Une Chute de fleurs

WhiteHeart · De passage Inscrit le: 25 Mar 2007 Messages: 41

Dans le céleste visage du ciel tout bleu,
Un peu de blanc, un peu d’or pour des rayons
Une perle mordorée au cou d’une divinité sans nom
Le soleil darde de ses milles nœuds,

Assis dos contre un majestueux arbre
Perçant sa cime verdâtre, des rayons de miel
Lumière ambrée sous un manteau sombre
Qui dévoile les trésors de la terre malgré elle

Le temps est une course de char,
Comme le parcours du soleil dans les airs
La beauté d’une vie est donc tant éphémère
Que même mon œil n’en capture son art

A méditer sur l’existence de toute créature
L’instant dans son apogée est un éclair
Qu’on ne voit jamais pleinement l’ossature
Le moment est unique, toute seconde est une ère

Toutefois dans le sublime de l’instant avorté
Hors de cet espace temps, ma vision est élargie
Il n’y a ni laideur, ni beauté dans l’humanité
Mais une chute de fleurs voilées sous la pluie.
Mercredi 19 mars 2008, Rennes

uacuus · Super actif Sexe: Inscrit le: 29 Mai 2006 Messages: 2753

La versification est à revoir.

Une faute de syntaxe:

Qu’on ne voit jamais pleinement l’ossature
Dont on ne voit jamais..

armanor95 · Posté le: Jeu Juil 10, 2008 22:28 pm Sujet du message:

Sûrement

Mais si on remplace son vers initial par celui que tu proposes, on ne retrouve plus le même nombre de syllabes, et c'est finalement tout le poème qui est remis en cause Question

A moins que ça n'ait aucune importance pour l'auteur...

uacuus · Super actif Sexe: Inscrit le: 29 Mai 2006 Messages: 2753

La correction que je propose n'est pas un vers, le passage fautif ne l'est pas davantage.

parcoeur · Membre Inscrit le: 17 Aoû 2008 Messages: 116

Pas mal

WhiteHeart De passage Inscrit le: 25 Mar 2007 Messages: 41	Posté le: Jeu Juil 10, 2008 20:56 pm Sujet du message: Une Chute de fleurs Dans le céleste visage du ciel tout bleu, Un peu de blanc, un peu d’or pour des rayons Une perle mordorée au cou d’une divinité sans nom Le soleil darde de ses milles nœuds, Assis dos contre un majestueux arbre Perçant sa cime verdâtre, des rayons de miel Lumière ambrée sous un manteau sombre Qui dévoile les trésors de la terre malgré elle Le temps est une course de char, Comme le parcours du soleil dans les airs La beauté d’une vie est donc tant éphémère Que même mon œil n’en capture son art A méditer sur l’existence de toute créature L’instant dans son apogée est un éclair Qu’on ne voit jamais pleinement l’ossature Le moment est unique, toute seconde est une ère Toutefois dans le sublime de l’instant avorté Hors de cet espace temps, ma vision est élargie Il n’y a ni laideur, ni beauté dans l’humanité Mais une chute de fleurs voilées sous la pluie. Mercredi 19 mars 2008, Rennes
uacuus Super actif Sexe: Inscrit le: 29 Mai 2006 Messages: 2753	Posté le: Jeu Juil 10, 2008 21:40 pm Sujet du message: La versification est à revoir. Une faute de syntaxe: Qu’on ne voit jamais pleinement l’ossature Dont on ne voit jamais..
armanor95 De passage Sexe: Inscrit le: 03 Nov 2005 Messages: 29 Localisation: no where	Posté le: Jeu Juil 10, 2008 22:28 pm Sujet du message: Sûrement Mais si on remplace son vers initial par celui que tu proposes, on ne retrouve plus le même nombre de syllabes, et c'est finalement tout le poème qui est remis en cause A moins que ça n'ait aucune importance pour l'auteur...
uacuus Super actif Sexe: Inscrit le: 29 Mai 2006 Messages: 2753	Posté le: Ven Juil 11, 2008 10:31 am Sujet du message: La correction que je propose n'est pas un vers, le passage fautif ne l'est pas davantage.
parcoeur Membre Inscrit le: 17 Aoû 2008 Messages: 116	Posté le: Mar Aoû 19, 2008 11:16 am Sujet du message: Pas mal