Qu'est ce que la vulgarité ?


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Mara Caldera
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:17 pm    Sujet du message:
Ya moyen de négocier. Ca dépend de toi, de ton dévouement, ta présence, ta soumission, Mr. Green

Oups nous sortons du sujet Surprised
Invité








Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:19 pm    Sujet du message:
Il y a un intrus dans le lot..Laughing
Spleenz
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:19 pm    Sujet du message:
Caldera a écrit:
Moi tant que tu me vide pas mon compte tout m'interesse Razz


C'est sur que se faire vider les couilles c'est toujours plus profitable. Mais avec quelques euros en moins, on est encore plus léger. Sinon, des femmes baisable, y en a pas à tous les coins de rues, il avait certainement raison. Un peu de Vulgos sur ce sujet, c'est plutôt logique Mr. Green
La Bête
Silver Mercure


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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:34 pm    Sujet du message:
Spleenz a écrit:
Caldera a écrit:
Moi tant que tu me vide pas mon compte tout m'interesse Razz


C'est sur que se faire vider les couilles c'est toujours plus profitable. Mais avec quelques euros en moins, on est encore plus léger.

ou comment spleenz a avoué textuellement fréquenter les péripatéticiennes (comme on est section philo, ça tombe bien)
Mara Caldera
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:35 pm    Sujet du message:
Je n'aime pas les pûtes; tu as l'impression de te faire un sac de viande morte. C'est pénible.
Spleenz
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 20:40 pm    Sujet du message:
La Bête a écrit:
Spleenz a écrit:
Caldera a écrit:
Moi tant que tu me vide pas mon compte tout m'interesse Razz


C'est sur que se faire vider les couilles c'est toujours plus profitable. Mais avec quelques euros en moins, on est encore plus léger.

ou comment spleenz a avoué textuellement fréquenter les péripatéticiennes (comme on est section philo, ça tombe bien)


Oui sur genaisse j'avoue fréquenter des péripatéticienne, et j'allais même dire qu'en écrivant ici, je te fréquente et que tu te considère alors comme une prestipute ? Mr. Green Tu as bien fais d'éditer en tout cas, ça fait moins louche.
La Bête
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 21:26 pm    Sujet du message:
je n'ai rien édité.
Lyriss
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Message Posté le: Ven Jan 22, 2010 22:41 pm    Sujet du message:
Je dirais que c'est la disharmonie dans un personnage.

Car j'estime qu'une p*** qui joue vraiment la p*** est belle en tant que p*** et dans son effort a incarner le concept de p***. C'est une belle p***.

En revanche, une personnalité batarde qui mêle les tendances bourgeoises et p*** sera vraiment disgracieux du fait de la disharmonie permanente qu'elle renverra, les aspects opposés pure s'annihilant dans leur contact en une entité.
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Message Posté le: Mer Nov 10, 2010 15:32 pm    Sujet du message:
Je fais remonter car la question m'intéresse et est difficile.

Bien entendu, on pourrait recourir à un artifice étymologique, et remonter au latin vulgus : commun, foule, masse, populace dans sa partie la plus commune, et donc la moins noble. Et l'on pourrait en déduire que ce qui est vulgaire, c'est ce qui est banal, commun. Et l'on croirait avoir répondu à la question alors que l'on ne l'aurait qu'éludée.

De nos jours, quand quelqu'un dit "vulgaire", il me semble qu'il éprouve surtout une réaction de dégoût ou de désapprobation (hautaine : ce n'est pas quelque chose que l'on désapprouve tout en arrivant à le considérer comme beau, nécessaire, noble, etc., mais clairement comme quelque chose qui ne serait pas de notre niveau, mais plus bas). Et le mot serait le bon ponton pour faire le lien entre ce sentiment que nous inspire l'autre ou son acte, et le langage. Le bon adjectif, en somme.

Maintenant, oui, cela ne colle pas à tous les types de dégoûts... voir un cadavre éventré en sortant de chez soi risque de dégoûter la plupart des genaissiens, mais il ne trouveront pas cela spécialement vulgaire. — En revanche, voir un wesh interpeller une demoiselle par le romantique "hey mamzelle! vous êtes belle tu suces?", un couple de clochards baiser devant la mairie, ou un homme d'affaire bourré dans le caniveau en train de se masturber, cela paraîtrait vulgaire à la plupart d'entre nous. Du coup, autant se poser la question du pourquoi...

