Parallèle différence avec Nietzsche et Schopenhauer


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zepowrza
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Message Posté le: Mar Jan 11, 2011 22:11 pm    Sujet du message: Parallèle différence avec Nietzsche et Schopenhauer
Bonjour,

J'avais à faire un parallèle différence sur deux textes. Je devais m'appuyer du texte de Schopenhauer sur "l'impossible satisfaction des désirs" pour commenter celui de Nietzsche appelé "en finir avec la haine du désir".

J'ai déjà fait mon commentaire et j'ai eu 11. Notre professeur nous a en revanche proposé d'améliorer notre commentaire, pour vendredi prochain. Je pense qu'il ne vaut mieux pas que je poste mon commentaire et les textes ici, c'est un peu long.. Sauf si l'on m'y autorise, bien-entendu !

Mais dans tous les cas, j'aimerai savoir s'il y avait quelqu'un qui accepterait de me lire et de me dire où est-ce que je pourrais améliorer, reformuler, compléter ou développer !

Merci à ceux qui me liront !
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Message Posté le: Mer Jan 12, 2011 18:38 pm    Sujet du message:
Il me semble que c'est autorisé ^^

Déjà 11, ça montre que t'es pas dans un soit-disant HS.
zepowrza
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Message Posté le: Mer Jan 12, 2011 20:02 pm    Sujet du message:
Bon et bien d'accord alors Very
Happy

[u]Voici le texte de Nietzsche :[/u]

<< (…) attaquer les passions à la racine, c’est attaquer la vie à la racine : la pratique de l’Eglise est hostile à la vie…
Le même moyen, couper, arracher, est instinctivement choisi, dans la lutte contre un désir, par ceux qui sont trop faibles de volonté, trop dégénérés pour garder la mesure dans la satisfaction de ce désir : par ces natures qui ont besoin de la trappe, au sens figuré (et au sens propre…), d’une déclaration de guerre à outrance, de mettre un abîme entre eux et une passion. Il faut être dégénéré pour avoir recours aux solutions radicales ; la faiblesse de la volonté, plus exactement l’incapacité à s’empêcher de réagir à une sollicitation, n’est elle-même qu’une forme de dégénérescence. L’hostilité radicale, à mort, envers la sensualité est un symptôme qui laisse songeur : il justifie qu’on s’interroge sur l’état général d’un être porté à ce point à l’excès. - Cette hostilité, cette haine n'atteignent d'ailleurs leur comble que lorsque les natures de ce genre n'ont plus assez de fermeté pour se soumettre à un traitement radical, pour renoncer à leurs ''démons''. Qu'on parcoure toute l'histoire des prêtres et des philosophes, en y ajoutant celle des artistes : les mots les plus venimeux contre les sens ne viennent pas des impuissants, ni non plus des ascètes, ils viennent des ascètes impossibles, de ceux qui auraient eu besoin d'être ascètes... >>

[u]Voici le texte de Schopenhauer :[/u]

<< Entre les désirs et leurs réalisations s’écoule toute la vie humaine. Le désir, de sa nature, est souffrance ; la satisfaction engendre bien vite la satiété : le but était illusoire : la possession lui enlève son attrait ; le désir renaît sous une forme nouvelle, et avec lui le besoin : sinon, c’est le dégoût, le vide, l’ennui, ennemis plus rudes encore que le besoin. - Quand le désir et la satisfaction se suivent à des intervalles qui ne sont ni trop longs, ni trop courts, la souffrance, résultat commun de l’un et de l’autre, descend à son minimum : et c’est là la plus heureuse vie. Car il est bien d’autres moments, qu’on nommerait les plus beaux de la vie, des joies qu’on appellerait les plus pures ; mais elles nous enlèvent au monde réel et nous transforment en spectateurs désintéressés de ce monde : c’est la connaissance pure, pure de tout vouloir, la jouissance du beau, le vrai plaisir artistique ; encore ces joies, pour être senties, demandent-elles des aptitudes bien rares : elles sont donc permises à bien peu, et, pour ceux-là même, elles sont comme un rêve qui passe ; au reste, ils les doivent, ces joies, à une intelligence supérieure, qui les rend accessibles à bien des douleurs inconnues du vulgaire plus grossier, et fait d’eux, en somme, des solitaires au milieu d’une foule toute différente d’eux : ainsi se rétablit l’équilibre. Quant à la grande majorité des hommes, les joies de la pure intelligence leur sont interdites, le plaisir de la connaissance désintéressée les dépasse : ils sont réduits au simple vouloir. >>

[u]Voici mon commentaire :[/u]

