cartigny
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Posté le: Sam Aoû 25, 2007 08:38 am Sujet du message: mon premier ecrit
Alors voici mon tout prémier écrit, je vais vous le poster par chapitre,
pour éviter une surcharge de lecture et de mots^^.
LES DISPARUS DU VOL 405
Aurélien Cartigny
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Chapitre I
4 juin 2006, 17h25, 150 personnes embarquèrent sur le vol 405 Paris-San
Diego, de la compagnie Facilitie Airlines. Ce fut par ce jour ensoleillé que
tout commença. Les passagers ne se doutèrent de rien, restant dans la
monotonie de leur vie, ne faisant pas attention au moindre détail, ni à la
moindre personnes.
« -Bonjour et bienvenu à bord du vol 405 de la compagnie Facilitie Airlines.
Nous sommes le mardi 4 juin 2006, il est 17h25, et la température extérieur
est de 30°, dit le commandant de l'appareil. Je vous souhaite un agréable
vol, à bientôt, conclut-il. »
Le commandant n'était autre que Aurélien Cartchov, ancien commando d'élite
français, reconvertit dans le trafic d'armes international. L'avion quitte la
piste et se morfond dans le ciel d'un bleu parfait. 21h30, l'avion entre dans
une violente perturbation orageuse, de nombreux éclaires percutent le
fuselage de l'appareil. Quand soudain, le voyant rouge du moteur gauche
s'allume avec un bruit sonore inquiétant. Celui-ci était en feu, touché par
un éclaire. C'est la panique dans le cockpit, le commandant passa alors un
message aux passagers en leur disant que ce n'est qu'un simple orages. Quand
ils entendirent un grand boum. Le réservoir du moteur gauche venait de
prendre feu, arrachant l'aile, et endommageant le fuselage. Les passagers
commencèrent à hurler de panique. L'avion part en vrille vers le sol de plus
en plus vite, dans un bruit de frottement avec l'air terrifiant. C'est alors
que le drame survint. L'avion vint percuter un arbre, puis un autre, et encore
un autre, les tonneaux s'enchaînes les uns après les autres, cela jusqu'à
l'arrêt totale de l'avion entièrement détruit. L'avion avait parcouru cinq
kilomètres en lâchant toute sa cargaison sur le chemin. Ce fut alors le
grand noir pour tous.
5 juin 2006, 8h12, Cartchov reprend conscience. Il est allonger au sol,
l'épaule déboîté, et des côtes brisées. Il se relève difficilement, et
aperçoit son commandant en second gisant inconscient deux mètres plus loin.
Ils sont entourés de débris et de corps déchiquetés lors du crash.
Cartchov s'avance alors vers son collègue et le secoua pour le réveillé.
Celui-ci se réveille en hurlant violemment, visiblement toucher par la
violence du crash.
« -Que s'est-il passé ? dis-t-il dans un ton de souffrance.
-On s'est crasher Guillaume. »
Sur ces mots, Aurélien fond en larmes. Guillaume Martinov le prit dans les
bras, et lui dit qu'ils s'en sortiront, que les secours vont les retrouvé.
Après l'avoir réconforté, Martinov lui dit que pour le moment, il était
crucial de retrouvé des rescapés, et de réunir les corps. Ils partent alors
à leur recherche, et s'apercevaient qu'il y avait de nombreux débris et
corps tout autour d'eux, s'était une vision d'horreur, indescriptible avec
des mots tant cela était horrible. Soudain, ils entendirent quelqu'un appelé
à l'aide, ils coururent au milieu des débris en direction de l'appel. C'est
alors que Cartchov découvrit avec stupeur un homme perché en haut d'un
arbre. L'homme interrogea le commandant.
« -C'est vous le pilote de l'avion ? Hurla-t-il.
-Oui monsieur.
-Que s'est-il passé ? Hurla le rescapé.
-Visiblement on s'est crasher, on a perdu un réacteur et une aile durant
l'orage. »
Sur ces paroles, le commandant aida l'homme à descendre de son perchoir.
Celui-ci était grand, environ 1m80, faisait bien 75kg, brun, belle homme.
Cartchov lui trouva un air de ressemblance avec son second. En effet, Martinov
était bel et bien son frère jumeau. Sur le chemin du retour, ils trouvèrent
une arme, Cartchov fit l'air surpris pour cacher son travail.
Il l'a ramassa, et Jean Martinov, frère de Guillaume, lui a demandé si il
savait s'en servir. C'est alors qu'Aurélien lui apprend qu'avant d'être
pilote de ligne, il fut commando d'élite dans l'armée.
