serveurfofo56
De passage

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Posté le: Mar Juin 26, 2007 22:38 pm Sujet du message: Qu'est que la spiritualité ?
Tout est dans le Titre
Dernière édition par serveurfofo56 le Ven Mai 08, 2015 15:25 pm; édité 1 fois
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uacuus
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Posté le: Mar Juin 26, 2007 22:57 pm Sujet du message:
Tu poses trop de questions en même temps.
Je pense que celle qui donne le titre du topic est la plus intéressante
d'entre elles, mais elle me laisse un peu perplexe.
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KSY3092
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Posté le: Mer Juin 27, 2007 09:00 am Sujet du message:
Citation: | Et
pourquoi notre avenir est souvent deviné ? |
Pour moi c'est une question de croyance personnellement je ne pense pas que
l'on puisse deviné notre avenir. Dans ta question je pensais au voyant qui
arrive sur certaine personne à lire leur avenir, je n'ai jamais eu
d'experience dans ce domaine, mais je crois en fait que le voyant en
"dévoilant" l'avenir de la personne ne fais que l'influencer. C'est a dire
qu'il détermine (en partie) le futur de cette personne qui va réaliser c'est
prédiction simplement parcequ'on lui a dit que ça allait lui arriver! Donc
inconsciement la personne va réaliser les dire du voyant.
je
sais pas trop si vous avez compris mon point de vue car jai un peu de mal à
l'expliquer.^^
Citation: | Est
il déjà tracer | Perso jcrois pas
Citation: |
Pourquoi on est en vie ? | j'avais
déja poser cette question il y a quelque temps mais cherche dans les pages
précédentes tu devrais trouver le sujet.
Citation: | Que
devenons nous ? |
C'est à dire?
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Invité
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Posté le: Mer Juin 27, 2007 13:49 pm Sujet du message:
J'ai bien compris KSY3092. Le futur obsède toujours et sa connaissance
rassure certains afin d'éprouver moins de stress, de ne pas être pris au
dépourvu, en espérant changer son destin.
Pour ma part, "destin" signifie qu'aucune modification sur le déroulement de
la vie n'est autorisée. Par contre, l'avenir, il me semble, est changeable,
influençable par notre volonté, nos décisions. Or le "destin" se trouve
dans le futur, ce qui reviendrait à dire qu'on n'a pas le choix, que nos
actions ont été "programmées" et qu'on ne pourrait agir autrement.
Parfois, j'y crois à ma thèse et sincèrement, je ne saurais vraiment quoi
penser, où est la vérité.
Dernière édition par Invité le Ven Juin 29, 2007 00:47 am; édité 1 fois
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uacuus
Super actif

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Posté le: Mer Juin 27, 2007 19:26 pm Sujet du message:
Le destin signifie plus proprement que notre sort est décidé par une force supérieure.
Il faut bien distinguer le destin du déterminisme intégral, pour lequel tout
est un enchainement de causes et d'effets sans but sans décision, mais qui ne
peut être autrement (car une cause ne peut avoir qu'un effet etc).
Pour ma part, j'estime que l'avenir n'est doté d'aucune forme d'existence, et
que par conséquent on ne peut ni le modifier, ni le subir.[/i]
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Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Mer Juin 27, 2007 20:24 pm Sujet du message:
J'irai un peu plus loin: le temps n'a aucune réalité; c'est une valeur
purement sociale, un artifice de la logique. Le passé comme le futur
n'existent que dans l'instant.
En ce qui concerne la notion de destin, je me rapporcherais volontiers d'une
dialectique plutôt déterministe. Le libre-arbitre sobordonné au hasard, le
hasard comme somme des effets de cause et de conséquence.
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uacuus
Super actif