Dans le texte de Nietzsche, nous verrons que le philosophe interprète le monde. Le sens de son écrit est basé sur la vitalité liée au désir. Sa thèse est la suivante : « attaquer les passions à la racine, c'est attaquer la vie à la racine : la pratique de l'Eglise est hostile à la vie ». Plus on a de vitalité, plus on est vivant et plus on est en bonne santé. Il fait alors un diagnostic sur la vitalité, qui porte non seulement sur le corps humain, mais également sur la culture humaine. Son but est de critiquer l'Eglise, en disant que c'est une culture pathologique, car les chrétiens sont en réalité des puritains, soient des personnes qui affectent une grande rigidité de principes. En effet, Nietzsche voit en l'Eglise l'ascétisme, c'est-à-dire un mode de vie qui consiste à rechercher la libération de l'esprit par la mortification des sens, comme une maladie, que l'on doit soigner pour pouvoir vivre. Le texte est écrit pour nous « guérir » du puritanisme, pour que nos désirs ne nous soient pas destructeurs. Nous verrons que Schopenhauer tient le même avis dans son texte : le désir est souffrance. La vie est-elle bonne ou mauvaise ? Ces deux philosophes ont un point de vue différent : pour Schopenhauer, la vie en elle-même est mauvaise, car toujours pleine d'horreurs, mais pour Nietzsche, la vie est créatrice, et la création passe par la souffrance, donc est mauvaise. Nous expliquerons dans une première partie en quoi le désir est source de vie et également de folie. Dans une seconde partie, nous verrons les différentes façons d'échapper au désir.

Dans sa thèse, Nietzsche veut dire que le désir constitue la condition préliminaire de toute jouissance. Un homme ne peut jouir qu'en fonction d'un désir. Donc la condamnation du désir correspond à la dépréciation de la vie, qui naît de la peur de souffrir. C'est alors toucher à l'origine de la vie, car si nous prenons l'exemple du couple, on remarquera qu'il est à l'origine du désir de l'enfant, et donc de la vie. Mais pour Schopenhauer, tout n'est qu'illusion. Lorsque l'on interrompt un désir, c'est-à-dire lorsqu'il y a satisfaction, celle-ci perd sa valeur. Et c'est alors qu'apparait un autre désir, et le besoin d'être de nouveau satisfait. Ainsi, la plénitude de la satisfaction d'un désir ne peut être que partielle et ne peut pas durer. Et si « la satisfaction engendre bien vite la satiété » (l. 2), comme le dit Schopenhauer, c'est parce que le manque marque l'illusion qu'il pourrait y avoir, dans un nouveau désir, quelque chose capable de combler ce dernier. Nous pouvons donc dire que désirer est un manque et une douleur : c'est souffrir ; le désir est une quête vaine, basée sur le besoin et le manque, mais qui fait sans cesse place à l'ennuie, soit à un temps vide de désir. Malgré que Schopenhauer semble prôner l'ascétisme, Nietzsche partage une autre opinion, fondée sur le religion judéo-chrétienne. Ainsi, pour revenir à notre exemple du couple, l'Eglise étant ascète, la sexualité est alors mauvaise, car elle renvoie aux tentations de la chair et au péché. Mais ceci paraît absurde pour Nietzsche, car sans la sexualité, il n'y aurait aucune existence. Et puis, Dieu lui-même, crée le Monde en émettant un désir, celui d'être indéfiniment. En revanche, Schopenhauer pense cet ennuie lié à la succession de désirs insatisfaits, provient de l'incapacité à vivre le présent, à cause du harcèlement de désirs. C'est ainsi qu'il loue l'ascétisme. Mais Nietzsche, par son argumentation à propos de l'Eglise, affirme que cette culture humaine est très critiquable, insensée. Selon lui, l'église est le foyer des chrétiens, des puritains, qui prônent l'ascétisme, un genre de vie d'après lui, inhumain.
Ceux qui n'arrivent pas à se contenir, à se contrôler, donc trop faible de volonté pour retenir leur pulsion, d'instinct, deviennent ascètes et se coupent alors de tout désir, en s'enfermant : « par ces natures qui ont besoin de la trappe » (l. 6). Ceci ressemble selon Nietzsche, à une fuite de la vie, limitée à un moralisme étroit. Ces personnes atteintes de « cette maladie », se font la guerre et se renie eux même : « d'une déclaration de guerre à outrance, de mettre un abîme entre eux et une passion » (l. 7). On peut voir qu'ils rejettent la passion. Ainsi que le dit Schopenhauer, « Quand le désir et la satisfaction se suivent à des intervalles qui ne sont ni trop longs, ni trop courts, la souffrance, résultat commun de l'un et de l'autre, descend à son minimum » (l.5 à 7). Schopenhauer explique la façon pour le moins sans souffrir lorsque l'on est pas dans l'ascétisme. Il montre ici comme un accord avec Nietzsche. Il faut trouver le juste milieu, trouver l'équilibre entre le désir et la satisfaction, de façon à ce que le désir provenant d'une satisfaction antérieur, ne soit pas trop vite comblé, pour que la satisfaction de ce désir là puisse durer le maximum de temps. C'est ainsi qu'il est alors possible d'approcher le plus la vie la moins malheureuse, avec le moins de souffrance possible. Nietzsche semble confirmer cela, en disant qu'être ascète est une « solution radicale », car l'homme se coupe tout simplement de la vie. Il insiste sur cette absurdité en répétant plusieurs fois le terme « dégénéré » (l. 2 et Cool et « dégénérescence » (l.10). Cela appuie sur le fait que ces hommes ont un problème face à la vie en elle-même. Assurément, il ne faut pas libérer l'homme de la souffrance de cette façon, car ce serait le priver de tout plaisir, et l'amener à déprécier la vie sensible. Les morales qui poussent l'homme à cela, sont qualifiés par Nietzsche de nihilistes. Donc ce qu'évoque Schopenhauer ici, pourrait être une bonne solution.

