Narcissimo
Petit nouveau
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Posté le: Jeu Mai 08, 2008 15:18 pm Sujet du message: extrait de mon livre
Virgile regardait par la vitre de la voiture, les arbres défilaient, tous
semblables, tel des stries épais noires et floues sur fond de ciel gris
nuageux, et de grandes plaines vertes affadies par le mauvais temps. Ce
panorama offrait un paysage englouti par la tristesse et qui ne semblait
connaître que la pluie et la grisaille; la quasi-totalité du temps, à cause
de la mélancolie qui s’en dégageait. L’essence qui l’imprégnait,
annonçait l’arrivée de l’automne, qui avait posée ces bagages pleins de
tous les pleures, dont les nuages avaient décidé de ce vider. C’était le
retour au travail, le retour des soucis, du froid de la pluie, mais tous cela
Virgile ne le connaissait pas, ou du moins pas avec l’arrivé de cette
saison la, ni avec la routine ambiante du travailleur de la ville. Le vent
criait, son désespoir derrière les vitres tachées par la bruine de
l’après midi, comme si un lourd désespoir envahissait toute
l’atmosphère. La route défilait sans fin grise et rappeuse, les arbres
eux passaient toujours au dehors sur la chaussé, tel une ribambelle infinie.
Ils se tenaient droits laissant filtrer au travers de leurs maigres
feuillages, les longs ralles du vent. Et dans une complainte irrégulière, le
chant des feuilles sèches, qui s’entremêlaient et se brassaient demeurait
de tant à autre brouillé par le long souffle automnal; le tout de cette
mélodie dramatique rongé par le ronflement sonore et bruyant, que faisaient
les voitures en roulant sur la grande autoroute. Cette vague de plaintes que
la nature environnante faisait s’échoué sur la berge de l’esprit meurtri
et angoissé de Virgile, fit ressurgir en elle une multitude de souvenirs
emplis de souffrance, tel une marée montante submerge la côte longtemps
laissée à sec. Lui revenait en tête l’entretien avec le général Winso.
Cet entretien si précieux qui lui donnait enfin le droit d’être libre, de
partir de cette foutue caserne, d’enfin pouvoir agir non dans le but
d’obéir à un ordre, mais dans celui qu’elle aurait décidé de suivre.
Elle pourrait enfin respirer, fauter sur des détails sans qu’on lui donne
le fouet, ou bien encor qu’on la jette dans une cave, nue dans le noir
total, pendant deux semaines entières sans autre nourriture que le foin
pourri sur le quel elle dormait, et sans autre minimum pour s’hydrater que
l’eau qui fuyait le long des murs et gisait lamentablement dans la boue du
sol sale et puant. Enfin toutes ces choses là elle préférait les laisser de
coté, les évincer de son esprit et comme une entrevu hasardeuse du destin
qui laissait voir une once de lumière, l’entretien dans le bureau du
général avait abrégé cette situation insoutenable. Winsor avait plaquer
ses grandes mains obscènes par nature, et griffus, _tel les pattes d’une
chimère jamais inventé par l’homme mais certainement l’œuvre de Satan_,
violemment sur le bureau en acajou verni et lustré depuis peut par le premier
larbin apeuré, par la menace du détail, qui foutrait en l’air sa
carrière dans le nettoyage de bureau des armées, financée par l’état.
Virgile n’y avait pas réagit et avait garder son calme comme l’habitude
et la prudence le lui avait apprit auparavant. Cette homme ou cette bête
plutôt devrait elle dire, elle le connaissait bien et se contenir valait
mieux que d’entrer dans son jeux de pervers et de sadique qui la ferait
certainement plus encor souffrir, et s’engouffrer dans les abîmes couverts
et jonchés des turpitudes les plus basses et les plus blessantes, que les tas
d’obscénités et d’injure qu’il pouvait lui lancer. Il l’avait
sauvagement interpellé à son arrivé dans la pièce, _tandis qu’elle
s’asseyait face à lui calmement_, tout en tapant une deuxième foi de ses
poings massues, sur le bureau, comme s’il était pour quelque chose à sa
colère bestial: « Soldat Virgil !! fit il d’une voix enrager et plaine de
méprit. Vous croyez peut être que si vous vous en allez maintenant, vos
problèmes avec l’armée s’en finiront là, vous croyez que vos crimes
seront oubliés, que vous ne les payerait pas un jour ou l’autre ?