2 mai 2005, Cartchov, capitaine d'une section d'intervention d'élite,homme
assez fort de carrure, châtain, de taille normal, a la barbe mal entretenue,
est en mission. Son objectif est d'anéantir les gardes et de prendre
possession de l'entrepôt de munitions. Il s'élance vers l'entrepôt, fait le
tour, et tue un des gardes. Quand tout à coups, un des gardes le frappe par
derrière, le capitaine tombe au sol, le garde se jette alors sur lui et un
combat au corps à corps commence. Le garde était bien plus fort que lui, au
regard menaçant, au coups d'une puissance phénoménale. Le capitaine sort
son couteau et lui plante droit dans la cuisse. Celui-ci s'effondre, c'est au
tour d'Aurélien de passer dessus et l'égorge. Ils ont réussi à prendre
l'entrepôt. Le colonel vient alors les félicité, de leur bravoure et de
leur réussite.
De retour, il découvre Martinov avec de nouveaux rescapés en train de
construire un refuge.
« -Hé Martinov, je ne s'avait pas que tu avait une frère jumeaux !! »
En entendant le commandant, Guillaume se retourna, et le vit avec son frère
jumeau. Il s'écroula au sol, et se mit à pleurer. Il avait cru l'avoir perdu
à jamais. Aurélien les laissa ensemble, pour leur retrouvaille, et entra
dans la cabane. Celle-ci était plutôt grande, spacieuse, mais au confort
primitif. Des planches servaient de matelas, d'autres planches pour faire des
bancs, et un siège de l'avion en guise de chaise.
Voilà deux jours qu'ils sont sur l'île, et les secours toujours pas
arrivés. Guillaume, après s'être levé, étendit un grand tapis sur une
corde, pour avoir de l'ombre. C'est au tour d'Aurélien Cartchov de se levé,
s'est alors qu'il aperçoit G.Martinov en train de monté une table. Celui-ci
alla l'aider. A midi, heure astronomique, un nouveau survivant survint au
campement. Il était de taille moyenne, corpulence normale, aux habits
déchirés, et bléssé à la jambe. Cartchov alla l'aider a s'asseoir. Jean
Martinov et Guillaume Martinov l'interrogeâmes pour s'avoir s'il avait
rencontré d'autres rescapés du crash. Celui-ci leur répondit que non, mais
par contre qu'il connaît l'immensité de l'île.
« -Toi l'espagnol, tu iras avec Aurélien chassé. Vous les anglais, vous
resterez au camp au cas ou, et moi j'irai pêcher, dit Guillaume. »
L'espagnol se fabriqua une lance, tout en regardant Cartchov manipuler avec
élégance une baïonnette, et son arme. Par un élan impulsif, Cartchov cria
à l'espagnol que s'était le moment d'y aller. A 11h45, ils arrivèrent tous
deux en haut de la montagne, et découvrirent l'immensité de l'île, s'était
comme l'avait décrit le rescapé. Aurélien admire cette étendue d'herbes et
de forets, quand soudain, il s'effondre en larme :
« -On est perdu, perdu, dit Aurélien en larme. »
Aurélien se relève, et entre dans les hautes herbes avec l'espagnol. Ils
espèrent trouver du gibiers pour manger. Soudain Aurélien entend un bruit et
stop l'espagnol. Cartchov cours brusquement dans la forêt, laissant sur place
l'espagnol. Dix minutes plus tard, Il revient avec un sanglier. L'espagnol
reste bouche bé. Ils rentrèrent au camps pour le dégustes, lorsqu'ils
entendirent un drôle de bruit dans la forêt. Ils continuèrent leur chemin
sans se poser de questions, pensant que ce n'est qu'un autre sanglier.
13h12, fin du repas, Guillaume félicite Aurélien pour cet excellent repas.
Le sanglier a été très bien préparer. Sur ce ils partirent sur une
conversation longue. 20h58, fatigués de cette journée, ils allèrent tous ce
coucher. Les frère Martinov dans la cabane, le reste éparpiller un peu
partout autour.
Voilà quatre jours qu'ils sont sur l'île. L'ambiance du groupe était bonne
malgré les circonstances. A 11h52, heures astronomique, Cartchov part à la
chasse seul cet fois-ci, insouciant. Il repère des traces, qui ressemble a un
animal sur pattes, genre singe. Il suit les traces lorsque tout à coups,
quelques choses l'attire dans un recoins. Il hurle de douleur, tire, mais rien
n'y fait, la bête l'attaque toujours. Trois quart d'heure plus tard, il
rentra au camps, et s'effondra. Il ne se réveillera que le lendemain. A son
réveil, Guillaume le questionna sur ce qui s'était passé. C'est alors
qu'ils décidèrent de faire une expédition sur les lieux, pour trouver des
traces de cette chose. C'est alors, qu'arrivé sur les lieux, ils découvrent
ce monstre, qui porte une sorte de cape bleu vert, penché vers l'avant. On ne
distingue pas son visage, mais on entend un sifflement dans sa respiration,
sifflement qui laisse échappé de la peur, de la violence. Celui-ci entra
ensuite dans une caverne sombre, laissant supposé une entrée vers le monde
souterrain. Ils se rapprochèrent pour jeter un œil, lorsqu'ils entendirent
des cris, hurlements venant de la grotte. C'était comme une sorte de rituelle
que ces monstres faisaient. Ils purent comprendre Argnool, et Hachka
Toukjaoua, qui signifie '' mort aux visiteurs'' dans une langue très
ancienne, à peine connue. De peur, ils rentrèrent au campement, et
racontèrent ce qui s'était passé à ceux qui étaient resté aux camp.