Ce serait à la fois du dégoût, et vis-à-vis de quelque aspect ou comportement réprouvé socialement, mais que tout le monde pourrait potentiellement faire — et donc commun? — Ça me semble se rapprocher du but ; tout le monde peut aller jouer au dragueur lourdingue, potentiellement ; tout le monde peut roter à table, potentiellement ; tout le monde peut se maquiller le visage entier avec un rouge à lèvres, potentiellement.

Que penserais-tu, donc, temporairement, d'une définition comme :

Est vulgaire un comportement réprouvé socialement, mais que chaque individu aurait la possibilité néanmoins de faire, s'il le voulait?
Papillon
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Message Posté le: Mer Nov 10, 2010 20:08 pm    Sujet du message:
Comme toujours c'est parfait !

Ctritérium for president !
Romulus
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Message Posté le: Mer Nov 10, 2010 22:03 pm    Sujet du message:
Critérium a écrit:
comportement réprouvé socialement

En effet, personnelement je verrais bien ça comme une norme sociale, donc ce qui correspond à cette partie de ta définition Critérium. En revanche...

Critérium a écrit:
mais que chaque individu aurait la possibilité néanmoins de faire, s'il le voulait?

Là je ne suis pas sur de la pertinence de cette partie. Tu va chercher trop loin.
Si tu tue quelqu'un, c'est un acte réprouvé socialement et que tout le monde peut faire techniquement, mais ce n'est pas pour autant considéré comme vulgaire. Cramer une voiture non plus.

Donc la vulgarité c'est juste une histoire de norme sociale, d'étiquette à respecter.
Vous me direz peut être que bruler des voitures ou tuer sont des actes réprouvés également mais eux en plus ils sont illégaux, alors que en gros la vulgarité correspond à tout ce qui est réprouvé sans être sanctionnable.



Pour en revenir à la racine étymologique elle est peut être plus intéréssante qu'il n'y parait.

A l'origine vulgaire = qui vient du peuple. A partir de là ça a pu désigner pendant un temps un comportement qui ne correspond pas à l'étiquette/norme sociale des élites, celle-ci qui permet aux élites de se distinguer des masses en se créant des codes spécifiques dans la manière de s'habiller, de se parler etc... (phénomène qu'on retrouve dans quasiment toutes les sociétés).

Aujourd'hui ce n'est plus ça la vulgarité, puisqu'on peut être issu des couches modestes sans être nécéssairement vulgaire.

La raison vient peut être du fait que la culture des anciennes élites (aristocratie, bourgeoisie) a imprégné à peu près toutes les couches de la société actuelle. C'est à dire que le peuple, sans doute avec l'avènement de la démocratie, puis des médias de masses accéssible à tous, a eu la volonté et la possibilité de se ranger au niveau des élites en adoptant leurs codes/étiquette/normes sociales.

En gros à l'origine il y a avait une séparation net entre les élites et le peuple qui lui n'avait pas d'étiquette (ou presque).
Aujourd'hui il y a une étiquette sociale quasiment commune à toutes les couches sociales : dans la manière de se saluer, dans la manière de manger (pas avec les doigts), dans les mots qu'on peut employer ou pas...
Bon évidemment les élites comme toujours cherchent à se distinguer avec certaines manières, mais la séparation est beaucoup moins flagrante qu'il y a 2 ou 300 ans.

Vous me direz et les ouesh ouesh alors? Il y a dans leur comportement une séparation assez nette du reste de la population en effet.
Oui parce que commme toutes les normes elles peuvent être transgresser par certains et que dans le cas présent, il s'agit à mon avis bien souvent de transgressions volontaires : "je tutoie un inconnu je suis un vrai dur, un vrai rebelle moi"
ou alors "transgression par ignorance" : un certain nombre de normes sont méconnues ou non maitrisée par la personne
ou encore "transgression par habitude" : la personne sais que telle ne chose ne se fait pas mais elle évolue dans un milieu ou l'on transgresse beaucoup donc elle transgresse quasiment sans s'en rendre compte.
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Message Posté le: Jeu Nov 11, 2010 10:27 am    Sujet du message:
Hello.