L’interrogea t- il en postillonnant sa salive épaisse et gluante de
crapaud, de partout. Puis se reprenant, il recommença ces crachas continuels
pour lui faire part de son avis, qui semblait à ses propre yeux d’hommes,
le meilleur; celui auquel ont doit ce plier, sans aucune autre alternative :
« Eh bien moi je te le dit clairement un jour ou l’autre tu finira comme
une ordure que tu es dans un ramassis d’ordures tel que toi. Toi la
traînée, toi la s*****, je te souhaite bien du malheur dans ta vie et je
ferait tout, tout pour que ta vie soit un cauchemar pour que tu crève de
douleur, pour que tu regrette d’être né sur cette terre, car seul moi
donnera un sens à ta vie de sale bâtarde de chienne galleuse, et lorsque tu
sera au bout du rouleau je te ferait la même chose que tu à faite à ses
deux braves Konor et Great, avant de les tuer. Tu pige cria-il, est ce que tu
pige hurla- t-il de plus belle ? » Elle ne répondit pas, mais celui-ci fit
comme si, alors qu’elle restait de marbre :
« Et même si tu crois que les juges sont de ton coté, et même si s’est
grâce à eux que tu va foutre le camp d’ici, tu es quand même déclarée
coupable, et sans aucune excuse qui explique ton acte de sale p***. » Il lui
jeta vulgairement à la figure, le dossier de son inculpation. Ce document
attestait et l’accusait des meurtres de l’adjudant Konor, soit disant
bien propre sur lui, et du sergent instructeur Great, qui bien sûre pour le
bon plaisir de tous le monde était un Héro national, brave, l’exemple
même du patriotisme parfait pour son pays. Winsor se relança, à bout de
nerf, sa brimade, en la pointant du doigt: « Et croit moi, lorsque tu
traînera ton cul jusqu’à Seattle, je le flairerait toujours à des
kilomètres à la ronde, tellement il puera. Tant l’odeur de femelle qui sue
le sang de cet organes puant et dégénérant des femmes de ton espèce,
empestera l’air _ piquante, celle de ta vulve cramoisie et de ton clitoris
qui sent à plein nez l’urine bavant entre tes lèvres roses flétries et
rougies par l’infection_, qu’elle viendra jusqu’à mes narine. Tu as
l’entrejambe désolant et honteux d’une truie, sur lequel seul les mouches
se battraient pour s’y appâter. Lorsque tu foutra le camp de cette caserne,
tu sera désorientée, pommée, tu ne comprendra pas pourquoi le sang
dégouline douloureusement sur les paroi de ton satané vagin poisseux,
pourquoi ton utérus se tord, et cela te fera souffrir comme la pauvre bête
que tu es. Et cette émanation rance la, sera si forte, que je n’aurait
aucun problème à te suivre, jusque dans le lycée ou il t’enverront. Et
tu repensera à tous les viols, les tortures que je t’ait donné comme des
actes, dignes de l’enflure que tu es. Alors reprit-t-il avec insistance, si
tu à envie de poursuivre ces satanés études, certainement trop compliqué
pour ton cerveau de primate dégénéré, tu à intérêt, mais vraiment
intérêt à te tenir à carreaux, pigé ?» se stoppa-il, en faisant une
pose, pour la regarda fixement dans les yeux, en réfléchissant à comment il
devait s’y prendre, pour la déstabiliser, ou la faire sortir de ses gons.
« Alors tu répond à ma question ou quoi, tu va te tenir à carreau, ou
alors tu vas chialer là devant moi ? »La força-t-il à s’exprimer sur ses
parole vide d’humanité, pour qu’elle dévoile son dévouement, son
obéissance d’esclave accompli qu’elle devait être à ces yeux. Elle pris
une respiration profonde et parvint à articuler les mots qu’il souhaitait
entendre :
_Oui répondit Virgil, oui mon général s’obligea-t-elle à répondre dans
un soupire.
_Bien, se satisfait il en se frottant les mains comme en réjouissence d’une
victoire de son pouvoir sur elle.
