Histoire d'un parachutiste francais


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cartigny
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Message Posté le: Mer Aoû 29, 2007 15:40 pm    Sujet du message: Histoire d'un parachutiste francais
HISTOIRE D’UN PARACHUTISTE
FRANÇAIS



Aurélien Cartigny (2007)



Notre histoire commence le 5 juin 1944, à l'aérodrome de Bournemouth, en Angleterre. Un jeune parachutiste français vient d'être affecté à la 101e Division 506e régiment d'infanterie parachutiste easy company. Il s'agit du sergent Aurélien. Bel homme, châtain aux yeux verts, aux traits du visage fins, une bonne carrure, au regard doux et agressif à la fois. Il a pour ordre de mission d'être parachuté sur Hiesville, le 6 juin tôt le matin, et de libéré le chemin pour les blindés.
« - D'après nos renseignements, il ne devrait y avoir que très peu de résistance, communiqua le général Maxwell Taylor. »
19h40, bureau de la XVe armée allemande, un soldat intercepte un message :
« - ...blessent mon cœur d'une langueur monotone. »
Auparavant, la BBC avait envoyé « Les sanglots longs des violons de l'automne... », ce qui signifie que le débarquement approchait.
Au même moment, Aurélien et ses hommes prirent leur bardas. Celui-ci était composé d'une carabine US M1A1 avec une pochette de deux chargeurs sur le manche métallique, d'un casque M1C avec gilet et bande de tissu de camouflage, un poignard M3, une machette, le parachute plus un de réserve, peu utile car ils ne vont pas sauter haut, une boussole de poignée, un pansement individuel situé sur le filet du casque, un gilet de sauvetage, qui ne peut se retirer qu'après avoir retirer les trois harnais de sécurité, cela sous le tir ennemis, une veste de treillis HBT, un pantalon moutarde en laine, un ceinturon-cartouchière M-1923, un bidon avec sa housse Havresac M-1928, une pelle droite à manche droit TM-1920,
« - deux brodequins de cuire avec guêtres en toile fermés par lacets, vive la charge, grogna Aurélien. »
Après s'être équipé de ce lourd bardas, ils grimpèrent dans les Douglas C47. Ils arriveront sur la cible à 1h50 le lendemain. Les C47 quittent le sol dans des conditions météorologiques mauvaises. Le vol sera long, le médecin leur a fourni des cachets contre le mal de l'air, assommant certains soldats. La peur se lis sur leur visage, certains arrive à le caché, d'autres n'en ont pas la force.
Aurélien se leva et alla voir les deux pilotes du C47.
« - Cinq minutes et nous serons à la DZ ''C'' Hiesville, préparez –vous, hurla l'un des pilotes. »
1h49, le voyant rouge s'allume. A peine au dessus du continent que des avions sont déjà en feu, en vrille avec une aile ou queue en moins. L'avion est secoué par la Flak allemande. Le ciel est illuminé par celle-ci. Aurélien observe l'appareil voisin tombé en flamme vers le sol, des soldats sautent en feu. Un autres obus atteint le fuselage de l'appareil, deux soldats sont tués et trois autres grièvement blessés. Les autres soldats se relèvent, attachent leur harnais au câble qui parcourait la longueur interieur de l'appareil, câble permettant l'ouverture du parachute dès le saut, et Aurélien se met face à la porte. Soudain, un obus atteint le moteur droit de l'appareil, tuant au passage le co-pilote du C47, Aurélien est projeté en dehors de l'avion ainsi que le portier, qui lui tombe sans parachute. Aurélien n'a cessé de le regardé durant sa chute, horrifier. Parachute ouvert, il regarde par dessus et voit quelques un de ses camarades qui ont réussi à sauter. Tous regardent en bas, et aperçoivent des soldats allemands courant dans tous les sens . Quelques allemands les avaient aperçu et tirèrent dessus. Jack, un camarade d'Aurélien fut tuer, sans défense. Tous tombèrent dans un champs à un kilomètre de Sainte-Marie-du-Mont. Ils se regroupèrent avec quelques paras de la 82e. Les largages étaient complètement ratés. Arrivés aux portes de la ville, ils analysèrent la situation avant de passer à l'attaque. A première vue, peu de résistance. Ils lancèrent alors l'attaque. A peine entrée qu'ils subissent des feux nourries. Trois MG42 les attendaient dans trois ruelles. Ils coururent ce mettre à l'abris, quand un obus vint détruire un pan du mur d'une maison voisine. Des briques et des bouts de verre furent projeter dans tous les sens, le capitaine prit un éclat en plein visage, il était mort. L'obus venait d'un panzer camoufler par une botte de paille. Les soldats allemands appartenaient au 709e division d'infanterie, sous les ordres du Feldmarschall Erwin Rommel . Aurélien et ses hommes allèrent se réfugié à l'église, qui formait un magnifique point de tir. Un homme alla se poster au sommet de l'église, les autres à chaque ouverture donnant sur l'extérieur. Le panzer vint se poster face à l'église, les soldats allemands de même . Soudain le panzer anéanti le cloché de l'église, le première classe James y resta.