Romulus a écrit:
Si tu tue quelqu'un, c'est un acte réprouvé socialement et que tout le monde peut faire techniquement, mais ce n'est pas pour autant considéré comme vulgaire. Cramer une voiture non plus.

Touché, merci. Papillon

Du coup — si je reformule bien ton dernier post — ce serait, pour toi, une transgression de la norme sociale (la norme sociale de la classe majoritaire), faite par choix ou par inéducation, ou éventuellement par revendication à une autre classe sociale, en particulier les plus fangeuses.

En même temps (parenthèse) j'aimerais parler de cet aspect du dégoût. — C'est étonnant d'à quel point la réaction peut être physique à une transgression de la norme sociale... et pourtant, si l'on regarde les usages d'ailleurs pour éviter d'avoir les yeux à moitié ouverts quant aux nôtres, l'on peut trouver des choses qui ne sont explicables comme cela : les forgerons, en Afrique de l'Ouest, qui sont considérés comme une caste "sale". Ce serait terriblement outrageux de manger à la même table qu'un forgeron, là-bas. (Est-ce que c'est considéré vulgaire? Cela, je ne le sais pas).

Ceci étant dit, une idée soudaine me vient et m'empêche de me ranger pour le moment à ton avis : dans les deux exemples que tu as mentionné, il y a trouble de l'ordre civil, destruction de biens ou de personnes — en ce sens, c'est une affaire très sérieuse à l'encontre de l'ordre social. C'est peut-être cela, la différence : le vulgaire devrait également être neutre, c'est-à-dire ne léser a priori personne... (tout du moins dans un premier temps, dans l'immédiat). Si l'on admet cette acceptation, mon précédent post n'est en fait pas réfuté.

Roter à table.
Croiser les couverts à la fin du repas, dans certains milieux.
Parler de sodomie à un repas du grand-monde.
etc.

Un bon exemple, je crois, serait le fait d'aller chercher dans les distributeurs de bonbons des stations de métro si de la monnaie y reste. C'est un comportement vulgaire, qui cette fois ne tourne pas autour du sale ou du dégoûtant, que tout le monde peut faire, qui ne lèse personne sur le moment, et qui va à l'encontre de la norme sociale tacite "on peut être une pince mais toujours est-il qu'il ne faille pas le paraître".
Papillon
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Message Posté le: Ven Nov 12, 2010 23:54 pm    Sujet du message:
<< Léser la morale sociale. >>

<< Quelle est alors cette morale sociale ? Et sont utilité ? >>
Lyriss
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Message Posté le: Sam Nov 13, 2010 14:30 pm    Sujet du message:
Est vulgaire ce qui n'est pas esthétique et harmonieux. Et ce d'un point de vu sensoriel, comportemental et morale.
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Message Posté le: Sam Nov 13, 2010 14:38 pm    Sujet du message:
Ouais en gros le vulgaire est une distorsion sociale, empreinte de disgrâce, et imputable à l'ignorance, à la volonté d'être vulgaire ou encore à l'habitude.


J'ai la flemme alors si quelqu'un veut synthétiser mieux que moi...
Romulus
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Message Posté le: Sam Nov 13, 2010 15:29 pm    Sujet du message:
Exist@ncE a écrit:
<< Léser la morale sociale. >>

<< Quelle est alors cette morale sociale ? Et sont utilité ? >>


Qualifiée cette étiquette sociale de "morale sociale"... pourquoi pas en effet, après tout on associe l'étiquette et par opposition la vulgarité à des bons ou mauvais comportements, donc au bien et au mal.

Bonne question en tout cas que de se demander son utilité.
A l'origine je l'ai dis c'est un moyen pour les élites, c'est à dire une minorité (3, 5 ou 10% de la population maxi) de se démarquer du reste de la population, car ne possède pas cette étiquette qui veut. Si on la prend dans son ensemble ça fait beaucoup de choses à savoir (faire ou ne pas faire telle chose en telle circonstance, dire ou ne pas dire telle chose etc...).
D'ailleurs vous noterez qu'on parle souvent de "manque d'éducation" pour quelqu'un de vulgaire, "cet homme n'a aucune éducation", c'est donc bien quelquechose qui s'apprend, en général pendant l'enfance et l'adolescence. Si on est pas issu d'un milieu on on maîtrise déjà cette étiquette, il est peu probable qu'on sache la maîtriser à l'âge adulte, ou alors ça demandera des efforts d'adaptation.

