le plan 14

Félixlechat · Membre Inscrit le: 23 Déc 2006 Messages: 164

la lumière, et ces éclats de voix lyox les connaissaient, parti uriner entre la fourche et le galon de benzine acoudé au pied
de l'excavateur, il grelotait marquait sa poitrine de ses biceps.
ici les saisons sont franches et l'hivert marqué au fer.lyox le savait et ne s'attarda point.
alors qu'il remisait l'outil en pestant sur la qualité de la boutonnière, une frequence qu'il ne connaissait pas émmargea du grésillement anodin de l'éolienne.
Un son vertical et uni, un son géométrique et lumineux comme il disait.
nous ne tardions pas à poser un diagnostique sur sa santé mentale à son retour dans le baraquement.
il est vrai que le condition de travail dans la station en on fait gripper plus d'un, lyox était 'il de ceux là?
les jours s'alignaient et les condition de perçage execrable de la roche et nous rendait tous saillant.
il falait des bras et l'exil nous rapprochait chaque nuit de la boisson. lyox se comportait étrangement, mais
faut croire pas assez pour que nous le remarquions, jusqu'à cette nuit.
il avait pris toutes le torche du campement et s'était enfuis. Autour des 23 heures, du moins c'est ce qu'on estima avec
la direction le lendemain après avoir alerté les autorités et commencer la battue.
J'ignorais pourquoi, mais je ne sentait pas cette battue, en fait, si, j'avais une peur indéterminée.
alors que nous commencions la vallée de la fourgonière qui devais son nom au bruit sourd des éboulis sur ses routes
et de quelques légendes pour pince-sans-rire.
un des hommes du shérif au non imprononcable, nous orienta avec prudence sur ce qui resemblait a un autel, fait de millier
d'ampoules. jusque là rien de bien angoissant, mais rien qu' à voir les traits sans voix du machiniste qui me précédait j'ai senti que la chose
était anormale. les ampoules etaint fondues, c'est p***** d'ampoules étaint fondues les unes au autres et formaient
une sorte de monolithe à la la planéité parfaite. les commentaires allaient sans trève, il fallait evacuer, créer un périmètre de sécurité, alerter les services
d'investigations, puis plus tard, la presse.non pas la presse!Et surtout pas toucher.
Vu l'état des mines je pense que personne ne s'y serait risqué.
tous, nous étions tous dans la confidentialité, la liturgie du vent frappait les tympans ça ronflait
sous la pinède et sur le retour au campement le doute s'instala dans nos tête, lyox était là tout sourire au lèvre.
Ca sentait bon le ragout, comme il savait si bien le faire et les tables était toute dressées dans un ordre inhabituel.
La battue nous avait tous creusé et personne, malgré la défiance ne refusa le couvert.
A table chacun y allait de ses mots, un vrai interrogatoire!
je pense qu'il ne mesura pas la découverte et son attitude la veille.
Il avait changé asurément, et son rire masquait ses silences , puis ce flegme, non, ça ne lui ressemble pas!
Ou a t'il bien pu passer la nuit par ce temps, que nous cache t'il?
je ne pu trouver une once de quiétude cette nuit là.
allez essaye de dormir demain on reprend le forage murmura lyox
il ne peut quand même pas lire dans mes pensées, cette idée me traversa et l'effroi qui va avec

a suivre