Lyriss
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Posté le: Ven Mai 15, 2009 09:07 am Sujet du message:
Voila un article particulièrement intéressant et lucide quant a la
possibilité de la relation d'amitié homme / femme. je pense que tu as plein
de choses a y apprendre.
Introduction
Grand principe souvent érigé en leçon de vie chez la femme, l’amitié
homme femme est en fait une notion très complexe, pointant directement sur le
cœur des différences entre les deux sexes. Différences comportementales
quant au rapport à l’engagement, quant à nos relations avec les gens du
même sexe et à nos recherches chez les gens du sexe opposé. L’amitié,
parent pauvre de l’amour?
Note : le premier paragraphe consiste
en un rappel très synthétique des théories d’Alain Soral sur la
dissymétrie de l’oedipe. Nous vous invitons à lire ses ouvrages pour
approfondir la question.
La femme, ou le rapport troublé à
l’engagement
- Parce qu’une relation sexuelle a des implications potentielles plus fortes
pour les femmes que pour les hommes,
- parce que sa détermination biologique est de trouver le père de ses
enfants, quand la détermination de l’homme est de butiner, ce qui se
traduit irrémédiablement chez elle par la peur de passer pour une s*****
(pression sociale visant à dénoncer une pratique allant a l’encontre de sa
détermination biologique)
- parce que la dissymétrie de l’oedipe pousse les femmes à évoluer plus
tard dans un psychologisme subjectif, quand l’homme (sauf accident oedipien)
possède une vision plus globale, plus objective, l’amenant à avoir des
avis plus tranchés et plus binaires que le sexe opposé,
- parce que cette même dissymétrie a appris très tôt à la femme que la
clé de la séduction est le contrôle de ses sentiments (surtout pour elle,
qui a une tendance à l’hystérie quand elle les laisse s’exprimer),
- parce qu’elle sait qu’elle tire sa force séductrice dans le mystère et
l’inexpliqué, poussant l’homme à la considérer comme magique, par image
réfléchie de sa mère :
La femme évolue dans un monde imprécis, incertain, où l’intérêt pour un
homme s’exprime de manière floue et contradictoire. Evoluant dans le monde
du « peut-être », la femme brouille les pistes et induit en erreur celui
qui la séduit. La conséquence, une séduction souvent longue, pénible,
pleine de hauts et de bas pour qui maitrise mal les techniques d’usage. La
plupart des cas d’amitié prennent racine dans ces séductions où la fille
manie le chaud et le froid, et où l’homme ne sait pas casser la spirale en
se comportant comme un homme (nous étudierons les solutions pour échapper à
cette situation en fin d’article).
Rester dans l’inexpliqué, ou les symptomes d’une amitié en toc
La femme célibataire
Rester dans l’inexpliqué, c’est pour la femme rester dans une situation
où elle garde son atout en main. Son atout, c’est vous. C’est tout ce
qu’elle a à gagner dans le fait de vous avoir à ses pieds (sans avoir à
écarter les cuisses). Alors elle joue du mystère… Célibataire, elle
évoquera rarement ses targets ou les hommes qui animent sa vie, vous faisant
croire à tort qu’il n’y a que vous qui égaye son quotidien. Elle
alternera le chaud et le froid, en passant d’une discussion d’amis normale
à une discussion osée, portant sur une pratique sexuelle originale et
coquine (souvent la bisexualité d’ailleurs, ou l’intérêt pour la
sodomie, tous les deux des mensonges, évidemment). Selon les périodes (le
chaud et le froid, rappelez-vous), elle fera l’effort de mettre un
décolleté pour vous voir, de se maquiller, pour que vous sachiez qu’elle
s’est faite belle pour vous. En soirée, et (légèrement) sous alcool, elle
n’hésitera pas à enchaîner les mains au cul, à se frotter, à vous
souffler à l’oreille que ses seins pointent (à vous les faire sentir