« - Tire ta roquette bordel, ou on va tous y rester, hurla le sergent Aurélien à un de ses soldats. »
Mais le soldat était prit par la peur, ce fut alors qu'Aurélien du faire le travail lui même, il prit la roquette, visa le tank, mais au moment de tiré, il reçut une balle à l'épaule. Aurélien tomba à la renverse, prit d'une grande douleur. Mais prit sur son courage et sa peur, se releva, reprit la roquette et tira en plein dans le canon. Un coup de chance, le tank explosa, tuant son équipage . Les allemands voyant cette attaque, prirent la fuite. Les paras avaient réussi à reprendre la ville après quatre longues heures d'affrontements meurtriers.
5h30, de nouveaux parachutistes arrivent au village. S'était des hommes de la compagnie d'Aurélien. Il purent reformer la compagnie, avec les hommes de la 82e.
8h00, des coups de canon de la marine et des allemands retentirent au loin. Le débarquement commence sur Utah. Des moteurs retentissent tout en s'approchant de leur position.
« - Des B25, lancez les fumigènes vite, hurla Aurélien. »
Les bombardiers survolèrent la position sans bombarder. La route était désormais ouverte pour les blindées américains.
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Message Posté le: Sam Sep 01, 2007 10:49 am    Sujet du message:
Attendant l'arrivée des troupes, les paras font face à quelques contres attaques des allemands, dont la plus importante eut lieu quelques minutes avant l'arriver des Sherman et de l'infanterie alliée . Une cinquantaine de soldats et deux tigres enfoncèrent la défense. Aurélien et deux de ses camarades de la 101e allèrent se réfugier dans une des maisons aux abords de l'église. Ses autres camarades de la 101e et de la 82e se dispersèrent un peu partout, surpris par la contre attaque allemande. L'un des tigres pilonna l'épicerie où s'étaient réfugiés son ami Erik et cinq paras de la 82e. Ils n'ont eu aucune chance, la maison s'effondra avant même qu'ils eurent eu le temps d'en sortir, et même si le temps avait été avec eu, ils auraient été fusillés sur place par les soldats de la Waffen SS. C'est alors qu'un des américains sortit de la maison voisine avec la roquette, il eut à peine le temps de viser, qu'il s'écroula au sol, dans une marre de sang, une balle entre les deux yeux. La roquette partie quand même, s'écrasant sur le blindage du char, restant indemne. C'est alors que trois Sherman Apparaissent dans l'angle de la rue voisine. Ils pilonnèrent les deux tigres, qu'ils détruirent du troisième coups. Ensuite Ils pilonnèrent l'infanterie allemandes, c'est alors que l'infanterie US se jeta à son tour dans l'arène, suivit ensuite par Aurélien et ses paras. Les soldats allemands tombèrent un à un, environ dix soldats allemands pour un soldat américain. Le Sherman nommé Nancy tira son obus sur la maison où quatre allemands tentèrent de se réfugier, ceux-ci furent projeter en arrière à cause du souffle de l'explosion et des projectiles. Les SS, lassés du massacre, se rendirent alors aux américains. Ils furent tous réunis sur la place principale de Hiesville. D'un élan de furie, Aurélien vint s'approcher d'un soldat SS, et commença à le frapper à mort.
« - Sa s'est pour Jack, celui là pour Erik. Fils de p*** de SS, ... »
Aurélien fut arrêter par le commandant Jack Priggs, qui dirige la 6th armoured corp. Après quelques remontrances et compréhensions, le commandant finit par lui donner les ordres.