Mais à l'heure actuelle l'étiquette dont on parle concerne une large majorité de la population, et pas seulement les élites.
-Alors est-ce pour la majorité un moyen de se démarquer de la minorité qui ne suit pas cette étiquette (du genre ouesh ouesh)? A priori non ça serait plutôt le ouesh ouesh qui cherche à se démarquer, par l'absence du code majoritaire (du à la fois je pense à un manque d'éducation et à certains choix) mais surtout par la présence d'autres codes.
-Est-ce un moyen pour la majorité de se rapprocher de la culture des élites et ne pas trop s'en démarquer?
-Est-ce qu'il y a des raisons plus utilitaires et moins pragmatiques que la distinction sociale? Une utilité de type cohésion sociale? Par exemple est-ce que fixer et maintenir des règles de respect mutuel favorise les relations au sein de la société?
C'est comme se demander l'utilité de la politesse. La politesse fait partie de l'étiquette en question car on le sais bien, la non politesse est vulgaire.
A priori oui ça favorise les relations sociales, si quelqu'un est malpoli par exemple en ne saluant pas ses collègues de travail le matin, ça va rapidement créer des tensions entre lui et le reste du groupe. En même temps est-ce vraiment parce que la politesse a un impact positif ou est-ce parce qu'on a tellement appris qu'il fallait être poli qu'on s'indigne de l'impolitesse d'autrui?
En d'autres termes est-ce que la politesse a une réèlle utilité logique, ou est-ce juste des valeurs qui nous sont inculquées?

En fait ce sujet est considérable car il amène la question de l'existence des codes et des normes sociales, de leur utilité ou de leur inutilité.

Mais là j'ai la flemme et j'ai pas le temps de le développer davantage... :p
MF
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Message Posté le: Mar Déc 28, 2010 21:22 pm    Sujet du message:
Nouveau venu ... je ressors un vieux sujet mais parce qu'il est effectivement intéressant.

Personne n'a parlé d'un certain déterminisme social pour cette question de la vulgarité ... je pense que tout n'est qu'affaire de socialisation et de culture ici.
Il existe un excellent passage dans "Un air de famille" avec Bacri où sa soeur est la clichée de la paumée-rockeuse-rebelle-mal-élevée-outrancière-pas-froid-aux-yeux : "tu me trouves vulgaire ? Tu sais qu'on peut être extrêment grossier en ne disant pas une seule vulgarité ? ..."

Contrairement au proverbe, les goûts et les couleurs se discutent. Alors la vulgarité, une affaire de classe sociale ? Une affaire de mentalité ? De socialisation ? De p*** ou pas p*** ?

Saint-Simon disait « Tout régime social est une application d'un système philosophique et par conséquent il est impossible d'instituer un régime nouveau sans avoir auparavant établi le nouveau système philosophique auquel il doit correspondre. ». Clairement, changer les gens avant de changer les choses.
Avec notre parallèle, même si les gens changent (un jour), il n'y aura jamais une association universelle de la pensée et des actions, la vulgarité restera propore à chacun, à certains déterminants. Faut laisser ça aux sociologus bordel. rire
La Bête
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Message Posté le: Mer Déc 29, 2010 11:44 am    Sujet du message:
Citation:
Personne n'a parlé d'un certain déterminisme social pour cette question de la vulgarité


AH-HA ! Perdu !

La Bête a écrit:
vulgaire venant de vulgus, je ne pratique pas les langues anciennes, mais il me semble qu'il y a un rapport étymologique étroit avec la masse populaire... donc vulgaire c'est ce qui est de bas étage et digne de personnes au milieu social et à l'éducation peu reluisants
MF
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Message Posté le: Mer Déc 29, 2010 11:49 am    Sujet du message:
il a du passer à travers mes lecture !

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