_Tu sait au fond que Great et Konor t’ai violée n’était qu’une
punition déjà acquise, pour un sexe déjà empli de souillures et de
maladies tel que le tien. Et je croix que c’est une bonne chose que la
justice t’est donner tort. Et c’est est encor mieux, que ce verdict donne
raison à des hommes d’armée, qui n’ont tenté qu’une chose en
vérité, qui est de neutraliser une saloperie comme toi. Et même si ces
sanctions ne suffisent à punir ton corps malsain, je sait que les mutilations
que mes hommes t’on sculptées à l’arme blanche, dans cette partie qui
est censé te donner apparence de femme, te donne de graves difficultés à
uriner, et te font pisser le sang par un autre endroit que ta satanée
plomberie putride. Je sais aussi que les courbatures aigues que le médecin
Stins t’à diagnostiquer, à cet endroit, te font pleurer de la nuit
jusqu’à l’aube, et cela suffit à me rendre heureux. Puis à
l’encontre de ce que tu peut penser, que ton bébé soit mort, n’est
qu’une bonne chose de plus, meilleur pour ce monde, pour éviter que les
monstres comme toi, n’engendrent pas des avortons pires que ceux que le
diable peut à lui seul engendrer. Et se bâtard de simplet qui t’a aider à
sa conception, mérite aussi son sort, la mort est une fin à tout dans ton
cas et dans le leur. Seul les violes et les mutilations pouvaient et peuvent
toujours, éviter que des êtres tel que toi, pourris et souillées dés la
naissance sur leur corps et dans leur esprits, aient le droit d’être libre.
Virgile le regarda droit dans les yeux, les larmes prêtes à couler et la
gorge comme comprimé et enflammée de l’intérieur, ne laissant pas sortir
le chagrin qui l’assaillait d’un coup. Elle ne pouvait pas donner à
Winsor le plaisir de la victoire. Pourtant elle avait du mal, un mal de chien
à ne pas s’effondrer devant lui. La mort de son bébé et de l’amour de
sa vie ainsi piétinée, lui tordait la gorge, et si elle avait pu, elle
l’aurait tué lui aussi tout suite, comme ceux qui les avaient tués. Elle
ne pouvait supporter qu’on mette à bas par terre les êtres les plus chers
à sa vie, et encor plus qu’on dise que leurs morts étaient justifier car
il étaient des sous hommes, ou des créatures indignes_ c’était toujours
la fameuse théorie du générale qui consistait à dire que les faibles
méritait leur sort _, et pire encor que l’on ose dire qu’ils étaient des
créations de Satan, avec cet certitude sans faille propre aux pervers. Elle
aurait voulut crier au ciel la détresse qui la grignotait de l’intérieur,
hurlé la douleur de ce souvenir, la mort, l’assassinat de ce bébé qui
remontait comme une bulle d’aire à la surface de l’eau, et qui explose se
vidant de tout son oxygène : dans le vague une tête qui tombe contre le
sol, le corps dégringolant dans l’airs étouffant, et qui se brise.
L’incompréhension total, la frustration infinie, et toute l’attente. Ce
sein gonflé de lait qu’elle voulait lui donner, cette poitrine chaude
contre laquelle elle voulait le blottir. Et son sexe ? Son nom ? Elle ne les
savait pas. Tant de temps qui s’était passé en attendant l’approche de
sa naissance avec impatiente. Neuf mois couchée dans la paille, toute cette
souffrance cette angoisse, et se corps décapité, cette tête séparée de ce
corps, plongés dans la boue. Les pleurs qui la rongeait, son souffle coupé,
son cœur assommé. Elle ne pouvait plus rien dire, non plus rien. Elle ne
pouvait que revoir en boucle les actions brèves et rapides, le bébé qui
sort, des mains qui le prenne et tout ce qui s’en suit, dans un noir
brouillé et floue qui l’empêche de comprendre, de comprendre
l’incompréhensible, ou l’horreur, elle ne pouvait le nommer, ce noir, ce
vide, cette plaie. Une rage sans pareil qui s’empare alors d’elle et qui
la fait ce lever, décuplant ces forces par quatre. Et à la place de son
cœur vibre follement, une haine incontrôlable, une envie de tuer ces
hommes, si se n’était des démons ou des bêtes. Une envie de leur arracher
les tripes, de leur crever les yeux, de les faire mourir à petit feu, de
défouler une lame sur eux, de déchirer leur peau et aussi un besoin vitale