« - Vous devez aller prendre St-Côme-du-Mont sergent, et tenir jusqu'à l'arriver des renforts. Puis après vous avez pour mission Carentan. Cet objectif là est crucial, c'est ici qu'aura lieu la jonction entre les troupes d'Utah et d'Omaha. »
Aurélien rassembla ses hommes et ceux de la 82e, et leur expliqua la mission. Ils prirent leur affaires et partirent. Sur le chemin, ils vont de visions d'horreurs en visions d'horreurs. Des dizaines de soldats morts sur les bords de la route, pour certains, ils leur manquaient un membre, d'autres criblés de balles. Plus de la moitiés des soldats allemands morts n'étaient que des adolescents, pour la plupart, on ne leur donnait à peine dix huit ans. Trois heures plus tard, ils arrivèrent enfin à St-Côme-du-Mont. Le village semblait paisible, mais le sergent n'allait pas commettre deux fois la même erreur.
« - Voilà, on va faire trois équipes. Je vais mener la première, toi Bob la seconde, tu prendra Jackie, Gordon ; George et Mike, et toi Boris tu va mener la troisième, et tu prendra avec toi José, Jo, Edgar et François, les autres avec moi. Vous voyez la mairie là bas ?
- Oui, dirent-ils d'une même voix.
-Rendez vous ici. Groupe 2 à droite, groupe 3 à gauche et mon groupe on passe en face. Bonne chance. »
Sur ces paroles, les trois groupes partirent de leur côté, le but de la manœuvre était d'encerclé l'ennemi. Pour une fois, il n'y avait pas de panzer, mais des mortiers. Ils lancèrent l'attaquent en même temps afin de désordonné les allemands, choses faites, ils ne savaient plus où tiré, les allemands tiraient du mortier dans tout les sens, tirant même sur ses propres positions. Bob et son groupe s'emparèrent de la première position de mortier, et Boris du second. Tous deux couvrirent Aurélien dans sa perçée. Pensant que tout les allemands étaient morts, ils se réunirent sur la place face à la mairie. Soudain, Jackie s'effondra au sol. Une balle venait de lui percer le crâne, éclaboussant Aurélien et Mike qui était à côté. Le bruit ne survint qu'après.
« - Il est dans le cloché de l'église là bas. Gordon tu viens avec moi, hurla Aurélien. »
La pluie s'était mise à tombée. Aurélien et Gordon coururent jusqu'à l'entrée de l'église, sans ce faire repérer. Ils entrèrent en silence dans celle-ci, et montèrent jusqu'au sommet. Là, ils aperçurent dans la petite ouverture de la porte, le soldat allemand. Celui-ci parlait à petite voix :
« - Sie werden mich nie schmutzig amerikanisch finden.
-Qu'est ce qu'il a dit sergent?
-Il a dit, vous ne me trouverez jamais sales américains, mais ce qu'il ne sait pas, c'est que moi je suis français, et que je l'est trouvé. »
Il passa le bout de son fusil part l'ouverture de la porte, et lui tira une balle dans la tête. Gordon alla ensuite se poster a la fenêtre, et fit signe à ses camarades que le champs était libre. Mike alla installer le drapeau américain et français sur le pylône, à la place du drapeau nazi. Une demi heure plus tard, ils entendirent des bruits de chenilles sur la route. Ils reconnaissent ce bruit.
« - Ce sont des Sherman, cria Edgar. »
En effet, s'était le groupe mené par le groupe du commandant Priggs.
« - Bonjour sergent, les ordre ont un peu changé depuis notre dernière rencontre. Vous restez ici pour vous reposez une journée et installé un périmètre de sécurité. »
Après une bonne nuit de sommeil, ils repartirent, cette fois-ci pour Carentan, point crucial pour les alliés. Pour une fois, ils ne seraient pas seul, ils sont accompagnés des Sherman, et de la 90e division d'infanterie et du 2nd Rangers. Face à eux, d'après les informations de la résistance, 6e régiment parachutiste et quelques soldats du 352e division d'infanterie, commandés par le général F.Dollmann.
