orbel
Petit nouveau
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Posté le: Dim Juin 05, 2011 08:41 am Sujet du message: Horus, fils de la Vierge Isis
Horus, fils de la Vierge Isis
L’Egypte vénérait Horus, fils de la Vierge,
Né le vingt cinq décembre au solstice d’hiver !
L’enfant, plus lumineux que ne peut l’être un cierge,
Naquit dans une grotte et le ciel était clair
Sa naissance, annoncée à l’Est par une étoile
Réjouit Alnitak, Anilam, Mintaka ;
Leur sagesse, jamais, n’avait porté le voile
Et chacun crut toujours en ce vrai prédicat
Son père était Joseph de royale lignée ;
Horus vivait au temple enseignant aux enfants !
Puis Jean le baptiseur le prit en sa poignée,
Il connut le baptême à l’âge de trente ans
Ses disciples, dès lors, sont au nombre de douze,
Il réveille El-Azar d’entre tous les défunts !
Puis, il marche sur l’eau comme sur la pelouse
Et délivre un sermon aux éloquents parfums
Horus sur la montagne, un jour, se transfigure
Et transmet la Parole à qui veut s’y fier !
Il est la Vérité, le Berger de l’augure,
Mais les mécréants, lors, vont le crucifier
Entre deux hommes laids issus du brigandage
Mais d’entre tous les morts, il va ressusciter !
Horus était la voie ainsi que le langage,
La Lumière, le Fils voulant nous habiter
Horus, vous l’avez compris, est donc Jésus Christ,
cela 2500 ans avant lui.
Les trois sages sont les rois mages.
El-Azar (une momie) (ou El-Osiris) c’est Lazare
en français.
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alcibiade
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Posté le: Jeu Juin 30, 2011 08:50 am Sujet du message:
Quelques remarques:
| Citation: | L’enfant, plus lumineux que ne peut l’être un cierge,
|
Mauvaise comparaison, ça donne plus envie de rire qu'autre chose.
| Citation: | | Naquit dans une grotte et le ciel était clair
|
Le ciel clair n'a aucun sens pour l'histoire, il sert juste à te donner une
rime. A éviter.
| Citation: | | Et
chacun crut toujours en ce vrai prédicat |
Là aussi, le mot prédicat n'est là que pour te donner une rime. L'inversion
nom-adjectif renforce cette impression.
| Citation: | | Puis, il marche sur l’eau comme sur la pelouse
|
Là aussi, on est dans le grotesque. ça pourrait être amusant, sauf
qu'excepté ce vers et celui du début, le poème ne joue pas la carte de
l'humour. On a donc l'impression d'une phrase de Coluche perdue au milieu d'un
poème parnassien.
Sur le fond, un poème sur Horus, qui mettrait en évidence ses points communs
avec le Christ, sans nommer ce dernier, et sans montrer que le but de l'oeuvre
est de faire ce parallèle serait intéressant. Là c'est balourd.
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orbel
Petit nouveau
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Posté le: Jeu Juin 30, 2011 14:45 pm Sujet du message:
C'est une façon de voir las choses.
Peut-être ne vois-tu la lumière que dans tes propres textes mais il faudrait
que je les lise.
Cela m'étonnerait.
Ce qui ne m'étonne pas, c'est le pseudo Alcibiade.
Un homme qui a passé sa vie à fuir et qui a fini dans l'obscurité de
l'assassinat.
L'homme a toujours l'impression d'avoir assez d'intelligence étant donné que
c'est avec ça qu'il juge : Coluche
Bon après-midi
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alcibiade
Suprème actif
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Posté le: Jeu Juin 30, 2011 18:49 pm Sujet du message:
Je t'offre une critique constructive, qui te permet de progresser. Si tu
préfères les "j'aimes bien" ou "j'aime pas" qu'on t'offrira ailleurs, ne te
prive pas.
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