Après avoir raconté cette expédition, Aurélien Cartchov décide de
repousser les peurs de tous, et relance une nouvelle expédition. Curieux, il
désire d'en savoir plus sur ces Argnools, ces monstres. Par précaution,
celui-ci décide d'armer les rescapés volontaires pour l'expédition. Deux
heures après leur départ du campement, ils arrivèrent enfin en territoire
des Argnools.
« - Restons silencieux, ne faites aucun bruits ! dit à douce voix Aurélien
».
Lorsque soudain, ils entendent des hurlements en chœur . Ils se demandèrent
ce que cela pouvaient être. Après avoir analyser la situation, Cartchov
supposa que cela devait être un rituel. Cinq minutes s'écoulèrent, quand
leur chef sortit de la grotte. Celui-ci était suivie par un soldat armé
d'une lance deux fois plus grande que lui. Il s'arrête, et renifle, observe
dans tout les sens, sentant une présence inhabituelle. Il se tourna vers les
rescapés, et se met à courir vers eux, ils fuirent rapidement. Cartchov et
les frères Martinov s'arrêtèrent pour couvrir la fuite des survivants.
Arrivé au campement, ils racontèrent tout ce qui vient de ce dérouler et
les autres prirent peur. Tellement peur que l'un des rescapé vint à
s'évanouir. Il est 16h45, le soleil commence à ce coucher sur l'île,
Cartchov décide, avec l'aide de Guillaume, d'organiser la défense du
campement, postes avancés, distribution d'armes et de munitions. Les
rescapés ce demandent d'où viennent ces armes, mais Aurélien, de peur, ne
déclare rien. La distribution commence, chacun à son armes, munitions et
poste stratégique. Puis Aurélien explique l'art militaire, comme quoi un bon
soldat ne quitte jamais son arme, qu'il doit toujours être vigilent et prêt
a ce défendre. Il ordonne ensuite à un des rescapés d'aller brouiller leur
traces. A son retour, Cartchov organise des tours de gardes, afin d'avoir une
surveillance constante du campement.
17h58, Cartchov vérifie la garde, et les félicite au passage, pour avoir
retenus l'enseignement qu'il leur avait donné. Deux heures plus tard,
Aurélien prend la relève de Guillaume, et celui-ci lui fait un rapport
d'activité :
« - Rien à signaler Aurélien. Dit Guillaume d'une voix calme. »
Tout deux admirent le couché de soleil. Il était d'une grande beauté, le
plus beau qu'il n'est jamais vu, une couleur orangé magnifique, les rayon de
soleil les réconfortèrent, leur peur disparus à cette instant, pour
l'instant.
8 juillet 2006, il est 10h13, Aurélien organise un entraînement au tir, tout
les rescapés y ont droit. Certains tiren mieux que d'autres, et Cartchov
corrige leur erreur, leur montre la position à prendre pour ne pas ce
blesser,...Il leur montre aussi ce qu'est un bon tireur, comment tuer du
premier coup, il leur détail les différentes actions possibles avec une arme
au combat lointain ou rapproché. En même temps, il leur décrit la laideur
de ces monstres :
« - Bon j'ai décidé de vous les décrire. Leur visage est humain, mais vide
d'expression, ridé, avec par endroit la chair à vif. Ils n'ont pas de
chevelure, un corps squelettique, dit Aurélien dans un ton de dégoût . »
Soudain, un rescapé dit à Aurélien que les armes ne suffiront pas. Dans un
élan de colère, Cartchov sauta sur l'homme et le frappa à mort. Ils ont du
ce mettre à quatre pour le calmer. L'homme en ressort avec deux côtes
brisées, une fracture du nez et un traumatisme crânien.
