Les wannabe-séropositifs.

Invité · Posté le: Jeu Oct 08, 2009 17:59 pm Sujet du message:

Pauvre asiatique.

Tommy Angello · Posté le: Jeu Oct 08, 2009 18:15 pm Sujet du message:

C'est ce qu'on appelle une légende urbaine, comme le sourire de l'ange.

Comme les légendes tout court en leur temps, elles portent une morale qui peut etre bénéfique. Par exemple, la lecon a retenir c'est que c'est au mec qui se la prend d'apporter la capote et de pas se laisser faire quand on se fait violer.

Criterium · Posté le: Jeu Oct 08, 2009 18:50 pm Sujet du message:

Le fait que l'histoire que j'ai traduit en premier post soit vraie ou fausse n'a que peu d'importance par rapport au message qui était qu'il existe des communautés qui n'ont qu'un seul fantasme, se faire infecter par n'importe quoi pour les uns, infecter les autres par n'importe quoi pour les autres ; j'ai traduit ce témoignage arbitrairement, il y en avait une trentaine d'autres. Surprised

prince-fou-dingue · Posté le: Jeu Oct 08, 2009 19:03 pm Sujet du message:

j'en avais deja entendu parlé, mais jamais lu de chose de la sorte... c'est hallucinant surtout si c'est vrai
quoi que si c'est du fake ca fait peur aussi
enfin dans les deux cas c'est un malade qui doit se faire suivre rapidement, enfin enfermer aussi

huit · Posté le: Jeu Oct 08, 2009 19:58 pm Sujet du message:

Serieux vu ce dont sont capable certaines personnes cela ne m'etonnerait pas trop que le temoignage soit véridique...

Marah · Posté le: Jeu Oct 22, 2009 16:22 pm Sujet du message:

je ne pense pas que ce soit une légende urbaine. Un esprit faible comdamné par le Sida ne pense qu'a se venger de la vie sans se dire que les autres ni sont pour rien; contrairement a un esprit fort qui va se battre et profiter de la vie;
J'ai déja vu un extrait de documenataire sur le sujet, ils appellent ce phénomènes aux USa les "barbak" je crois sans être sur...

Criterium · Posté le: Jeu Oct 22, 2009 19:35 pm Sujet du message:

Je traduirai à l'occasion d'autres témoignages croustillants.

Il y a eu un documentaire en 2003, appelé "The Gift" (Le Cadeau) sur non seulement le barebacking, qui n'est qu'une pratique à risque - le fait de ne pas mettre de préservatifs malgré le fait de coucher tous les soirs avec des hommes différents - mais justement, ce phénomène de wannabe-séropositivité, avec ceux qui recherchent activement, dans une démarche masochiste, à se faire infecter par les pires germes et virus, et ceux qui satisfont leur pulsion sadique par la contamination volontaire d'autrui - consentant ou non.