Asurah
De passage
Inscrit le: 09 Sep 2007
Messages: 20
|
Posté le: Lun Sep 10, 2007 20:39 pm Sujet du message: La triste muse
Ah ! La triste muse
Qu'elle m'inspire,
Et je l'abhorre,
Fuyant son image et son nom.
Sur son affreux visage est figée
Cette détestable ironie,
Qui se rie des hurlements d’agonie,
Et des pleurs affligés.
Et pourtant cette immondice,
Fut et reste l’éternel complice,
De charognards ravis,
Découvrant les présents du séculaire ami.
Ah ! La triste muse
Avec qu’elle ruse,
Elle enclos ma camisole d’aliéné.
|
Asurah
De passage
Inscrit le: 09 Sep 2007
Messages: 20
|
Posté le: Jeu Sep 13, 2007 17:49 pm Sujet du message:
Aucune reactions ?
|
Sernard
De passage
Inscrit le: 17 Juil 2007
Messages: 99
|
Posté le: Jeu Sep 13, 2007 17:54 pm Sujet du message:
si, si,.... je réflichis....
|
Asurah
De passage
Inscrit le: 09 Sep 2007
Messages: 20
|
Posté le: Ven Sep 14, 2007 19:12 pm Sujet du message:
Et alors .. ?
|
Ozimandias
Banni(e)
Inscrit le: 21 Aoû 2006
Messages: 750
Localisation: Rien.
|
Posté le: Ven Sep 14, 2007 19:28 pm Sujet du message:
La triste muse c'est le gritche ?
Ce point de vue sur la muse est interressant, mais ne reste pas très clair au
long du poème, par exemple la juxtaposition :
De charognards ravis,
avec
Découvrant les présents du séculaire ami.
Donne une impression d'inintelligibilité, d'un part des charognards non
clairement identifés (les lecteurs ? les éditeurs ^^ ? les troubles du
poètes ?) et ensuite on retombe sur un ami toujours pas bien identifié
(est-ce la muse qui offre l'inspiration ? ou autre chose ? ) dans confusion
totale entre le "bénéfique" et le "maléfique" c'est joli mais ça ressemble
à rien.
CCL : C'est beau (subjectif non ?), touffu même, mais il y a trop de sens à
chaque vers pour un suivit même partiel du poème.
Finalement j'ai l'impression que c'est plus un bordel bien écrit qu'une
réelle ouverture de sens sur un thème ou plusieurs.
|
Asurah
De passage
Inscrit le: 09 Sep 2007
Messages: 20
|
Posté le: Sam Sep 15, 2007 06:56 am Sujet du message:
Heu tu es le seul de mes lecteurs qui n'identifie pas la mort dans ce
poème...
|