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cartigny
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Posté le: Dim Aoû 26, 2007 09:01 am Sujet du message:
Chapitre II
Voilà un mois qu'ils sont sur l'île, et toujours aucune nouvelle des
secouristes. Tout les rescapés sont à leur poste, garde, chasse,...,
personnes ne s'attendaient à ce que les Argnools se fassent ressentir. C'est
alors qu'un de ces monstres pénètre dans la zone de garde alpha. Il
s'approche derrière un des gardes, l'attrape et l'emmène dans un buisson. Il
le tue très sauvagement, et rapidement afin que celui-ci ne donne pas
l'alerte. C'est alors qu'il lui tranche la gorge avec ses griffes lacérées,
puis lui enfonces de part et d'autre de son thorax. Entendant un second garde
arrivé, l'Argnool alla se caché dans un buisson voisin. C'est alors que le
garde découvre son ami, dans un état indescriptible, tant il a été
lacérer. En le voyant, le garde n'a pu ce retenir de vomir, puis dans son
élan de panique, il sonne l'alerte. C'est alors que l'Argnool se précipite
sur le garde, et le tue aussi sauvagement que le premier. En regardant le
corps inerte du second garde, l'Argnool hurla :
« - Hachka toukjaouaaaaaaaaaaa ! »
C'est alors qu'une dizaine, une trentaine d'Argnools se précipitèrent sur le
campement. Cependant, l'alerte n'a pu être entendue au campement. Aurélien
commença à s'endormir à son poste de garde, lorsque soudain, dans un
claquement de l'air, il sursauta. Il sortir de sa planque, observe les
alentours, lorsqu'il aperçoit au loin, dans le petit bois en contrebas, cinq
Argnools s'approchés du campement, armés de lances et de battes en chêne.
C'est alors que Cartchov donna l'alerte. Il sortit son arme, et lança des
rafales sur les Argnools. Seul un tomba mort au sol. C'est alors qu'il sortit
une grenade de sa poche et la lança sur le petit groupe d'Argnools qui
arrivaient en contre-bas. Les quatre furent tuer d'un coup. Guillaume
Martinov, réveillé par les tirent et l'explosion, sortit de tout hâte de la
cabane où il dormait. Il prit sa lance, chercha un Argnool. Lorsqu'il en
aperçut un, il la lança dans sa direction, et l'embrocha du premier coup. Un
des rescapé coura à son poste quand un des monstre sauta dessus, lui lança
un coups de bras dans le visage. Le rescapé fut projeter contre un arbre. A
peine debout, Il se fit égorger par les griffes acérées de son agresseur.
Désormais, le camp est encerclé par les monstres. L'assaut est alors lancé
contre celui-ci, la guerre est donnée. C'est alors dans un élan de rage que
Jean Martinov prit son arme et tira dans le tas Argnools qui se dirigeaient
sur eux. Tout le monde prit l'exemple. Un, puis deux, puis trois Argnools
tombèrent au sol, mais plus ils en tuaient, plus il en arrivait. Aurélien se
précipita sur la MG42 de son poste, et tira sur les Argnools qui arrivaient
de ce côté du camp. Plus loin dans les bois, le chef Argnool regardait ses
vaillants soldats attaqués le camps des rescapés. Il était grand, d'une
carrure digne d'un champion d'haltérophilie. C'est sur ce qu'il aperçut
Aurélien.
« - Hatfis qualitchaka ! Dit-il soudainement. »
Le chef Argnool avait dit : « Voilà leur meneur !». C'est à ce moment ou
il courut en sa direction. Arrivé à sa hauteur, il sauta sur Cartchov.
Heurtant le sol, celui-ci tira sur un des rescapés, qu'il tua par accident.
C'est alors qu'un combat au corps à corps commença. En même temps , un
Argnool arriva sur le flanc de Guillaume. Celui-ci rapide, lui offra un
chargeur entier. L'Argnool tomba mort au sol dans un bruit sourd. Après cette
attaque, il tenta de rejoindre son frère Jean, et se fit surprendre par
Cartchov, volant devant ses yeux, suivi par le chef Argnool. Il courut ensuite
sur l'arrière du camps où se trouvait son frère Jean. Tout d'eux
défendirent l'arrière du campement. Quand à Aurélien, il fut lancé contre
un arbre, n'ayant plus aucune force à donner contre le chef des Argnools. Il
s'écroula a terre, inconscient. C'est alors que le chef Argnool ordonna à
ses sujets de stopper l'attaque et de rentré à leur grotte, satisfait de
l'attaque qu'ils avaient mené contre les humains. Les voyant plus, Jean fit
à son frère :
«- Je crois que nous les avons tous eu ! Dit-il d'une voix tremblante de
fatigue. »
Aussitôt, un Argnool passé pour mort se leva derrière eux, mais un des
rescapé lui vida son chargeur. Surpris, Guillaume et Jean se retournèrent,
et aperçurent l'Argnool s'effondrer. Ils remercièrent tous deux le rescapé
qui les avait sauvé. Aurélien quand à lui reprit connaissance. Il se leva
difficilement et aperçut un Argnool mort. Par curiosité, il s'approcha en
rampant près de celui-ci, et souleva la cape. Et dans une vision d'horreur,
il se mit à vomir. Mais à quoi ce monstre pouvait-il bien ressembler ?
Est-ce vraiment si horrible que sa, ou a-t-il vomit , du à un traumatisme ?
Guillaume retrouve Cartchov, et le voit blessé, il a de multiples coupures au
visage et au torse, une côte brisée et l'épaule légèrement déboîtée.
Guillaume était quand à lui que légèrement blessé. Jean arrive à son
tour, et fait un rapport des pertes à Aurélien.
