Histoire de Fantasy


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yzy
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Message Posté le: Ven Mai 16, 2008 21:15 pm    Sujet du message: Histoire de Fantasy
Bonjour à toutes et à tous sur ce topic Very Happy

Je suis amateur d'Héroïc Fantasy et d'histoires fantastiques depuis toujours, aussi, je me suis mis à écrire un petit récit que j'aimerais partagé avec vous tous Very
Happy
Les critiques, commentaires en tout genres sont les bienvenues Wink

"Le chant du vent s'éleva par delà les Eres du monde, par delà les insondables océans pour folâtrer au dessus des plaines et des immenses forêts mystérieuses. Il continua sa lancinante mélopée par delà les montagnes jusqu'à un homme, assis en haut d'un tertre gardant l'entrée d'une passe, qui avait rendez-vous avec la mort.
Comme touché par cette inexhorabilité, le vent se fit caressant, faisant virevolter la cape de l'homme tout en l'enlaçant tendrement telle une armure protectrice.
Plutôt qu'un homme, c'était un jeune homme qui avait muri trop tôt et ses yeux songeurs semblaient avoir vu trop de choses pour se rapeller son innocence perdue.
Pourtant, l'ombre d'un sourire sembla naitre à la commissure de ses lèvres, à l'instar d'un pâle rayon de soleil un jour d'hiver, au fur et à mesure que les souvenirs de son enfance, pas trés lointaine, remontaient à la surface de sa mémoire. C'étaient des souvenirs si merveilleusement gorgés de soleil et de bonheur qu'il sourit franchement et se releva fièrement tout en balayant de son regard farouche les sommets éternels. Le soleil souverain sembla lui rendre hommage en l'inondant de ses derniers feux.
C'est ainsi que le virent la Horde Ténébreuse à la Passe de la Sentinelle.
Il semblait nimbé de feu, rayonnant et tellement plein de vie qu'il leur sembla immortel. Il fit retentir son rire clair et chaud comme l'appel d'un cor à rallier la bataille et ils reculèrent devant cet improbable spectacle.
Seulement, il est des forces si noires que nul éclat ne peut entailler leurs manteaux de terreurs. Un cavalier noir se fraya un chemin à travers la masse et ils s'écartèrent tous instinctivement, avec tant d'empressement que même la mort ne les auraient pas plus effrayés. Le cavalier noir s'arrêta au bas de la passe et sa lame chanta lugubrement comme il la sortait de son fourreau.
Le jeune homme, qui s'apellait Saerynn, semblait encore irradier la lumière de l'astre solaire couchant et sa lame fit retentir un son clair et cristallin.
Saerynn lança alors son cri de défi à la mort en brandissant son épée bien haute et comme répondant à ce signal, le vent se mit à mugir et à fouailler ses ennemis tandis que le cavalier noir s'élançait vers lui.

Le choc de leur rencontre fut terrible et le fracas de leurs lames se répercuta à des lieues à la ronde jusqu'à un groupe d'homme qui courraient à grand pas.
Leurs chef, un géant qui portait un homme sur son dos, s'arrêta brusquement. Ils restèrent tous immobile pendant de longues secondes, les poings serrés comme rongés par un profond tourment intérieur. Le chef plus que tous les autres tremblait convulsivement de rage, mais dans un terrible cri étranglé il reprit sa course sans regarder en arrière et ses hommes le suivirent.

Saerynn donna toute sa fougue et l'inconscience de sa jeunesse dans le combat titanesque. Il avait réussit à désarçonner le cavalier noir dès les premiers coups et depuis, ils dansaient leurs ballets de mort en imprimant la terre de leur affrontement.
Une heure durant, sous la lumière des étoiles et des torches innombrables de la Horde Ténébreuse, ils combattirent sans trêve, enlaçant leurs lames sauvagement pour conquèrir la victoire. Saerynn savait que seul un miracle lui avait permis de tenir aussi longtemps face à ce formidable adversaire qui n'arrêtait pas de lui vriller l'esprit avec des tentacules de terreurs.
C'est ainsi que le cavalier noir finit par prendre le dessus sous les acclamations cauchemardesques de son armée.
Saerynn sentait son sang maculer son armure et le sol sur lequel il titubait. Le cavalier noir redoubla ses coups propulsant Saerynn à genoux au bord du gouffre des brumes éternelles. Dans le silence sépulcrale qui se fît, le cavalier noir sembla saluer son adversaire avant de lui assener un dernier coup terrible que Saerynn para avec ses dernières forces et tandis que sa lame se brisait comme du verre, il chuta dans l'abime.