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Posté le: Mer Juin 27, 2007 20:31 pm Sujet du message:
Citation: | J'irai un peu plus loin: le temps n'a aucune réalité; c'est
une valeur purement sociale, un artifice de la logique. Le passé comme le
futur n'existent que dans l'instant. |
La notion d'instant est une notion temporelle, il faudra que tu expliques
comment l'instant existe en dehors du temps, attendu que le temps n'existe
pas. Dire que le temps est "artifice de la logique" ou plus fort "purement social" est encore à démontrer.
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Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Mer Juin 27, 2007 21:04 pm Sujet du message:
Très précisément, l'instant est un terme vague et volontairement abscons
désignant cet interstice cumulant à la fois passé, présent et futur. Je
puis de toute façon difficilement parler du temps sans employer la
terminologie qui lui est propre.
Quant à démontrer par la logique que le temps n'existe pas, c'est aussi
insurmontable me semble-t-il que de prouver qu'il existe. Je vais pourtant
essayer de clarifier ma pensée.
La notion de temps à mon sens dénote une volonté de rationaliser, de rendre
cohérent un certain nombre d'évènements hiérarchisés et articulés autour
d'un repère temporel, repère en lui-même consenti de façon tout à fait
arbitraire. Le temps serait donc une valeur, une interprétation humaine,
sociale, absolument subjective d'un concept plus vaste: le changement. Le
temps serait - note l'emploi du conditionnel - une certaine façon
d'appréhender l'évolution, et en ce sens, il deviendrait un instrument
philosophique tout à fait prépondérant dans notre façon de percevoir le
monde.
J'insiste enfin sur cette transition toute "humaine", caractéristique de nos
esprits: les différences sont perçues comme changement car le changement
constitue seul cette fracture perceptible entre passé et futur, le changement
est ensuite arbitrairement qualifié d'évolution, et puisque l'évolution est
un changement tendant vers un but, le concept de hiérarchie temporel peut
enfin faire son apparition. Ce qui n'était pas avant, est maintenant.
Pourtant, si l'on reprend le problème à sa source: nous ne pouvons prendre
conscience du temps sans le changement; aussi, j'avance un corollaire: notre
seul argument pour juger de l'existence du temps, est qu'il y a succession
d'évènements perceptibles, évènement que nous classons arbitrairement au
moyen de la temporalité. Et pourtant, raisonnons par l'absurde. Si nous
vivions dans un monde immaculé, fixe, ne connaissant nulle altération,
jamais il ne nous serait venu à l'idée qu'il puisse exister une
temporalité, un ordre dans la succession des évènements, puisqu'il n'y
aurait aucun évènement perceptible à faire se chevaucher. Ainsi, nous ne
pouvons accorder de réalité au temps que dans le mesure ou nous croyons
observer ses effets dans l'agencement des évènements; pour autant la notion
de temporalité devant être clairement dissociée de celle d'acte ou de
changement, il apparaît qu'il nous est impossible de justifier de l'existence
du temps au travers de l'évolution des évènements. Ce n'est pas parce que
les choses changent, que le temps existe d'une part, et s'écoule d'autre
part. Quoi de plus social et artificiel que cette volonté de mesurer l'écart
entre deux évènements: le temps ne serait, somme toute, qu'une unité de
mesure tel que le mètre ou le degré celsius. Mais le temps en soi, le temps
comme puissance régissant l'univers, le temps comme clivage entre passé,
présent et futur, lui, serait potentiellement inexistant.
Et si le temps est potentiellement inexistant, selon une logique quelque peu
cartésienne, l'on pourrait envisager la possibilité qu'il soit tout à faut
inexistant. Nous ne pouvons affirmer que le temps existe ou non, tout comme
nous ne pouvons affirmer qu'il existe ou non une divinité. Il s'agit là au
mieux selon moi de certitudes invérifiables, au pire de concepts dépassant
notre humain entendement.
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uacuus
Super actif