8 juin 1944, 12h15, Carentan, Aurélien, le commandant Priggs, le capitaine Grap de la 90e et le major Klart du 2nd Rangers se sont réunis pour l'attaque de la ville. L'attaque se fera ainsi, groupe 1 les hommes d'Aurélien passeront par la D913, route de St-Côme avec les Sherman du commandant Priggs, groupe 2 la 90e, elle passera par la route d'Auvers, et le groupe 3 le 2nd Rangers par la route de Périers (voir plan). Le groupe 1 se heurte violemment à des MG 42 et roquette allemandes. Seul les MG42 ont pu être anéanties par les Sherman, mais ceux-ci doivent reculer pour leur sécurité. Aurélien et ses hommes se retrouvent seul, ils avancent difficilement. Le groupe 3 se heurte aux panzer allemands, ils se réfugient dans les ruelles voisines, coincés face aux allemands, chaque minute leur est comptées. Le groupe 2 quand à lui bas en retraite, il a perdu beaucoup trop d'homme, les mortiers en faisaient de la viande à canon, dans cette rue, ils ont perdu la moitié de leur effectif. Les paras quand à eux réussissent à s'enfoncer dans les lignes allemande. Soudain les mortiers se mettent en action dans leur secteur, un obus vient éclater la poste où Aurélien passait au même moment en face. Il fut projeter sur le mur d'en face, enfonçant une porte, il restera la inconscient, l'épaule déboîtée sous la violence du choc. Edgar, Mike et Gordon, et le reste de l'équipe prirent la position des deux MG42. Ils ont un parfait angle de tir sur les mortier allemands, qu'ils anéantirent d'un tire groupé. Quand au même moment, deux panzer font leur apparition, visent en leur direction, les paras courent, mais les panzer eurent le temps de tirer sur la position, tuant deux homme de la 82e et Mike. Soudain d'autres tirent se font entendre, ceux sont ce des Sherman de Priggs, qui détruirent au premier tire le premier panzer. Le second riposta, et détruisa le Sherman Metz. Le Sherman de Priggs tira à son tour, ratant la cible, l'obus atterrissant sur l'hôtel de ville. C'est alors qu' Aurélien apparu à la grande surprise de tous, les balles ricochèrent tout autour de lui, rien ne semble l'arrêter, il grimpe sur le panzer sous le regard étonné des soldats ennemis qui ont cessé de tirer. Il sortit une grenade de sa ceinture, ouvrit la trappe du char, la lâcha, sauta, courut, et le panzer explosa dans un fracas assourdissant. Les allemands reprirent alors le combats, se faisant massacrer par les soldats US. C'est alors qu'un soldat allemand se rendit, puis un deuxième, puis l'ensemble, Carentan fut libéré dans le sang et la destruction.
« - Installons le QG à l'hôtel de ville, dit Priggs.
-Il faut s'attendre à ce que les allemands lancent des offensives sur la ville, ils savent que s'est un point stratégique pour nous, grogna Aurélien. »
Les américains ont pu profiter de l'accalmie pour se reposer un maximum. En effet, le lendemain, le reste de la 352e DI, avec la 915e DI allemandes attaquèrent en force Carentan. Avant de lancé l'assaut dans la ville, les allemands tirèrent des salves de mortiers. Trois Sherman furent détruits, deux GI tués et quatre autres blessés. C'est seulement ensuite que l'assaut eut lieu. Trois panzerschrek se cachèrent derrière des gravats. En même temps, les allemands prennent d'assaut les positions américaines. Il y a des corps partout, Des roquette viennent s'écraser sur les positions alliées, il y a des débris qui volent de tous côtés, fauchant au passage des GI.
« - Appelez l'avion commandant, hurla Aurélien. On se fait massacrer ici . »
Le commandant prit en compte cet insolence. L'avion n'arriva que dix minutes plus tard. Les spitfire criblèrent les positions allemandes de balles. Les allemands tombèrent un à un, puis finirent pas abandonner la ville. Carentan était désormais réellement libérer.
10 juin 1944, Aurélien et ses hommes sont envoyés à Oradour sur Glane, où la résistance fait part d'un mouvement de soldats SS dans la ville. Arrivés sur les lieux, ils découvrent avec horreur, effroi, que les habitants du village ont été massacrer. Six cents quarante deux personnes au total, retrouvées à la grange de Bouchoule, à la grange de Milord, au garage de Desourteaux, à l'atelier de Beaulieu, au magasin de Denis et à l'église. Femmes, enfants, hommes et vieillards ont été massacrer sans exception. Un génocide, Aurélien, dans cette vision macabre, se jura de venger la mémoire de ses compatriotes massacrés. Mais qu'est ce qui a pousser les SS à commettre cette atrocité ? Ils mirent trois jours pour enterrer les morts. Aurélien du faire un rapport sur ce qui s'était passé ces jours là.
25 juin 1944, la easy company est reformée aux portes de Caen, où les affrontements ont toujours lieu. Le soir de leur arrivé, ils rentrent dans Caen. L'ordre est de libérer la ville et faire des prisonniers.
