Invité
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Posté le: Jeu Juil 03, 2014 16:15 pm Sujet du message: //
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Dernière édition par Invité le Mar Nov 17, 2015 21:18 pm; édité 1 fois
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T-Doom
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Localisation: Paris is the new biatch
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Posté le: Jeu Juil 03, 2014 17:15 pm Sujet du message:
Une petite dépression en bonne et due forme.
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vivi72
De passage

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Posté le: Jeu Juil 03, 2014 17:42 pm Sujet du message:
J'ai vécu quelques passages comme cela, peut-être pas aussi forts que ce que
tu traverses, mais je voulais m'isoler aussi, rester dans ma bulle et je
refusais toute sortie que mes amis me proposaient, je fuyais leur compagnie.
Et ce sont eux qui ont été le déclencheur pour me faire remonter la pente,
ils m'ont mis un coup de pied aux fesse pour que je me "force" à sortir, ou
au moins que je leur parle davantage de ce que je ressentais, et petit à
petit ça m'a aidé à aller mieux.
Même si tu ne sais pas vraiment ce qu'il se passe il ne faut pas rester dans
cet état d'esprit, à chercher l'isolement et à se replier sur toi, mais te
forcer à aller de l'avant et à parler avec tes proches ou tes amis. Essaie
aussi de te raccrocher à ce qui te donnait du plaisir avant, une passion ou
un petit loisir, et à te concentrer là dessus et à retrouver du plaisir,
même dans des toutes petites choses. Tout ça reviendra petit à petit, même
si cela demande quelques efforts en ce moment.
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Sofiiiii
Admin

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Posté le: Jeu Juil 03, 2014 20:21 pm Sujet du message:
Effectivement, comme te l'a dit vivi72 je te conseillerais moi aussi de
t'accrocher à tes passions et loisirs. Par ce biais tu pourrais rencontrer de
nouvelles personnes et sortir de cette bulle grise dans laquelle tu es.
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La Bête
Silver Mercure

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Posté le: Ven Juil 04, 2014 11:26 am Sujet du message:
y'a rien qui a changé il y a 3 mois, ou depuis 3 mois ?
t'es en vacances ? t'as changé de job, ou de rythme de vie ? déménagé ?
quelque chose de plus personnel ? la santé ? le régime alimentaire ?
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Capy.O
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Posté le: Ven Juil 04, 2014 11:31 am Sujet du message:
Un peu comme les filles l'ont dit plus haut, des périodes dans le genre j'en
ai connu pas mal. Déjà il faut trouver un peu la cause de ta baisse de
moral, est ce le boulot? tes perspectives ou tes objectifs d'avenir? est ce le
manque d'activités, enfin qu'est ce qui te fait plonger dans cet état. Et
une fois que tu as trouvé la cause, il serait plus facile pour toi de trouver
comment te remotiver. changer d'orientation, apprendre de nouvelles choses,
donner à ta vie une nouvelle direction enfin ... essaie de te remotiver. Moi
j'avais commencé par me remettre à la danse, j'ai trouvé un cours, de la je
me suis faite des connaissances et des soirées sympa et même une amie ... y
a pas de mal à se laisser recommencer à vivre.
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Souki
Modératrice

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Posté le: Ven Juil 04, 2014 12:29 pm Sujet du message:
Des fois, les explications ne servent pas à grand chose... Prends le large,
ce qu'il te faut, c'est une rencontre. Tu peux très bien rencontrer un lieu,
une discipline, un art, une communauté, une personne. Erre tant que tu veux,
sois mobile et ouverte, mais en tout cas, explore !
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Mahingan
De passage


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Posté le: Ven Juil 04, 2014 14:19 pm Sujet du message:
J'ai lu que tu écrivais. Alors écris jusqu'à ce que la douleur passe. Nous
avons énormément de chance de pouvoir ressentir une émotion aussi puissante
que la tristesse.
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Toy_Soldier
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Posté le: Ven Juil 04, 2014 16:39 pm Sujet du message:
Ça ressemble bien à un petit début de dépression en effet. Bouleverse ton
quotidien quitte à te forcer un peu à voir les gens dont tu parles.
As-tu perdu de l'intérêt pour ce que tu adorais auparavant ?
Les recommandations de Souki sont pertinentes ! +1.
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La Bête
Silver Mercure

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Posté le: Sam Juil 05, 2014 03:29 am Sujet du message:
Souki a
écrit: | Des fois, les
explications ne servent pas à grand chose... |
Perso je préfère quand même toujours tenter le coup avant de choisir la
fuite en avant.
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Invité
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Posté le: Sam Juil 05, 2014 23:27 pm Sujet du message:
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Dernière édition par Invité le Mar Nov 17, 2015 21:17 pm; édité 1 fois
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Mahingan
De passage