« - Nous avons tué une vingtaines de ces monstres, par contre, nous avons
perdu trop de monde, dit-il d'une voix tremblante.
-Combien ? Demande Aurélien d'une voix de fatigue et de souffrance.
-Vingt-cinq en tout et deux disparus. »
A cette réponse, Cartchov tomba brutalement inconscient. Il était beaucoup
trop fatigué pour faire quoi que ce soit de plus aujourd'hui. Guillaume et
Jean le portèrent jusqu'à la cabane, où il put se reposer. Les deux
disparus n'étaient autres que Jacks et Momo. Pendant ce temps, les rescapés
rebâtissent le campement fortement endommagé lors de l'attaque des Argnools.
Presque tout était à refaire, surtout les postes avancés et les postes des
MG42. Dix heures plus tard, Aurélien repris connaissance. Il remarqua qu'ils
avaient tous fait un excellent travail de reconstruction. Il alla tous les
félicités, et les réunit pour un briefing. Il leur a annoncé qu'il fallait
à tout prit retrouver Jacks et Momo. Ils organisèrent alors une mission de
sauvetage.
« - ''SAUVETAGE'', s'écria un des rescapés. Qu'elle drôle de situation,
nous devons sauver quelqu'un alors que s'est nous qui aurions besoin d'être
sauvé. »
Sur ces paroles, Cartchov et les frères Martinov ordonnèrent à trois
rescapés de les suivre pour cette mission. Pour éviter tout problème, il
empruntèrent un chemin parallèle à la forêt. Deux heures passèrent, quand
ils entendirent quelqu'un hurler dans la forêt. Les six coururent en
direction du hurlement. Jean fut le premier à arriver sur les lieux. Il
s'effondra à genoux en voyant le corps de Momo sans tête, et mutilé de
toute part. Les cinq autres arrivèrent ensuite, Aurélien s'approcha de Jean
et lui demande pourquoi il est à genoux.
« - Regarde pourquoi ! sanglota Jean. »
Aurélien regarda d'un air serein, calme et sans surprise. Guillaume alla
ensuite voir, et à la vue du corps, il couru aussitôt contre un arbre et
vomit le peu de nourriture qu'il avait avalé auparavant. Les trois autres
rescapés, étaient partis inspecter les alentours, et ne n'ont pas trouvé la
moindre trace des Argnools. Jacks était encore avec ces monstres. Etait-il
toujours vivant ?
« - Il faut rentrer, proclama Jean. Un orage arrive sur nous, et il a l'air
d'être méchant. »
L'orage avait duré deux jours, causant d'énormes dégâts au campement. Des
branches étaient tombées sur des postes de garde, les chemins étaient
parsemés de débris. Pendant que les rescapés et Jean s'activèrent a
remettre de l'ordre, Guillaume et Aurélien sont allés rendre un dernier
hommage aux rescapés mort durant la bataille face aux Argnools, et à Momo,
sauvagement exécuter.
« - In nome del padre, dei fili e dello spirito santo, amen, chantonnèrent
Guillaume et Aurélien d'une voix douce. »
Deux semaines s'écoulèrent sans revoir un seul Argnool, et toujours sans
nouvelle de Jacks. Certains pense qu'il n'y a plus d'espoir à ce faire pour
qu'il soit toujours vivant, d'autres pensent le contraire.
Cartchov et G.Martinov montaient la garde, en cette journée radieuse. Ils
humèrent l'odeur des fleurs, et commencèrent à s'endormirent. Quand tout à
coups, ils entendirent un craquement. Ils s'interrogèrent du regard, et
décidèrent d'aller jeter un œil. Arriver à la cabane, ils s'arrêtèrent
net, surpris, il découvrirent un Argnool à l'intérieur même du campement.
Celui-ci est entré ensuite dans la cabane, où était entreposé toute la
nourriture, et une chèvre trouvée sur l'île. L'Argnool mangea la chèvre.
Aurélien, énervé, tira une rafale sur la cabane. Jugeant que ce n'était
pas assez, il lança alors une grenade à l'intérieur même de la cabane.
Cartchov entra ensuite dans la cabane, et découvrit avec stupeur que
l'Argnool n'était point mort. C'est alors, que dans un élan de rage, qu'il
rechargea son arme et lui vida tout son chargeur. Il avait tué un énième
Argnool. Il ressortit de la cabane et ordonna à Guillaume et à Jean, qui
venait d'arriver, de brûlé le corps du monstre, et avait préciser de ne
surtout pas regarder à quoi cela ressemblait. Mais curieux, Guillaume avait
essayé, mais Cartchov, encore présent, l'en avait empêché. Une demi
journée s'écoula, quand les rescapés se rassemblèrent. Ils se posèrent
encore de nombreuses questions, telles que :
« - Depuis quand sommes nous là ? – A quoi ils ressemblent ? Car la
majorité d'entre eux ne les avaient encore pas vu . – Pourquoi ils veulent
nous exterminer ? »
Le lendemain, Jean proposa de retourner aux débris de l'avion, voir s'ils ne
pouvaient pas récupérer du matériel. C'est alors que Guillaume trouva une
radio. Elle était en mauvais état, et avait besoin de réparation pour
pouvoir fonctionner, mais les rescapés ne le savaient pas encore. Arriver au
campement, Jean et Aurélien essayèrent de la faire fonctionner, mais sans
résultat. La seul chose qu'ils reçoivent, ce n'est que des grésillements.
