Pixelle
Genaissienne de l'année 2013
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 02:25 am Sujet du message: Ces pauvres garçons qui violent à l’insu de leur plein gré
| Rue69 a
écrit: | Un garçon bien sous
tout rapport. Une fille en mini-jupe. Forcément en mini-jupe. Si ce n’est
pas une mini-jupe, ce sera un pantalon moulant, un décolleté plongeant, une
robe au minimum sexy. La fille (encore elle) chauffe le garçon – œillades,
caresses, baisers. Elle envoie tous les signes promettant une folle nuit de
sexe.
Ils boivent comme des trous. Ils prennent éventuellement un peu de drogue. La
fille ne tient plus du tout debout. Le garçon non plus. Il ne s’embarrasse
pas de scrupules : il saute sa camarade de fête. Pourquoi saute-t-il sa
camarade de fête alors qu’elle est groggy ?
Parce qu’elle avait envoyé tous les signaux d’un consentement ;
parce que lui-même était un peu à l’ouest ;
parce que ça se passe toujours comme ça : avant le sexe, il faut pas mal
d’alcool.
Violer ou faire la fête, pourquoi choisir ?
Le jeune homme qui nous explique ceci est l’auteur d’un témoignage qui
fait grand bruit dans la blogosphère anglo-saxonne. Son titre « I’d Rather
Risk Rape Than Quit Partying » pourrait être traduit par « Je préfère
courir le risque de commettre un viol plutôt que d’arrêter de faire la
fête » ou « Je préfère courir le risque de me faire accuser de viol
plutôt que d’arrêter de faire la fête ».
Publié sur le site américain Good Men Project – une branche de la
fondation du même nom qui promeut une masculinité éclairée et tente, via
des livres et des conférences, de répondre à la question « qu’est-ce
qu’un homme bon ? » – ce témoignage raconte les aventures d’une sorte
de crétin pas franchement méchant, mais pas franchement subtil.
Souvent bourré aux fêtes, il ne sait plus trop s’il doit demander ou non
leur accord aux filles (elles aussi bourrées) avec qui il envisage d’avoir
des relations sexuelles. Un jour, l’une d’entre elles lui a annoncé
qu’il l’avait violée pendant une fête. Choc.
Assez lucide sur lui-même puisqu’il comprend que coucher avec une fille
sans son consentement constitue ce que l’on qualifie couramment de viol,
l’auteur (anonyme) fait preuve d’une indulgence envers lui-même assez
sidérante. Ainsi, en guise de conclusion de sa triste histoire, il écrit :
« Certains doivent trouver monstrueux que je continue à boire, que je
continue à faire la fête [...] mais les gens qui ont eu des accidents de
voiture arrêtent-ils de conduire ? »
Son analogie est idiote. Celle du type qui cogne quand il a bu mais qui refuse
d’arrêter de boire semble plus appropriée.
Je l’ai violée sans le faire exprès
!
On a envie de comprendre les raisons pour lesquelles l’équipe de « Good
Men Project » a jugé utile de publier un tel texte sans aucune mise en
perspective ni lecture critique.
Et c’est là qu’on tombe sur une autre publication sur le viol. Le 30
novembre, quelques jours avant le fêtard, une blogueuse, Alyssa Royse,
racontait l’histoire de l’un de ses copains. Le contexte est à peu près
le même que celui de la première histoire : fête, alcool, fille sexy et
entreprenante. Pendant son sommeil, le copain la pénètre. Réveil : elle est
choquée, se sent violée. Elle est violée.
Là encore, le garçon, dans un registre victimiste, explique qu’il ne
savait pas, qu’il ne pouvait pas savoir. Il sombre dans la déprime.
L’auteure de « Les gentils garçons violent aussi », tout en insistant sur
le fait qu’il s’agit bien d’un viol, n’a de cesse de nous rappeler que
la fille « caressait les cheveux » de son ami et que finalement, ce n’est
peut-être la faute de son pauvre ami mais celle de la société toute
entière.
La pub et les magazines féminins, en encourageant les filles à se balader à
moitié à poil pour conquérir les hommes, brouillent les signaux. Ces
pauvres mecs sont devenus violeurs à l’insu de leur plein gré.
« “Non, c’est non” ne suffit pas
»
Après le tollé suscité par ces deux témoignages, la rédactrice en chef de
« Good Men Project » a justifié leur publication en insistant sur le fait
que « le monde réel est un endroit où “non, c’est non” ne suffit pas
» et que le point de vue des violeurs, qui ne se reconnaissent pas comme tels
avant qu’une fille le leur fasse observer, devait être entendu.