même), bref à se comporter de façon très physique et très directe (sans
délivrer… tenter quelque chose aboutissant forcément sur un refus ou une
esquive), et utilisera à froid le prétexte de l’alcool pour justifier un
comportement aussi inapproprié. Une fois sur le point de conclure avec sa
cible qu’elle a discrètement travaillé derrière votre dos (et parce que,
comme au poker, elle ne dévoile ses cartes que quand elle est sure de son
coup), elle vous met au courant de son existence, elle vous raconte même en
creusant un peu qu’en fait, ils se sont embrassées hier soir, etc… et
vous parlera de l’affaire comme si c’était censé être la bonne nouvelle
de votre journée. Là, dans un élan de fierté et de desespoir, vous la
jouez carte sur table jusqu’à ce que vous obteniez le fameux…. « J’ai
vraiment pas l’impression de t’avoir fait croire chose ». Ce « vraiment
pas l’impression », croyez moi, des millions de mecs l’ont entendu à
travers la planète, c’est l’incarnation même de la mauvaise foi
féminine. (ou le coeur de nos différences si ces comportements sont en effet
instinctifs et non intentionnels, mais j’en doute)
La fausse amie… déjà en couple
Chez la femme en couple, l’ambivalence se situe essentiellement dans tous
les jeux liés à son mec actuel. Elle n’hésitera pas à le critiquer
subtilement au début, puis, à mesure que « l’amitié » avance, elle le
détruira en bonne et due forme. Elle évoquera alors la liste des choses
qu’elle n’aime pas chez lui (et vous décrira à peu près quand elle
évoquera l’homme qui lui faut, ce qui explique qu’il sorte avec elle et
pas vous, la femme aimant s’imaginer qu’elle peut dresser son homme et le
faire changer), et évoquera moult fois son envie de casser avec lui, pour
passer à autre chose (phénomène qui peut d’ailleurs durer plusieurs
années).
La féminisation de la séduction
La plupart des cas de fausse amitié homme-femme (on étudiera la vraie
amitié HF et les exceptions après) est la conséquence d’une séduction
ratée. Pour vous en convaincre, une expérience simplissime s’impose :
interrogez vos amies femmes, et demandez-leur si un seul de leurs amis hommes
les repousse physiquement. Généralement, la réponse est édifiante. Si
c’est une amie de confiance, elle en ira même de confidences par rapport au
début de leurs relations amicales ; souvent ambiguës, car souvent sur le
terrain glissant du flirt. (sans jamais avouer sa part d’initiative dans le
processus d’ailleurs)
La neutralisation des respects
Déboussolé par les mouvements stratégiques à répétition (comme une
voiture faisant des zigzag pour éviter d’être dépassée), l’homme
(l’homme qui rate sa séduction, devrait-on préciser) en situation de
séduction bascule progressivement dans une fixation malsaine, qui l’amène
à idéaliser sa proie, et à la mettre sur un piédestal aussi irrationnel
qu’inapproprié. Idéalisation, respect exacerbé qui appellera en retour
non pas le désir sexuel mais l’affection et le respect (teinté de pitié
et de rancœur de ne pas avoir su la prendre à temps). Les respects se
neutralisent alors, l’homme « castré » par la femme (pour n’avoir pas
osé) ne voulant dès lors plus la « souiller » en la baisant (ni même en
lui avouant son intention de la baiser), et la femme ne voulant plus se faire
baiser par un homme si loin de se comporter comme tel, et ne voulant
d’ailleurs plus, l’ayant rangé dans la case « mec gentil », le
rabaisser à la catégorie des hommes qui ne pensent qu’au sexe. Les
respects se neutralisent, les idéalisations castrent, le cerveau calmant les
pulsions et rationalisant les actions. L’attraction physique, validée par
le flirt, se mue chez la femme en fascination pour l’esprit, en attachement,
sentiments exacerbés par la flatterie de l’attraction physique, plus que
jamais présente (la frustration aidant).