Ils savaient que seul Jacks était capable de la réparer, car celui-ci
n'était autre que la radio d'Aurélien, quand ils étaient commandos. Mais
Jacks était encore aux mains des Argnools. Vivant ou mort, personne ne le
savait. Ils entendirent ensuite un hélicoptère, s'était les secours enfin
sauver.
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la-romantique
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Posté le: Dim Aoû 26, 2007 18:28 pm Sujet du message:
j'aime bien
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cartigny
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Posté le: Dim Aoû 26, 2007 19:00 pm Sujet du message:
Si tu as des critiques je les accepte volontier, je sais déjà que j'ai des
problèmes avec l'orthographe. Sinon merci beaucoup, je devrai mettre la suite
d'ici à demain.
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Invité
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Posté le: Dim Aoû 26, 2007 19:05 pm Sujet du message:
T'as pas plus long?
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cartigny
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Posté le: Dim Aoû 26, 2007 19:34 pm Sujet du message:
Si si je poste tout f'un coup, ce que je fais pas car je sais que beaucoup on
la flemme de la lecture longue.
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la-romantique
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Posté le: Lun Aoû 27, 2007 15:34 pm Sujet du message:
[quote="cartigny"]Si tu as des critiques je les accepte volontier, je sais
déjà que j'ai des problèmes avec l'orthographe. Sinon merci beaucoup, je
devrai mettre la suite d'ici à demain.[/quote]
LOL C'est pas moi qui te dirais que tu fais des fautes !!!
Demande autres !!!
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cartigny
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Posté le: Mar Aoû 28, 2007 13:03 pm Sujet du message:
Chapitre III
Mais un petit groupe d'Argnools attaqua les secours, deux sauveteurs, un homme
de 31 ans, châtain aux yeux marrons, environ 1.80m et 80kg, et une femme,
20ans, charmante, brune aux yeux d'un bleu léger, qui reflètent sa beauté,
sa tendresse, d'environ 1.70m et 60kg, réussirent à s'échapper.
L'hélicoptère fut détruit, et les corps brûlés avec la carcasse de
l'engin. Visiblement les Argnools ne voulaient vraiment pas qu'il ne reste de
survivant sur l'île. En s'échappant, le secouriste perd de vue sa collègue.
Pris de panique, il courut encore plus vite, sans faire attention à ce qui
l'entoure, c'est alors qu'il rentra de plein fouet dans un arbre, il tombe
inconscient sur le sol. Cartchov, arrivait sur le lieu de l'atterrissage, et
aperçut avec horreur la scène de désolation. Il se mit alors à courir
après les traces de pas qu'il avait remarqué au sol. C'est alors qu'il vit
le secouriste gisant au sol inconscient. Il le ramassa, et le porta avec
difficulté jusqu'au campement. Là il l'allongea sur ce qui ressemble à un
lit. En commençant de sortir, il entendit le secouriste appeler un certaine
Alysson, certainement une des secouristes. C'est alors que Aurélien se mit à
la recherche de cette femme. Il ne la retrouva que une demi heure plus tard,
à deux kilomètres du campement, totalement déboussoler et prit d'une grande
peur. En le voyant, elle s'était mis a courir, Cartchov la suivi et la
rattrapa, la prit dans ses bras et tenta de la calmer, chose difficile, mais
qu'il avait réussit avec succès. Sur le chemin de retour, il lui explique ce
qui s'était déroulé à la suite du crash. Elle ne l'écoutait que peu, elle
le fixait de son air attendrissant, regardait son beau visage, malgré que mal
rasé, ses beaux yeux verts. Elle était tombée amoureux de lui. Gêner,
Aurélien changea de sujet :
« - Excusez moi, avec tout sa, j'ai oublié de me présenter. Je m'appel
Aurélien Cartchov, j'était le pilote de l'appareil.
-Ravissant, j'aime bien votre prénom, moi c'est Alysson Dubois, mais tu peux
m'appelé Al. »
Quand ils étaient arrivés au campement, Aurélien la laissa avec les autres
rescapés pour les présentation, pendant qu'il allait voir le secouriste qui
venait juste de reprendre connaissance. Elle ne le quitta pas des yeux.
Cartchov questionna le secouriste, et celui-ci lui raconta tout ce qui
s'était déroulé durant leur vole, et l'attaque des monstres.