de pleurer de gémir de sangloter à pleine gueule, un désir de mort subite
qui arrête tous là, qui abrège les souffrances et les tourments, avec tous
ce chagrin qui la crevait de l’intérieur. Elle les avait tués, et elle
avait été un peu soulagée. Elle avait eut l’impression qu’un lourd
poids qui depuis longtemps comprimait sa poitrine s’était envolé, mais il
restait le petit cadavre allongé à terre, là, dans son esprit. Puis elle
avait pris les deux parties dans ses bras, et dans son souvenir les avait
enveloppées dans la chemise de l’un des hommes, en guise de suaire, puis
l’avait serré contre son sein. Mais à présent elle devait ce maîtriser,
pas question de laisser sa rage supprimer ce vaurien innommable, même si cela
devenait de plus en plus dur. Elle savait que si elle laissait la colère
infini qui était en elle se déverser, elle pourrait dire à dieu au lycée
qui l’attendait à Seattle, elle était donc resté silencieuse les
mâchoire serrées, et les tempes contactées. Puis se salop s’était remis
à cogiter, sur un moyen d’enfin la pousser à bout pour qu’elle en vienne
à la violence, qu’elle craque devant lui. Il avait fini par ouvrir sa
gueule après avoir dégottée dans son esprit tordu quelque images ou
souvenir blessants:
« Je me souviens dans ce misérable village de Russie ou je t’ai
repêchée. Je me souvient de ta mère, quant je l’ai vue pour la première
fois, dans ses yeux il y avait la même obstination que la tienne, un air de
sorcière vile comme tu l’est à présent, et cette entêtement qui
s’accorde à des êtres au caractère dément et fou qui ne sont ni de dieu
ni du mal, mais des rejetons descendants tout droit de l’enfer. Lorsque je
l’ai vu, j’ai su qu’elle méritait un bon châtiment. A serrer son
ventre en cloque comme une folle, et à hurler comme un cochon qu’on
égorge, quant je lui ai déchiré ces habilles devant les autre hommes : ceux
de mon armé et ceux du village qui n’ont rien fait. C’est dire que même
les volailles de la basse cour avaient reconnu en elle la laideur profonde des
abîmes. Après, elle a eu l’audace fourbe de supplier mes hommes de
l’aider, même dénudée comme elle l’était, mais qu’attendait-elle
d’eux ? Ils savaient quelle était sa nature maléfique et démoniaque. Et
voila qu’elle se traînait sa et là comme pour évité un verdict juste, ce
comportant comme la créature saute, lâche qu’elle était et qui croyait
pouvoir nous duper en rallant à pleine gorge « ne tuer pas mon bébé,
s’il vous plait, je vous en prit, Ho… Ho ne tuer pas mon bébé»
l’imita-t-il avec une voix chevrotante, aigue qui était censé lui
ressembler.
« Il y avait cette chose qu’il n’y avait dans aucun autre regard de
s*****. Elle était là nue son arrière train fourré dans la boue, et elle
couvrait son nid poilu et son ventre gonflé comme un ballon de baudruche de
ses deux mains, avec cette impertinence insupportable qu’elle voulait faire
passer pour un sentiment de mère qui ne veut pas perdre son enfant et qui est
prête à tout pour sa. Et elle restait plantée là, ses fesses boudinées à
cause de la maternité, et toutes ramollies de graisse, avachies comme deux
sacs pleins, comme deux gros lard dans la bourbe. Ce tas de viande couvert de
peau livide, se lourd postérieur creusé par une raie sombre qui renfermait
l’endroit puant et désolé ou elle t’a créée, ne méritait aucun
respect, mais plus qu’autre chose un bon viole en règle. La pénétration
de son corps par l’endroit sale, _d’une odeur fétide plus insupportable
que celui d’une autre femme _ et hideux par lequel tu est sortie, toute
couverte des résidus de ce tuyaux humide tout visqueux par les fluides
maternels et le liquide bi-amniotique graisseux. J’ai eu pitié de toi et je
ne t’ai pas tuer lorsque cette immonde mammifère, à écarter ses jambes
dans des sanglots dignes des comédies tragiques qui passent de temps à autre
au cinéma, montrant en plein son choux rose. Certainement qu’après la peur
du viol, le choque lui avait fait venir des contractions à l’utérus ou
bien dieu avait-il fait en sorte que l’accouchement la punisse doublement ?
