[misérable oiso]

Ce fut un malheureux soir dété;
l'esprit alors encombré par le bruit de la télé,
que me vint cette réfléxion,
apres tout je ne suis pas le dernier des cons.
je ragardais par ma fenetre;
en me disant qu'un jour peut être,
je seré l'un de ces oiseau,
qui dans le ciel volent si haut.
Puis on orage brusquement apparu,
déserte se fesait alors les rues,
mais mon ami l'oisaeu volait encore
alors que le destin lui résérvé un malheureux sort.
Une gerbe de feu lui enleva la vie,
Mes espoirs reposaient encore sur lui;
Depuis je ne crois plus en rien,
Le bonheur est-il seulement réservé aux chiens?

[fullmoon]

pas mal mais c'est dommage il y a une faute de frappe

[Sylvain Legrand]

[Invité]