Le gnosticisme


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alcibiade
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Message Posté le: Lun Juil 06, 2009 15:06 pm    Sujet du message: Le gnosticisme
Pour parler un peu de spiritualité pour une fois.

Le gnosticisme est un mouvement religieux regroupant des doctrines variées du bassin méditerranéen et du Moyen-Orient qui se caractérisent généralement par la croyance que les hommes sont des âmes divines emprisonnées dans un monde matériel créé par un dieu mauvais ou imparfait appelé le démiurge. Le mouvement connut son apogée au cours du IIe siècle[1].

Le démiurge peut être considéré comme une incarnation du mal, ou comme un dieu bon mais imparfait. Il existe aux côtés d'un autre être suprême plus éloigné et dont la connaissance est difficile, qui incarne le bien. Afin de se libérer du monde matériel inférieur, l'homme a besoin de la gnose, soit la connaissance spirituelle ésotérique disponible à travers l'expérience directe ou la connaissance (gnose) de l'être suprême. Jésus de Nazareth est identifié par certains cultes gnostiques comme une incarnation de l'être suprême qui s'incarne pour apporter la gnose aux hommes.

Le terme gnose, du grec γνώσις / gnốsis (« connaissance »), désigne « des tendances universelles de la pensée qui trouvent leur dénominateur commun autour de la notion de connaissance[2] ». Ainsi, le manichéisme, le mandéisme, la Kabbale et l'hermétisme, entre autres, peuvent être considérés comme des formes de Gnose.[3] Par contre le terme gnosticisme a une connotation historique précise.

Selon la définition du néoplatonicien Plotin, adversaire des gnostiques, ceux-ci sont:

« Ceux qui disent que le Démiurge de ce monde est mauvais et que le Cosmos est mauvais.[4] »

Ainsi [5], à leurs yeux, L'homme est prisonnier du temps, de son corps, de son âme inférieure et du monde.

Les gnostiques en concluent : « Je suis au monde, mais je ne suis pas de ce monde[6] », et de ce point de vue, le monde et l'existence dans le monde apparaîtront mauvais parce qu'ils sont mélange de deux natures et de deux mondes d'êtres contraires et inconciliables. Le gnostique sera celui qui retrouvera son moi véritable et qui prendra conscience de la condition glorieuse, divine qui était la sienne dans un passé immémorial[7].

Les gnostiques chrétiens se référaient tant aux textes canoniques qu'apocryphes, le plus célèbre étant l'évangile de Thomas. D'inspiration chrétienne, le gnosticisme fut qualifié d'hérésie par les Pères de l'Église de ce qui allait devenir la « Grande Église » chrétienne. Irénée de Lyon, dans la deuxième moitié du Ier dans sa Dénonciation et réfutation de la gnose au nom menteur (ou Contre les hérésies) en a laissé le témoignage antique le plus important et le nom qui leur restera. Il est possible que certains de ces groupes aient revendiqué le terme. Les sectes ou mouvements gnostiques disparurent presque complètement à partir du IIIe siècle, mais leurs doctrines influencèrent (ou ressurgirent par) d'autres religions comme le manichéisme, le marcionisme et le catharisme.

Du Pro-Père au Démiurge [modifier]
À l’origine de tout,
Il y a un Eon parfait, invisible, inconcevable et éternel, habité par un Être absolu et immuable, le Pro-Père, replié sur lui-même et coexistant avec sa Pensée qui est, elle, Silence absolu. [25]

De cette unité primitive du Pro-Père et de sa Pensée émane une seconde image du Père. Cette première émanation est dégagée de l’isolement primordial et capable d’engendrer. Elle suscite alors l’apparition des trente éons hiérarchisés du Plérôme.

La présence du Plérôme
Le Plérôme [26]est un terme grec signifiant "plénitude" et qui désigne le monde céleste formé par l'ensemble des éons, que le gnostique atteindra à la fin de son aventure terrestre On y retrouve : Monogène, Logos, Mère céleste, Homme primordial, Fils de cet Homme (ou Seth céleste), grande Génération des Fils de l’Homme primordial, Sophia (Sagesse, parfois qualifiée de lascive), etc. Ces éons vont par couples, féminin/masculin, appelés syzygies. Les éons sont, en même temps que des personnifications de concepts, des univers à part entière, infinis et éternels, reproduisant le schéma général du Plérôme tout entier et de l’Inengendré suprême. [25]

Dualisme radical ou mitigé
L’opposition entre le monde idéal de la Lumière et celui, imparfait, des Ténèbres et de la Matière peut suivre 3 schémas.