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Posté le: Jeu Juin 28, 2007 20:37 pm Sujet du message:
Pour ma part, je ne mettrais pas Dieu et le temps sur le même plan, car Dieu
est une hypothèse métaphysique que l'on pose au delà de nos expériences
sensibles, afin de leur donner une origine rationnelle ou une finalité,
tandis qu'aucune de nos expériences sensibles ne peut évacuer le temps. Il
est vrai que je raisonne là un peu à la manière de Kant.
Tu sembles toi, non pas kantien, mais plutot aristotélicien, quand tu fais
découler le temps du changement, comme aristote qui estimait que le temps
était la mesure ou le nombre du mouvement. Je trouve que le propos de Kant
selon lequel le temps ne découle pas du mouvement, mais le suppose au
contraire, est plus logique.
Je ne suis guère de ton avis quand tu parles de "hiérarchie" et de "valeur",
il me semble que tu superposes un vocabulaire moral ou social au vocabulaire
de la temporalité, sans à mon avis, que cette superposition soit
justifiée:
Citation: | La
notion de temps à mon sens dénote une volonté de rationaliser, de rendre
cohérent un certain nombre d'évènements hiérarchisés et articulés autour
d'un repère temporel, repère en lui-même consenti de façon tout à fait
arbitraire. Le temps serait donc une valeur, une interprétation humaine,
sociale, absolument subjective d'un concept plus vaste: le changement.
|
Je ne suis pas sûr que le temps soit l'effet d'une volonté, il s'impose
d'une certaine manière. Quand je dis "temps", je ne parle pas de sa mesure,
je ne parle pas des heures, des minutes et des calendriers. De la même
manière quand je parle d'espace, je ne parle pas de mètres de kilomètres ou
d'autres mesures. La mesure est effectivement une rationnalisation, qui
suppose un accord, et qui est par conséquent un phénomène social.
Le temps me parait plus fondamental que cela, et être disons en deça même
de toute rationnalisation possible. En effet, la rationnalisation c'est poser
des déterminations, (de nombre de qualité etc, et la plupart des
déterminations se conçoivent dans le temps: ainsi la cause et l'effet se
succèdent nécessairement, mais deux choses qui se succèdent n'ont pas
nécessairement de lien de cause à effet.
L'instant est lui une notion, non pas totalement arbitraire, mais disons
intellectualisée. C'est la supposition de la division minimale du temps, de
la même manière que le point pour l'espace. Le temps n'est pas une
succession d'instants, pas plus que l'espace est une accumulation de points.
Une telle logique inverse tout.
Ce qui me gêne dans le fait que l'origine du temps soit donnée dans le
changement, c'est que le changement lui même se déroule dans un temps
donné, pour un objet donné. Dans le changement, un objet A, devient un objet
B, A et B étant différents en au moins une chose (la localité pour ce qui
est du type de changement nommé mouvement par exemple). Au coeur même de la
notion de changement, réside donc l'idée d'un état antérieur et d'un état
postérieur. En analysant ce concept, on trouve donc que le temps lui est
nécessaire. Le temps n'est pas vraiment une adjonction d'instants d'heures ou
de je ne sais quoi, il est un caractère successif. Or rien dans nos
perceptions qu'elles soient de mouvement ou de choses statiques n'échappe
vraiment à une condition temporelle.
D'une manière assez dialectique tu dis toi-même:
Citation: | pour autant la notion de temporalité devant être clairement
dissociée de celle d'acte ou de changement, il apparaît qu'il nous est
impossible de justifier de l'existence du temps au travers de l'évolution des
évènements. |
Ton argumentation autrement, porte sur le fait que notre conscience du temps
dépend de la perception d'objets changeants. Mais en fait il ne s'agit pas
tout à fait de la même chose: le temps est à distinguer de la conscience du
temps. Tous les changements perçus s'organisent spontanément en fonction du
temps, mais il n'est pas nécessaire, pour que les choses s'organisent
temporellement, qu'on prenne conscience de ce par quoi ils s'organisent. Il en
va tout autrement de la mesure déterminée en accord avec les autres. Le
temps peut il être considéré comme un concept qui se dégage des
perceptions, et qui les synthétise?
J'aurais tendance à me tourner vers un subjectivisme du temps, sans être
totalement convaincu. Mais il ne s'agit pas d'un subjectivisme relatif à des
idées, à des émotions personnelles, il s'agit plutot d'un subjectivisme
biologique. Nos représentations ne peuvent pas être autres choses que
temporelles. Le temps ne découle pas d'une interprétation de perceptions,
mais est plutot le code naturel par lequel on interprète les choses. Je ne
sais pas si l'expression est bien heureuse.
J'ai employé moins de précautions oratoires que Méphisto, mais je le
rejoins cependant dans l'impossibilité de trancher les problèmes sur ce
genre de matières.
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Fr.
Membre