« - Nous sommes tombés dans une violente tempête, et nous sommes arrivés
ici, avons vu votre signal, et là, ces choses nous ont attaqué, déclara le
secouriste. »
C'est alors qu'Aurélien, assisté de son second, Guillaume Martinov, leur
fait un briefing sur les Argnools, ce qu'ils sont, et ce dont ils sont
capable.
Le soir tomba sur l'île, Aurélien était allé méditer aux abords du
campement. Il se remémorait tout ce qui s'était déroulé depuis le crash,
des flashes lui reviennent, lorsque la jeune demoiselle vint s'asseoir à ses
côtés :
« - Vous à ton déjà dit que vous êtes ravissant Aurélien ?
- A vous êtes là, je ne vous avez pas vu ; Eu non on ne me l'avait jamais
dit, pourquoi ? Dit-il d'un air surpris.
- Car je vous trouve très ravissant. J'aime votre regard, doux et agressif à
la fois. »
Aurélien vira à l'écarlate, s'était la première fois qu'on lui faisait un
tel compliment.
« - Vous aussi vous êtes fort ravissante, dit-il d'une voix douce. »
Sur ces paroles, ils se turent, se regardèrent. Amoureuse, Alysson
l'embrassa. Elle avait pensé qu'il aurait refusé, repousser son geste, mais
au contraire, il répondit à son baiser. Lui aussi était tombé amoureux
dès le premier regard. Ils passèrent la nuit ensemble, à partager leur
histoire, leur affection qu'ils n'avaient jusque là pas puent donner à
quelqu'un. Le lendemain matin, ils arrivaient tout juste au campement, qu'ils
entendirent le hurlement du chef Argnool. Alysson lui demanda ce qui se passe,
et Aurélien lui expliqua que les Argnool les encercle. Soudain, au deuxième
cri, elle se glissa dans les bras de Cartchov, cherchant du réconfort vite
trouvé. Eric, le secouriste, se réveilla en sursaut, vit Guillaume assit à
côté de lui.
« - Que se passe-t-il ?
-Ils nous encerclent, nous sommes en guerre avec eux, dit-il avec une voix
tremblante. »
Aurélien avait emmené Alysson auprès d'Eric et de Jean dans la cabane, en
sécurité.
« - Je vais aller voir à quelle distance ils sont de nous, dit Aurélien.
Non n'y va pas s'il te plait, je ne veux pas te perdre, dit Alysson d'une voix
de peur, sous le regard étonné d'Eric, de Jean, et de Guillaume qui venait
d'arrivé.
-Ne t'inquiète pas, il ne m'arrivera rien, je te le promet, je t'aime.
- Hé bien ! Il a pas perdu de temps lui, murmura Eric. »
Aurélien prit son arme et courut dans la forêt. Les Argnools n'étaient
qu'à deux kilomètre du campement. Soudain, il entendit du bruit derrière
lui, se retourna, et se prit un violent coups dans le visage. S'était
Ariliat, le chef des Argnools.
« - Atchika nengouya ptako, dit le chef Argnool. »
Il venait de dire à Aurélien qu'il ne le tuerait pas cette fois ci. Ariliat
mis ses deux mains sur la tête d'Aurélien. Il se mit à genoux, et vit toute
la vie d'Ariliat défilée devant ses yeux. Celui-ci lui faisait comprendre ce
qu'ils leur étaient arrivé, comment ils sont devenus Argnools, et pourquoi
ils veulent les tuer. Après lui avoir montrer, Aurélien put repartir
raconter ce qu'il venait de voir.
Arriver au campement, Aurélien raconte tout ce que Ariliat lui avait
montré.
« - Ce n'était que des personnes comme nous, ils étaient en prison, prit de
force pour être emmener ici, où on leur a fait subir des manipulations
génétiques qui ont mal tourné. C'est pour cela qu'ils sont des monstres
aujourd'hui, et qu'ils veulent nous tuer, pour pouvoir se venger. »
Sur cette parole, tous les rescapés se turent, surpris de ce qu'ils venaient
d'entendre. Mais ce qu'ils ne savaient pas encore, c'est qu'autour d'eux, un
danger camouflé les guettait, enfin qui guettait plutôt leur meneur,
Cartchov.
Cela fait deux semaines qu'il n'y avait eu d'accrochages avec les Argnools.
Durant une magnifique journée, où le temps semblait s'être envolé avec la
brise matinale, les Argnools lancèrent un assaut sur le campement, un homme
vola au secours de Cartchov. Il était de taille normal, brun au yeux marron.
Tout deux firent reculer l'assaut, ils étaient sauvés pour le moment.
« - Mais qui êtes vous ? Je ne vous est jamais vu ici. Demande Aurélien.
»
Sur cette question l'homme rentra au campement . A peine Aurélien fut
arriver, qu'Alysson se jeta dans ses bras, durant l'attaque, elle s'était
réfugier dans la cabane. Ils allèrent se reposer tous deux dans la cabane.
