| Hevallofave Petit nouveau
 
  
 
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                Je n'écris pas beaucoup, mais bon voici un poème que j'ai écris aujourd'hui
sur l'heure du souper au travail (pas finit encore). Dîte moi ce que vous en
pensez. Posté le: Lun Oct 01, 2007 14:00 pm    Sujet du message: Le château de glace 
 
 Je suis seigneur de ce château, ornée d’une grande tour,
 En vain, seul, j’attends le jour,
 Que quelqu’un d’assez courageux
 Affronte la froideur de ces lieux,
 Pour qu’enfin mes chaînes soient brisées,
 Et que je recouvre la liberté
 
 Mais ce jour est très loin,
 Et le temps qui nous sépare semble sans fin,
 Il me reste toujours la possibilité,
 De cette haute tour, de sauter,
 Et même si au sol, j’irais m’écraser
 Au moins je ne serais plus enfermé
 
 Voilà que du haut de ma geôle, j’aperçois des gens,
 Des hommes, des femmes, des vieillards, des enfants,
 Je cris à l’aide, je m’époumone,
 Sans jamais pour autant attirer l’attention de ces personnes,
 Et tandis que ma vois se brise au loin,
 Tous poursuivent leur chemin
 
 Jour après jour, nuit après nuit,
 Je reste seul, sans faire de bruit
 Seul dans ma prison, seul dans la vie,
 Mon cœur est si gros,
 Que je voudrais mourir,
 Qu’au moins on me tue,
 Que je cesse de souffrir
 
 J’entends des pas, j’entends du bruit,
 Quelqu’un s’approche dans la nuit,
 La lumière d’une torche éclaire le château,
 Et le montre sous un jour nouveau
 Mais un coup de vent, réduit la flamme à néant
 Et l’être se sauve, sous le regard tordu de la tour
 
 Car sans torche, pas de clarté,
 Et la forteresse retourne dans l’obscurité,
 Retourne à un état triste, sombre et désolée
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		| oeildenuit Suprème actif
 
  
  
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                Le fond est sympa , on sent de la rancoeur , de la peine , de la solitude . Posté le: Lun Oct 01, 2007 15:53 pm    Sujet du message: 
 Par contre le rythme est vraiment a revoir dans les trois premières strophes
.
 
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		| Ozimandias Banni(e)
 
 
 
 
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		| oeildenuit Suprème actif
 
  
  
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                 Posté le: Lun Oct 01, 2007 21:08 pm    Sujet du message:  	  | Citation: |  	  | Le
rythme à revoir ?  Il n'y a aucune formulation lourde pourtant. Rimes
présentes malgrès la difficultée de ce registre assez narratif pour un
poème. 
 
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 Le rythme n'est pas une question de rimes ...le rythme c'est la musicalité ,
les vers qui s'enchainent entre eux plus ou moins bien ...
 
 Là , des vers courts cotoient des vers plus long et c'est genant lors de la
lecture .
 
 ++
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		| Ozimandias Banni(e)
 
 
 
 
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                Il est toujours des gens pour croire qu'une expression claire et nette et un
fait commun, or c'est presque entièrement faut on commence toujours par
écrire et s'exprimer comme une buse. Posté le: Mar Oct 02, 2007 20:09 pm    Sujet du message: 
 Je me cite (un vieux truc) :
 Et du vide créé ils ne se rendent
compte,
 L'alexandrin a une bonne mètrique et donc apparament un bon rythme, mais
c'est absolument imprononcable en comparaison du texte précédent.
 
 Des vers long qui cotoyent des vers courts ? Mdr. Voici mon poème préféré,
juges en par toi même. La prochaine fois avance des arguments plus porteurs
que ça, c'est un conseil.
   
 J’ai tant rêvé de toi
 J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité
 
 Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette
bouche la naissance de la voix qui m’est chère ?
 
 J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étreignant ton ombre, à
se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps,
peut-être.
 
 Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis
des jours et des années, je deviendrais une ombre sans doute.
 
 Ô  balances sentimentales.
 
 J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je
m’éveille. Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la
vie et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je
pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et
le premier front venus.
 
 J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme
qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi
les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se
promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie.
 