» S’exclama-t-il un air amusé à la figure, avec cette espèce de
jouissance insupportable qu’il éprouvait à dénigrer sa mère, dans cette
situation qui l’avait menait inévitablement vers la mort. Durant cet
accouchement qui aurait du être un moment d’intimité, et non une longue
torture publique humiliante. Mais cela ne s’arrêtait pas là, et il
continua sans aucune pitié ni aucune retenue, pour frustrer Virgil qui
n’avait pas connu sa mère, en en parlant dans des termes obscènes
phallocrates, ceux d’un psychopathe salivant devant sa victime au bord du
gouffre. Il se remit à débiter toute cette horreur:
« Et alors, elle s’est mise à me regarder en grimaçant. Poussant des
gémissements sordides, à chaque violant spasme, pendant qu’elle
contractait difficilement le bas de son ventre. Elle avait perdu les eaux, et
je voyais tous les muscles de son bassin se contracter, pour t’expulser de
ses foutues entrailles et cela me faisait bien triper de la voir crever sur
place les guibolles grandes ouvertes. Après j’ai pu observer le trou de sa
vulve, replié en un trait pâle tous ridé et flétri presque chauve,
s’élargir et la faire se tordre comme une dératée, en la faisant pousser
des halètements et des couinements ridicules !! Et son orifice sombre rose,
s’est mis à trembler et frémir, à moitié entrouvert. Se retroussant et
se défripant avec les crampes successives qui le secouait et qui le faisait
vibrer avec des bruits humides gluants et brusques, qu’elle n’arrivait
même pas à contrôler. Et, cela, fit il en s’esclaffant, l’énervait
profondément, _ et je me marrait de la voir privé de cacher sa
grossièreté naturel _ de ne pas pouvoir le maîtriser elle-même, il se
déformait, poussait des ronflement comme ceux d’un groin de cochon, se
distordant bruyamment au dessus de son anus dilatés qui s’étirait se
rétrécissait, lui faisant pousser des pets bouseux, qu’elle semblait un
coup souffler ou aspirer par son rectum. J’étais mis au supplice, de la
saleté répugnante de ces deux trous. Ils se dilataient et bruissaient
presque de la même manière et avec une apparence aussi hideux l’un que
l’autre, me faisant à un moment douter, de par où tu allait venir. Puis
finalement la petite bouche marron âtre baveuse, ridée, de son vagin, _comme
le sont les parties qui permette de déféquer _, c’est considérablement
écartée, tendant et tirant sur ses lèvres, toutes pâlissantes, et
commençant à les faire se déchirer jusqu’à son clitoris, lui arrachant
une crise de larmes absurdes. Une tête est alors sortie, la tienne, mais ton
corps était encor englouti. J’y est alors enfoncer mes deux mains : les
parois était glissantes et chaudes, et ta mère criait comme une folle de ne
pas te toucher, et de ne foutre mes salle pattes dedans son vagin, et que soit
disant sa allait se faire tout seul, c’était insupportable,
s’exclama-t-il. En plus cette s***** m’a pissé dessus, de son petit sac
de chaire médiocre, me salissant les poignets et urinant en plein sur ta face
d’avorton. Alors je me suis retiré de son entre répugnant, et je lui ais
arraché sèchement la petite parti de sa foufoune rougissante qui gouttait
encor, ce qui l’à fait pleurer et brailler comme une malade. Je devait
garder mon calme face à ce petit amas de peau flétrit duveteux. J’ai
alors replonger mes main dedans, c’était profond et ses muscle restait
crispés, le conduit moue étroit, était brûlant et vaseux. J’avait les
mains prise dedans, et tout enveloppées d’un liquide chaud visqueux qui le
recouvrait tout entier. Alors j’ais tirer et enfin tu était sauvée, ses
entrailles se son refermées mollement et j’avait les main pleine d’une
gelée molle transparente comme de la bave. C’est moi qui t’est
recueilli, car cette pauvre idiote avait beau être ta mère elle n’avait
plus aucune force, et en plus se vidait de son sang. Sortie de cet organe
aussi laid il ne pouvait advenir de toi qu’une chose plus imparfaite et plus
moindre encor que ce qu’était ta pauvre mère. Je la regardais
pitoyablement, lança t il avec un mépris sans borne, tant elle continuait à
persister dans sa désobéissance. Son gros sexe pâle grassouillet pendait
grossièrement sous ses poils blonds grisonnant, partagé en deux pans de peau
fripés ensanglantés, tous dégoulinants de la pluie des flaques d’eau. Et
elle y portait sa main pleine du sang qui provenait de cette déchirure
fendant en une raie rouge épaisse coagulé, cette immonde chose jusqu’à
son pubis. Elle en avait les larmes aux yeux et lorsque je lui ait donner une
flopée de coup de pied dans la chaire de sa chatte à vif, je n’ai même
plus reconnu son visage tellement elle crevait de douleur, tellement elle
rallait et geignait minablement froissant toute sa gueule écarlate. Et elle
se traînait en me suppliant à sa dernière heure de te redonner, elle
criait, criait !! Mais je pense qu’elle était déjà assez humiliée,
pourtant elle n’a pas cesser ses foutues provocations en se vautrant ainsi
à terre pour te reprendre, en gémissant des mots que je ne comprenait même
pas, frottant ses mamelle de vaches qui pendaient mollement, au sol plein de
fange. Elle rampait comme une malheureuse vipère sournoise. Elle faisait sa
tout en pleurant lamentablement comme si elle n’avait pas compris la leçon,
elle méritait que je la tu, elle le voulait même je pense. Alors je l’ai
prise par les cheveux, et je l’ai ramenée ver moi la saisissant par
l’entre jambe, puis avec ma dague, à la manière d’éplucher un oignon,
claque! Je l’ais fendu en deux de son organe de femelle indigne jusqu à la
trachée. Tout ceux-ci n’aurait pas eut lieu si elle n’avait pas eux
l’audace de me regarder avec cet orgueil insoutenable.
