Dubya
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Posté le: Ven Mar 07, 2008 09:09 am Sujet du message:
Citation: | Derrière la tragédie du 11
septembre 2001 et la guerre au terrorisme
Nombreux sont ceux qui ont pu constater que l’histoire « officielle »,
celle que nous racontent les média et les livres d’Histoire, peut être
déformée pour servir les intérêts de groupes particuliers. « L’histoire
est écrite par les vainqueurs », dit la sagesse populaire. Puis, quand la
rigueur scientifique et le bon sens l’emportent sur la propagande de guerre,
on découvre parfois que les acteurs réels de l’histoire n’étaient pas
ceux qu’on croyait. Des recherches historiques ont révélé, par exemple,
que ce ne sont pas les communistes mais les nazis eux-mêmes qui ont incendié
le parlement allemand (Reichstag), et ce afin de s’accaparer plus de
contrôle, au nom de la « sécurité nationale ». C’est là un exemple
d’opération de terrorisme sous une fausse bannière (« false flag »), où
la responsabilité de l’attaque est attribuée à un bouc émissaire
innocent, afin d’en tirer avantage. De la même manière, et c’est là
justement ce que cet article tâche de démontrer, les nombreuses
incohérences de la version officielle des événements du 11 septembre 2001
indiquent que des éléments criminels du gouvernement américain sont
complices du crime et que les vrais responsables du « terrorisme
international » (incluant le 11 septembre) ne sont ni Ben Laden ni «
Al-Qaida » mais bien les services secrets américains, britanniques et
israéliens. Dans un deuxième temps, nous examinerons en quoi cette « guerre
au terrorisme » sert à justifier des guerres au Moyen-Orient et à
solidifier l’alliance entre l’Occident et Israël.
Ce que révèlent l’effondrement des trois
tours du WTC et l’attaque du Pentagone
Nous avons tous vu et revu à satiété les images traumatisantes des
effondrements des tours jumelles du World Trade Center (WTC). L’histoire
officielle nous dit que leur effondrement est dû à l’affaiblissement de la
structure, causé par le choc des avions et la chaleur du carburant
(kérosene) en feu. Plusieurs personnes questionnent cette théorie, qui
semble aller de soi pour la plupart d’entre nous. En fait, les puissantes
explosions observées au début de l’effondrement des tours jumelles ne
peuvent être redevables au carburant, car celui-ci avait cessé de brûler
depuis longtemps. Des photos montrent des survivants dans les cavités
creusées par les avions, or comment auraient-ils pu se tenir là si, comme le
veut la thèse officielle, la chaleur du feu était suffisamment intense pour
faire fondre la structure en acier?
Les images vidéo des effondrements montrent des signes évidents de
démolition contrôlée : des explosions synchronisées, l’effondrement
parfaitement symétrique des deux tours à la vitesse de chute libre, et enfin
du métal en fusion s’écoulant par le côté d’une des tours, métal
qu’on retrouva toujours en fusion sous les décombres six jours plus tard.
Le professeur Steven E. Jones a découvert que la composition chimique de ce
métal présentait des traces de thermite, un puissant explosif pouvant
atteindre des températures assez élevées pour couper l’acier comme du
beurre. Autre indice: l’effondrement a créé un nuage ‘pyroclastique’
de poussière, comme ceux que produisent les volcans.
Or, pour installer les explosifs dans ces tours, il faudrait avoir déjoué la
sécurité pendant une semaine au moins. Par un curieux hasard, la sécurité
du WTC était assurée par la société Securacom de Marvin Bush, le frère du
président.
Fait peu connu, de petits incendies ont été observés dans un troisième
bâtiment, la tour 7 du WTC, avant que celui-ci s’écroule subitement sans
raison en fin d’après-midi, soit quelques heures après l’effondrement
des deux tours. Le propriétaire du WTC, Larry Silverstein, un riche Juif
proche du magnat médiatique sioniste Rupert Murdoch et des ex-présidents
d’Israël Ariel Sharon et Benjamin Netanyahu, récoltera 4.68 milliards de
dollars des assurances suite aux attentats (Insurance Journal). Il a même
admis en entrevue (PBS) avoir donné l’ordre de faire démolir (‘pull
it’) la tour 7.