« - La ville est en ruine, faites donc attention aux snipers, grogna Aurélien. Nous allons passer par le pont de Vaucelles, puis nous allons remonter la rue de St Jean jusqu'au château, qui est notre objectif. Mais attention c'est aussi leur défense la mieux garder de la ville, leur place forte, sa va être très dur. »
En effet dans la cour, il y avait tout une batterie de mortiers, des panther G, tigre E, de la 21e Panzer Division, des obus anti char de 37mm et 50mm pak, obus explosif de 37mm, la flak de 20mm contre les bombardements. De plus, les soldats étaient très bien équipés, avec des pistolet mitrailleur MP40 et MP44, mitrailleuse MG34, grenades, fusil walther 41 et FG42, et les redoutables panzerfaust 60, et panzerschreck 54. Reprendre le château sera très compliquer, les allemands sont mieux équipés et protégés. L'assaut aura lieu le lendemain, après un bon repos.
28 juin 1944, voilà deux jours que les combats ont lieu au château. Les bombardiers B-17G ont bombardé à deux reprises le château, mais sans résultat, les habitations alentours sont en ruines. Quand aux bombardiers allemands BF-110C, ont quand à eux bombardé les positions américaines, faisant dix morts. Les mortiers allemands harcèlent sans arrêt les positions alliées. Ce n'est que dans la nuit qu'ils lancèrent un nouvel assaut sur le fort. Ils ont réussi à reprendre l'église Saint-Georges, une partie des remparts, où des allemands tentent des incursions, et le logis des gouverneurs, mais aussi la terrasse de l'artillerie. Les allemands possèdent toujours l'échiquier, le donjon, construit en 1120 par Henry 1er Beauclerc, où est concentré toute leur puissance de feu, et la porte des champs. Aurélien et ses hommes lancent, accompagné des hommes commandés par le capitaine Saint-Clerc, l'assaut sur l'échiquier. La prise est facile et sans pertes de leur côté.
29 juin 1944, les troupes américaines lancent l'ultime assaut contre le donjon. De violents échanges de tirent ont lieu. Edgar et Mike furent tuer par un obus de mortier allemands. Ils gisaient là au sol, les boyaux à l'air, amputés de leur membres inférieurs. Les MG42 tirent leurs balles dans tous les côtés de la cours, fauchant de nombreux soldats. Arrivé au donjon, des combats aux corps à corps se font, des soldats se font égorger, poignarder, ... Les combats sanglants durèrent trois heures, et les allemands finirent par se rendrent. Caen fut libérer le 9 juillet 1944, après de violents bombardements. La easy company resta sur les lieux une journée, afin de se reposée après les efforts qu'elle avait fourni dans ce combat féroce.
Désormais, les alliés font route sur Rouen., où ils seront rejoint par la 2e DB du général Leclerc. Arrivé à Rouen, la easy company subit déjà des tires nourris des allemands . Si Rouen tombe, les alliés auront la route libre jusqu'à Paris. Ce n'est qu'en début de nuit qui la 2e DB arrive à l'aide des parachutistes, qui s'étaient mis à l'abris derrière une bute, dans un champs à l'entrée de la ville. Jaque fut tuer à l'entrée de la ville. Son corps gisait là, inerte. Il fut faucher par un obus de mortier.
« - Bonjour mon général, dit Aurélien dans une joie immense.
-Bonjour Sergent. Les ordre sont clair, libérer Rouen et foncer sur Paris au plus vite. La résistance là bas ne tiendra pas éternellement.
-Oui mon général. »
Ils entrèrent dans la ville par la rue Louis Blanc. Il y eut quelques échanges de tires, vite mis au silence par la easy. Ils continuèrent jusqu'au Collège Jean Lecanuet. Là, les allemands étaient nombreux. La 2e DB due intervenir sur les snipers. Entrée dans le collège, c'est des combats de couloirs qui eurent lieux. Aurélien entra dans le couloir, celui-ci semblait calme, éclairer par la faible lueur du soleil pénétrant au travers des petites fenêtres. Soudain un craquement survint derrière lui, il se retourna d'un geste violent, mais personne. Il continua à traverser le couloir d'un pas léger. Puis un autre craquement, le sergent se cacha derrière un casier pour sauta sur le soldat allemand. Des bruit de pas se rapprochèrent de lui, un homme apparus devant son regard. Aurélien sauta dessus, commença à le frapper puis s'arrête net.
« - Joshua c'est toi ?