Las. Plusieurs rédacteurs et collaborateurs du site ont démissionné. Ozy
Frantz parce qu’il ne comprend toujours pas ce que fait le texte «
terriblement immature » d’Alyssa Rose sur leur site, et encore moins celui
du type qui ne peut pas s’empêcher de faire n’importe quoi bourré mais
qui veut quand même prendre le risque parce que la fête, c’est trop
rigolo.
Hugo Schwyzer démissionne lui parce qu’il ne pouvait plus supporter les
insultes lancées aux féministes qui protestaient contre ces deux
témoignages.
Qu’aurions-nous fait à Rue89 d’un tel témoignage ? J’ose espérer que
nous aurions pris en compte la parole des violeurs mais que nous l’aurions
confrontée à celle des victimes et à celle des chercheurs. Que nous aurions
fait comme pour les pédopornographes : que nous aurions pris le temps de les
écouter et d’essayer de les comprendre, sans pour autant les
victimiser. |
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Lyriss
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 10:22 am Sujet du message:
Ben pour ne plus être violées elles n'ont qu'a être consentantes.
Les choses sont tellement simples.
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Fromthesouth
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 13:44 pm Sujet du message:
Parce que toi tu es consentant pour coucher avec toutes les filles qui te le
demanderaient ? 
Fille facile !...
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Tommy Angello
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 20:19 pm Sujet du message:
Si les filles sont violées quand elles baissent bourrées, les garçons
aussi.
Comme, dans l'acte, ils sont violeurs et violés, cella veut dire qu'ils se
sont violés eux même. Ils sont donc en droit de porter plainte contre eux et
de faire condamner autant le violeur que sa complice.
Puisqu'elle est coupable de complicité de viol collectif, elle a donc eu une
enfance difficile. Son père est donc un violeur par procuration puisqu'il a
éduqué sa fille a ce genre de comportement.
Comme son père a violé sa fille, et qu'un viol se fait à deux, elle est
donc coupable de viol collectifs multiples. Seule la drogue ou la folie peut
pousser à ce genre de comportement.
Comme le garçon s'est porté partie civile pour l'affaire de son viol, il n'a
qu'a se pardonner pour se désengager de toutes poursuites à son encontre.
Par contre la fille ferais mieux de révéler ou elle cache sa daube si elle
ne veut pas finir internée.
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utilisateur
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 21:17 pm Sujet du message:
Il vaut savoir aussi que dans les pays anglo-saxon une bonne fête est une
fête où on se bourre la gueule de manière complètement outrancière,
jusqu’à ne plus tenir debout.
En tout cas j'ai constater ça en Angleterre, je suppose que c'est la même
chose en Amérique, puisque c'est une culture anglo-saxonne aussi.
Ça peut expliquer ce genre de dérapages.
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Tommy Angello
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 21:34 pm Sujet du message:
Ce genre de dérapage? T'est sérieux ?
Depuis quand baiser bourrer est un dérapage?
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utilisateur
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 21:55 pm Sujet du message:
Déjà faire l'amour à une femme dont on sait qu'elle le veut bien parce
qu'elle est saoul c'est déjà pas jojo mais alors si en plus elle veut
pas...
C'est qu'il faut vraiment passer son chemin.
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Tommy Angello
Administrateur
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 22:08 pm Sujet du message:
Faire l'amour à une femme qui ne veut pas parce qu'elle est saoule?
La nana va la dedans en sachant très bien comment sa finira, se désinhibe et
se donne, et quand la culpabilité la rattrape, elle décide qu'elle ne
voulait pas.
Il n'y a rien de mal la dedans.
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utilisateur
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 22:52 pm Sujet du message:
Oui, sauf si elle dit non pendant ou avant et non après.
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Sweetie Des Arts
Mister Genaisse 2013
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Posté le: Mer Jan 16, 2013 23:37 pm Sujet du message:
| utilisateur a
écrit: | | Il vaut savoir aussi
que dans les pays anglo-saxon une bonne fête est une fête où on se bourre
la gueule de manière complètement outrancière, jusqu’à ne plus tenir
debout. |
Mon appartement à un petit goût d’Amérique !
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Hama'
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Posté le: Jeu Jan 17, 2013 20:01 pm Sujet du message:
Je vois pas pourquoi on considèrerait que c'est un viol si les 2 étaient
bourrés et que personne n'a dit non à l'autre. Faut pas devenir parano non
plus.
En plus, comme le dit Tommy, pourquoi est-ce que ce serait forcément la nana
la victime ?
Bon par contre, pénétrer la fille pendant son sommeil, c'est une autre
histoire.
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utilisateur
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Posté le: Jeu Jan 17, 2013 20:11 pm Sujet du message:
C'est de la pénétration abusive! x)
C'est sur que dans ces cas là c'est souvent le mec qui trinque alors que la
fille est rarement inculpé.