Eloë....
Namàrië Eloë tindòmerel.....
Adieu Eloë fille de l'aube......peut-être...peut-être...tant de lumière...tout est pourtant si flou...pourquoi tant de lumière quand on marche parmi les ombres ?
Saerynn sentait son esprit dériver comme un navire emporté par une mer capricieuse et houleuse. Il avait l'étrange sensation de ne plus avoir de corps. Les méandres de son esprit en lambeaux lui jouait des tours et il ne pouvait que se laisser emporté par ses caprices.
Mais, comme une ancre, Eloë revenait sans cesse au premier plan comme une antienne entêtante qui finit par obnubiler son esprit vagabond."


Voilà ! Le calvaire est terminé pour cette foi-ci Laughing
Si vous voulez la suite dites sinon tant pis et merci de m'avoir lu Very Happy
alcibiade
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Message Posté le: Sam Mai 17, 2008 10:29 am    Sujet du message:
Ton style est trop chargé, je crois. Trop de figures de style tuent la figure de style. Cependant, tu as beaucoup de vocabulaire et ce n'est pas un mal. Je te conseille donc d'alléger un peu tes phrases et de t'atteler à des récits plus réalistes. L'héroic fantasy est trop connoté jeux vidéo. Pense aussi à travailler le caracère de tes personnages. Bonne continuation.
Studio
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Message Posté le: Dim Mai 18, 2008 16:07 pm    Sujet du message:
Pourquoi on utilise toujours des noms celtiques dans les trucs de fantasy? Tout le monde le fait, ça fait classe, mais personne ne sait ce qu'ils signifient, tout comme personne ne parle de langue celtique.. c'est dommage Smile

Citation:
Eloë....
Namàrië Eloë tindòmerel.....
Adieu Eloë fille de l'aube......


Eloë fille de l'aube se dit Eloë, merc'h tarzh-an-deiz en breton.
Lyriss
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Message Posté le: Dim Mai 18, 2008 17:49 pm    Sujet du message:
Toujours le même souci chez les débutants, ils écrivent le film qu'ils voudraient faire.
Mais écrire ce n'est pas retranscrire des images, ton texte est saturé d'images, rajoute y le plus important, de la musique ! Savoir écrire c'est savoir s'arracher à la retranscription visuelle.

Mais comment écrire de la musique ... Wink
yzy
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Message Posté le: Dim Mai 18, 2008 21:29 pm    Sujet du message:
Merci de vos remarques et conseils Very Happy

Oui il y a trop de verbiage et trop "chargé" en images je suis tout à fait d'accord avec vous Laughing
Cependant, pour ma décharge, ce texte a été écrit d'un seul jet sans retouche de ma part et je plaide coupable pour le texte "saturé" en image car hélas cela me plait bien ainsi Laughing
Pour ce qui est du celtique j'ai en fait utilisé du vocabulaire tiré des langues imaginées par jrr Tolkien lui même avec par exemple : Namàrië=adieu

"Il est des évènements dans une vie qui sont si magiques que leurs évocation semblent nous ramener à l'instant même où ils naissent.
Il en fût ainsi pour Saerynn dans cette étrange expérience.