Virgile baissa les yeux elle n’aurait su comment réagir à ces paroles, si
elle ne devait pas partir à Seattle. Sa mère elle ne l’avait pas connu et
la seul fois qu’elle avait demandé à Winsor de lui en parler, il lui avait
dit qu’elle n’était pas morte, mais qu’elle ne pourrait jamais la
revoir ni retrouver ses traces. Il avait menti, il avait profité de son
innocence d’enfant, pour lui donner de faux espoir auxquelles croire. Mais
là maintenant comment savoir si c’était la vérité ? Elle n’y pouvait
rien comprendre. Etait- ce bien vrai ou était-ce encor un mensonge ? Elle ne
savait plus que croire, ou que dire. Dans sa tête déjà perturbée par tant
et tant d’autres choses, cela semait un écho douloureux qui y jetait un
désordre pire qu’avant. Tout était confus. Elle avait un jour espérer
tout au fond d’elle qu’elle pourrait la retrouver en sortant de la
caserne, et entreprendre de savoir qui elle était, s’imaginant quelle
réaction elle aurait en la voyant, serait-elle fière, ou non, heureuse, ou
obliger de faire avec, s’apercevrait - t- elle que c’était sa fille ?
Mais voila que tous s’effondraient. Et ce salopard l’avait tuée. Elle
était le bébé, l’enfant, de cette femme morte qu’elle ne connaissait
pas et qu’elle ne pourrait jamais connaître. Elle aurait voulu qu’on lui
en parle d’une autre manière que celle-ci, une autre que ce discoure cru
rabaissant, qui la décrivait comme un animal aux abois et non une femme
mettant au monde un enfant. Tout ne pouvait ce résumer à sa, à toutes ces
paroles méprisantes insupportables à entendre sur celle qui lui avait donné
le jour. Elle mourrait de chagrin au fond d’elle, elle voulait faire sortir
toute sa peine, mais ne le pouvait pas si elle voulait partir de là, et avoir
une vie de jeune femme libre, et ne pas laisser à Winsor la gloire perverse
de son orgueil de barbare. A y réfléchir ce discoure n’avait plus aucune
espèce d’importance, ce qui importait c’était ce que cette femme avait
accompli, de plus beau que tout : Elle, Virgile, qu’elle avait créée et à
qui elle avait donner droit de vivre, même si cette vie qu’elle avait
n’était pas désirable et plaine des mutilations qui entravait son corps et
son être. Oui cette vie décharnée en lambeau lui permettrait peut être un
jour de lui rendre justice, de montrer au yeux de tous qui était le héro
d’une guerre qui en valait mille autre. Elle qui avait eut le courage de
faire naître tant de bien parmi tant de mal, au prit de sa vie et du gain
d’une autre, tout aussi précieux. Ce qui répugnait tant Winsor en
réalité se n’était la pas mocheté ni la crasse des organes sexuels de sa
mère, mais la beauté de son acte. Ce que jamais il ne pourrait faire, car
lui ne savait que donner la mort inévitablement. Ce qui le regorgeait de
plaisir n’était que le mal, le couteau qui mutile, les paroles qui font
pleurer. Et par son sexe et sa main il ne savait que blesser et tuer. Oui, son
sexe ne savait pas donner la vie, même en s’emplissant désespérément de
sang en ébullition, se gonflant pour se lever vers le haut il ne pouvait
qu’atteindre l’obscurité intense, ce sexe la tout dresser vers le ciel,
comme Virgil l’avait vu bien de fois, ne savait que violer, il ne savait
que triquer devant la morts, elle seul semblait le pousser à l’acte de
pénétration. Elle dirigeait son pénis comme l’on pointe un poignard ver
l’issu céleste qui donne naissance, qui fait naître l’amour, qui fascine
celui qui a l’honneur d’y entrer ; ne sachant que l’écorcher
honteusement, bousillant salement la beauté de ce monde.