Inscrit le: 30 Mai 2007
Messages: 446
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Posté le: Ven Juin 29, 2007 00:50 am Sujet du message:
je retire.
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uacuus
Super actif

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Inscrit le: 29 Mai 2006
Messages: 2753
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Posté le: Ven Juin 29, 2007 18:24 pm Sujet du message:
Tu retires quoi?
|
Fr.
Membre

Inscrit le: 30 Mai 2007
Messages: 446
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Posté le: Lun Juil 02, 2007 12:14 pm Sujet du message:
Ce que j'avais mis.
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Méphistophélès
Suprème actif


Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 4299
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Posté le: Lun Juil 02, 2007 16:12 pm Sujet du message:
S'il est vrai qu'Aristote semble passablement vieillot par rapport à Kant, je
me permets de faire remarquer que le relativisme à lui même succédé aux
théories kantiennes, et que ces dernières commencent elles aussi à prendre
la poussière.
Le fait est simple: nous n'abordons pas le problème de la même manière: ton
raisonnement se veut plus logique, mais il est aussi plus borné. Alors que tu
considère la notion de temps sans chercher à le remettre en cause, te basant
sur la culture traditionnelle et empirique d'un monde en 3d soumis aux
contingences du temps,; je m'efforce moi, toujours par la logique a démonter
ce qui est infondé. Or il me semble que ton propos n'as pas suffit à
réfuté le mien: sans changement, sans évolution, y a t-il conscience du
temps ? Je ne le crois pas. Et s'il n'y a pas conscience du temps - c'est là
que mon propos se fait plus subtil, et qu'il tend à te répondre - le temps
existe-t-il ? Ce que je ne perçois pas est potentiellement inexistant, et à
l'inverse, ce que je perçois est potentiellement existant - en soi -
indéniablement existant - pour moi. Or, j'aspire à aller au-delà de cette
constatation en ne m'exprimant dès lors qu'au conditionnel.
En soi, je doute qu'il y ait de preuve de l'existence du temps, il s'agit là
d'un concept abstrait, culturel; et tandis que certains s'échinent à en
faire une entité physique, j'en fait pour ma part une entité logique. Le
temps de mon point de vue pourrait ne pas exister en soi, et n'être qu'un
outil logique, artifice purement humain, visant à adapter nos esprit à la
perception de notre environnement.
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anima
Membre