Il se retrouva arpentant les sous-bois en direction du "trou de l'étoile perdue". C'était une magnifique journée, baignée d'une lumière si douce qu'elle en rendait les sous-bois irréels, propice à la rêverie. Il marchait nonchalemment la tête emplis des paroles de son père lui racontant l'histoire du "trou de l'étoile perdue".
C'était comme si la voix chaude et caressante de son père ne l'avait jamais quitté et il pouvait presque sentir son souffle au creux de son oreille lui faire revivre comme par magie cette histoire qu'il aimait tant :
"Les pères de nos pères nous transmettent de générations en générations l'histoire formidable d'une étoile qui tomba amoureuse à l'aube de la nuit des temps. Cette histoire je te la transmet, à toi, mon fils et tu la transmettra un jour à ton tour.
Ainsi, à l'aube de la nuit des temps, il y avait une étoile qui brillait dans le firmament à l'instar de ses soeurs parmi la voûte céleste. Elle n'était pas plus grande qu'une autre ni plus belle ni plus brillante, c'était tout simplement une étoile comme tant d'autres. Mais rien ne prédispose une petite chose ordinaire à un destin extraordinaire sauf quand celle-ci croise la route d'un astre vagabond !
Par une belle nuit, somme toute banale, elle vit briller une lumière éclatante suivit d'un panache flamboyant filer à toute vitesse vers elle. Elle avait entendu parler de ces astres, condamner à errer sans fin, se consumant petit à petit, et n'avait que mépris pour eux qui ne trouvaient leurs places nulle part. Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher d'être fasciné au fur et à mesure que l'astre s'approchait d'elle.
Il passa si près qu'elle aurait pu le toucher avant qu'il ne poursuive son chemin.
Seulement, il s'en était aller avec un morceau d'elle. Son coeur et son âme avait été comme consumer par son panache et pardessus tout, elle avait entendu son murmure comme une promesse destinée à elle seule. Aussi, elle qui était si fière de sa place dans la voûte céleste, déserta pour se lancer à sa poursuite.
Elle fila ainsi à travers tous les cieux sans relâche dans le seul espoir de rattraper son panache si proche et pourtant si lointain.
Après un long temps, il finit par ralentir et s'arrêta. Eperdue, elle accéléra follement sa course pour le rejoindre et elle pût ainsi assister à ses derniers instants...
Il la regarda comme on regarde un être aimé tout en semblant lui demander son pardon pour le destin qui l'avait pousser à toujours aller de l'avant. Après cela, sa lumière s'éteignit et elle se retrouva seule dans un ciel où elle n'avait plus sa place.
Alors, elle se laissa tomber sur la terre où après une chute interminable, elle creusa un grand trou et reposa tout au fond. Sa lumière s'éteignit peu à peu tandis que ses larmes comblèrent le trou. On raconte que certaines nuits, l'eau du trou est si étincellante qu'elle rivalise avec la lumière des étoiles."

Sa tête résonnait encore des paroles de son père quand ses pieds touchèrent l'eau salée du trou. Il leva la tête et elle était là...
Il venait d'avoir quatorze ans et ne connaissait rien des choses de l'amour. En cet instant, il comprit enfin comment on pouvait être consumé par l'amour.
Elle avait de l'eau jusqu'au nombril et les gouttelettes qui ruisselaient sur son corps étaient comme autant de joyaux scintillants au soleil. Ses magnifiques cheveux avaient la couleur d'un champ de blé doré par une chaude journée d'été. Mais plus que tout, ses yeux engloutirent à jamais son âme et son coeur...
Elle lui souriait sans être gênée par sa propre nudité et une éternité passa avant qu'elle l'invite à la rejoindre dans l'eau.
Saerynn avait entendu parler d'esprits élémentaires qui attiraient ainsi les hommes pour les perdre mais de toute les façons il était déjà perdu dans un songe qu'il ne voulait mettre fin à aucun prix.

