Exist@ncE
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Posté le: Ven Fév 25, 2011 23:16 pm Sujet du message: Deux sous pour un suicide,
#Troisième version :
versifiée et corrigée# a écrit: | Deux sous pour un suicide,
Ce monde est si triste qu'il se crée tant d'outils !
Pour rencontrer ce qui ne se rencontre pas.
Cher ami où es-tu ? Cher amour ? Chère vie ...
<< Avec un télescope, un astre à chaque pas ! >>
La ronde du profit s'ouvre, prends-y une main,
Tendue, tiède, tendre. Dans des moites envies ...
Assouvir ... C'est combien ? Pour asservir la vie ?
<< Aveugle, ta vraie valeur te dira le chemin ! >>
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Au sommet des ces tas corrompu de vivants,
Disant l'absurdité pour en jouir tous dessus ...
Qu'est-ce qui a créé ce monde comme il est ?
Et qui dit au voyant : Au revoir, disparais,
Dégage, déguerpis et ... Jette-toi par-dessus !
Exist@ncE |
#Deuxième version :
versifiée# a écrit: | Deux sous pour un suicide,
Ce monde est si triste remplis de tant d'outils !
Pour rencontrer ce qui ne se rencontre pas.
Cher amis où es-tu ? Cher amour ? Chère vie ...
Paye et paye plus ! Et, abreuvé tu seras.
Viens donc dans la ronde du profit, prend ma main.
Tendue, tiède, tendre. Dans des moites envies ...
Combien tu payes ? Combien coutera ta vie ?
Sans la vue, ta valeur te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout sauf douloureusement !
Faire réciter l'absurdité, jouir par dessus ...
Qu'est-ce qui fait, a fait ce monde là comme il est ?
Voir, brutale folie. Au revoir, disparait,
Dégage, déguerpis, va-t-en, bouge ton gros cul.
Exist@ncE |
#Première version : non
versifiée# a écrit: | Deux sous pour un suicide,
Ce monde est si triste qu'il lui en faut des outils !
Pour rencontrer tout ce qui ne se rencontre pas.
Cher amis où es-tu ? Cher amour ? Et chère vie ...
Paye. Paye plus. Et, on t'abreuvera de tout cela.
Viens dans la ronde du profit, prend ma main.
Tendue, tiède, tendre. Dans les moites envies ...
Combien tu payes ? Combien coutera ta vie ?
Sans ta vue, ta vraie valeur te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout sauf douloureusement !
Faire affirmer des absurdités, jouir par dessus ...
Qu'est-ce qui a fait ce monde là comme il est ?
Voir est une brutale folie, au revoir, disparait,
Dégage, va-t-en, déguerpis, bouge ton gros cul.
Exist@ncE |
Dernière édition par Exist@ncE le Lun Mar 28, 2011 19:53 pm; édité 2 fois
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alcibiade
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Posté le: Sam Fév 26, 2011 20:03 pm Sujet du message:
Beaucoup de vers sont faux (11, 13 voire 14 syllabes) et manquent de rythme
dans l'ensemble (le e à l'hémistiche au 1er vers est une erreur classique à
éviter absolument). Certaines expressions sont obscures/mal formulées ou peu
harmonieuses (les moites envies, Faire affirmer des absurdités).
Je pense néanmoins qu'avec un peu d'applications, il y a du potentiel.
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Mai lan
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Posté le: Sam Fév 26, 2011 20:11 pm Sujet du message:
En toute forme de propos il y aussi un fond.
Les Individus effectuent une Transaction avec l'Etat (Skyzophrénie
Mécanique) puis retournent baigner dans la Société (Regroupement
d'Individus) ou ils tachent alors d'au mieux utiliser les moyens tirer de cet
Etat pour y exalter leurs Passions (Sexualité, Guerre, Communication).
Mais l'Etat ne devrait-il pas offrir, plutot, Sexualité, Guerre et
Communication ?
Et s'il se trouverait qu'il le fait, pourquoi alors retourner dans la
Société ?
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alcibiade
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Posté le: Lun Fév 28, 2011 20:03 pm Sujet du message:
Citation: | En
toute forme de propos il y aussi un fond. |
Quand la forme est trop mauvaise, le fond ne passe pas. Je penserai à
commenter sur le fond les poèmes impeccables du point de vue de la forme.
|
Exist@ncE
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Exist@ncE
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Posté le: Dim Mar 27, 2011 12:12 pm Sujet du message:
Voilà le poème avec sa métrique (dans le premier message).
