dgé
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Posté le: Lun Fév 09, 2009 22:49 pm Sujet du message: la litterature une drogue bénéfique
Voila la litterature semble agir sur moi tel une drogue je ne peu m'en passer
et pourtant quelque fois je semble arriver à saturation de lire.
Qu'en pessez vous ? Vaut'il miuex lire la nuit des nuits blanches dans les
livres
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Lyriss
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Posté le: Lun Fév 09, 2009 23:53 pm Sujet du message:
On a rit.
Si un lettré écrit comme toi, alors je suis la réincarnation de Céline.
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uacuus
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Posté le: Lun Fév 09, 2009 23:56 pm Sujet du message:
Je ne voudrais surtout pas être du même avis que Lyriss, mais tout de même
la comparaison avec la drogue, si plate, il fallait l'oser.
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Romulus
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 00:17 am Sujet du message:
Mais est-ce que quelqu'un qui aime la littérature est forcément un lettré?
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Lyriss
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Romulus
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 00:32 am Sujet du message:
Non je ne te ferais pas ce plaisir même si je sais que tu est fan de mes
pavés de 10 pages.
Non ce ce que je voulais juste dire c'est que aimer la littérature : ça veut
juste dire aimer lire. Etre un lettré c'est une personne possédant une
grande érudition. On peut aimer la littérature sans avoir une grande
culture.
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dgé
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 00:40 am Sujet du message:
cher lyrisse,
tu présages de ma culture et de mon érudition qui ne te sont pas connues la
comparaison avec la drogue que je qualifie de drogue bénéfique est un
oxymore j'espére que cela ne t'aura pas échapé toi qui est si érudit et si
perspicasse il est dit que toute dépandence à une substance est une drogue
or être dépendant à la littérature n'est certes pas une drogue dans le
sens physique du terme mais dans le sens intelectuel.
Une chose est certaine ton humour n'est pas des plus décapant
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Aaricia
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oeildenuit
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 11:04 am Sujet du message:
Dgé essaye juste de préciser le sujet ou au moins de poser une véritable
question pour que les gens puissent y répondre et que ce topic ne vire ni en
flood total ni en réglement de compte.
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Lyriss
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 11:23 am Sujet du message:
Dans ce cas la, l'amour est une drogue, le sexe est une drogue, la vie est une
drogue ...
Et pour Romulus, si on lit beaucoup, il me semble évident que l'on va
développer une aisance syntaxique particulière.
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 11:34 am Sujet du message:
Pas toujours. J'ai un ami qui dévore 200 pages de fantasy et de
science-fiction par jour et a une orthographe plus mauvaise qu'un CM2, sans
même l'excuse de la dyslexie. Sera-ce seulement l'exception qui confirme la
règle?
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uacuus
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 11:44 am Sujet du message:
Lyriss est mal placé pour donner des leçons d'orthographe. On peut lire
beaucoup sans acquérir d'orthographe. Pour cela il faut avoir une mémoire
particulière. J'ai mis beaucoup de temps à acquérir une orthographe
correcte, car je peux lire mille fois un mot correctement orthographié, sans
que je l'enregistre pour autant. Les redoublements de consonne, et autres
choses du même genre, ne modifient en rien le sens de ce que je lis, aussi
j'oublie tout de suite, de la même manière que j'oublie la figure des gens
que je croise dans la rue. Pour certains, qui n'ont pas une mémoire
adéquate, ce n'est pas la lecture qui est requise, mais un effort conscient
de compréhension, par l'étymologie les règles et tous les raisonnements qui
peuvent donner du sens au fatras orthographique. On peut détourner le sujet,
cette question me parait plus intéressante que celle de la supposée
dépendance où nous tiendrait la littérature.
Dernière édition par uacuus le Mar Fév 10, 2009 12:12 pm; édité 1 fois
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:04 pm Sujet du message:
Oui, détournons le sujet.
Parmi les nombreuses barrières séparant le fait de lire et le fait
d'écrire, j'y vois aussi cette question technique de l'orthographe: n'importe
qui peut lire un roman et comprendre le sens des verbes au passé simple, mais
bien peu seraient vraiment capables de l'utiliser et de l'orthographier
correctement s'ils devaient écrire. Indépendamment de l'inspiration.
D'ailleurs, ça se sent parmi les poètes du forum; ça a lu beaucoup de
Beaudelaire, de Rimbaud et de Breton mais lorsqu'il s'agit de produire.. il ne
suffit pas d'avoir le fond, il faut acquérir la forme - orthographe et style.
Et métrique pour les vieux et les courageux.
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oeildenuit
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:10 pm Sujet du message:
Je suis assez d'accord avec uacuus.
Moi par exemple, ça fait longtemps que je lis pas mal et pourtant je n'ai
acquis une orthographe correcte que récemment.
Le jour où, déprimé par mes fautes régulières, je me suis acheté un
bouquin de grammaire et ai travaillé dessus pendant longtemps.
En outre lorsque je lis et que je ne comprends pas un mot, je cherche - si
possible - systématiquement et le note dans un carnet que je relis à
l'occasion.
Cela m'a beaucoup aidé aussi.
Mais il m'arrive encore de temps à autre d'oublier (ou de confondre )
l'orthographe d'un mot surtout- comme l'a souligné uacuus - lors des diverses
doubles consonnes au sein d'un même mot.
Simplement lorsque c'est le cas, j'ai le bon sens de taper ledit mot sur
google ou sur un quelconque dictionnaire en ligne qui m'en donnera alors la
bonne orthographe.
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uacuus
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:13 pm Sujet du message:
Criterium a
écrit: | ça a lu beaucoup de
Beaudelaire, |
... et ça ne sait même pas écrire Baudelaire!
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Criterium
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:16 pm Sujet du message:
Tu es cruel
Je n'ai jamais vanté les qualités de mon orthographe approximative, et je
n'ai soumis aucun poème à Genaisse, pourtant.
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oeildenuit
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:18 pm Sujet du message:
Baudelaire est un poète maudit, à oublier assez vite donc.
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Lyriss
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Posté le: Mar Fév 10, 2009 12:36 pm Sujet du message:
je parlais surtout de la syntaxe, et non de l'orthographe.
Si on lit beaucoup, il me semble obligatoire d'acquérir une syntaxe, si ce
n'est agréable, au moins juste.
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Rixehoney
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Posté le: Ven Fév 27, 2009 16:33 pm Sujet du message:
Citation: | On
peut aimer la littérature sans avoir une grande
culture. |
Soyons exacte, il faudrait dire aimer les livres et non la littérature car la
littérature induit outre la culture générale sur laquelle nous sommes
d'accord, un sens de l'intertextualité, un sens critique qui s'appuie sur
d'autre domaine tel que la philosophie et l'art, etc; en somme aimer la
littérature, c'est lui rendre hommage avec les meilleurs matières de
l'esprit.
Par contre, je pense qu'il y a des gens qui aiment flatter leur égo et leur
image à se dire passionnés de littérature et à le montrer de manière
ostensible; je lis un livre sur un banc avec main sur le front pendant que le
soleil le rayonne.
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Inutile
De passage
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Posté le: Jeu Avr 16, 2009 11:57 am Sujet du message:
Et les effets bénéfiques de la drogue sur la littérature ?
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