Les plus radicaux situent, à l’origine de la création du monde matériel, une subite agression des eaux ténébreuses préexistantes contre la Lumière d’en haut, attaque qui se déroule dans l’espace intermédiaire d’un troisième principe, air ou vide. On retrouve ce thème chez les bogomiles et les manichéens.

Plus fréquemment, la Lumière d’en-haut préexiste seule à toute création. Un accident survenu dans le monde supérieur engendre une puissance difforme et ignorante, Ialdabaôth, autour de qui se forme un éon ténébreux, notre bas monde. La Lumière entreprend une œuvre salvatrice pour anéantir cet éon maléfique. Selon une première variante, Sabaôth, le fils d’Ialdabaôth, va découvrir la Lumière et sera mis par les puissances supérieures à la place de son père pour engager le cosmos vers le salut. Une seconde variante montre Ialdabaôth revenant lui-même au bien [23] .

Les diverses divinités sont considérées comme perverses, liées au monde matériel, tel le Démiurge de la Bible. Les gnostiques n’emploient pas le terme « Dieu » pour désigner l’Être infini dont tout le monde supérieur émane[23] .

La rédemption
Ainsi, Sophia est prise d’égarement, elle s’éprend d’amour pour la matière vers laquelle elle descend et où elle s’enlise. Une autre version dit que Sophia, emportée par sa vanité, voulait ressembler à l’Entité suprême en engendrant seule sans sa contrepartie masculine. S’ensuit l’apparition d’un être difforme, Ialdabaôth, que Sophia cacha sous un voile qui formera le ciel, limite entre les mondes supérieurs et le monde matériel. Sous ce voile, Ialdabaôth ignorait tout de la Lumière, ne disposant en son sein que d’une étincelle céleste héritée de sa mère. Sophia fut exilée du monde supérieur après sa faute. Du fond de l’abîme Ialdabaôth engendra la matière, il est le Démiurge. Il s’unit à sa propre Ignorance pour engendrer les archontes correspondant aux zodiaques et aux planètes. Des archanges et anges leur sont associés. Le repentir de Sophia touche les puissances suprêmes qui la tirent de l’abîme et l’établissent aux abords inférieurs du monde de la Lumière, purgatoire où elle attendra d’être plus complètement relevée de sa déchéance.[25]

L'éternel féminin
Le principe féminin a un rôle important dans les éons, des figures féminines vont jouer des rôles prophétiques, les gnostiques ne semblent pas considérer la femme comme inférieure à l’homme. Mais le retour de l’élément féminin à sa contrepartie masculine reste une condition indispensable à l’accès à la perfection céleste, et Sophia est responsable de l’erreur qui a conduit la chute vers la matière. Par exemple, l'Évangile de Marie-Madeleine accordera à la figure de celle-ci une place au moins aussi importante qu'aux apôtres[27].
Lyriss
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Message Posté le: Lun Juil 06, 2009 15:48 pm    Sujet du message:
J'aime beaucoup l'image, et l'intuition de base me semble judicieuse et pleine de bon sens.
alcibiade
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Message Posté le: Lun Juil 06, 2009 17:22 pm    Sujet du message:
Moi j'ai du mal avec l'idée d'un dieu par essence mauvais et d'un monde mauvais, qui a d'ailleurs amené certains gnostiques à adopter un comportement aberrant voire carrément nuisible à la société.

Néanmoins, la relative originalité de la doctrine, mix de christianisme et de néoplatonisme, tout en étant très différent par certains points de ces deux courants, mériterait plus d'intéret que ce qu'on lui accorde habituellement.

Tout d'abord parce que la connaissance de ce genre de courant nettoie l'esprit de l'image tronquée donnée par l'église et l'école de la vie religieuse du bas empire. C'est beaucoup plus compliqué que le mensonge historique qu'on nous présente.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 01:38 am    Sujet du message:
alcibiade a écrit:
Moi j'ai du mal avec l'idée d'un dieu par essence mauvais et d'un monde mauvais, qui a d'ailleurs amené certains gnostiques à adopter un comportement aberrant voire carrément nuisible à la société.