J'aimerai vos avis et remarques avant de l'expédier pour se faire charcuter
au grand concours (gemini crockett euh ...) poésie en liberté.
Gloire à Ruby Rhoh !
|
Invité
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Posté le: Dim Mar 27, 2011 19:55 pm Sujet du message: Re: Deux sous pour un suicide,
Exist@ncE a
écrit: |
#Deuxième version versifiée# a
écrit: | Deux sous
pour un suicide,
Ce monde est si triste rempli de tant
d'outils !
Pour rencontrer ce qui ne se rencontre pas.
Cher ami où es-tu ? Cher amour ?
Chère vie ...
Paye et paye plus ! Et, abreuvé tu seras.
Viens donc dans la ronde du profit, prends ma main.
Tendue, tiède, tendre. Dans des moites envies ...
Combien tu payes ? Combien coûtera ta
vie ?
Sans la vue, ta valeur te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout sauf douloureusement !
Faire réciter l'absurdité, jouir par dessus ...
Qu'est-ce qui fait, a fait ce monde là comme il est ?
Voir, brutale folie. Au revoir, disparais,
Dégage, déguerpis, va-t-en, bouge ton gros cul.
Exist@ncE |
#Première version non
versifiée# a écrit: | Deux sous pour un suicide,
Ce monde est si triste qu'il lui en faut des outils !
Pour rencontrer tout ce qui ne se rencontre pas.
Cher ami où es-tu ? Cher amour ? Et
chère vie ...
Paye. Paye plus. Et, on t'abreuvera de tout cela.
Viens dans la ronde du profit, prend ma main.
Tendue, tiède, tendre. Dans les moites envies ...
Combien tu payes ? Combien coûtera ta
vie ?
Sans ta vue, ta vraie valeur te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout sauf douloureusement !
Faire affirmer des absurdités, jouir par dessus ...
Qu'est-ce qui a fait ce monde là comme il est ?
Voir est une brutale folie, au revoir, disparait,
Dégage, va-t-en, déguerpis, bouge ton gros cul.
Exist@ncE |
|
Ça c'est la première couche. Juste pour l'orthographe. Tous les changements
sont mis en gras ; un mot en gras quand j'ai enlevé quelque chose, une lettre
en gras quand j'ai rajouté.
Deuxième couche dans le message suivant.
|
Invité
|
Posté le: Dim Mar 27, 2011 20:19 pm Sujet du message: Re: Deux sous pour un suicide,
[quote="Exist@ncE"] #Deuxième
version versifiée# a écrit: | Deux sous pour un suicide,
Ce monde est si triste // rempli de
tant d'outils !
Pour rencontrer ce qui // ne se rencontre pas.
Cher ami où es-tu ? // Cher amour ?
Chère vie ...
Paye et paye plus ! Et, // abreuvé tu seras.
Viens donc dans la ronde // du profit, prends ma main.
Tendue, tiède, tendre. // Dans des moites envies ...
Combien tu payes ? Combien // coûtera ta vie ? (6//5 !)
Sans la vue, ta valeur // te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras // te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout // sauf douloureusement !
Faire réciter l'ab//surdité, jouir
par dessus ... (6//7
!)
Qu'est-ce qui fait, a fait // ce monde là comme il est ?
Voir, brutale folie. // Au revoir, disparais,
Dégage, déguerpis, // va-t-en,
bouge ton gros cul. (6//7 !)
Exist@ncE |
Voilà pour la métrique.
Quitte à faire des alexandrins, il faut les scander. Or une scansion implique
une césure et, effectivement, une césure sur un -e final, comme c'est le cas
au vers 1 et au vers 5, est une maladresse. Le vers 11 ne résiste pas, lui
non plus, à la scansion, à moins que ton intention initiale ait été de
mettre en exergue la "surdité" qui dort dans l'"absurdité".
Plan du sonnet :
i
a
i
a
in
i
i
in
eman
eman
u
è
è
u
Soit :
A
B
A
B
C
A
A
C
D
D
E
F
F
E
Ce n'est pas régulier dans un sonnet, puisque la forme canonique exige que
les deux premiers quatrains soient formés de rimes embrassées avec les
mêmes rimes dans la première et dans la seconde strophe. Soit : ABBA ABBA
Pour la fin du sonnet, c'est régulier. Ton sonnet est de type Italien (CCDEED
et non CCDEDE comme le sonnet à la française).