Qu’en est-il du vol 93, dans lequel de vaillants passagers auraient lutté
contre les terroristes avant de s’écraser en Pennsylvanie? Ce scénario
hollywoodien ne repose que sur des appels cellulaires de passagers dont
l’authenticité est plus que douteuse. Statistiquement, les chances qu’un
téléphone cellulaire fonctionne à plus d’une dizaine de kilomètres
d’altitude et à haute vitesse sont infimes. Les débris de cet avion ont
été récupérés dans un rayon de plusieurs kilomètres, loin du cratère
vide du supposé site d’écrasement. De plus, si l’on se fie aux lapsus
(?) de Cheney et Rumsfeld en entrevue, l’avion aurait été descendu («
shot down ») par un chasseur de l’US Air Force.
L’avion fantôme du Pentagone
La version officielle soutient que le vol 77 a percuté le Pentagone.
Toutefois, le FBI refuse de montrer les bandes vidéo des caméras de
surveillance des commerces voisins. Les quelques images révélées dans les
médias permettent-elles de discerner un Boeing 757 percuter le Pentagone? On
voit plutôt une traînée de fumée, identique à celle d’un missile, raser
le sol, percuter le côté du bâtiment et exploser dans un flash. Par chance
(?), la partie atteinte du bâtiment était presque vide, en rénovation. Le
trou est minuscule, il n’y a aucune égratignure sur le gazon et les seuls
débris trouvés sont des petits fragments de tôle légère ainsi qu’un
minuscule réacteur. Les chiens n’ont flairé aucun reste humain. Une chose
est certaine : aucun Boeing ne s’est écrasé sur le Pentagone.
L’hypothèse la plus vraisemblable concorde avec les descriptions de
nombreux témoins: il ne peut s’agir que d’un missile ou d’un drone
militaire téléguidé, peint aux couleurs d’un avion de ligne. Mais la
question demeure: qu’est-il arrivé au vol 77?
Le Pentagone est sans conteste le bâtiment le plus protégé d’Amérique du
Nord. Si les procédures normales avaient été suivies, les chasseurs de la
défense aérienne auraient intercepté et abattu tous les avions détournés.
L’enquête révèle que le NORAD n’est pas intervenu parce que les ordres,
remontant jusqu’au vice-président Dick Cheney, répétaient avec insistance
que le détournement d’avion n’était qu’un exercice de simulation
d’attaque terroriste. Dans le cas des avions du WTC, des chasseurs ont fini
par prendre en chasse le second avion, mais seulement à très faible vitesse
et en direction opposée, vers la mer! Étrange manœuvre d’interception…
Les activités cachées du Mossad en
territoire américain
Un reportage de Carl Cameron (Fox News) a révélé qu’aux États-Unis, un
réseau d’agents du Mossad qui se faisaient passer pour des étudiants en
Arts a été démasqué. De nombreux chercheurs indépendants des médias
alternatifs ont par la suite démontré le rôle du Mossad, du MI6 et de la
CIA dans la construction du mythe de l’organisation terroriste
internationale d’Al Qaida et dans les attaques revendiquées par le Hamas ou
le Fatah en Palestine. Des compagnies de déménagement et de messagerie
instantanée (telles que Odigo et Comverse) serviraient de couverture aux
activités d’espionnage du Mossad. Quelques jours avant l'attaque du 11
septembre, Mohamed Atta et plusieurs autres présumés pirates de l'air ont
été invités sur les bateaux-casinos du sioniste Jack Abramoff, du lobby
juif AIPAC. Comment expliquer que les vendeurs d’une compagnie itinérante
du Mossad aient logé à Hollywood en Floride, à un coin de rue de
l’appartement de Mohammed Atta et de la supposée cellule terroriste d’al
Qaida? Le FBI a dit qu’« ils surveillaient » les terroristes, tout
simplement. Comment expliquer que des pilotes aussi médiocres exécutent de
telles prouesses aériennes? Comment expliquer aussi que sept des prétendus
terroristes soient toujours en vie (BBC)? Comme Ben Laden (Al-Jazeera), Atta
clame son innocence et soutient qu’il s’agit d’une erreur, qu’il y a
eu vol d’identité (BBC). C’est justement le cas de Ben Laden qui est
recherché par le FBI, comme l’indique son site web (1), mais pas pour les
attentats du 11 septembre ni pour ses liens avec « Al-Qaida ». De plus, les
vidéos qui l’incriminent sont d’origine douteuse et il a même été
démontré que nombre d’entre eux sont truqués (plusieurs Ben Laden sont
identifiables).
Le journal israélien Haaretz a rapporté que de nombreux Juifs travaillant au
WTC auraient reçu un appel par messagerie Odigo leur informant de ne pas se
rendre au travail ce matin-là. Peu après le premier crash d’avion dans la
tour 1 du WTC, cinq Israéliens ont été aperçus en train de sauter de joie
à la vue de l’effondrement des deux tours (ABC, New York Post, Fox News).
