kyoshiro
Petit nouveau

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Posté le: Ven Nov 02, 2007 22:01 pm Sujet du message: aidez-moi SVP!!!!!!!!!
Bonjour tout le monde,
j'ai une dessertation a faire: a quoi sert la raison?
vous pourriez m'aider?
Merci d'avance!!!!!!!!
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ocelove
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kyoshiro
Petit nouveau

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Posté le: Sam Nov 03, 2007 11:07 am Sujet du message:
je sais que La raison c'est le pouvoir de distinguer le vrai du faux: c'est un
instrument de liberté.
Qu'est ce que la raison ?
Malebranche. "C' est la raison universelle qui doit nous guider."
La raison c'est le pouvoir de distinguer le vrai du faux: c'est un instrument
de liberté.
Ne serait-ce aussi pas le pouvoir de distinguer le vrai du faux en s'appuyant
sur trois principes? (identité - causalité- non contradiction)
Mais aprés!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Mandos
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Posté le: Sam Nov 03, 2007 12:55 pm Sujet du message:
Ben, tu peux partir de la raison raisonnement, dire que la raison permet de
valider ou d'infirmer des propositions en se fondant sur des axiomes logiques.
Tu fais ta transition en te demandant si la raison ne peut vraiment servir
qu'à des fins théoriques, si elle n'a pas des implications dans la sphère
pratique et morale, et tu pars sur une perspective kantienne (l' "appendice à
la "dialectique transcendantale"", dans la Critique de la raison pure contient tout ce qu'il te faut, si
mes souvenirs sont bons). Après, tu fais une transition en thématisant le
concept de "service", et tu peux finir sur une troisième partie "subversive",
où tu expliques que le pouvoir (l'horrible pouvoir) a tout intérêt à nous
faire croire aux implications morales de la raison, dès lors que, par un
usage vicié de celle-ci, il arrive à donner un fondement à ses
prérogatives.
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Ozimandias
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Posté le: Sam Nov 03, 2007 23:08 pm Sujet du message:
Magnifique Mandos qui énonce ce qu'il faut répondre : ne pas penser par soi
même rédiger au propre les pensées de philosophes poussiéreux et souvent
dénigrés même par les autres philosophes. (non je ne vise pas Kant loin de
là
)
Sinon on peux réfléchir par soi même seul à la question.
A quoi sert la raison ?
Je me demande comment on pourrait poser plus mal cette question.
-Raison : chose à analyser.
-A quoi sert ? : axiome logique demandant quelle est la fonction/l'utilisation
de l'objet à analyser.
Que fait on en utilisant un axiome logique ? on utilise la raison ou la
logique à peut de choses près.
On utilise donc la raison pour juger d'elle même, c'est con. mais la réponse
vient vite et sous forme simpliste elle sert à donner une réponse à cette
question, c'est tout ce que l'on peut dire.
Par contre ça amène la vraie question, celle qui est à la fois demandée et
non demandée : Qu'est ce que la raison ?
La seule réponse sérieuse apportée au cours des siècles est la
phénoménologie de la raison, en gros quels sont les phénomènes que la
raison induit. Une énumèration bète et méchante pour réel axe de conduite
"Est-ce bien ou mal ?".
C'est d'après moi de l'obscurantisme qui n'a plus lieu d'être aujourd'hui,
et qui némoins va continuer de perdurer tant qu'il y aura des cons.
Tant qu'il y aura des cons, il y aura de l'espoir... Qu'ils disparaissent...
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Mandos
Actif


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Posté le: Dim Nov 04, 2007 00:50 am Sujet du message:
Ozimandias, tu es fatigant. Tu énonces des niaiseries et des lieux communs
sur un ton qui ruisselle d'une morgue et d'une prétention dont tu devrais
quand même essayer de te rendre compte un jour . Dis-moi, combien de
milliards de blaireaux ont déjà, avant toi, pesté sans même savoir de quoi
ils parlaient contre les "philosophes poussiéreux" (tu crois vraiment être
l'inventeur de cette expression ?) ?
Quelqu'un qui "rédige", comme tu dis, une dissertation de philosophie, se
place, s'il est honnête, dans un état d'esprit beaucoup plus humble que le
tien. Il ne s'agit pas de balancer avec grandiloquence les vérités ultimes
du monde, les fulgurantes "pensées par soi même" qui sont aussi pensées à
la même seconde par 40 000 bistrotiers et poivrots, mais simplement de
montrer qu'on est capable de construire une réflexion informée et
raisonnable, malgré tout forcément personnelle dans sa démarche et ses
positions, sur un problème donné. Mais fi de toutes ces vilaines critiques
de tes conceptions de comptoir. Je me place sur ton terrain, et confronte mon
pauvre cerveau scolaire, avachi de poussière et d'académies périmées, à
la vertigineuse originalité de ce qu'a produit ton esprit, quitte à me
brûler les ailes.
