélo, on n'oublie jamais
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Liloo
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 12:57 pm Sujet du message:
| FromTheSouth a
écrit: | Et c'est tellement bon
de se jeter dans le vide sans craindre la chute...
hey toi là bas, puisque tu liras, je suis
timide, tu le sais, je le sais donc je ne dis pas grand chose, mais j'en pense
pas moins ! |
Il y a quand même un petit paradoxe entre ces deux phrases...
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Fromthesouth
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Localisation: Bastia, sur un caillou paumé
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 13:51 pm Sujet du message:
bah.. non... on peut très bien se jeter corps et âme sans tout dire à
l'autre. Je ne vois pas le paradoxe.
Et puis là c'est différent, elle va surement passer par là pour lire,
donc...
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 13:53 pm Sujet du message:
C'est le mieux, ne pas craindre la chute, mais je dit bravo a celle qui y
arrive
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Fromthesouth
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 13:57 pm Sujet du message:
à quoi ça sert de craindre la chute ? De toute façon on a déjà sauté.
Soit on vole, soit on tombe. Mais si on doit tomber, qu'on se préparer ou non
à tomber ça fera tout autant mal. Alors pourquoi craindre ? On ne fait que
se paralyser et on ne profite pas complètement. Enfin c'est ce que je crois.
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 14:02 pm Sujet du message:
Pour que la chute bien souvent inévitable ne fasse pas l'effet d'un saut sans
parachute. De toute façon, que l'on craigne ou non la chute, ca fait aussi
mal, donc a la limite, je trouverai un compromis entre les deux.
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La Bête
Silver Mercure
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 14:21 pm Sujet du message:
| Lyriss a
écrit: | Vous etes complétement
a coté de la plaque : la peur vient du choix, plus il est large et capital,
plus il est effrayant, or dans le cas de l'amour, il est universel et nous
implique totalement aussi bien dans l'espace que dans le temps.
Conclusion : la peur de l'amour est induite par l'idéologie moderne qui
consiste a être libre du choix de son partenaire. Avant (et depuis presque le
début de l'humanité), le concubin était choisi par un tiers selon des
critères concret et identifiables gouverné par le pragmatisme et la
logique.
La peur de l'amour est donc en réalité subsumé par al peur générale du
choix. |
j'aime quand Lyriss dit qu'on est à côté de la plaque.
dans ton époque bénie, on n'était pas (ou très rarement) amoureux de la
personne qu'on nous imposait comme partenaire de vie, et partant de ce socle
stérile, avec de la bonne volonté on apprenait à s'en accommoder au
quotidien et au mieux on s'y attachait avec les années, mais il est assez
clair que ceci n'a rien à voir avec l'amour en tant que sentiment.
Je suis davantage de l'avis de ceux qui ont cerné cette peur comme celle de
confier le contrôle de son bonheur (du moins une partie non négligeable) à
une tierce personne, et d'en être en quelque sorte dépendant. Et
inversement, une peur qui n'a pas été autant citée je crois, mais que j'ai
connu, est celle opposée : d'être responsable du bonheur d'autrui, de
risquer de faire mal à tout moment.
j'ai vécu les deux types de relations sur des périodes assez étendue, j'ai
été complètement dépendante de certaines personnes, et j'en ai vu d'autres
devenir complètement dépendants de moi. Et pour savoir qu'autant être un
poids pour quelqu'un que de supporter le poids de quelqu'un sont des choses
angoissantes qui tuent l'amour à coup sûr, la conclusion logique est qu'il
faut toujours rééquilibrer les dépendances dans un couple, et toujours que
les deux parties gardent la faculté de tenir debout par soi même pour ne pas
s'ancrer et s'appuyer trop entièrement sur l'autre comme sur une béquille.
toujours garder une certaine autonomie et une certaine dépendance.
ce qui rend toujours très délicat le passage à certains engagements et
certains projets de vie qui scellent une certaine solidarité (unions,
cohabitation, enfants...) et dans lesquels conserver une réciprocité qui ne
soit pesante pour aucun des deux est tout le défi de l'aventure.
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Liloo
Super actif
Sexe:
Inscrit le: 20 Nov 2009
Messages: 1713
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 14:49 pm Sujet du message:
| FromTheSouth a
écrit: | bah.. non... on peut
très bien se jeter corps et âme sans tout dire à l'autre. Je ne vois pas le
paradoxe.
Et puis là c'est différent, elle va surement passer par là pour lire,
donc... |
C'était pas un jugement Charlotte, je respecte ta sensibilité, c'était
juste pour te titiller
| St-Graal a
écrit: | | De toute façon, que
l'on craigne ou non la chute, ça fait aussi mal... |
Faut voir aussi qu'à force d'accumuler les chutes qui font mal on craint de
plus en plus à se jeter dans le vide...
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Cla Fouti
De passage
Sexe:
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Messages: 32
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 15:34 pm Sujet du message:
| Cla Fouti a
écrit: | | En général on a peur
d'aimer mais aussi d'être aimée. Mais si un jour on se sent tellement bien
qu'on oublie cette personne qu'on oublie cette peur |
J'avoue ne jamais avoir bien compris la peur d'être aimée. Les personnes qui
ressentent ce sentiment sont sûrement des personnes qui ont peu d'estime
d'elles mêmes ("Je ne suis pas quelqu'un qui mérite l'amour d'autrui") ou
qui n'ont pas confiance en leur capacité ("Il va s'apercevoir que je suis
vraiment nulle").
Bien que pour moi, ça s'applique aussi à la peur d'aimer... En fait, c'est
lié. Mais "aimer" me fait plus peur qu'être aimée.
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Invité
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 15:38 pm Sujet du message:
Tu fait erreur. L'estime de sois n'implique pas forcement la relaxitude
amoureuse. Dans mon cas, il s'agit de la peur du danger pour l'autre, surtout.
"Je ne veux pas qu'il lui arrive malheur" c'est une dépendance que j'ai dur
d'assumer.
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