-Qui veux tu que ce soit d'autre sergent ? »
Tous deux s'enfoncèrent dans les ténèbres du couloir, tournèrent à gauche dans un autre couloir tout aussi sombre que le précédent, mais avec plus de casier. Soudain un tire retenti dans le couloir, Joshua s'écrasa dans un vacarme sur le sol, frapper par la mort. Un deuxième tire retenti dans le couloir, touchant la cuisse d'Aurélien, roulant derrière un casier.
L'allemand continua de lui tirer dessus. Aurélien riposte, l'allemand est caché quatre casier plus loin. Aurélien profita de la recharge de l'allemand pour s'avancer de deux casier, l'allemand ne s'en était pas aperçut. Il continua de tirer sur l'ancienne position, rechargea, quand Aurélien plongea au sol, et tira trois coups sur le soldats, qui tomba sec au sol, laissant coulé son sang sur le sol du couloir. C'est alors qu'apparut au bout du couloir trois de ses camarades, qui furent attirer par les échanges de tires. Ils virent le sergent blesser à la cuisse, et tentèrent de le soigner mais Aurélien refusa.
« - Il faut reprendre ce collège messieurs, ma blessure n'est pas importante. »
Le collège fut repris que le lendemain, après de violents échanges de tire dans les sous sols, et le sniper, qui fut tuer par un obus d'un sherman.
« - Maintenant le centre ville, grogna le sergent. Le mieux défendu. »
En effet, le centre ville, malgré avoir été bombardé à plusieurs reprise est toujours défendu avec ardeur de la part des allemands. En effet les points stratégiques sont le lycée Pierre Corneille, et l'hôtel de ville. Les alliés commencèrent par encercler ces deux points stratégiques. Mais l'hôtel de ville était très bien garder, tout comme le lycée. La 2e DB du général Leclerc et la Able company sont chargées de prendre l'hôtel de ville, quand à la easy company, elle a la mauvaise chance de devoir prendre le lycée seule. A leur arrivé sur l'objectif, tout semblait calme, inoccupé. Ils pénétrèrent alors dans la grande cours du lycée, où quelques caisses et vieux véhicules en pannes y étaient abandonnés.
« - Nous allons inspecter l'ensemble du lycée,... »
Aurélien fut arrêter dans ses paroles, quand un sniper vint tirer sur Boby, sont second. Il s'effondra sur le sol, heurtant une caisse qu'il brisa. Aurélien et Miles reçurent des éclaboussures de sang sur leur visage.
« - Planquez-vous ! Hurla Aurélien en s'essuyant le visage du sang de son camarade. Miles et Richards vous venez avec moi, on va déloger ce fumier. Robert, James prenez cinq hommes avec vous et contourner par la droite, Jean prend six hommes avec toi et fonce dans le hall en face, le reste vous nous couvrez, ordonna Aurélien. »
Aurélien et son équipe contourna par la gauche, et entra dans l'accueil. Ils pénétrèrent ensuite dans le couloir en face, vide, avec plein de papiers, tables et casiers jonchant le sol. Un soldat allemands surgit aussitôt d'une des classes. Ils se cachèrent derrière une salle voisine, pour surprendre le soldat. Passé devant la porte, Aurélien attrapa le soldat, et l'égorgea. Ils continuèrent ensuite leur chemin a travers ce couloir qui leur sembla interminable. Lorsque tout à coup :
« - Beachtung, Beachtung, ist diese keine Übung, Amerikaner sind im Bereich des Gebäudes eingedrungen, hurla un allemand dans le haut parleur.
-Il a dit quoi sergent ?
-Que nous allons avoir de la compagnie, alors soyez vigilent. »
En effet, trois allemands les surprises le couloir suivant. Quatre autres vint les prendre par derrière, ils étaient désormais encerclés. Des échange de coup de feu durèrent pendant dix minutes.
« - Economisez vos munitions, ordonna le sergent Aurélien. »
Ils restèrent la toute la nuit avant de reprendre les échanges de feu.
Le lendemain matin, ils reprirent le combat dans le couloir. Les balle ricochaient de tous les côtés, Aurélien se concentra, visa un allemand, et l'acheva d'une balle dans la tête, éclaboussant le mur blanc du couloir. Dans la panique, Richards se leva, cible facile pour les allemands, qui le tuèrent. Il s'effondra sur le sol, criblé de balles. Son corps baigna dans une marre de sang, il gisait la mort, mort si jeune, il n'avait que dix neuf ans. En voyant cela, Miles sortit une grenades, dégoupilla, la lança sur la position allemande qui était en arrière d'eux. Celle-ci explosa, brisant les vitres, portes, ..., et propulsant les allemands dans les murs. Un endroit en moins à surveiller. Soudain, des rafales de balles passent au dessus de leur tête, s'était le groupe de James qui venait d'arrivé. Les allemands se trouvaient encercler.