Il s'avança vers elle sans se rendre compte qu'il avait encore ses vêtements. Elle s'était mise à rire espièglement en l'aspergeant d'eau et ils jouèrent ainsi jusque tard dans l'après-midi.
Saerynn savait que ce moment magique était le plus heureux de toute sa vie et il aurait tant voulu que le temps s'arrête !
Le soleil souverain s'en allait et elle le suivit en l'abandonnant sans un mot, juste un baiser sur la joue. Saerynn ne pouvait que la regarder partir sans pouvoir la retenir.
Il rentra comme un somnanbule, la tête légère mais le coeur lourd et sa présence lui manquait déjà terriblement. Il avait l'impression d'être malade tant il était partagé entre la douleur et l'euphorie, à tel point qu'il ne put ni manger ni dormir. Son père ne lui avait pas posé de questions, il était resté silencieux avec un sourire en coin tout en fumant sa pipe.
Le lendemain il se rendit fièvreusement au trou son coeur battant la chamade et surtout avec
la sourde angoisse de ne pas la voir. Pourtant elle était là.
Il apprit par la suite qu'elle s'appellait Eloë Tindòmerel car elle était muette de naissance. Ses parents l'avait trouvé devant le pas de leur porte à l'aube naissante et ils décidèrent de la nommer fille de l'Aube.

Il survola en esprit les deux années de bonheur qui suivirent jusqu'à ce que son esprit se cabre et il tomba dans l'inconscience.
Il revint à lui avec une sourde angoisse et tout son esprit se convulsa pour retomber dans l'oubli mais une volonté plus forte le força à reprendre le cours de son passé.
Il ne savait pas qu'un esprit pouvait pleurer et pourtant.....
Ce jour là, ils avaient décidé de se donner l'un à l'autre et ainsi de lier leur destin pour la vie d'après une ancienne cérémonie qu'ils avaient lu quelque part. Ils avaient confectionnés chacun une couronne de fleurs et une galette de miel. Il s'immergèrent nus jusqu'à la taille, dans le trou de l'étoile perdue, tenant leurs couronnes d'une main et leurs galettes de l'autre.
En se regardant dans les yeux, ils placèrent d'un même geste les couronnes sur leurs têtes respectives puis se donnèrent à croquer les galettes. Ils achevèrent la cérémonie en s'immergeant totalement avec leurs mains et leurs bouches liées.
Sur l'herbe de la berge ils avaient unis leurs corps et leurs âmes.

"NON !!!!! JE NE VEUX PAS !!! PAR PITIE !!!!"Saerynn hurlait dans le vide de son esprit en implorant que l'oubli l'emporte mais il ne put qu'assister à nouveau à l'inéluctable..."


Encore merci pour vos remarques et commentaires éclairés Very Happy
Lyriss
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 09:43 am    Sujet du message:
C’est toujours le même problème ici, tu nous decris des scènes (des gens se baignent, mangent) acompagnés de sentiments basique et intuitivement identifiable (angoisse, peur …)
Y’a pas de personnalisation, le personnage est fade et floue, ca pourait être n’importe qui.
Pour rendre un personnage humain, commence déja par le faire parler, là on dirait un défilé de muets, ou d’automates.
Sinon y’a des passages interessant et bien faits par éclair.
alcibiade
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 12:35 pm    Sujet du message:
Citation:
Eloë fille de l'aube se dit Eloë, merc'h tarzh-an-deiz en breton.


Tu apprends aussi le breton ?

Citation:
Mais écrire ce n'est pas retranscrire des images, ton texte est saturé d'images, rajoute y le plus important, de la musique ! Savoir écrire c'est savoir s'arracher à la retranscription visuelle.


Pas d'accord, tu fais de ta conception de la littérature une généralité. Beaucoup d'écrivains se concentrent au contraire sur l'image, Gauthier par exemple. Et je ne vois pas pourquoi la description des caractères vaudrait plus que la description visuelle.
Méphistophélès
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 13:26 pm    Sujet du message:
Gautier (sans "h") accorde lui aussi de l'importance à la musique des mots, c'est tout le sens de sa poésie. Cependant tu as raison de dire que tous les écrivains ne tendent pas nécessairement à cet objectif.
Silver Mercure
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 14:24 pm    Sujet du message:
on peut certes écrire en images, si tant est que ce soit habilement fait, hors je trouve ceci pertinent :

Lyriss a écrit:
Toujours le même souci chez les débutants, ils écrivent le film qu'ils voudraient faire.