Tu attaques donc par cette phrase brûlante d'acuité et d'impertinence : "Je
me demande comment on pourrait poser plus mal cette question." D'emblée, deux
choses : 1 Je me demande comment on peut se montrer aussi prétentieux dans le
traitement d'une question 2 Il se trouve qu'en dépit de toute ton arrogance,
ou plutôt grâce à elle, tu te trouves pile dans les exigences scolaire de
la dissertation : sache que tout potache exulte quand il arrive à montrer que
la question est mal posée ou ambiguë. C'est le point de départ de la
sacro-sainte problématisation.
Ensuite, peut-être Ta Hautesse pourrait-elle tenir un tout petit peu compte
de son lecteur, et lui expliquer clairement ce qu'elle veut dire, au lieu
d'employer des ":" dont on ne sait pas s'ils donnent la définition de la
notion, ou prétendent simplement indiquer son rôle dans le sujet. Je retiens
cette seconde hypothèse.
Donc, tu te rends compte que le sujet demande d'analyser une... "chose à
analyser", à savoir la raison. Ton analyse du sujet, elle, est un peu
sommaire, mais ce n'est pas trop grave. Par contre, peux-tu m'expliquer ce que
veut dire : "A quoi sert ? : axiome logique demandant quelle est la
fonction/l'utilisation de l'objet à analyser. " ?? Peut-être devrais-tu
astreindre ton génie à une exigence de communication minimale, qui
consisterait à employer les mots dans le sens qui est le leur. En
l'occurrence, je ne vois pas comment, à partir des définitions communément
reçues du terme "axiome", un esprit autre que le tien peut arriver à donner
un sens intelligible à ta phrase.
Du coup, après, tes conclusions deviennent franchement obscures. Je vais
quand même tenter de suivre le fil de ton raisonnement.
Donc, "à quoi sert ?" est un "axiome logique". Tu te demandes ce qu'on fait
"en utilisant un axiome logique", autrement dit, ce qu'on fait en utilisant,
en l'occurrence, "à quoi sert". J'avoue que déjà, à ce stade, je suis un
peu largué. Mais ce n'est pas grave, puisque tu as l'air de t'accrocher.
Donc, je poursuis, et je lis que l'utilisation de l'"axiome logique" attaché
par un lien plus ou moins mystique à la notion d'"à quoi sert ?" revient à
l'utilisation de la raison.
...
...
En fait, nous sommes manifestement aussi perdus l'un que l'autre, puisque tu
en es réduit à expédier tout ça en quelques mots, via un lieu commun à la
con ("on utilise la raison pour juger d'elle-même", oh, mais c'est grave, ça
!) et qui n'a absolument aucun rapport avec la question posée, vu que le
noeud du problème, le concept d'utilisation, d'utilité, de "service" se
retrouve totalement évacué, au profit d'une "analyse" de la raison, vaste et
ampoulée. Ensuite, une petite pirouette de cette rhétorique bien grasse dont
tu as le secret ("La réponse [quelle réponse ? A quelle question ?] vient
vite"), pour finir dans un exorcisme naïf et expéditif : "c'est tout ce que
l'on peut dire". Si tel est le cas, je veux bien croire que la situation soit
désespérée, parce que tu n'as, effectivement, rien dit.
Après ça, tu achèves dans un enchaînement de pétitions de principe aussi
générales que vides, et paranoïaques de surcroît. Qu'est-ce que c'est que
cette "phénoménologie de la raison" dont tu parles et dont tu ne connais
rien (pour cause, elle n'existe pas), qu'est-ce que c'est que cette
énumération, en quoi peut-on dire que cette chimère de ton imagination
aurait un "axe de conduite" qui serait "bien ou mal", selon tes formules
lapidaires et vaniteuses, personne ne le saura jamais. Ta pensée, en se
voulant polémique, ironique, ou que sais-je, est seulement brouillonne, sûre
d'elle-même, et d'une parfaite vacuité.
C'est très amusant, vois-tu, parce que j'ai toujours considéré la
dissertation de philosophie comme un exercice scolaire et bêbête sans
rapport aucun avec la philosophie telle qu'elle a pu ou peut encore être
pratiquée par les philosophes. Mais quand je vois des gens la pourfendre
comme tu le fais, en se drapant dans ce qu'ils croient être l'exigence de
leur génie singulier (penser par soi-même, comme c'est beau) et qui n'est en
fait que la marque de la confusion de leur esprit, de leur absence de rigueur,
et de l'infinité de leur auto-satisfaction, je me dis que tout de même, la
dissertation philosophique a du bon.