Enfin sorti de ces souvenirs embrumé désagréables et insupportable à se
rappeler en boucle, elle s’aperçu que le garc du taxi la dévisageait, et
la déshabillait du regard. Elle ne comprenait pas pourquoi il semblait autant
l’admirer, elle ne se trouvait vraiment pas belle à voir. Pourtant il
semblait fasciné par ces formes et son physique, ce qui la gênait fortement.
Elle avait un visage bien proportionné, des yeux bleus profonds, cheveux
blonds frisés s’arrêtant au cou et en pagaille sur sa tête. On pouvait
lire sur sa figure pourtant harmonieuse une expression, reflétant une peur
profonde dévastatrice, qui lui durcissait ses traits parfaitement dessinés
et les lui pétrifiait; faisant ressortir plus qu’autre chose une impression
de rudesse empreinte de rigidité, une absence de sentiments totale, ou
parfois une sérénité troublante. Virgile ne se voyait, aucune beauté
évidente, même si au jugé elle se trouvait une certaine régularité de ses
lignes physionomiques. Elle n’avait jamais vue en son reflet une jeune femme
belle, attirante, elle ne se trouvait aucun charmes ni aucun air de féminité
flagrants. Elle ne se regardait jamais nue dans le miroir, car l’effroi des
blessures qui déchirait sa poitrine naissante, tout son torse molesté, ses
jambes engourdis et son pubis; accompagné d’une quantité indénombrable
d’ecchymoses violacés, et d’escarres noircissant qui couvrait ses fesse
meurtris, ses côtes et ses omoplates; lui faisant revenir par bribe violente
toute les tortures et tout les viols de Great et Konor, qu’elle se gardait
bien de décortiquer à nouveau et qu’elle rangeait tout aussi tôt dans un
coin inconscient de son cerveau.
Enfin, ces pensée furent interrompu par le chauffeur qui malgré ses regards
voyeurs, et d’une grande indiscrétion à chaque station de payement, avait
eu l’amabilité de l’avertir qu’ils étaient enfin arrivés en ville.
Jamais elle ne l’avait vu la ville, en effet elle était née en Russie dans
un patelin complètement paumé dans la campagne russe désertique et jonchet
de glace par toutes les saisons. Ses souvenirs à propos de sa terre natale
étaient flous, flous d’incertitude de nostalgie de regrets, avec
l’ambiance de son hameau calme et complètement en retraite du monde, tout
son chez sois son petit havre tranquille qui avait été complètement gâché
à cause d’un bain de sang mémorable mis au point par la légion dans un
village de ruraux qui n’avait commis qu’une faute à leur yeux qui était
de vivre indépendant de l’état soviétique, tout juste remis de la guerre.
Et qui pratiquait à ses heures perdues des rafles dans les compagnes pour
amasser les populations alentour dans les grandes villes qui n’échappaient
pas à leur contrôle. Ce drame qui avait déchirer sa vie en deux morceaux
_celui qui écrivait la fin et celui qui la guidait vers cette enfer inconnu
insoupçonné_ avait emporter sa mère, ses habitudes de jeune enfant, son
innocence, son insouciance, sa confiance en ce que pouvait être l’homme,
l’humain, ou dieu, et elle au passage. Là-ba, elle avait eu l’impression
d’y laisser son âme. Tout cela envolé, bousillé. Mais il fallait
qu’elle le laisse derrière elle, qu’elle vive avec cette plais toujours
ouverte, et qu’en même temps elle tire un trait sur toute cette
invraisemblable folie, sur toute cette sauvagerie indescriptible totalement
dénuée de sens, qui la dépassait complètement. Qu’elle cesse enfin de
penser à tout ça.