Pour être tout à fait clair, l’homme qui respecte trop la femme n’ose
plus la baiser et faire parler son instinct animal car il l’a élevée au
rang d’intouchable (en se montant la tête tout seul), ce qui amène la
femme à le classer de manière irréversible dans la case des types qui ne
pensent pas qu’au cul (interprétation consciente), et à voir son désir et
son attirance pour l’homme disparaître, car désormais assimilé à une
femme (interprétation inconsciente de la non–assumation de ses pulsions,
contraires à l’image viril du père)
Après avoir étudié les conditions objectives de la perte de désir de la
femme dans le cadre d’une séduction (et donc de son passage du « peut etre
» au refus d’avoir une relation intime), nous devons étudier les
éléments subjectifs la poussant à autant privilégier l’amitié, quand
l’homme, plus binaire, s’inscrit naturellement dans un axe « sortir avec
elle ou ne pas l’avoir dans ma vie » (axe théorique pouvant évoluer en «
sortir avec elle ou la garder dans ma vie pour un jour sortir avec elle »
s’il y a fixation). Ces éléments devant également nous permettre de
comprendre pourquoi certaines femmes multiplient les fausses séductions une
fois en couples pour augmenter leur cercle d’amis mâles.
Analyse
Le rapport au même sexe
Revenons un temps aux théories oedipiennes citées plus haut. La femme
naissant de la mère (seule vérité universelle), son père est pour elle le
premier être à séduire. Elle se trouve donc directement en concurrence,
dès la naissance, avec sa mère et ses sœurs. Parallèlement, l’homme, qui
naît de la mère dans une situation d’amour pur et absolu (car n’ayant
pas encore conscience du monde extérieur), n’a pas à chercher cet amour
qui lui a déjà été donné à la naissance, n’a pas à concurrencer
quiconque pour avoir ce dû, sa seule possibilité de retrouver une situation
similaire étant un retour à la prime enfance et à ce moment. (d’où son
immaturité nostalgique à l’égard des femmes une fois arrivé à l’âge
adulte)
Plus tard, la femme aura tendance à voir chez l’autre femme avant tout une
concurrente. Seul être du même niveau qu’elle en séduction, la femme se
méfie plus que tout de son propre sexe, et épie chacune d’entre elle de
façon impitoyable et intransigeante, n’hésitant pas à user de destruction
hypocrite pour disqualifier une adversaire (sur des éléments souvent très
bassement physiques censés échapper à la vision de mec, genre « elle a des
mollets de goret »). La femme, même au sein du cercle d’amies, est donc
jugement et jaugeage permanent, par le physique, par les expériences, par la
réussite sociale, par la puissance séductrice. Lassée de la compagnie de
cet être qui la connaît décidemment trop bien pour qu’elle puisse la
tromper avec ses techniques habituelles, et ainsi capturer l’intérêt
simplement en jouant du mystère et de l’apparence, la femme voit la
compagnie des hommes comme salutaire. L’homme quant à lui, étant avant
tout complètement indifférent aux hommes qu’il ne connaît pas, et
trouvant une fraternité, une solidarité et un bien être extraordinaire chez
ses amis, ne ressent pas le besoin maladif de transformer chaque rencontre
féminine en amie. C’est au contraire pour lui le dernier recours, la
solution à envisager au pire, quand on a été trop mauvais pour convertir et
qu’on est malgré tout trop attaché pour voir disparaître. D’ailleurs,
c’est souvent par espoir enfoui et inconscient que l’homme accepte la
solution de l’amitié, pensant bien au fond de lui que rester dans la vie de
sa promise lui donnera dans l’avenir une chance qu’il ne gâchera pas
cette fois-ci. (Même chose dans le cas d’une cible déjà en couple…
attente patiente parfois très inconsciente de la cassure)
De l’intérêt d’avoir un ami
mâle…
Pour la femme avoir un ami homme offre bien des avantages :
Consciemment:
-Discuter. Si nous partageons bien un point avec les femmes, c’est que le
psychologisme de leurs pairs les épuise autant que nous. Avoir des
discussions riches et globales leur confère un sentiment d’existence
intellectuelle.
-Rire. On connaît le niveau d’humour de la plupart des femmes.
-Avoir des réponses de mecs sur des points précis de leurs vies (d’où
recherche de « confidents »).
-Un grain de folie, une passion, etc… (cochez ce qui complète le + son mec
actuel)
Inconsciemment :
-Un mec de côté « au cas où ». La validation physique ayant déjà eu
lieu, et même si le niveau d’attirance est pour l’instant insuffisant
(voir « féminisation de la séduction »), la femme ne veut pas se priver
d’un éventuel plan de secours qui peut s’avérer extrêmement utile.
-Remonter sa self esteem. Valable qu’elle soit célibataire ou en couple. On
renvoie le lecteur à l’article sur les suceuses d’attention.
