| Sarah Gastard De passage
 
  
  
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                [size=7][color=violet]Ta douceur Posté le: Sam Nov 10, 2007 12:21 pm    Sujet du message: Douceur phénoménale la douceur de tes mots m'envahit si bien
 que je dois me dépasser
 pour lire, écrire...
 Ta douceur est si forte
 tes mots comme des menhirs
 comme si nous étions arrivés au bout de l'amour
 dans sa puissance la plus phénoménale
 que je me force à lire
 car notre amour en est encore à ses balbutiements
 et il faut beaucoup lire pour qu'il devienne
 désir.[/color][/size]
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		| uacuus Super actif
 
  
 
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 Messages: 2753
 
 
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                Les tracts pour Dominique Voynet sont habituellement mieux écrits que ça. Posté le: Sam Nov 10, 2007 12:47 pm    Sujet du message: | 
	
		| Ozimandias Banni(e)
 
 
 
 
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 Localisation: Rien.
 
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                 Posté le: Sam Nov 10, 2007 13:48 pm    Sujet du message:  	  | uacuus a
écrit: |  	  | Les tracts pour
Dominique Voynet sont habituellement mieux écrits que
ça. | 
 
 J'aime bien le tact d'Uacuus.
   
 
 Sinon je doit lui reconnaitre que pour commencer on voit déjà une certaine
maldresse dans l'utilisation des fonctions du forum ... Ce qui est un assez
mauvais présage pour la suite.
 
 Ca commence par une répétition, d'un point de vue logique il y a une
erreure, même si le texte était sur la répétition je crois que ce serait
quand même un tantinet maladroit.
 
 la douceur de tes mots m'envahit si bien
 que je dois me dépasser
 pour lire, écrire...
 Personnellement je n'aurais pas utilisé le qualificatif "si bien" ni la
liaison "que". Pour le qualificatif je trouve qu'il est niais, c'est un point
de vu, mais il est surtout trop utilisé dans le language poétique et/ou
courrant.
 Le "que" quand à lui durcit la phrase d'une part par une tonalitée cassante
pas vraiment douce et d'autre part par l'emprise rigide de la liaison logique
qu'il introduit.
 
 Ta douceur est si forte
 tes mots comme des menhirs
 Marrant, le menhir entre bien en opposition avec la douceur. Mais je vois pas
pourquoi introduire "tes mots".
 
 comme si nous étions arrivés au bout de
l'amour
 dans sa puissance la plus phénoménale
 Ce n'est pas un registre très poétique.
 
 que je
me force à lire
 Effectivement on se force à lire cette petite phrase. Fait exprès ou pas ça
reste peu agréable.
 
 car notre amour en est encore à ses
balbutiements
 et il faut beaucoup lire pour qu'il devienne
 désir.
 Les deux premier vers ne sont pas non plus d'un registre très poétique.
Heureusement le rejet de "désir" est très bien amené.
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