huit
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Posté le: Mer Nov 18, 2009 13:40 pm Sujet du message:
Le chateau blanc d'Orhan Pamuk
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lucie pirouette
Petit nouveau


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Posté le: Mer Nov 18, 2009 13:44 pm Sujet du message:
J'ai commencé à lire Globalia de Jean-Christophe Rufin.
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Posté le: Mer Nov 18, 2009 13:47 pm Sujet du message:
J'en avais entendu parler récemment (du Château Blanc), c'est bien? C'est
comment?
Le château blanc - Orhan
Pamuk - evene a écrit: | Le
narrateur est un Italien de vingt ans, féru d'astronomie et de
mathématiques. Capturé par des marins turcs et jeté dans la prison
d'Istanbul, il se dit médecin, et est offert comme esclave à un hodja, un
savant. Le maître oriental et l'esclave occidental se ressemblent de manière
effrayante, éprouvent une méfiance immédiate l'un pour l'autre. Mais ils ne
se séparent pas, vivent ensemble, travaillent ensemble, quotidiennement,
d'abord sur la pyrotechnie, ensuite sur une horloge, enfin sur une redoutable
machine de guerre pour Mehmet IV, dit le Chasseur, sultan de 1648 à 1687.
Ensemble encore, ils contribuent à l'éradication d'une épidémie de peste.
Tantôt dominant, tantôt dominé, des années durant, chacun raconte sa vie
à l'autre. Puis les deux doubles doivent s'engager, avec leur machine de
guerre, dans la désastreuse campagne polonaise. Mise à l'essai sur un
château blanc, la machine ne fonctionne pas. Craignant pour sa vie, le
Maître usurpe l'identité, la personnalité et le passé du narrateur.
Celui-ci reste à Istanbul, devient le Maître. Des années plus tard, il
entend parler de l'Autre, comme d'un ancien esclave capturé par des marins
turcs, et qui s'est évadé... |
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huit
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Posté le: Mer Nov 18, 2009 13:48 pm Sujet du message:
exactement!
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dgé
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Posté le: Sam Nov 21, 2009 09:29 am Sujet du message:
Je viens de terminer Honorine de Balzac, quand on le lis je pense que bien des
hommes doive,t se retrouver à travers le comte Octave. Bref j'ai aimé.
A présent je lis Beatrixtoujours de Balzac, au début il semble lourd avec
une descriptionde minutieuse de la bretagne de ses moeurs; neamoin il faut le
lire en paralléle avec les chouans auquel il fait des références directes.
Ce roman nous montre là un des plus beau portrait féminin de la comédie
humaine et nous en apprend plus sur la condition de la femme au xix.
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Invité
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 01:54 am Sujet du message:
Fractales, Hasard et Finance
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Invité
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 07:37 am Sujet du message:
Il est tombé du rayon de la B.U. ?...
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Marah
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 16:39 pm Sujet du message:
Vif l'express: le roman noir des belges
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Taidhleoir
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 18:05 pm Sujet du message:
Méditations - Descartes
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Spleenz
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 18:13 pm Sujet du message:
Je vous envoie un bouquet - Ronsard
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Marah
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 18:14 pm Sujet du message:
le Coran
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oeildenuit
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Posté le: Lun Nov 23, 2009 19:33 pm Sujet du message:
En attendant godot. Lassant.
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dgé
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Posté le: Jeu Nov 26, 2009 13:05 pm Sujet du message:
Coment fais-tu pour supporter cette piéce ? Vraiment je te souhaite du
courage bien quelle ne soit pas aussi lassante que exercice de style de
Queneau, qui du reste n'est pas du théâtre.
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Marah
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Posté le: Jeu Nov 26, 2009 14:34 pm Sujet du message:
Quick et Fluke
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oeildenuit
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Posté le: Jeu Nov 26, 2009 18:09 pm Sujet du message:
Bukowski : Women
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Posté le: Jeu Nov 26, 2009 19:55 pm Sujet du message:
J'ai donc fini Le Golem de Gustav
Meyrink et il rejoint directement mon "top
2" de cet auteur, avec l'Ange à la
fenêtre d'Occident ; un style riche et agréable à lire, truffé de
symbolique, d'ambiance mystérieuse à Prague, et de touches d'humour. La fin
du Golem est particulièrement étonnante et réussie, le dernier chapitre
donne une nouvelle teinte au roman entier.
Je suis en plein dans Le Maître et
Marguerite de Boulgakov, que l'on m'a trop conseillé ou duquel j'ai
trop souvent entendu parler pour ne pas me décider à le lire. La quatrième
de couverture précise que l'histoire est impossible à résumer ; pour le
moment, on pourrait appeler ça les Bouffoneries de Satan à Moscou et c'est très plaisant à
lire. Un style d'écriture assez différent mais tout aussi fluide :
j'apprécie.
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Invité
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Posté le: Jeu Nov 26, 2009 23:12 pm Sujet du message:
Bye
Dernière édition par Invité le Sam Jan 30, 2010 14:48 pm; édité 1 fois
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dgé
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Posté le: Ven Nov 27, 2009 20:21 pm Sujet du message:
Pour Bulgakov , un roman vraiment étrange qui au fil du texte va dans les
méandres de l'esprit de l'auteur ,un auteur qui rappellons le, était à
l'article de la mort au moment de l'écriture du roman ,ce qui influença
beaucoup la dite écriture.
On peut toute fois noter que ce roman , oeuvre d'un esprit malade, nous perd
au fil du texte et maintient en haleine jusqu'à la dernière page. Marguerite
n'apparait que tard dans le roman ,si juqu'à son apparition "officielle" on
la devine , sa venue tardive voulue par Bulgakov entretient un peu plus le
mystère de ce malade dans le sens clinique du terme qui se révèle être
l'auteur lui même. Avec le jeu de son personnage Bulgakov s'insinue lui même
comme personnage dans le roman sans jamais se déclarer officiellement.
Tout porte à croire que Bulgakov se sachant mourant a voulu se mettre une
dernière fois en scène dans son roman, comme dit précedemment si il
n'apparait pas officiellement l'emploi du pronon 'je' tout au long du roman
montre bien que le narrateur qui est omniscient, bien qu'il fasse mine de
découvrir les évènements au fil du texte, renvoie sans équivoque à
Bulgakov lui même.
Ainsi ,on est en droit de penser que cette oeuvre qui représente à la fois
la fin et le sommet de l'auteur et de son oeuvre pourrait etre "un testament
littéraire".
Toutefois il parait difficile d'affirmer cela car l'auteur ,et au meme tire le
protagoniste, à la fin du roman ne se "repentisse" pas mais se livre au
diable.
Il est amusant de penser par cela que Bulgakov désire nous dire que sachant
sa fin proche (qui coincide d'ailleurs avec la fin de son roman) fait une
sorte de pied de nez à la mort.Une façon pour la moins amusante de nous
dire adieu.
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Alizarine
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Posté le: Ven Nov 27, 2009 21:02 pm Sujet du message:
Les Thibault de Roger Martin du Gard
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alcibiade
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Posté le: Sam Nov 28, 2009 15:45 pm Sujet du message:
Le dernier Astérix, pour qu'on ne dise pas que je ne lis pas de littérature
contemporaine.
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