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Posté le: Dim Juil 06, 2014 07:29 am Sujet du message:
Marie-Jo a
écrit: | Car sans ça, tu
meurs. |
Conclure en s'alignant sur la mort, ç'a son effet.
Plus sérieusement, voici la solution à ton problème :
Reprends tes antidépresseurs (et regarde aussi du côté des anxiolytiques)
et surtout arrête un peu de chigner avec ton discours de perdante. Tu n'es
pas née perdante. Persévère, et concentre-toi sur les petites victoires au
quotidien. Tout est question d'habitude et de pratique, tu verras qu'au bout
de quelques mois, on finit par y prendre goût et, étrangement, on devient
particulièrement doué à la réussite et au bonheur.
Moi-même je suis natif du Québec, et je n'ai jamais entendu parler d'un job
d'emballeur de pommes. D'abord, entendons-nous que tu peux aspirer à beaucoup
mieux qu'un travail glauque de journalier (québécisme), alors pourquoi ne pas t'attaquer à
ce problème en premier lieu?
Un job dans le public, à la clarté du jour, avec des gens de ton âge pleins
de promesses, c'est ce qu'il te faut pour ravoir les idées claires.
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Souki
Modératrice

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Posté le: Dim Juil 06, 2014 13:07 pm Sujet du message:
Salut Marie-Jo,
Plus que le manque d'argent, ce qui saute aux yeux dans ton récit, c'est
l'absence de lien social et de passion dans ta vie quotidienne. Avec tout ce
que tu racontes, ça n'est pas très étonnant que tu te sentes déprimée
mais ça peut devenir une bonne nouvelle, si ça te donne l'énergie de
chercher autre chose. Tu peux puiser dans tout ça une grande motivation pour
changer ta condition. Tu peux aussi faire des choix un peu osés parce que
finalement, tu sembles dire que tu n'as pas grand chose à perdre.
La thématique qui me semble centrale, c'est l'inquiétude face au temps qui
passe et à la mort de ton environnement. Que ce soit au travail ou pour ton
père, j'ai l'impression que c'est quand même LE problème principal. La
mort des anciens, elle te mettrait dans une situation délicate parce que
1. elle te priverait de leur protection matérielle, 2. elle t'isolerait
encore plus.
Ensuite, il semble qu'il y a un manque évident d'amis, d'amour, de lien
social. Des amis jeunes, tu ne les trouveras pas dans ta famille (tu les
aurais déjà rencontrés) et apparemment, tu ne les trouveras pas non plus
dans ton travail. Du coup, il faut chercher ailleurs. As-tu déjà envisagé
de faire du bénévolat ou de t'inscrire dans un cours en association ? De
faire du sport ? De t'inscrire pour des événements en lien avec ce que tu
aimes ? La politique, la vie de ton quartier, la
religion/spiritualité/bien-être (pour les trois, attention aux
charlatans/mouvements sectaires) ? L'humanitaire ? Je ne te connais pas
assez bien, désolée si je tape à côté.
Sinon, autre gros problème : ton avenir. Ce serait intéressant de savoir si
tes collègues savaient, en entrant à l'usine, qu'ils y resteraient jusqu'à
leur retraite. J'en doute un peu. Tu as 21 ans, tu as beau avoir des
problèmes de concentration, tu restes très jeune et donc formable. Si le
parcours classique ne te plaît pas, cherche un apprentissage. Une voie un
peu plus pratique, dans laquelle on t'apprendrait un métier, ce serait
sûrement plus épanouissant. Tu parles de tes inquiétudes par rapport à
ton père et à ce que tu deviendrais s'il disparaissait. Je crois que c'est
le bon moment pour te retrousser les manches et chercher quelque chose. On
est en juillet mais il doit bien y avoir un moyen pour que tu puisses trouver
quelque chose.
Je ne sais pas comment ça marche au Québec mais j'imagine qu'il existe des
structures faites pour les jeunes sortis du système scolaire sans
diplôme.
Sinon, de manière plus générale, les conseils de Mahingan me semblent
très, très mauvais. D'abord, les anti-dépresseurs et les anxiolytiques, on
y devient très vite dépendant. Ça peut donner un coup de pouce pour se
sortir d'une situation ponctuelle mais bon, si à 21 ans elle commence avec
anti-dépresseurs + anxiolytiques, qu'est-ce que ça va être à 50 ? Il me
semble que Marie-Jo voit la réalité en face et c'est bien, même si ça fait
mal. La meilleure chose qu'elle ait à faire, c'est changer sa vie, pas
l'accepter telle qu'elle est en gobant des cachets.
Idem pour le couplet «tu n'es pas née perdante», etc. C'est vraiment des
conneries. Bien sûr qu'on ne part pas tous avec les mêmes chances et je
pense que ça ne risque pas de lui remonter le moral, au contraire, ça risque
de la culpabiliser. C'est exactement le discours que le patronat et les
classes dirigeantes passent leur temps à seriner aux classes opprimées à
longueur de temps : bossez, vous y arriverez. Apparemment un message
d'espoir, sauf que ce théorème du capitalisme a sa réciproque : si vous n'y
arrivez pas, c'est que vous ne bossez pas assez. Ce genre de discours, c'est
bien pour enculer des mouches mais ça ne rend pas les gens heureux ou libres
pour un sou.
Je dirais plutôt : tu es sûrement née avec moins de chances, maintenant, tu
es libre de faire évoluer ta vie de manière à ce qu'elle te soit
douce. Dans ton message, tu parles beaucoup de l'argent mais il me semble que
c'est surtout d'amour que tu as besoin et d'un sens, d'un avenir. Après,
j'ai un petit truc que je me répète quand ça ne va pas trop : quand tu as
besoin des autres, aide-les. C'est assez rare qu'on ait vraiment besoin des
autres, quand ça arrive, en général, on a surtout besoin de se sentir utile
ou de sentir qu'on fait partie de quelque chose. Dans le milieu associatif,
tu peux te rendre utile. Tu peux aider les autres et ainsi nouer des
liens. En général, ça fait du bien à tout le monde.
En bref :
-> pour l'argent, il y a effectivement un lien entre ton niveau de
qualification et tes revenus futurs. Qualifie-toi, éventuellement dans un
métier artisanal qui te permette de passer par un apprentissage.
-> pour tes inquiétudes liées à l'âge grandissant des gens qui
t'entourent, je crois qu'elles disparaîtront dès que tu auras commencé à
faire quelque chose qui, à terme, te rende indépendante économiquement et
socialement.
-> pour ton sentiment de solitude, essaie les
asso/bénévolat/autre. Rends-toi utile, tu finiras bien par rencontrer des
gens de ton âge avec qui tu t'entendras.
-> pour le malheur en général, je te conseille aussi d'essayer des choses
qui tournent autour du yoga, de la méditation, de la sophrologie ou autre, en
tout cas, d'avoir des pratiques qui t'apprennent à te concentrer sur le
souffle et sur le présent. Ça peut t'aider pour tes problèmes de
concentration en général;
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Invité
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Posté le: Sam Juil 12, 2014 04:29 am Sujet du message:
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Dernière édition par Invité le Mar Nov 17, 2015 21:17 pm; édité 1 fois
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Mahingan
De passage