Aurélien, tant amoureux d'Alysson, et elle de lui, se demandèrent d'une
même et unique voix :
« - Veux-tu m'épouser ? »
Parmi les rescapés, il y avait un curé. Le lendemain, la cérémonie eut
lieu. Tout les rescapés étaient présent, à l'exception de ce mystérieux
homme. Ils se dirent chacun « -OUI ». Désormais, ils étaient liés pour la
vie, pour le meilleur et pour le pire. A la fin de la cérémonie, ils
allèrent prendre du bonheur dans la cabane. Le lendemain, les rescapés
lancèrent une offensive contre le camps Argnool. Guillaume, Aurélien et sa
tendre épouse étaient restés en couverture. L'attaque fut un succès, il
n'y eut aucun mort côté des survivants. L'attaque avait aussi pour but de
récupérer Jacks, qui demeurait toujours introuvable. Sur le chemin du
retour, un Argnool sauta sur un des survivants, le plus fatigué. Celui-ci n'a
put opposé de résistance, et fut tué sans problème. Guillaume avait à
peine dégainé son arme que l'Argnool avait disparus dans la forêt. Ils
reprirent leur chemin, laissant le pauvre là. Un kilomètre plus loin,
l'Argnool les attendait sur le chemin. Il courut en leur direction, et
Guillaume ordonna de se disperser. L'Argnool sauta sur Aurélien, sous les
yeux effrayés de sa femme. Ils se bâtèrent au corps à corps violemment.
Soudain, un coups de feu retentit, s'était Aurélien qui avait tiré sur
l'Argnool, qui s'effondra sur Aurélien. Il se releva, et regarda sa femme
d'un regard qui la consola, tout allait bien il était vivant et le monstre
mort. Il commençait à peine à s'approcher de sa femme, lorsqu'il s'arrêta
brusquement, les larmes aux yeux, le regard tremblant, l'Argnool lui avait
planté ses griffes dans le dos. Alysson prit l'arme de Jean et vide le
chargeur sur le monstre. S'en était enfin fini, le monstre s'écroula dans un
bruit sourd sur le sol. Aurélien s'effondra à son tour sur le sol. Alysson
courut vers le corps de son mari, inerte sur le sol. Elle avait ordonné de
l'emmener au plus vite au campement, afin quelle puisse le soigner. Ils
étaient à peine mariés, et la peur de le perdre se formait sur les traits
de son magnifique visage. Elle laissa couler des larmes, beaucoup de larmes.
Jean et Guillaume portèrent le corps d'Aurélien jusqu'au campement.
« - Ne m'abandonne pas, je ne veux pas te perdre, on a beaucoup de choses à
accomplir tout les deux, dis Alysson d'une voix remplit de tristesse.
-Ne t'inquiète pas, ton amour me sauvera . »
Arrivé au camps, ils déposèrent Aurélien dans la cabane, où Alysson et
Eric s'activent autour, pour lui donner des soins d'urgences, sous le regard
dégoûté de l'inconnu. Grâce aux efforts d'Eric, et l'amour d'Alysson,
Aurélien était sauvé, mais la plaie était à surveillée de près. Alysson
passa la nuit au côté de son époux, quand à Jean, Guillaume et les autres
survivants du crash, étaient rassemblés autour du feu. Au milieu de la nuit,
Alysson était sortie de la cabane et alla voir Guillaume :
« - Il veut te parler, dit-elle d'une voix silencieuse et douce. »
Guillaume entra dans la cabane, suivi de la charmante femme, sous le regard
attentif de l'inconnu.
« - Surveillés cet homme, je ne ressent rien de bon sur lui. De plus je ne
l'ai jamais vu à bord de l'appareil. Son soit disant nom ne figure pas sur la
liste, puisque nous sommes tous là, les morts et les vivants. »
Aurélien leur montra l'homme à travers une fente dans le mur.
« - Ce n'est pas non plus un secouriste, conclus Alysson. »
Le lendemain matin, Aurélien, remit sur pied, se leva plus tôt qu'à
l'habitude, et avait surpris l'homme en train de saboter son arme. Enervé,
Aurélien le pris par le col, et commença à le frapper de toutes ses forces.
Réveillés par le bruit, Alysson et le reste du groupe allèrent voir ce qui
se passait. Ils découvrirent alors un Aurélien en forme en train de corrigé
l'inconnu. C'est alors qu'Aurélien sortit son couteau, et poignarda l'homme
à plusieurs reprises. Puis il prit le poux de celui-ci, il était bel et bien
mort. Aurélien se releva, et vit le groupe le regarder.
« - Il était à la solde des Argnools. En me levant ce matin ,je l'ai
surpris en train de saboter nos armes. Et en me battant avec, j'ai aperçut un
tatouage, avec de drôles d'inscriptions sur son avant bras gauche,
déclara-t-il. Il était marqué Hachka toukjaoua. »
Aurélien avait réussi à leur faire conclure que l'homme était un espion
des Argnools, qu'il était Argnool.
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