il y a une certaine complaisance dans le genre de la scène préférée d'un ado qui vient de regarder LOTR au cinéma...

le combat d'un gosse seul contre le méga seigneur de la mort, ou l'amour fou et transcendant avec une sorte d'elfe blonde et sans conversation, ça transpire le rêve d'adolescent...

et surtout dans tes textes, ces situations tombent directement au héros, sans détours, sans difficulté, sans contexte somme-toute : le type attend sur une colline ou marche dans une forêt, et bing, le moment ultime qu'en principe on attend depuis le début, arrive ici dès le début, de la façon la plus simple et la plus directe qui soit.

ce que tu nous décris là c'est typiquement ce qu'on a "envie" de voir quand on lit une histoire et qu'on commence à comprendre et à s'attacher aux personnages, à leurs histoires et aux connections entre eux, choses que tu as omis de mettre en place et qui pourtant prennent justement beaucoup de place et de temps dans un texte de fantasy, le plus souvent.

par conséquent, ces scènes qu'on a "envie" de voir, c'est ce que l'auteur doit toujours refuser et faire retarder, compliquer ce moment, pour maintenir l'attention du lecteur.

tu écris ici comme un lecteur et pas comme un auteur, tu t'offres directement ce que tu désires au lieu de faire désirer le lecteur.

ce qui ôte vraiment toute valeur aux scènes que tu décris, le lecteur/spectateur ne les a pas attendues, n'est pas non plus surpris par leur arrivée, et par ailleurs elles n'ont rien de follement original, et leur écriture, malgré le vocabulaire étalé, n'est pas très heureuse, pas assez pour que l'épisode se suffise à lui même.

qu'il s'agisse de cinéma, de BD, d'écriture ou autre, en narration, il est question de toujours maintenir l'attention éveillée sur ce qui va suivre (sur le plan / la réplique / la ligne suivant), soit en faisant anticiper, soit au contraire en ménageant un suspense, un effet de surprise.
là, il n'y a rien de cela, c'est linéaire et plat, on décroche très vite...


Dernière édition par Silver Mercure le Lun Mai 19, 2008 14:35 pm; édité 5 fois
Méphistophélès
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 14:28 pm    Sujet du message:
Je suis assez d'accord avec les commentaires de Lyrisse et de Silver Mercure. J'ajouterais qu'il est entre guillemets normal, yzy, que tu sois tombé dans ces écueils: c'est le propre d'une plume encore jeune.
Silver Mercure
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 14:41 pm    Sujet du message:
(/!\ j'ai édité plusieurs fois mon commentaire)

oui, bien sûr c'est normal si ce sont parmi tes premiers longs écrits et que tu es assez jeune (ce que ce héros de 14 ans me fait soupçonner)

n'y vois aucune méchanceté ciblée, je dis cela pour que tu puisses y remédier. Wink


Dernière édition par Silver Mercure le Lun Mai 19, 2008 14:49 pm; édité 1 fois
Méphistophélès
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 14:43 pm    Sujet du message:
Silver Mercure a écrit:
que tu est assez jeune

C'est mesquin, je sais.
Silver Mercure
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Message Posté le: Lun Mai 19, 2008 14:52 pm    Sujet du message:
tu veux donc que je t'en redonne ?

(la vérité c'est que je tronque et découpe beaucoup mes phrases et oublie de réaccorder entre elles les parties qui s'en trouvent juxtaposées ^^')
alcibiade
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Message Posté le: Mar Mai 20, 2008 14:38 pm    Sujet du message:
Citation:
le combat d'un gosse seul contre le méga seigneur de la mort, ou l'amour fou et transcendant avec une sorte d'elfe blonde et sans conversation, ça transpire le rêve d'adolescent...


Je partage ton avis. Le concept de happy end m'ennuie d'ailleurs.

Citation:
Gautier accorde lui aussi de l'importance à la musique des mots


Certes, mais aux descriptions aussi. J'en sais quelque chose, c'est pour ça que je ne l'aimais pas quand j'étais un petit philistin.

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