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Posté le: Sam Juil 12, 2014 20:04 pm Sujet du message:
Souki a
écrit: | Sinon, de manière plus
générale, les conseils de Mahingan me semblent très, très
mauvais. D'abord, les anti-dépresseurs et les anxiolytiques, on y devient
très vite dépendant. Ça peut donner un coup de pouce pour se sortir d'une
situation ponctuelle mais bon, si à 21 ans elle commence avec
anti-dépresseurs + anxiolytiques, qu'est-ce que ça va être à 50 ? Il me
semble que Marie-Jo voit la réalité en face et c'est bien, même si ça fait
mal. La meilleure chose qu'elle ait à faire, c'est changer sa vie, pas
l'accepter telle qu'elle est en gobant des cachets.
Idem pour le couplet «tu n'es pas née perdante», etc. C'est vraiment des
conneries. Bien sûr qu'on ne part pas tous avec les mêmes chances et je
pense que ça ne risque pas de lui remonter le moral, au contraire, ça risque
de la culpabiliser. C'est exactement le discours que le patronat et les
classes dirigeantes passent leur temps à seriner aux classes opprimées à
longueur de temps : bossez, vous y arriverez. Apparemment un message
d'espoir, sauf que ce théorème du capitalisme a sa réciproque : si vous n'y
arrivez pas, c'est que vous ne bossez pas assez. Ce genre de discours, c'est
bien pour enculer des mouches mais ça ne rend pas les gens heureux ou libres
pour un sou.
Je dirais plutôt : tu es sûrement née avec moins de chances, maintenant, tu
es libre de faire évoluer ta vie de manière à ce qu'elle te soit
douce. Dans ton message, tu parles beaucoup de l'argent mais il me semble que
c'est surtout d'amour que tu as besoin et d'un sens, d'un avenir. Après,
j'ai un petit truc que je me répète quand ça ne va pas trop : quand tu as
besoin des autres, aide-les. C'est assez rare qu'on ait vraiment besoin des
autres, quand ça arrive, en général, on a surtout besoin de se sentir utile
ou de sentir qu'on fait partie de quelque chose. Dans le milieu associatif,
tu peux te rendre utile. Tu peux aider les autres et ainsi nouer des
liens. En général, ça fait du bien à tout le
monde. |
Sauf que j'ai connu très exactement ce qu'elle traverse, alors
malheureusement pour toi, je connais parfaitement les tenants et aboutissants
d'un tel choix compte tenu de sa personnalité, de son réseau relationnel
limité et de son parcours de vie qui sont similaires aux miens.
Même que ma situation s'est dangereusement détériorée sur une fenêtre de
près de 10 ans, période durant laquelle je me suis obstiné à essayer de
vivre une vie à peu près normale sans médication. Alors je pense être de
bon conseil, ne t'en déplaise.
On peut s'outiller d'antidépresseurs ou d'anxiolytiques afin de se
conditionner à avoir une attitude plus positive dans la vie, et construire
sur des fondations beaucoup plus solides. Les déséquilibres chimiques au
niveau du cerveau existent bel et bien pour ton information, et sache qu'on ne
naît pas tous résilient non plus. Rien ne l'empêche de retourner à
l'école dès que ses humeurs seront plus stables.
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La Bête
Silver Mercure