« - Rendez-vous, vous pouvez encore vous en sortir.
-Va te faire foutre sale américain.
-Je suis français.
-Pareil, tu n'est qu'une vermine.
-Ok, Tuez les. »
Les soldats s'avancèrent tout en tirant, quand leur chargeur était vide, ils se planquèrent derrière les casiers, les allemands ripostaient. Cela ainsi de suite, jusqu'à ce qu'Aurélien fut arriver au niveau de la salle de classe. Là, les allemands tirèrent, le sergent dégoupilla une grenade, la lâcha dans la classe, les allemands dans l'action n'avaient rien vu du geste. La grenade explosa. Les vitres de la classe volèrent en éclats, des allemands furent projeter à travers les vitres extérieur, un pan du mur s'effondra sous la violence de l'explosion. Le couloir fut remplit de poussières volatiles, quelques rayon purent pénétrer à travers celle-ci. Aurélien, Miles, et James pénétrèrent dans ce qui restait de la salle. Ils virent les soldats allemands, éparpillés dans la salle, baignant dans le sang et les débris. Le lycée était enfin repris des mains des SS. Ils campèrent dans le lycée jusqu'à l'arrivée de la 2e DB du général Leclerc, et de la Able company. Ceux-ci arrivèrent en début d'après midi, avec un effectif réduit pour la Able. Rouen était enfin libre.
« - En route pour Paris messieurs, chantonna le général Leclerc. »
24 août 1944, la Easy, Able et la 2e DB entre dans le bois de boulogne. S'était un magnifique endroit, pas encore rattraper par la guerre.
« - On va installer le QG ici, ordonna le général. »
Aurélien alla prendre contact avec un résistant nommé Jeannou. Le sergent ne revint que trois heures plus tard, avec un rapport de la situation. Les allemands occupaient plus que le Ie, concentrés sur l'hôtel de ville. Paris était déjà presque libérer grâce au travail de la résistance. La Easy est chargée de prendre l'hôtel de ville par la place Vendôme, La Able par les jardin des tuileries, et la 2e DB par Notre Dame. Arrivée face à l'hôtel de ville, la Easy aperçue une garde importante. Ils attendirent le premier tire du Sherman pour attaquer. Sa y est, le tire fut mis en plein dans le petit cloche. Celui-ci explosa, et vint s'écraser sur une cabane de garde. L'alarme retentie dans la cour. La Easy prend refuge derrière les fontaines, et tire sur les position allemandes. Miles vint s'écrouler en pleine course, il avait prit une balle dans le tibia droit. A peine relevé, qu'il fut mitraillé par une MG42 postée à l'entrée du bâtiment. James lança une grenade sur cette position, qui propulsa les allemands en bas des escaliers. Les chars de la deuxième DB tirèrent leurs obus sur le bâtiment, qui explosa de toute part. Soudain, Aurélien reçut par radio un message disant qu'il pouvait pénétrer dans le bâtiment. La Easy fonça à vive allure à travers les débris volant de toute part, le morts. Aurélien arriva dans le hall, suivit de James, Robert. Aurélien courut à travers le couloir, quand il bascula soudain en arrière. Il reçut un coups de crosse dans la poitrine. Un allemand sauta sur lui. Le corps à corps commence. L'allemand sorti sa baïonnette, Aurélien repousse de toute ses forces, mais l'allemand était plus fort que lui. La lame commence a touché son front, quand un coup de feu retenti. L'allemand vint s'effondrer sur le sergent, qui repoussa aussitôt son corps. S'était Robert qui venait de le sauver. Aurélien se leva, remercia le soldat, et continua sa route au travers du couloir. Dès qu'un allemand sortait sa tête dans le couloir, Aurélien se déchaîna dessus. Soudain, un obus vint éclater le mur en face du sergent. Celui-ci vola en arrière, tombant dans le débris. Aurélien gisait là inconscient. L'obus venait d'un des Sherman. Robert fit signe au Sherman de cesser les tires. Ils transportèrent le sergent au dehors, à l'abris derrière les Sherman, l'hôtel de ville sera assiégé toute la nuit. Les échange de feu redoublèrent quand Aurélien fut en état de reprendre le combat. Les Sherman anéantissent l'aile droit du bâtiment.