Elle préféra finalement, se reconcentrer sur cette ville de Seattle
qu’elle ne connaissait pas, pour mieux la dévisager, d’un air pensif. Oui
se laisser aller ver l’inconnu plaisir, l’inconnu espoir, la liberté de
ne plus se soucier de rien, d’aucune chose tracassante, ne plus réfléchir
juste regarder, se laisser aller, se laisser emporter par se vide léger, et
flottant. Libre. Libre pour mieux prendre le temps de savourer l’instant
tant espéré. C’était là ce dont elle avait toujours rêver, c’était
la reconnaissance de ses effort; avec cette cité là, dresser de toute sa
hauteur, qui valait le réconfort fait pour apaiser ses tourments et ses
soucis. C’était bien la première foi qu’elle voyait ce genre
d’architectures, toute ces structures de verre qui la dominait, on aurait
dit que la volonté de ceux qui avait ériger ces grands immeubles et
gratte-ciel d’une hauteur phénoménal, n’était faite que pour mieux
échapper à la terre ferme, échapper à cette mare de goudron massif qui
recouvraient de manière écrasante tout la nature environnante. Ils étaient
pointés comme une forêt de doits accusateurs, gris métalliques, ver le ciel
rendu coupable, alors que c’était eux qui plombaient toute la nature
verdoyante d’une couche dure, lourde et sombre. En réalité, il fuyait
cette enfer engendré par eux même, et la foule en bas incroyablement
nombreuse qui grouillait tel une gigantesque fourmilière multicolore tachée
de noir. Ce concentrant dans une seul et même avenu, et s’engouffrant
variablement entre eux par diverses petites ruelles étroite, entre les
voitures toute arrêtés, figés en de longues files irrégulières qui ne
semblaient jamais avoir de fin. Les véhicules incapable d’avancer,
klaxonnaient dans une cacophonie invraisemblable et inutile, puisque
l’embouteillage allait bien au de là des les feux de circulation qui
étaient presque tous au rouge. Que faisait cette affluence de monde, là,
tous dévalant dans ce même boulevard, avaient-t-ils tous un but commun ?
Etait ce pour répondre à un appel comme celui auquel elle répondait chaque
matin et chaque soir à l’armé ? Avait ils tous un objectif différent mais
qui tournait autour de cet appel ? Ils semblait tous être des clones
identique dans leur démarche et leur expression, ils avaient des habits
comparables, avançaient dans le désordre, et dans des courants divers qui
allaient dans des sens contraires, mais semble-t- ils motivés par des raisons
qu’ils connaissaient tous et partageaient tous communément de manière
inconsciente, comme la nourriture, l’amour, l’envie de dormir, de se
laver, de faire ses besoin, bref tous se qui était intrinsèque à
l’humain. Ils croyaient ne pas obéirent à des commandements en particulier
mais s’activaient tous dans la même finalité, dans cette avenu, avec une
borne commune auquel ils réagissaient et se pliaient tous. Cela paraissait la
légion mais totalement déliée, avec des rangs défaits, un fouillis totale
de crie de brouhaha incompréhensible, avec des accents similaires. Le foutoir
innommable, d’une légion qui lance des appels le matin et le soir, mais qui
laisse ses rangs se défère, se disloquer en mille lambeaux. Le chauffeurs se
mit à klaxonner lui aussi et à injurier, les automobilistes des voitures de
devant, puis à bout de patience ce décida à tourna ses yeux ternes ver le
décors triste de la ville, un aire agacé au visage en marmonnant, la main
sous le menton. Au dehors de la vitre, il se mis soudainement à pleuvoir des
trombes d’eaux, qui transformèrent les fars des voitures en des taches
floues oranges et rouges phosphorescente, qui formaient une peinture abstraite
mêlée d’une couleurs bleutées, celle au couché du soleil,
crépusculaire, qui semble tout endormir, tout éteindre berçant le dormeur
qui se prend à rêver. Les eaux coulaient à flot dans les caniveaux pour
s’engouffrer en abondance dans les égouts. Les voitures roulaient dedans au
passage et éclaboussaient quelque passants, qui tout aussi tôt protestaient,
lançant quelque insultes inaudibles au conducteur. Les trottoirs brillaient
à la lueur des lampadaires et suivaient les deux côtés de la rue, comme
deux rivières noires profondes, aux reflets ors et jaunes claires, couvertes
des taches de sang rouges écarlate que projetait les voyant des véhicules,
brouillées par le ruissellement des eaux de pluies qui descendaient des
gouttières. Enfin au bout d’une demie heure que Virgile n’avait pas senti
passer, _ absorbée par ce temps morne et dégoulinant de larmes nuageuses
froides, qui recouvrait et mouiller la ville_ l’embouteillage se dissipa et
un quart d’heure plus tard environ, elle arrivait devant l’établissement,
où le taxi la déposa, après qu’elle eu réglé la note, et lui eu
demandé l’heure.
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