-Un Wing, soit une aide pour approcher un autre homme. En soirée
essentiellement, une proximité amicale (proximité corporelle sans volonté
sexuelle décrite au début du texte) lui permet d’augmenter sa valeur aux
yeux des autres hommes, et particulièrement dans le cas où elle a une cible
précise. Dans ce cas, elle a l’arme qui peut faire exploser le niveau
d’intérêt de sa proie. Remarque : Ce comportement peut être normal entre
amis, à condition que les règles du jeu aient été fixées avant. Ce qui
est souvent malsain dans cette situation, c’est que la fille fait double jeu
entre sa target et son “ami”.
-Un cercle social. La fille profite alors d’accès à des soirées, ou aux
amis de son ami (beaucoup de filles ayant très peu d’amis en raison de leur
misogynie dissymétrique, donc un cercle social minuscule se résumant à un
faire valoir de 85kg et leur télévision). Cercle social aussi, et amitié
beaucoup plus calculée, quand la vraie cible de la femme est finalement un
ami de l’homme, unique connecteur capable de les faire rencontrer. (ami
pantin, utilisé comme « pivot »). Remarque : J’ai observé à de
nombreuses reprises des déclinaisons malsaines où la femme conserve un
mystère de séduction autour de l’amitié et flirte légèrement et
régulièrement avec son ami pour attiser son intérêt, et se voir ainsi
systématiquement payer ses entrées en boites, au concert, et ses repas au
restaurant. (mort aux pigeons). Véritable pétasse, elle a compris
l’intérêt d’utiliser son corps pour s’élever socialement et combler
la misère sociale vers laquelle la mène son oisiveté pathologique.
-Pour la femme en couple, l’ami mâle représentera un superbe moyen de
pression sur son homme. Elle pourra ainsi valoriser son ami sur les points
précis qu’elle souhaite voir améliorer chez lui. Exemple (voix de pouff):
« on dirait vraiment que tu m’écoutes pas quand je parle de mon boulot. On
dirait que tu t’en fous complètement. Y’a vraiment qu’avec
Charles-Henri que je peux en parler tranquillement. C’est dingue ça ! »
Comment ne jamais tomber en « friend zone
»
Note : ce sont la des grands principes qui n’ont pas vocation à
l’exhaustivité
Pour ne jamais tomber en friend zone, il faut accepter l’idée que soit vous
sortez avec cette fille qui vous attire et vous excite tant, soit elle ne
mérite pas une place dans votre vie (et « no turning back »). Une fois
cette idée acceptée (et l’idée de l’amitié exclue), vous pouvez vous
comporter comme un homme, un vrai, c’est-à-dire exprimer clairement,
simplement, et d’une manière très naturelle vos intentions (sans jouer le
désespéré ou faire de déclaration de celles qu’on ne voit qu’à la
télé, ca ne sert à rien à part à lui montrer que vous n’avez aucun
amour-propre). Vos intentions, je le rappelle, c’est de la baiser. Ni plus
ni moins (pour le +, attendez de voir si elle baise bien déjà..). Donc
sexuer les discussions (évocateur de cojones, virilité, assurance; mais à
partir d’un certain niveau de proximité, jamais avant au risque d’être
éliminé d’office), laisser planer le mystère sur votre vie (c’est
l’arme de séduction principale des femmes, une arme redoutable… ), tout
en lui faisant comprendre que dans le fond, vous avez une vie et des
connaissances féminines si passionnantes que dans l’absolu, elle n’est
qu’un autre poisson dans l’océan (ce qui est forcément vrai du reste).
Bref, baissez sa valeur et montez la votre. Plus vous direz ce que vous pensez
ouvertement, moins elle pourra jouer avec les probabilités, le non dit, et
faire des phases du genre « j’ai vraiment pas l’impression de… ». Le
reste viendra naturellement si vous ne cristallisez pas sur elle, si vous ne
l’idéalisez pas, si vous la considérez seulement pour ce qu’elle est en
fait (une des 2 millions de belles gosses à Paris par exemple). Mon amie
Bianca disait « agir est plus facile quand rien ne compte vraiment ». Et si,
en ayant agi comme un homme, elle vous fait traîner en longueur et mise sur
une amitié tout en maintenant une éventuelle relation amoureuse dans le
domaine du possible (persistance du flirt, etc…), passez à autre chose,
elle vous fait perdre du temps. Au mieux, c’est une fausse amie, au pire,
c’est une attention sucker. [4]
L’amitié homme femme, une
hérésie?