Nietzsche s'interroge alors sur la possibilité d'un être à agir de cette façon, sur la possibilité de devenir ascète. Il explique ainsi que « cette hostilité, cette haine n'atteignent d'ailleurs leur comble » qu'à partir du moment où ses hommes ne sont même plus capables de cesser de désirer. D'où la notion de maîtrise qui est très présente dans ce texte. Les ascètes contiennent trop de vitalité car ils renferment tout, et ont alors peur de même, de cette énergie interne. C'est ainsi qu'ils se font souffrir. Schopenhauer expose sa façon d'échapper au désir. Il propose l'art et la contemplation esthétique. Cela nous détache ainsi de la vie, qui est en réalité faite d'horreurs et de faux plaisirs, et alors de se satisfaire seulement de ce que l'on a, et non de ce que l'on n'a pas, ou plus. Il suffit de voir l'existence telle qu'elle est. Il propose aussi la compassion c'est-à-dire que les autres souffrent, mais lui aussi. Cela reste pour le moment d'un avis ressemblant à celui de Nietzsche, c'est-à-dire admettre la vie avec le désir. Mais, d'après ce philosophe, le côté pervers du désir serait la peur d'un chaos, qui amènerait ainsi l'homme à l'ascétisme. Contrairement à Nietzsche, Schopenhauer prône entièrement l'ascétisme. Il veut réduire la vitalité, en supprimant toute positivité aux effets du désir, et faire de la vie d'un homme, tout un monde de frustration sans espoir. C'est une vision plus pessimiste, celle de Schopenhauer On voit ici une opposition au discours de Nietzsche qui constate que ces hommes-là, ceux qui réduisent leur vitalité, à un certain stade, apparaissent sous l'état bestial, car ils accumulent tellement de frustration à se retenir de désirer, qu'ils gardent en eux un trop plein d'énergie, qui finit par « éclater » et les rendent ainsi. Ils agissent donc sous pulsion. Selon Nietzsche, l'ascétisme est donc une solution de facilité et de peur. À la volonté de posséder qui est créative & élève l'homme dans le statue qu'il s'approprie, s'oppose donc une volonté de néant, l'ascétisme, qui prône désespérément la renonciation et le sacrifice. C'est ainsi que ce philosophe appelle lui à une vitalité harmonieuse.
Ainsi que le dit Nietzsche, « les mots les plus venimeux contre les sens […] viennent des ascètes impossibles, de ceux auraient eu besoin d'être ascètes... ». Il parle ici de ceux qui ont dépassé ce stade de folie. Un ascète impossible est celui qui va désirer le moins possible, mais qui désire malgré lui. Il faut savoir que Nietzsche est un lecteur de Schopenhauer En effet, Nietzsche fait ici référence à Schopenhauer, qui est un philosophe qui déprécie beaucoup le désir, et qui se veut ascète. Cependant, ce dernier ressent en réalité un réel désir, une véritable volonté. C'est pourquoi il n'est pas entièrement ascète, car il met son désir dans cette volonté de l'être. Nous pouvons le constater en observant son argumentation : Schopenhauer admet que cette jouissance, celle qui permet de se détacher du monde, n'est réservé qu'à un nombre restreint de personnes, à ceux qui possèdent « la connaissance pure de tout vouloir », soit une intelligence pure qui l'emporte sur la volonté ; car ceux qui ont un bon niveau spirituel savent que le mal existe, donc il l'accepte. Alors que le reste du monde, n'ayant pas cette « faculté », une assez grande intelligence pour lutter contre les désirs, est réduit à souffrir de toujours faire face à cette insatisfaction perpétuelle due au désir, car il pense plus aux actes de volonté plutôt qu'aux actes de connaissance. Le sage continuera de jouer le « jeu » de la vie, et lui, contrairement aux ignorants, il ne souffrira pas en obtenant le détachement par la contemplation. C'est ainsi que même l'ennuie, quand il est compris, n'est plus ennuyeux. Celui l'est, que si l'on ignore son origine. Mais quand l'homme ignorant finit par ne plus vouloir souffrir, c'est qu'il n'est plus tout à fait ignorant, car il commence à constater que tout n'est qu'illusion. Il éveille ainsi en lui le désir de connaître. Mais Schopenhauer parle là de son cas Même si le désir de connaître amène à l'ascétisme, il y a toujours ce désir de quelque chose qui existe. Donc comme le pense Nietzsche, Schopenhauer décrit dans son texte le désir comme étant une horreur, mais en fait, il participe complètement à celle-ci, et n'arrive ainsi pas à s'en sortir. C'est pourquoi ce sont les personnes qui en fin de compte souffrent le plus, car ils restent toujours dans la frustration.