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Ozimandias
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Posté le: Dim Nov 04, 2007 13:06 pm Sujet du message:
La dissertation : Elle a du bon, et du mauvais.
Et c'est hélas là ou je veux un peu en venir quand je parle ou que je
balance le "bien/mal".
Pourquoi hélas ? Parce que c'est un axe de recherche [l'axe : en gros
qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est mal d'une chose ? ici la raison, et
ensuite donner un avis plutôt pour ou plutôt contre de la chose en
énumérant ce qu'elle a de bien et de mal, c'est bien ça une dissertation
que je sache ?] trop restrictif et surtout complètement stupide de mon point
de vue nihiliste.
C'est pourquoi je dit que je suis contre la "phénoménologie existantielle"
(cf Sartre L'être et le
néant) c'est à dire ramener l'existance à l'ensemble des
phénomènes qu'on lui associe. Dans notre cas c'est effectivement énumérer
l'ensemble des actes et faits de la raison.
Le problème n'est pas là je comprend parfaitement que la plupart de gens
trouve que cette méthode ^^fatidieuse^^ d'annalyse soit la clef d'une
réussite certaine, etc etc.
Néamoins dans la compréhention de la fonction logique primaire qui qualifie
le concepte à annalyser, ça aide un peut mais ça ne donnera pas la
réponse. Car ça donnera les limites, mais pas ce que c'est.
Le problème vient après.
Et il est Kantien, c'est le jugement. En effet dans la question "A quoi sert
la raison ?" on ne décèlle pas le moindre jugement.
Le problème est dans la réponse que l' on attend. On attend un choix, un
jugement pour ou contre, de la raison ou de son utilisation (par la conscience
ou une "merde" dans ce genre), et ce, par rapport à un fondement bien/mal
déterminé par rapport la sociétée contenporaine.
Pourquoi Kantien ?
>> En quoi peut-on juger ? Réponse de Kant annalysée par Nietzsche :
""en vertu d'une cappacitée""
-_-'
Le jugement se trouve jutifié grâce à un subterfuge. Le jugement est donc
"bien".
Revenons à nos moutons.
On nous demande donc implicitement de juger la raison, or si on raisonne un
peux il n'y a aucune raison de juger la raison.
Voilà pourquoi je trouve ça "merdique", ça n'apprend rien et encore moins
à raisonner sans juger.
En quoi le fait d'avoir un ton qui ruisselle d'une morgue et d'une prétention
sans limite me donne tord à tout les coup ?
-C'est idiot, c'est irraisonné, tu juges directement en bien/mal et non pas
purement sur le contenu compris de mes propos ?
Passons.
philosophes poussiéreux
Pourquoi voudrais-tu que je me dise l'inventeur de cette expression ?
-En quoi des personnes qui vivaient il y a des années des siècles voir des
millénaires avant pourraient offrir un point de vu absolument correct pour
une sociétée différente un temps différent et une compréhention des
évènement physiques de l'univers différent ?
Moi je trouve ça banqual d'un point de vue logique car il faudrait prouver
que la sociétée ne fait pas différer les points de vue ou du moins que ces
derniers restent équivalant en justesse.
Quelqu'un qui "rédige"[...] dans un état
d'esprit beaucoup plus humble que le tien
En quoi le fait qu'il soit humble (que je qualifierais plutôt d'acceptation
de la contrainte à l'écriture) le rend bien et moi le rpétentieux de
service totalement maléfique ? Et encore une fois le bien mal a-t'il une pace
dans la raison ?
sache que tout potache exulte quand il arrive
à montrer que la question est mal posée ou ambiguë. C'est le point de
départ de la sacro-sainte problématisation.
Et alors ? Encore une fois, c'est un jugement complètement à coté de la
plaque d'un raisonnemetn correct.
D'autre part il est stupide de "mal" (au niveau du sens) poser une question
pour faire souffrir inutilement les neuronnes des élèves, c'est du sadisme
et d'une prétention suppérieure à la mienne de la part du prof. Ou d'une
stupiditée à toute épreuve. Il est donc le pire mal d'après tes
justifications par jugement.
Maintenant vu que tu as l'aired'avoir eut du mal à comprendre les fonctions
logique que je balance au petit bonheur la chance, de ma compréhention, je
vais y aller plus doucement.
Je me demande comment on pourrait poser plus
mal cette question.
En quoi souligner le mot question peut affiner mon point de vue de recherche
?
Parce que pour moi le sujet n'est qu'une question, avec un grand noumbre de
sous entendu (pas toujours), et une question n'est qu'une question. De plus
une question nécessite une réponse.
Pour répondre je recherche donc à comprendre quelle est la fonction logique
(=axiome logique) qui la détermine.