Conclusion partielle
Une vrai amitié se définissant avant tout comme le fait de pouvoir parler
absolument de tout avec une personne, l’amitié homme femme n’existe que
très rarement. Le non dit n’étant jamais choisi au hasard (surtout le non
dit sur les expériences amoureuses), ce type d’amitié est celui des
possibles, et avec, celui de la frustration.
Les exceptions
L’exception, qui confirme cette règle, existe évidemment. Le cas le plus
courant bien sûr, c’est quand il n’y a aucune attraction physique ni
d’un coté ni de l’autre. Dans ce cas, l’être humain a tendance à ne
même pas vouloir faire connaissance. Mais il arrive cependant que dans
certaines circonstances, les deux individus vivent plus ou moins en
communauté pendant longtemps, et qu’ils se laissent finalement aller à se
dévoiler, et à s’apprécier. C’est le cas pour certaines personnes avec
qui on a étudié, ou avec qui on a travaillé étroitement pendant un certain
temps.
L’exception qui vient ensuite, et c’est le plus courant, c’est la femme
épanouie. En effet, l’homme est un être rationnel et censé qui,
lorsqu’il est devant une personne attirante (mais) qui sait fixer les
limites (et est univoque sur ses intentions et claire sur sa situation), est
ravi de s’intéresser à ses attributs intellectuels, ravi de profiter de
ses qualités humaines et oubliera vite son attraction physique. (les petites
amies de nos amis rentrent dans cette catégorie -et dans la première quand
elles sont moches)
Note: Dans ces deux premiers cas, il n’y a pas eu de séduction ratée,
puisque pas de séduction du tout. On notera par ailleurs que ces deux
situations ne sont pas statiques : une vraie amitié cas n°2 peut se
transformer en fausse amitié quand elle casse par exemple avec le mec qui la
rendait heureuse. Elle peut se transformer littéralement en attention sucker
du jour ou lendemain, selon qu’elle est capable ou non de rester
célibataire. De la même manière, l’amitié numéro 1 peut varier en
séduction si par exemple vous partez 6 mois à l’étranger, et qu’en
revenant elle est devenue splendide, ou que vous avez travaillé votre look et
que vous l’attirez, etc…
La dernière exception est la lassitude. Fatiguée de flirter et de rester
dans l’indéfinissable et dans le domaine du « peut être », ressentant le
besoin de craquer un bon coup, et comprenant qu’avoir ces épaules
d’hommes à qui confier sa vraie misère féminine vaut finalement plus
qu’un « spare boyfriend », la fille se résout à abandonner la séduction
et l’amitié devient possible dès lors (pour l’homme, c’est la piqure
liée à la fin de l’espoir, mais aussi liéee au début d’autre chose de
mieux).
Conclusion
En bref et vous l’aurez compris, la seule définition de l’amitié repose
sur l’existence ou non du flirt du coté de la femme. Si la fille joue plus
ou moins le jeu de la séduction, ce n’est pas une vraie amitié, et si elle
ne vous intéresse pas pour autre chose que pour sortir avec elle, vous vous
ferez du mal à la fréquenter, mieux vaut donc la zapper. Si la fille ne joue
pas, raconte ses expériences et ses targets lorsqu’elle est célibataire,
ou parle tranquillement de son mec et en termes plutôt objectifs
lorsqu’elle est en couple, alors l’amitié est possible.
Lorsqu’elle est possible, n’oubliez pas, les hommes, qu’une amitié
homme-femme, c’est de l’or en barre, et qu’en plus d’être une mine
d’information et un cercle d’amies femmes, c’est avant tout une
complicité et une proximité que vous ne trouverez que rarement en couple. Et
tout cela, sans les emmerdes liées à la vie commune, aux caprices, à la
jalousie et au sexe. Franchement, c’est le bonheur.
Publié sur pasdeschiffons,
par Leparasite.
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