Les policiers qui les ont intercepté ont trouvé des passeports israéliens
et des habits musulmans à bord de leur camion de déménagement de la
compagnie Urban Moving System. Ces agents du Mossad (The Forward),
prétendirent avoir été envoyés là pour « documenter l’événement »,
ce qui implique une connaissance préalable (télé israélienne). Selon
Cameron (Fox News), une centaine d’Israéliens ont été arrêtés en sol
américain, interrogés puis relâchés grâce au sioniste Israélo-Américain
Michael Chertoff (chef du Homeland Security) avant et après le 11 septembre,
mais le sujet est classé ‘secret défense’.
Le terrorisme sioniste montre la tête
Ce n’est pas la première fois que des Israéliens font des attaques
terroristes sous une fausse bannière pour ensuite faire porter le blâme sur
les Arabes : il y a eu les attentats de l’Hotel King David en 1946 (plus de
91 morts et 45 blessés), l’attaque contre l’Égypte en 1954, et le
bombardement du navire américain USS Liberty en 1967 (plus de 35 marins
étasuniens morts et 171 blessés). Il est intéressant de noter que les
attentats de l’Hotel King David ont été commis par le mouvement terroriste
juif sioniste Irgun, sous la direction de son fondateur Menachem Begin, qui
devint rien de moins que président d’Israël. C’est du militant sioniste
fasciste Vladimir Jabotinsky, admirateur de Mussolini et fondateur du Bétar,
la toujours très active milice de défense juive, que se réclamait l’Irgun
de Menachem Begin. Suite au massacre de centaines d’Arabes à Der Yassin par
l’Irgun et Stern en avril 1948, qui finalisa la partition de la Palestine et
inaugura la fondation d’Israël (le premier État à être reconnu sans
frontière fixe), Begin affirma: « nous avons créé le terrorisme chez les
Arabes » (Counterpunch, 2004). L’Irgun se transforma ensuite en parti
politique de droite : le Likud. C’est ce même parti qui, sous Ariel Sharon,
érigera le Mur (une idée de Jabotinsky: « Le Rideau de Fer ») entourant la
Palestine.
Des documents prophétiques
En 1986, Netanyahu publie "Terrorism: How the West Can Win", dans lequel il
prédit la guerre au terrorisme en Irak et en Afghanistan et appelle
l’Occident à combattre les ennemis d'Israël, les Palestiniens et les
Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes. Le lendemain du 11
septembre, Netanyahu déclare que cet événement est « très bon pour les
relations entre les États-Unis et Israël » (Jerusalem Post). Puis en 1998,
trois Juifs sionistes, Ashton B. Carter, John M. Deutch et Philip D. Zelikow,
font une autre incroyable prédiction dans un article intitulé « The
Catastrophic Terrorism: Imagining the Transforming Event », paru dans la
revue Foreign Affairs (traduction libre):
Citation: | «
Un tel acte de terrorisme serait un événement catastrophique, une ligne de
démarcation dans l'histoire américaine. Il impliquerait des pertes de vie et
de propriété d’une ampleur sans précédent en temps de paix et minerait
la signification de la sécurité en Amérique. Comme Pearl Harbor, cet
événement diviserait notre passé et notre futur en un ‘avant’ et un
‘après’. » |
Étonnamment, cette vision est la copie exacte du document Plan for A New
American Century (PNAC, 1997) qui mentionne la nécessité d’un « nouveau
Pearl Harbor » pour catalyser l’expansion hégémonique américaine. Le
PNAC a été conçu par les néo-conservateurs Paul Wolfowitz (ancien
président de la banque mondiale), Dick Cheney, Donald Rumsfeld (tous trois
ont servi sous les administrations Reagan et Bush père), Bill Kristol (2),
Richard Perle (3), le rabbin Dov Zakheim, Lewis ‘Scooter’ Libby (ancien
directeur du bureau du vice-président Cheney), Eliot Cohen, Robert Kagan,
Donald Kagan, Jeb Bush, Steve Rosen, Daniel Pipes (protégé de Perle et fils
du théoricien anti-Soviet Richard Pipes), Robert Zoellick (nouveau président
de la banque mondiale), etc., tous sionistes (4) et co-responsables (sous
l’égide de Wolfowitz, Feith et Libby) de la guerre en Irak, une guerre pour
les intérêts d’Israël.