Je détermine une sujet logique "la raison" qu'il faudra comprendre ou
délimiter, et l'axiome de questionnement "A quoi sert" qu'il faudra appliquer
au sujet.
Pour l'instant c'est simple.
Personnellement comme je n'aime pas délimiter un sujet par la force brute
(l'énumération totale), j'essaye de trouver un moyen logique plus efficasse
et plus rapide, plus joli du point de vu du raisonnement.
J'ai donc cherché à trouver le sujet logique dans la fonction de
questionnement de questionnement.
Or en utilisant un axiome logique/axiome de questionnement/etc on utilise ce
qu'on appelle sa logique.
Je généralise sa logique à
la logique pour peu que les
utilisation de la logique soient assez primaire et donc que tout le monde a
les même et qu'il puisse être créée une logique commune.
Puis en suite je me rend compte que bizarement la logique et la raison ne sont
quand même pas loin d'être des synomimes, la raison est la logique
appliquée/due à l'esprit humain.
Enfin je remet tout le question en place.
On utilise donc la raison pour juger d'elle
même, c'est con.
On remarque que pour trouver une solution à ce problème on fait ce qu'on
pourrait apparenter en mathématique à une résolution d'une équation
différentielle. Mathématiquement cette résolution n'est pas aisée à
mettre en eouvre et au dessus d'un certain nombre de termes différentiels
elle devient même irrésoluble totalement.
C'est pour ça que je dis que cette question est particulièremetn mal posée
pour des Lycéen, c'est déjà dur pour eux de résoudre mathématiquement
alors philosophiquement n'en parlons pas, on ne sait pas comment traduire
"intégrer un rapport d'une notion" en philosophie.
Et pour l'instant c'est effectivement tout ce que l'on peu dire de cette
question. Je suis déjà assez fatigué pour aujourd'hui pour me lancer dans
une conceptualisation d'une importance pareille. D'autant plus que le
résultat n'aura aucune importance par rapport à la méthode, ce n'est pas
pour me déplaire, mais j'aime bien les carrotes quand même.
C'est déprimant, de voir, d'entendre, de sentir et de comprendre pour se
heuter encore et encore à un réactionnisme primaire même pas pensé par
leur auteurs.
De moi pour moi : Oui je me la pète, mais est-ce réellement pour le néant ?
Espoir.
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Mandos
Actif


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Posté le: Dim Nov 04, 2007 20:27 pm Sujet du message:
Bon, pour éviter une inflation insupportable de la taille des posts, je vais
faire court.
Le nihilisme, c'est très bien, moi-même, je suis profondément nihiliste.
Mais toutes les questions ne se ramènent pas à la généalogie de la morale.
Donc, deux choses. D'une part, quand on demande "à quoi sert la raison", il
ne s'agit pas d'émettre un jugement à son sujet, simplement d'étudier son
fonctionnement sous la modalité du "service", et donc, de délimiter les
résultats qu'on peut légitimement obtenir grâce à elle, qu'ils soient
théoriques ou pratiques, et d'autre part, les fins externes auxquelles elle
peut servir (d'où un usage politique de la raison, la question "à quoi" se
trouvant imbriquée avec la question "à qui"), sans chercher à juger de la
bonté de ceux qui s'en servent. D'autre part, ce qui m'insupporte dans ton
propos, ce n'est pas qu'il prêcherait je ne sais quel "mal", c'est simplement
son absence de pertinence. S'il s'agit de produire une dissertation, il est
ridicule de monter sur ses grands chevaux, de proclamer le néant du bien et
du mal en martelant des idoles qui ne sont convoquées en rien par la question
posée. Du reste, tu ne fais, dans toute ton argumentation, que convoquer des
jugements de valeur. Tu remplaces juste le mot "mal" par le mot "stupide", et
le tour est joué, en définitive, ce qui ressort, c'est que l'humanité se
divise en deux catégories, toi et les cons. Après la frontière bien/mal, il
faudrait peut-être songer à faire sauter cette dernière séparation...
P-S : au fait, tu devrais éviter de recourir à des analogies mathématiques
éculées là où, franchement, leur existence est plus rhétorique qu'autre
chose.
Dernière édition par Mandos le Lun Nov 05, 2007 23:50 pm; édité 1 fois
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Ozimandias
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Mandos
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Posté le: Dim Nov 04, 2007 23:05 pm Sujet du message:
Ozimandias a
écrit: |
Mais c'est vrai, c'est une équation différentielle ! Enfin bon ce n'est
peut-être pas très parlant pour tout le monde ... |
A mon avis, ça me parle tout autant qu'à toi, mais en l'occurrence, ça me
paraît mal placé. Pour ce qui est du reste de ton message, je ne crois pas
qu'il soit utile de me répéter. Si ça peut te procurer du plaisir, continue
comme ça.
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