Pas nécessairement mauvais, si j'ai bien lu. "Imparfait" est également envisageable. Tant qu'à accepter l'idée d'un dieu tout puissant et supérieur à l'homme, on peut admettre qu'il ne soit pas absolument bon et parfait.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 10:06 am    Sujet du message:
D'autant plus que pour qui a un tant soit peut d'expérience en matière de relation humaine, on sait pertinemment que la notion de bon et de juste est inexistante dans un cadre absolue, et qu'elle est nécessairement relative a un point de vue unique et subjectif (qui tente d'être dépassé par les lois mais qui reste imparfait). Or si on parle d'un Dieu, qui a donc pour vocation de s'occuper de toute l'humanité, il ne peut pas être bon et juste de manière absolue.

Des lors, le qualificatif de bon et juste est impossible, et celui d'être imparfait devient beaucoup plus logique et d'une certaine manière, réaliste.
Toune
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 13:53 pm    Sujet du message:
K a écrit:
Pas nécessairement mauvais, si j'ai bien lu. "Imparfait" est également envisageable. Tant qu'à accepter l'idée d'un dieu tout puissant et supérieur à l'homme, on peut admettre qu'il ne soit pas absolument bon et parfait.


Au contraire : si l'homme est imparfait, un dieu ne doit pas l'être car qui serait alors l'exemple de la perfection ?

Dans le gnosticisme, c'est le créateur de ce monde imparfait qui est imparfait et qui selon la Bible est loin d'avoir un comportement parfait.

Donc les gnostiques postulent l'existence d'un dieu parfait supérieur à Jéhovah et demeurant au dernier ciel, Jéhovah habitant un ciel inférieur.
K
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 19:09 pm    Sujet du message:
Citation:
Au contraire : si l'homme est imparfait, un dieu ne doit pas l'être car qui serait alors l'exemple de la perfection ?


Mais pourquoi veux tu que dieu soit l'exemple de perfection ? c'est déjà un point de vue, ça. Objectivement, il pourrait très bien exister une entité supérieure sans pour autant qu'elle soit parfaite.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 19:59 pm    Sujet du message:
Alors pourquoi ca serait une entité supérieur ? Cool
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 20:06 pm    Sujet du message:
Je suis nettement supérieur à toi. Pour autant, je ne suis pas parfait.

Plus sérieusement : l'homme est supérieur au singe, il n'en est pas moins lamentablement proche du Sepul-T. On n'est pas "parfait par rapport à quelqu'un" ; la perfection est une notion abolue.
Lyriss
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 20:12 pm    Sujet du message:
La perfection est une notion humaine, qui de part cette nature a plusieurs sens selon a quelle morale elle se raccroche, mais aussi plusieurs sens selon qui en parle, selon quels principes ...

Bref, il y'a fort a parier que la dite entité supérieur soit au dessue de notre pauvre notion de perfection.
Toune
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 20:30 pm    Sujet du message:
K a écrit:
Citation:
Au contraire : si l'homme est imparfait, un dieu ne doit pas l'être car qui serait alors l'exemple de la perfection ?


Mais pourquoi veux tu que dieu soit l'exemple de perfection ?

c'est sa définition

Citation:
c'est déjà un point de vue, ça. Objectivement, il pourrait très bien exister une entité supérieure sans pour autant qu'elle soit parfaite.

objectivement, il n'y a pas d'entité supérieure
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 20:44 pm    Sujet du message:
Toune a écrit:
K a écrit:
Citation:
Au contraire : si l'homme est imparfait, un dieu ne doit pas l'être car qui serait alors l'exemple de la perfection ?


Mais pourquoi veux tu que dieu soit l'exemple de perfection ?

c'est sa définition

Citation:
c'est déjà un point de vue, ça. Objectivement, il pourrait très bien exister une entité supérieure sans pour autant qu'elle soit parfaite.

objectivement, il n'y a pas d'entité supérieure



Dieu = être parfait, c'est une définition qui correspond déjà à une religion. Chrétienne, Musulmane, Juive, que sais-je. Mais nous sommes ici dans l'étape d'avant : la seule définition de dieu est qu'il nous est supérieur, pourquoi pas qu'il s'agit de notre créateur ; il n'est pas obligatoirement question de perfection.