Tu n'emploies que des rimes pauvres (1 phonème répété) sauf pour le
distique central en -ement. C'est une rime riche avec 3 phonèmes.
Traditionnellement, le distique central est le lieu dans lequel l'essentiel du
sonnet se concentre (sémantiquement parlant). Est-ce volontaire ? Sinon, ce
pourrait être un effet de style, ton propos portant précisément sur la
pauvreté et la richesse - dans différents domaines.
La suite de l'analyse au post suivant. Voilà pour la partie technique.
|
Invité
|
Posté le: Dim Mar 27, 2011 21:29 pm Sujet du message: Re: Deux sous pour un suicide,
Exist@ncE a
écrit: | Deux sous pour un suicide, [/size]
Ce monde est si triste rempli de tant
d'outils !
Pour rencontrer ce qui ne se rencontre pas.
Cher ami où es-tu ? Cher amour ?
Chère vie ...
Paye et paye plus ! Et, abreuvé tu seras.
Viens donc dans la ronde du profit, prends ma main.
Tendue, tiède, tendre. Dans des moites envies ...
Combien tu payes ? Combien coûtera ta
vie ?
Sans la vue, ta valeur te dira le chemin.
Gloire à toi ! Tu pourras te cacher, fièrement !
Pour toi qui vivras tout sauf douloureusement !
Faire réciter l'absurdité, jouir par dessus ...
Qu'est-ce qui fait, a fait ce monde là comme il est ?
Voir, brutale folie. Au revoir, disparais,
Dégage, déguerpis, va-t-en, bouge ton gros cul.
Exist@ncE |
Le passage de la version libre à la version versifiée a fait du grabuge au
premier vers.
v.1 : «Si triste qu'il faut le remplir d'outils» n'a pas le même sens que
«si triste, rempli d'outils». Dans le premier cas, on constate la tristesse
du monde et les outils apparaissent comme un palliatif. On met en exergue
l'insuffisance du monde.
Dans le second cas, le participe passé indique l'état dans lequel le monde
devient triste.
On comprend donc que ce sont les outils qui font du monde un espace de
tristesse alors que dans la première version, ces mêmes outils étaient
présentés comme un remède possible : tu dis l'inverse de ce que tu veux
dire !
v.2 : RAS
v.3 : RAS (il est même pas mal du tout !)
v.4 : Tu perds de l'espace avec les "et". Ce vers gagnerait à être enrichi
d'une gradation. J'imagine en fin de vers un effet déceptif qui produirait un
effet quelque peu violent. Ça clorait bien la strophe.
v.5 : peut-être un peu cliché, le coup du "prends ma main". Qui parle à qui
? Est-ce pertinent ? Est-ce motivé ?
v.6 : j'aime bien l’allitération. Elle fonctionne bien.
v.7 : le traditionnel "c'est combien" adressé aux louves aurait été
sympathique. «Combien te coûtera la vie» est, je crois une alternative
intéressante mais le sens change. Il serait aussi intéressant de demander
dans quelle monnaie tout sera payé, ou encore combien on est prêt à donner
pour vivre. Suggestions.
v.8 : «aveugle» = 2 syllabes. «sans la vue» = 3 syllabes. Ça permettrait
de recaser l'adjectif «vraie» qui faisait son effet, donnant à la phrase un
tout autre sens. Par contre, au début il avait soif (cf «abreuvé»),
maintenant il est aveugle... Ce serait bien aussi de filer les métaphores,
ça leur donnerait plus de consistance et ton poème gagnerait sans doute un
niveau de symbolisme intéressant. Là, on a un peu l'impression que tu
emploies des clichés les uns après les autres, sans les réactualiser.
v.9 : RAS
v.10 : «tout sauf douloureusement» ne me semble pas très élégant. je ne
saurais pas dire ce qui me chiffonne (excepté le fait qu'en lisant, on croit
d'abord qu'on va avoir un COD alors que c'ets un CC) mais ça ne sonne pas
bien. Le niveau de langue semble baisser.
v.11 : je ne comprends pas ce vers.
v.12 : question rhétorique ? Le poème devrait peut-être aussi répondre à
cette question. En fait, il y répond partiellement alors la question a un
statut un peu bâtard. Je n'accroche pas avec ce procédé oratoire, dans la
mesure où il est maladroitement mis en place. Résultante : ça sonne niais.
v.13 : RAS
v.14 : je comprends l'intention - casser - mais le langage du poème n'est pas
assez constamment soutenu pour que cet effet de style fonctionne. De plus, ça
semble immotivé.
