urgent explication de texte...


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maevaoo
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Message Posté le: Mer Oct 03, 2007 20:04 pm    Sujet du message: urgent explication de texte...
Mais nous l'avons vu dés le debut de ce livre, a peine commencons-nous a philosopher que même les choses de tous les jours nous mettent sur la piste
problémes quir restent finalement sans réponses. Sans doute la philosophie ne nous apprend pas de facon certaine la vraie solution aux doutes qu'elle
fait surgir : mais elle suggére les possibilités nouvelles, elle élargit le champ de la pensée en la libérant de la tyrannie de l' habitude.
Elle amoindrit notre impression de savoir ce que sont les choses, mais elle augmente notre connaissance de ce qu'elles pourraient être, elle
le dogmatisme arrogant de ceux qui n'ont jamais traversé le doute liberateur, et elle maintient vivante notre faculté d'emerveillement
en nous montrant les choses familiéres sous un jour inattendu .


les mots, expression importante sont soulignés, mais j'ai du mal a bein les expliquer.. quand je fais l'explication, j'ai l'impression de faire de la paraphrase:

[b]Russell nous témoigne dans ce passage, les bienfaits de la philosohie. En effet, nous ne sommes plus prisonnier a partir du moment ou nous philosophons,
nous devenons libre et curieu. tout ce qui ce raporte a notre quotidien, au choses familiere nous pose des questions, nous fait prendre conscience que le
monde est compliqué et difficil a epxliquer. pourquoi le froid? pouquoi nous parlons? comment faisons nous pour reflechir? des questions qui reste parfois
sans réponses, mais qui nous pousse de plus en plus a réflechir, c'est comme une seconde jeunesse un cerveau mou comme un enfant, qui se pose de multitudes
de questions, on traverse "le doute liberateur" c'est à die l'état naturel de l'esprit qui s'interroge, caractérisé à des degrés differents soit par
l'incertitude concernant l'existance, ou al réalisation d'un fait , soit par la suspension du jugement entre deux propositions contradictoires qui prouve
que l'on s'est trompé. C'est ce qui nous sort de la "tyrannie de lhabitude", de cette domination excessive a réagir toujours pareil, mais aussi à sortir de
ce "dogmatisme arrogant", c'est à dire de la disposition d'esprit d'une personne a affirmer de facon péremptoire ou à admettre comme vrai certaines idées sans
discussions, coe le dogmatisme invétéré des juristes, mais aussi a se détacher de cet "impression de savoir" fausse?? personne ne sait, toulemonde suggere ou
propose diverses hypothese qui n'ont parfois aucun avenir. pour pourvoir evoluer il faut pouvoir remettre en question certaines chose dites vraies, pour
en apprendre d'avantage,( apr exemple, on pensai que la terre était plate, quand galilé a parlé de terre ronde perso^inne ne l'a cru, et il a meme du etre
puni, mais il s'st révélé qu'il avait raison) La philosophie nous offre en faite le pouvoir de resté enfant, de gardé en vie notre pouvoir spécial de subir
de l'enthousiasme, de ladmiration, c'est a dire, notre "faculté d'émmerveillment" sur des objet meme familier on les voit dune autre facon,............;; PAS FINI
djidane33
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Message Posté le: Jeu Oct 18, 2007 19:48 pm    Sujet du message:
Sujet à bloquer !!! un de plus, un de moins, on compte plus... Même si je suis presque tout neuf, je trouve ça... lourd !
artmaniak
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Message Posté le: Jeu Oct 18, 2007 22:02 pm    Sujet du message:
lol oui c'est vrai il on pas encore compris!

si on les enlevaient de la liste il ne resterait plus grand chose!

c'est pas lourd, c'est un geste deserpéré de jeuneau!!!!
djidane33
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Message Posté le: Ven Oct 19, 2007 11:38 am    Sujet du message:
mdrr oh que oui !
darkdays
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Message Posté le: Dim Oct 21, 2007 12:56 pm    Sujet du message:
Non. Ce sujet n'est pas à bloquer. Si vous aviez lu, plutôt que de faire une chasse aux sorcières.
maevaoo demande un coup de pouce: le dernier et long paragraphe est de sa main.
Je rappelle que les milices sont interdites sur le forum.
Utopique
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Message Posté le: Lun Oct 22, 2007 10:31 am    Sujet du message:
Ce que tu dis dans ton commentaire est juste Maevaoo mais il faut aller un peu plus loin dans l'analyse Smile
Quand Russell parle des doutes que la philosophie fait surgir en nous, il faut prendre ce mot également dans le contexte de la phrase, l'auteur nous explique donc non seulement que philosopher génère en nous des questions sur nous-même et sur le monde qui nous entoure, mais aussi et surtout que la philosophie n'est pas un savoir donné, elle ne délivre pas de vérité dogmatique mais engendre des questions, des incertitudes, des incompréhensions. La philosophie n'apporte pas de réponse toute faite mais elle donne des esquisse de réponses ou engendre des questions nouvelles.
En ce sens, elle libère l'esprit de la tyrannie de l'habitude puisqu'elle offre des possibilités nouvelles en permettant au sujet de jetter sur le monde un regard nouveau et non plus asservi par le joug de la méconnaissance et de la vérité dogmatique. De plus, nous pouvons aussi entendre par "tyrannie de l'habitude" le simulacre de sécurité dans lequel s'illusionnent les âmes ne remettant pas en question leur propre connaissance par l'exercice de la philosophie qui n'est pas le passage d'une sécurité (certes éprise du joug de la méconnaissance, mais une sécurité tout de même) vers une autre mais l'acceptation d'une connaissance en mouvement, d'une quête perpétuelle, d'un aller vers un incertain.
L'impression de savoir s'en trouve amoindri puisqu'il est mis à mal par l'expérience du doute (que nous pourrions alors définir comme un questionnement sur la véracité du savoir, mais un questionnement libérateur, c'est-à-dire révèlant le sujet même à sa propre liberté), la philosophie élève en quelque sorte l'âme de la croyance vers la connaissance véritable (opposition croire/savoir).
La faculté d'émerveillement est par ailleurs maintenue puisque la philosophie nous permet de découvrir le monde sous un jour nouveau, débarassé des illusions pernicieuses et des vérités fallacieuses. C'est d'ailleurs en ce sens que Socrate disait : "Connais-toi toi-même et tu connaîtras le monde et les Dieux". En accédant à la connaissance de soi en acceptant le doute libérateur, nous pouvons apprendre à approcher les choses dans leur essence et non seulement dans leur apparence (c'est le sens de la dernière phrase évoquant les "choses familières" redécouvertes alors avec les yeux d'un nouveau-né s'éveillant au monde).

Bonne chance pour la rédaction de ton devoir Wink

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