D'autre part : objectivement, il est impossible de dire qu'il n'y a pas d'entité supérieure. De même qu'il est impossible de dire qu'il y en a une, évidemment.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 21:18 pm    Sujet du message:
Donc il n'y a pas d'entité supérieure : "ce qui n'est pas prouvable n'existe pas."

Quant à la perfection, si Zeus court après les mortelles, ce n'est pas qu'il est imparfait mais que chez les Grecs baiser n'est pas un péché.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 21:30 pm    Sujet du message:
Toune a écrit:
Donc il n'y a pas d'entité supérieure : "ce qui n'est pas prouvable n'existe pas."


C'est de l'obscurantisme pur et dur. tu te veux cartésien et scientifique, mais tu sembles en fait borné et empiriste. Tant pis pour la conversation.
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Message Posté le: Mer Juil 08, 2009 21:31 pm    Sujet du message:
Un message que l'on à un jour partager avec moi.

Je pense que Dieu existe. Mais il est indéfinissable par essence et par nature. Il est tout ce qui est, et en même temps il est Rien. Ce Rien est en fait une potentialité infinie non manifestée. En ce sens, tout est Dieu, aussi bien la pierre que la rose que l'Homme (ou la femme). Mais il est aussi tout ce qui n'existe pas. Tout ce qui peut être imaginé et encore plus.
Mon concept de Dieu est transcendant et immanent en même temps, transcendant justement cette incompatibilité entre les termes transcendants (créateur hors de la création) et immanents (créateur et création ne faisant qu'un). Pour moi, le monothéisme est trop réducteur, le polythéisme est trop réducteur, tout comme l'athéisme. Dieu est tout cela et encore plus pour moi...
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Message Posté le: Jeu Juil 09, 2009 10:14 am    Sujet du message:
K a écrit:
Toune a écrit:
Donc il n'y a pas d'entité supérieure : "ce qui n'est pas prouvable n'existe pas."


C'est de l'obscurantisme pur et dur. tu te veux cartésien et scientifique, mais tu sembles en fait borné et empiriste. Tant pis pour la conversation.


La terre a un second satellite naturel. Je ne peux pas te le prouver et je n'ai pas à te le prouver. Et si tu ne me crois pas, c'est que tu es un individu borné et obscurantiste.

Et naturellement je te dis "tant pis pour la conversation" car il est normal que je me détourne de toi tant mes arguments sont supérieurs aux tiens.
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Message Posté le: Jeu Juil 09, 2009 10:24 am    Sujet du message:
Tu déformes mon propos. Je dis que si tu ne me crois pas et que tu refuses tout net la possibilité que ce soit vrai sans que tu le saches, tu es borné et obscurantiste. Prouve moi que dieu n'existe pas, et je serai d'accord. Prouve moi qu'il existe, je serai d'accord aussi, d'ailleurs. Du reste, oui : tu n'argumente pas, tu assènes ton point de vue. ça ne constitue pas un mode de discussion crédible ; mes arguments sont bel et bien infiniment supérieurs aux tiens, qui sont absents. Il est tout à fait normal que je me détourne de toi, oui, si tu continues sur ce mode : je suis là pour discuter, pas pour qu'on me dise "je sais mieux que vous et puis c'est tout."
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Message Posté le: Jeu Juil 09, 2009 10:31 am    Sujet du message:
On n'a pas à prouver une inexistence.

Si tu affirmes l'existence de Dieu ou des schtroumpfs, c'est à toi de prouver qu'ils existent.

Et ce ne sont pas les insultes qui suffiront à valider tes propos.
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Message Posté le: Jeu Juil 09, 2009 10:50 am    Sujet du message:
Toune a écrit:
On n'a pas à prouver une inexistence.


Mais, c'est ça qui me gêne : pourquoi affirmer "ça n'existe pas" aurait il moins besoin d'être soutenu par des arguments que "ça existe" ?

Du reste je ne t'insulte pas : je me moque de toi. Nuance.
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Message Posté le: Jeu Juil 09, 2009 10:55 am    Sujet du message:
Le sujet fondamental, à savoir le gnosticisme était vraiment intéressant. Peut être pourrait ton y retourner, plutôt que rentrer dans une conversation sans fin, ni sens.

Dernière édition par Invité le Jeu Juil 09, 2009 13:16 pm; édité 1 fois

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