La suite au prochain post.
Dernière édition par Invité le Dim Mar 27, 2011 23:46 pm; édité 1 fois
|
Invité
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Posté le: Dim Mar 27, 2011 23:46 pm Sujet du message: Re: Deux sous pour un suicide,
Pour en venir enfin au sens... Est-il besoin de rappeler que la poésie est un
art qui consiste à marier le son et le sens ? On ne peut se concentrer sur
l'un à l'exclusion de l'autre.
Je trouve que ton propos est assez fouillis. Je me hasarderais à le
reformuler ainsi : le monde dans lequel nous vivons est un désert spirituel et tout ce qu'on nous propose, ce
sont des choses que l'on paye en
monnaie sonnante et trébuchante en guise de divertissement (pascalien). Bref,
tu es «un homme plein de misères.»
Le souci que cela me pose, c'est que tu en restes au stade du lyrique, alors
que c'est un sujet en or pour franchir le pas de la poésie engagée. Pas
forcément politique, d'ailleurs. Des réponses, voilà ce qu'il manque à ton
texte, des réponses ! Pour te connaître un peu, il ne me semble pas - ou
alors tu le caches bien - que tu en sois au stade du total néant spirituel,
alors je ressens cela comme une arnaque par paresse.
Bref. Pour en revenir au propos en lui-même, il aurait pu être davantage mis
en valeur par la forme. Les phrases me déçoivent par la simplicité de leur
construction et par ailleurs, il n'y a pas de métaphore à proprement parler
qui permette d'exprimer de manière originale cette sensation d'être vide.
Des images apparaissent, certes, mais trop furtivement, trop timidement. Du
coup, on ne s'imprègne pas. Tu as brisé ton poème en mille morceaux, il
gagnerait en puissance à être rassemblé.
Enfin, je te renvoie à ce texte, qui derrière des allures simplettes, pose
le même problème mais en apportant des solutions. Juste histoire d'illustrer
mon propos. «habiter le monde en poète»...
Citation: | Mais le renard revint à son idée :
Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes se
ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais,
si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit
de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer
sur terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis
regarde! Tu vois là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé
pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est
triste! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand
tu m'auras apprivoisé! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et
j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :
S'il te plaìt... apprivoise-moi, dit-il.
Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps.
J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaìtre.
On ne connaìt que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes
n'ont plus le temps de rien connaìtre. Ils achètent des choses toutes faites
chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les
hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
Que faut-il faire? Dit le petit prince.
Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu
loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu
ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu
pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince. |
|
Exist@ncE
Super actif

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|
Posté le: Lun Mar 28, 2011 20:00 pm Sujet du message:
Salutations,
Merci beaucoup Sakina/Cacocalie pour cette quadruple analyse !
Apparemment il y avait un bon paquet de choses à revoir
C'est pourquoi je me suis de-suite employé à la tâche d'un assez beau
gabarit ^^
(J'espère réduire ces horreurs à un niveau tolérable avant le 11 avril
...)
Bizes !
|
Invité
|
Posté le: Lun Mar 28, 2011 21:01 pm Sujet du message:
Yo !
De rien, de rien.
|
Typhaine
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Posté le: Mar Mar 29, 2011 07:44 am Sujet du message:
Je n'aimerai pas que Cacocalie analyse mes poèmes ^^
|
Exist@ncE
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Posté le: Mar Mar 29, 2011 20:21 pm Sujet du message:
Typhaine a
écrit: | Je n'aimerai pas que
Cacocalie analyse mes poèmes ^^ |
Euh ...
Ce n'est même pas en cherchant bien que tu pourras trouver une personne
compétente et motivée sur le net pour te fournir une analyse aussi fournie.
C'est vrai que d'un premier abord ça semble faire super mal, mais après tout
c'est que le poème en avait besoin. Donc c'est un super moyen de progresser
ou au moins de voir le niveau qu'on attend / possible.
|
Invité
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Posté le: Mar Mar 29, 2011 22:03 pm Sujet du message:
De toute manière, je ne produis d'analyses aussi fournies qu'en cas de
demandes particulières. Le reste du temps, je dis deux ou trois choses, je me
fais insulter et je repars dans mon coin.
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