25 Août 1944, au petit matin, un groupe de soldats SS sortent du bâtiment avec un drapeau blanc. Un peu plus tard dans la journée, le sergent apprend par sa radio que Paris est libérer.
« - Sergent félicitation, vous avez gagnez vos billet de retour en Angleterre, fit le général Leclerc »
26 août 1944, la Easy company vient d'arrivée à Pool, en Angleterre. C'est leur première permission depuis qu'ils sont en France. Ils en profitent tous, à l'exception d'Aurélien. Il n'avait personne à allez voir, pas de fiancée, rien, la solitude pèse sur lui. Il resta enfermer dans sa tente tout le long de sa permission.
1er Septembre 1944, la Easy est renvoyée au combat, aux portes de la Belgique. La neige tombe abondamment, et le froid est omniprésent.
2 Septembre 1944, la easy vient s'installer dans la forêt face à Bastogne. Les soldats creusent des trou pour se protéger du froid, et des tires de mortiers, qui pilonnent avec précision leur position.
« - Continuez de creuser vos trou, et camouflez là le mieux possible, ordonna Aurélien en passant auprès de ses hommes. »
Tous les soldats creusèrent leur trou, sur une profondeur d'environ un mètre soixante. Il le camouflèrent avec des branches de sapin et un peu de neige. Lorsque soudain, de nouveaux tire de mortiers. Des sapins explosèrent au dessus de leur tête. Aurélien fut prit au piège dans son trou, un sapin vint boucher son refuge. Il avait froid, il n'avait sur lui que son uniforme, et un léger manteau. Il s'assit là, mis sa tête entre ses genoux, et commença à faire quelques prièrent, pour qu'un obus ne vienne pas finir sa course dans son trou. Ses hommes et ceux de la Able coururent dans leur trou, quand Freddy fut projeter en l'air. Un obus était tombé à côté de lui. Il retomba quatre mètres plus loin, mort. Les tires cessèrent, Aurélien cria :
« - Restez dans vos trou. »
En effet les tires reprirent dans la seconde qui suivi. Ceux-ci cessèrent dix minutes plus tard. La position américaine était dévastée. Aurélien sortit avec difficulté de son trou. Il fit le tour, et tomba sur Freddy, étendu la, dans la neige rougie par le sang de son corps, amputé de ses deux jambes, boyaux à l'air.
« - Un médecin vite, hurla le sergent. »
Mais le il ne put rien faire dans l'état dans lequel il était. Aurélien couru au poste avancé, pour connaître les mouvements ennemis.
« - Ils se rassemblent, ils nous préparent une attaque, dit Fred. »
Aurélien organisa alors une attaque. Elle aura lieu à 18h00 tapante.
2 Septembre 1944, 18h00, la Easy traverse sous le feu ennemi le petit champs. Les mortier allemands tentent de freine l'attaque, mais sans succès. Une petite cabane en bois explosa, où avait prit refuge trois soldats américain, sous les yeux du sergent, qui tomba à plat ventre dans la terre enneigée. Des débris vinrent s'éparpillés un peu partout autour de lui, dont un bras d'un de ses collègues. Il se releva aussitôt, et courut se mettre à l'abris derrière un muret. Les balles ricochèrent de tout les côtés, des paras tombèrent un à un. Un vrai désastre, le sergent ordonna alors le replis dans les bois. Aurélien observa de nouveau les mouvements ennemis dans son poste avancé.
3 Septembre 1944, 5h30, en représailles de l'attaque menée par les américains, les allemands postèrent des panzer face au bois. Le pilonnage commença aussitôt. Tout les paras s'enterrèrent dans leur trou. Les sapin volèrent en éclats, propulsant leur débris sur les soldats américains. S'était l'enfer, des obus explosèrent dans tous les sens, dans des trous, propulsant des soldats en l'air, en faisant des cadavres amputés de tous membres. La neige était devenu rouge par endroit, des corps gisaient ici et là. Soudain les tirent cessèrent. On entendait des cris, des hurlements de souffrance partout dans la position américaine. Les allemands pilonnèrent leur position ainsi toutes les heures.
4 Septembre 1944, la Easy et la Able reçoivent la Fox en aide, plus cinq Sherman. Une nouvelle offensive est prévue à 10h15 sur Bastogne.

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