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Localisation: à 15 km d'Assise... mais debout!
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Posté le: Mar Juil 03, 2007 19:32 pm Sujet du message:
Mes chers amis,
il a fallu chercher pour comprendre!... pour Comprendre qu'il n'y avait rien
à chercher, rien à atteindre, rien à trouver, rien à réaliser, rien à
savoir de plus de ce qu'on sait déjà.
Qui cherche?
le mental (l'ego)! car c'est là, le propre de l'ignorance. Il ne peut y avoir
2 sois, un Qui cherche l'autre, pour la simple et bonne raison que le SOI ne
fait en Réalité qu'UN. Ainsi, se fait le Silence intérieur (Silence
mental), donnant axcès à la PAIX de l'esprit.
Dans la Connaissance de SOI, on apprend rien de nouveau... en réalité on ne
fait que de désaprendre (se déconditionner), on ne fait qu'éliminer
l'ignorance (l'ego), afin que le Véritable SOI (notre vraie Nature, qui est
d'ETRE sans contrainte de l'esprit) se Révèle, bien qu'IL soit toujours
là!
Qui suis-je? (la Réponse qui annule toutes les questions existencielles, est
dans la dite question)
QUI SUIS-JE? (Qui et ?, étant l'ignorance/ego/mental)
JE SUIS!
JE
ETRE (ce qui EST sans etre nommé - Je suis ce qui EST!)
Je ne suis donc pas le mental, ni le corps, mais Celui qui les utilise.
Je suis maitre de moi-meme (du corps et du mental - je ne suis pas attaché et
ne les rejete pas non plus... en Réalité, tout cela ne fait qu'UN)... je
suis le SOI... un esprit LIBRE!!!!!!!!!!!!!!!! d'ETRE.
On peut toujours chercher, ce qu'on ne peut perdre.
Et on ne peut perdre, ce qu'on à pas! (ce qui n'est qu'une illusion).
Soyez en Paix Maintenant, car qui sait quand sonnera le glas??????
Car "après", sera toujours Maintenant.
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uacuus
Super actif

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Posté le: Mer Juil 04, 2007 12:52 pm Sujet du message:
Anima, ce que tu dis est inepte. Tu nous balance des tas de principes, sans
qu'on voie d'où ils sortent ou à quoi ils correspondent (le soi, l'être, le
silence intérieur) aucune de ces notions n'est définie, ou bien amenée et
justifiée par le contexte. Ce que tu dis n'est pas de la réflexion, c'est du
matraquage. Ta cervelle minable remue et ressasse toutes ces conneries. J'en
ai assez que tu nous déverses les excréments de ton esprit médiocre.
|
KSY3092
Membre


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Localisation: Montpellier
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Posté le: Jeu Juil 05, 2007 09:42 am Sujet du message:
Citation: | Soyez en Paix Maintenant, car qui sait quand sonnera le
glas??????
Car "après", sera toujours Maintenant. |
ça signifie quoi ça???
Citation: | Ta
cervelle minable remue et ressasse toutes ces conneries. J'en ai assez que tu
nous déverses les excréments de ton esprit médiocre.
|
ça casse fort!
|
Romulus
Suprème actif


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Posté le: Jeu Juil 05, 2007 11:18 am Sujet du message:
Oui là tu y vas un peu fort uacuus
C'est vrai que ce que dits Anima est un peu obscurs, à mon sens il brasse pas
mal de vent, et sa pensée contient le paradoxe "il n'y a pas de vérité mais
écoutez moi car c'est ça la vérité"
On ne peut faire de la philosophie en prétendant qu'il n'y a pas de vérité
(on peut éventuellement dire qu'elle est innacessible) car faire de la philo
c'est chercher la vérité. Si tu aboutit à la conclusion "il n'y a pas de
vérité" c'est un non sens car si l'affirmation est vraie c'est une
vérité.
Mais bon pas la peine d'être agressif non plus.
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uacuus
Super actif

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Posté le: Jeu Juil 05, 2007 11:54 am Sujet du message:
Mon agressivité est liée à l'énervement que me procurent ces balivernes
sentencieusement prononcées comme un oracle. J'ai horreur de l'imposture
intellectuelle, et Anima la représente formidablement.
Je me suis sans doute trop emporté, je persisterai cependant de dire la même
chose, mais en y mettant plus de formes.
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anima
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Localisation: à 15 km d'Assise... mais debout!
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uacuus
Super actif

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Posté le: Ven Juil 06, 2007 22:10 pm Sujet du message:
Ce que tu dis n'est ni simple ni compliqué, c'est vide. Et je me moque de ton
séjour en Inde, ainsi que de toutes les références que tu pourras mettre
dans ton CV.
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