Mais revenons à l’article The Catastrophic Terrorism (Le terrorisme
catastrophique). Qui sont les auteurs? Carter est à la tête de MITRE corp.,
une importante organisation israélienne de contractants pour la Défense
américaine, dont les systèmes de communication et de commande ont clairement
échoué lors des attentats du 11 septembre. John M. Deutch est un associé
principal de GTP, une filiale nord-américaine de Rothschild corp.,
spécialisée dans la vente de technologie militaire. Le sioniste Philip David
Zelikow a été directeur exécutif de la Commission d’enquête du 11
septembre, qui ne fut qu’une parodie d’enquête et une entreprise de
blanchiment du gouvernement, en plus d’être membre du groupe de recherche
qui a feint d’étudier ce désastre honteux qu’est la guerre en Irak. Fait
intéressant à noter, dans le même numéro de la revue Foreign Affairs se
trouve un article de Daniel Pipes sur Ben Laden intitulé « License to Kill
». Cet ancien propagandiste anticommuniste a popularisé le mythe islamophobe
du « terrorisme djihadique international », proclamant que « tous les
musulmans ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont musulmans ».
Il qualifie l’anti-sionisme de « théorie proche-orientale du complot » et
l’identifie à un « nouvel antisémitisme ». Il a conçu la stratégie
militaire contre le Liban et la Syrie en 2000 au nom des sionistes chrétiens
et des néo-conservateurs, et est devenu le plus influent commentateur du
conflit au Moyen-Orient.
Le faux entrechoquement des civilisations et
le sionisme chrétien
Le 11 septembre et la guerre au terrorisme ont permis aux néo-conservateurs
de s’emparer des ressources énergétiques du Moyen-Orient et de neutraliser
les États qu’Israël jugeait trop puissants. Certains intégristes y voient
la réalisation de prophéties bibliques. D’après le courant sioniste
chrétien appelé dispensationaliste, qui représente plus de 60 millions
d’évangéliques Américains, l’antéchrist doit signer un traité de paix
de sept ans avec Israël et rebâtir le Temple. Mais dès que les Juifs auront
été réunis en Israël, Israël sera détruit dans un Armageddon nucléaire
et, toujours selon les dispensationalistes, c’est à ce moment que le Christ
reviendra. C’est dans cette optique que ces chrétiens favorisent le retour
des Juifs en Israël, car pour eux la fondation de l’État d’Israël est
la réalisation d’une prophétie de la Fin des Temps. C’est la raison
principale pour laquelle les médias rivent leur attention sur le Moyen-Orient
(où se situe justement la fameuse vallée de Meggido, d’où origine le
terme Armageddon désignant le combat final entre le Bien et le Mal) et pas
seulement à cause du conflit israélo-palestinien ou du pétrole. Le monde
bipolaire du ‘Choc des civilisations’ (le titre d’un article du très
influent Samuel Huntington), opposant l’Occident à un ‘Axe du Mal’
‘anti-démocratique’ musulman ou communiste, est le cadre de référence
géopolitique des sionistes chrétiens de la Maison Blanche orchestrant cette
campagne de peur eschatologique. Menaçant d’éclater en conflit nucléaire
opposant l’axe États-Unis--Israël et l’Iran, l’escalade des tensions
entre ‘l’Ouest et le Reste’ enthousiasme les sionistes chrétiens qui
voient venir l’Armageddon, et donc leur Messie. Mais d’après certains
analystes comme Robert Kaplan, la guerre contre l’Iran débouchera vite dans
des affrontements titanesques avec la Chine, car en fait, le pays que les
États-Unis surveillent comme leur ennemi ultime n’est pas l’Iran ni le
bloc islamique mais bien la Chine en premier lieu, et la Russie en second
lieu. La Chine est déterminée à adopter l’« American Way of Life » et
elle est déjà la plus grande puissance économique mondiale. Or, suivant la
« Doctrine Wolfowitz », les États-Unis considèrent toute rivalité
hégémonique comme une déclaration de guerre méritant des « frappes
préventives ».