Sexe: 
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Localisation: Montréal
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Posté le: Dim Juil 13, 2014 22:44 pm Sujet du message:
Le mauvais choix ce serait de prendre les médicaments en s'imaginant qu'ils
résoudront tout à eux seuls (car là, oui, on peut se retrouver dans des
situations bien tristes à 50 ans).
Les médicaments sont un outil, non une solution. Ils allègent ton fardeau le
temps de remettre les choses en place dans ta vie, mais il faut rester
consciente que ça reste ta responsabilité à toi de tirer avantage du
soulagement temporaire qu'ils t'autorisent pour résoudre le problème de
fond.
Dans certains cas, ils peuvent être une aide réelle s'ils sont accompagnés
de l'aide adéquate et d'une action concrète pour améliorer sa vie et
pouvoir, un jour, se passer à nouveau médication.
Moi-même j'ai comme elle pris des médicaments pendant un moment, puis j'ai
arrêté... J'avais des effets secondaires ennuyants, et puis je me rendais
compte qu'ils ne m'aidaient pas tant que les impulsions que je donnais
moi-même à ma vie.
Mais je dois avouer que, en situation de crise, un anxiolytique léger m'a
parfois permis de "passer au travers" du pire et de ne pas m'effondrer
lorsqu'il était urgent que j'aille de l'avant. Maintenant je n'ai plus besoin
de rien.
Donc mon positionnement est entre les deux.
La décision revient à Marie-Jo de toute façon.
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Invité
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Posté le: Mar Aoû 05, 2014 03:03 am Sujet du message:
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Dernière édition par Invité le Mar Nov 17, 2015 21:18 pm; édité 1 fois
|
Mahingan
De passage


Sexe: 
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Posté le: Mar Aoû 05, 2014 05:52 am Sujet du message:
Tiens, quelques notions tirées de mes notes de cours en psycho.
Composantes de l’amour
Les études indiquent que l’amour est constitué, à des degrés variables,
des dimensions suivantes:
- Intimité
- Partage de confidences
- Révélation de soi et désir de
connaître l’autre
- Intimité corporelle
- Sexualité
- Attirance physique et sexuelle
- État de haute stimulation physique
- Attachement
- Lien puissant qui relie les partenaires
- Chacun devient une figure centrale d’attachement pour l’autre
- Besoin d’être avec l’autre
- Préoccupation de l’autre (caring)
- Être préoccupé du bonheur de l’autre
- Supporter son conjoint
- Sincérité
- Authenticité
- Confiance
La naissance du lien amoureux
Les lieux propices
- Le lieu de travail est le premier lieu de rencontre pour les adultes
- Le lieu d’étude pour les étudiants
Le moment propice
- L’été et le temps des vacances
- L’automne et la rentrée: statut spécial des « nouveaux venus »
Les acteurs et les témoins
- Les pairs: dans 60% des rencontres un ami a joué le rôle d’entremetteur
Conditions et sentiments
- 75% disent que la rencontre est due au hasard et 20% disent avoir
immédiatement connu « le coup de foudre »
L'amour pour les nuls. Alors, petite, si ça te dit un jour de tenter
l'expérience, je t'offre à toi (et aux autres creeps du forum) le how-to
pour bouffer de l'amour jusqu'à mardi prochain. Régale-toi.
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Lyriss
Habitué(e)

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Posté le: Mar Aoû 05, 2014 17:30 pm Sujet du message:
Tu n'as jamais eu de coups de foudre ?
Tu ne t'es jamais senti étrangement bien en présence d'un garcon ?
(sensation de bien-etre, sentiment contradictoirs d'euphorie et d'apaisement)
voir juste par le son de sa voix ou la proximité de son corps ?
Peut etre as-tu des carrences hormonales, tu as déja été dépréssive ?
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Invité
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Posté le: Mar Aoû 05, 2014 17:45 pm Sujet du message:
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Dernière édition par Invité le Mar Nov 17, 2015 21:18 pm; édité 1 fois
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