Vu par Schopenhauer, le désir mène par conséquent l'homme dans une situation sans issue, car tout désir est synonyme de douleur et la satisfaction ne dure qu'un court temps. L'homme paraît dès lors, condamné au malheur. Nietzsche arrive grâce à ces propos à réhabiliter le christianisme. Pour lui, « Dieu » est la limite de la créativité. Selon lui, l'ascétisme fait du désir un élément inessentiel à la vie, où réside le péché et le mal, ce qui est totalement faux. L'illusion commune est de penser que le désir peut nous amener à un état de béate satisfaction. Mais de nos jours, on retrouve cela dans le monde de la consommation, du commerce. Et lorsque l'on vit en croyant à cette béate satisfaction, c'est que l'on a une vie juste fictive, où l'on ne sait pas faire face à la vérité des faits, puisque nous vivons dans un monde qui nous plonge énormément dans le désir. C'est pourquoi, comme nous l'explique Nietzsche, il ne faut pas ignorer la vie et reculer devant chaque désir, il faut savoir se satisfaire du peu que l'on a, et bien entendu continuer à créer.


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Message Posté le: Mer Fév 16, 2011 17:42 pm    Sujet du message:
Waw!
Je suis avarde de compliment mais là pour le coup c'est un bon devoir (je le pense sincèrement.)
Tu n'as fais aucun contresens sur Nietzsche et ça fait plaisir à la Nietzschéenne que je suis.
Tu as fais de bonnes distinctions sur le désir et l'ascetisme et la vision que porte Nietzsche sur le comportement des ascètes.

La différence entre Nietzsche et Shopenhauer est également bien explicité.

Je vois rien à redire, sur le fond en tout cas, tu n'as rien mis de faux.
Retravailler l'introduction paie toujours, si tu veux vraiment cartonner. Wink
Ici la thèse est trop vite exposée et tu n'as pas choisi un plan en trois parties, ce qui est toujours le must.
Mais bon, tu es au lycée, tu auras une bonne note avec ça, mais retravailles quand même l'intro si tu veux gagner des points : commence par situer la problématique dans un cadre plus général avant d'exposer la thèse et la prise de position. C'est bien aussi de prendre une référence connu en intro, ça fait très chic, ici Le Gorgias de Platon tombe à point nommé.

Exemple d'accroche (à retravailler si tu décides de la prendre, je l'aie faite bien trop vite.)

Le problème du désir est récurrent dans le domaine moral et une question qui a mobilisé, à travers l'histoire de la philosophie, aussi bien les épicuriens que les stoiciens.
Pourtant, au fond, la recherche est toujours la même : hédoniste, il s'agit d'adopter une attitude qui soit la plus efficace face à une tendance naturelle qui tend à être destructrice. Les positions de Nietzsche et Shopenhauer qui peuvent, et pour cause, paraître proches de prime abord se révèlent en fin de compte antagonistes à l'image de celles que tiennent respectivement Calliclès et Socrate dans Le Gorgias : tout comme Calliclès, Nietzsche soutient de façon assez original, et rompt ainsi avec une tradition stoicienne qui avait fait de l'ascète l'exemple à suivre, qu'il faut laisser les passions s'exprimer au maximum tandis que Shopenhauer se rapproche d'un ascetisme prescriptif tendant à les combattre...

Enfin ton annonce de plan est maladroite, il faut éviter le "dans une première partie, dans une deuxième partie" et préférer les formulations "naturelles" du style "il s'agit d'abord de ....pour ensuite...."

PS: je n'avais pas vu la date...tu as du rendre ce devoir depuis longtemps...enfin ça peut toujours servir Wink

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