Mais pour qu'une femme viole un homme en se faisant pénétrer faut il encore
que l'homme soit... virile.
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La Bête
Silver Mercure
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Posté le: Jeu Jan 17, 2013 21:04 pm Sujet du message:
J'ai l'impression que, sous prétexte que le mec est pénétrant et la femme
pénétrée, s'il se passe quoique ce soit il est forcément malveillant et
elle est forcément victime.
Alors oui, c'est le cas quand il y a rapport de force inéquitable, qu'il
s'agisse de force physique, de position de force, ou du moins de contrôle de
la situation.
Mais là, alors que personne
n'a dit non ni résisté, que personne n'est davantage en possession de ses moyens que
l'autre, et que les gens se livrent tous les deux spontanément à des actes qu'ils regrettent
tous les deux par la suite,
bah faut qu'ils arrêtent de boire tous les deux. Ou alors qu'ils arrêtent de chouiner.
Pourquoi est-ce l'homme qui est tenu pour responsable de garder tout le
déroulement de la soirée sous contrôle et de rester sobre pendant que les
filles se carvassinent la gueule au point d'avoir un black-out total ? La
galanterie, oui peut-être, mais la galanterie n'est pas un devoir absolu,
c'est juste une recommandation, la loi ne peut en aucun cas se mêler de
l'imposer.
Après, évidemment, si la fille se plaint, c'est sa parole contre celle du
gars : si elle maintient qu'elle a dit non, qu'elle était pas d'accord, et
que le mec était plus en contrôle qu'elle, par principe de précaution, le
juge ne peut pas ignorer un tel témoignage. Mais c'est stupide et injuste de
la part de la fille.
|
Sofiiiii
Admin
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|
Posté le: Jeu Jan 17, 2013 23:28 pm Sujet du message:
| La Bête a
écrit: |
Pourquoi est-ce l'homme qui
est tenu pour responsable de garder tout le déroulement de la soirée sous
contrôle et de rester sobre pendant que les filles se carvassinent la gueule au point d'avoir un black-out total ?
|
Une nouvelle expression dans mon dico, une !
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MarieCecile81
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Posté le: Ven Jan 18, 2013 01:59 am Sujet du message:
Commencons par une generalite: Plus les hommes boivent moins ils sont capable
de "tenir droit" alors que pour les femmes, plus elles boivent plus elles sont
excitees.
Donc en partant de ce constat, si un homme est encore capable, c est qu il n a
pas assez bu, donc pas trop bourre ! Et pour la femme, oui elle a une attitude
provoquante c est parce qu elle est deja dans un etat second !
Ainsi, l homme ne peut etre une "victime" dans ce cas la...
N etant pas un homme, je suis toute ouie pour les contre-verite !
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La Bête
Silver Mercure
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Posté le: Ven Jan 18, 2013 16:51 pm Sujet du message:
comme toutes les généralités, je pense que ça n'est pas nécessairement
vrai tout le temps et pour tous, surtout concernant les plus jeunes hommes,
qui sont justement les plus enclins à se livrer à ce genre de fête, et pour
qui l'érection n'est encore que rarement un problème.
je ne pense pas qu'on puisse considérer la présence de l'érection comme une
preuve formelle qu'un homme n'était pas bourré.
(et puis parfois on peut
quand même bricoler avec une semi-croquante)
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utilisateur
Super actif
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Posté le: Ven Jan 18, 2013 17:28 pm Sujet du message:
Une "semi-croquante" quelle belle expression.
L alcool exite les femmes ou les rend moins prude?
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Lyriss
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Posté le: Ven Jan 18, 2013 21:47 pm Sujet du message:
| utilisateur a
écrit: | | L alcool exite les
femmes ou les rend moins prude? |
Le mec déjà pas trop interessé xD
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Clovis de Monoclodon
Suprème actif
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Posté le: Sam Jan 19, 2013 09:27 am Sujet du message:
Pour ne plus être violées, il faut
que les filles intervertissent le "i" et le "o", ainsi elles sont voilées... Voilées pas violées... c'est
simple et éfficasse .. Ne me dite pas merci les filles, le simple fait que
vous m'admirez me met en érection !
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alcibiade
Suprème actif
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Posté le: Sam Jan 19, 2013 19:59 pm Sujet du message:
| Citation: | | La
nana va la dedans en sachant très bien comment sa finira, se désinhibe et se
donne, et quand la culpabilité la rattrape, elle décide qu'elle ne voulait
pas. |
Exactement. Y en a marre de cette hypocrisie quand même... "Je me bourre la
gueule, je me donne au premier venu, et le surlendemain, je crie au scandale".
Fallait pas te bourrer la gueule à ce point ma fille.
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