 Robert DESNOS Corps et Biens (1930)
 
 
 
 Note à Benêt : Ais-je dis que le rythme venait des rimes ...
 Je pourrais t'expliquer qu'un point termine une phrase et que le sens de la
suivante peut-être diamètralement opposée à la précédente dans
l'intention évidente de te casser.
 Mais je me contenterais de demander si avant d'écrire il faut savoir lire.
Alors ?
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		| oeildenuit Suprème actif
 
  
  
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                Trois erreurs dans ce que tu viens de dire , Monsieur je sais tout . Posté le: Mar Oct 02, 2007 20:26 pm    Sujet du message: 
 L'alexandrin que tu as ecrit est parfaitement prononcable a conditions ,
evidemment , de savoir lire des alexandrins ( ce que je sais est très
difficile ) .
 
 Le poème que tu montre en exemple est un parfait contre-exemple puisque c'est
un poème en prose ( ais-je besoin de te l'expliquer ? ) alors que celui du
chateau de glace n'en est pas ...
 
 Si le Benet c'est moi je te prierai d'arreter .
 
 Pour me casser , il faudrai auparavant que tu apprene a t'exprimer .
 
 Et oui , effectivement , tu as confondu Rytme et rimes mais j'ai pas besoin de
te citer , il te suffit de regarder ton ancien message .
 
 Je tiens preciser que si ton post n'avait pas été si mechant et
injustifiable , je n'aurai pas repondu de la sorte .
 
 Bonne continuation .
 
 ++
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		| Ozimandias Banni(e)
 
 
 
 
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                 Posté le: Jeu Oct 04, 2007 13:00 pm    Sujet du message:   
 Tien tien un être aussi borné que moi :
 
 Le rythme à revoir ?  Il n'y a aucune
formulation lourde pourtant. Rimes
présentes malgrès la difficultée de ce registre assez narratif pour un
poème.
 Tu vois j'ai mis le point en gras, ça veux dire que je change de phrase et à
priorit dans ce cas que je change aussi de sujet. En effet on peu changer de
sujet sans sauter de ligne, ça existe.
 
 L'alexandrin que tu as ecrit est parfaitement
prononcable a conditions , evidemment , de savoir lire des alexandrins ( ce
que je sais est très difficile ) .
 Justement c'est un alexandrin écris en alexendrin, et non pas un alexandrin
bien écrit comme une phrase normale, qui se lirait normalement. Comme le
texte du Château de glace.
 
 Le poème que tu montre en exemple est un
parfait contre-exemple puisque c'est un poème en prose
 Contre exemple à quoi ?
 A un alexandrin oui, mais pas du tout au Château de glace si tu sait faire de
la mètrique rien qu'en regardant ces vers tu verais qu'il n'y en a pas.
 Et comme il n'y a pas de mètrique, c'est donc de la prose.
 Mon exemple est donc en prose pour un poème en prose, et alors ? Où se
trouve la contradiction ?
 
 Pour me casser , il faudrai auparavant que tu
apprene a t'exprimer.
 Je viens de le faire trois fois de suite, car tu n'as pas sût me lire
correctement. Et ce n'est pas parce que tu n'as pas sût personnellement y
parvenir que d'autre n'y arriverons pas.
 Je tiens à préciser que si ton post n'avait
pas été si méchant et injustifiable [etc].
 La casse c'est forcément de la méchancetée d'après toi ? N'est-ce pas une
ironie fracassante plutôt ?
 Quand à la justification je suis près à l'apporter, d'ailleur je viens de
le faire.
 
 
 Bonne continuation.
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		| oeildenuit Suprème actif
 
  
  
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                Je ne suis absolument pas d'accord avec toi mais ca ne semble pas très
important puisque de toute facon , je suis autant borné que toi donc la
discussion serai impossible ( et je suis , evidemment , convaincu d'avoir
raison ) Posté le: Jeu Oct 04, 2007 18:22 pm    Sujet du message: 
 La casse , ca n'existe pas , ce n'est pas un mot , c'est une expression sortie
d'un film minable .
 
 Le sujet est clos , je ne souhaite plus m'entretenir avec toi ; aussi merci de
ne plus repondre et ainsi d'arreter de polluer ce post .
 
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