Suivant le littéralisme biblique du British-Israël (5) et de son prophète
Garner Ted Armstrong, les hordes légendaires de Gog et Magog attaquant
Israël en venant « de l’Est et du Nord » (Livre de Daniel) seraient la
Chine et la Russie, alliées au monde islamique. Cette vision recoupe la
division géopolitique de Sir H.J.Mackinder, répandue dans les plus grands
magazines d’affaires financées par les Rothschild (The Economist) et les
Rockefeller (Foreign Affairs), qui conçoit une aire eurasienne englobant la
Russie et la Chine. Les think tanks et les penseurs du nouvel ordre mondial
tels Brzezinski ou The Economist veulent constituer différents blocs
géo-politiques économiques, qui ressemblent drôlement à la division
Oceania-Eurasia-Estasia décrite par George Orwell dans 1984 : ils veulent un
bloc euro-américain, un bloc islamique, un bloc eurasiatique, de façon à
marginaliser l’Inde et la Chine. C’est à cette fin que sont promues les
grandes unions supranationales continentales qui se constituent actuellement:
Union nord-américaine (et bientôt, selon la vision de Bush père, une Union
des Amériques), Union européenne, Union africaine, Union extrême-orientale,
etc. La ségrégation des Musulmans menant à la consolidation d’un bloc
islamique, que The Economist appelle à la blague « Islamistan », fut
favorisée par les guerres de l’après 11 septembre : la guerre au
terrorisme, la guerre en Irak et en Afghanistan. Quant à l’Eurasie,
celle-ci se consolide du fait que la Chine et la Russie savent qu’ils sont
les prochains à être attaqués après l’Iran. Ils sont ainsi en train de
constituer, au travers d’alliances économiques et d’alliances militaires
comme l'Organisation de coopération de Shanghai, un bloc eurasiatique fondé
sur la résistance nationaliste anti-Occident. À cette Eurasie en formation
se rattacherait le bloc islamique, réalisant ainsi, sous la pression
étatsunienne, les « prophéties » du British-Israel et de la revue The
Economist qui prédisaient que le monde musulman allait s’allier à la Chine
et à la Russie. Les pays qui ont le malheur de se trouver au centre des
pôles opposés, surtout en Europe de l’Est, en Russie occidentale et en
Europe centrale, seront écartelés sous la tension. Israël, qui se trouve
justement au Centre, au Moyen-Orient, détient plus de 400 bombes nucléaires
et s’en sert pour menacer constamment des pays du monde entier, courant
ainsi le risque d’être lui-même anéanti au cours d’une telle guerre
(6). Un Choc nucléaire des civilisations à une échelle mondiale
signifierait la fin catastrophique de la civilisation actuelle. (7)
La résistance antisioniste
diabolisée
Des voix dissidentes s’élèvent : Jimmy Carter dénonce l’apartheid en
Palestine; Fidel Castro (Cuba), Hugo Chavez (Vénézuela) et Mahmoud
Ahmadinejad (Iran) soutiennent que le 11 septembre est l’oeuvre du
gouvernement américain, mais Ahmadinejad va plus loin encore en niant la
légitimité de l’État d’Israël, tenant même, le 11 décembre 2006, une
conférence internationale sur l’Holocauste, à laquelle furent invités des
révisionnistes (« négationnistes ») et des anti-sionistes de tout acabit,
incluant des rabbins ultra-orthodoxes, ironiquement taxés d’« antisémites
» (8 ) par la communauté sioniste internationale! Si au moins les médias ne
répandaient pas le mensonge disant qu’Ahmadinejad ait menacé de « rayer
Israël de la carte » (9), celui-ci ne passerait pas comme le « nouveau
Hitler » aux yeux de l’Occident (10). Ainsi les chefs d’État
anglo-américains parlent d’« islamofascisme » et diabolisent le monde
musulman, en plus de réclamer le bombardement de l’Iran et la poursuite de
la guerre en Irak, suivant la volonté d’Israël.
Nous avons vu ce qui nous permet de croire que les attentats du 11 septembre
seraient en fait l’oeuvre des services secrets américano-sionistes, et que
les prétendus « attentats terroristes d’Al-Qaida » servent en fait à
diaboliser le monde Arabo-Musulman. Dans l'imaginaire collectif, le «
terrorisme djihadique international » a tout simplement remplacé la menace
de « l’internationale communiste », et comme nous l’avons vu, les
propagandistes de cette nouvelle menace sont les mêmes qui excitaient
autrefois la paranoïa anti-communiste. En plus de justifier des politiques
liberticides, de même que la guerre en Afghanistan, en Irak et bientôt en
Iran, la guerre au terrorisme a uni les États-Unis et Israël contre les
Arabes et l’Islam, légitimant les politiques israéliennes d’apartheid et
de génocide des Palestiniens d’une part, et dressant les États-Unis contre
les ennemis d’Israël, d’autre part. L’histoire est remplie d’exemples
de manipulations politiques utilisant une fausse opposition, comme le
croque-mitaine Ben Laden qui ressurgit immanquablement en période électorale
américaine. Les dirigeants au pouvoir vont jusqu’à réécrire
l’histoire, ou la remplacent carrément par un mensonge, afin de garder leur
emprise sur les masses manipulées. Il importe donc plus que jamais de
reconnaître les plans machiavéliques derrière ces manipulations
historiques, car à l’ère du Faux, rien n’importe plus que la recherche
de la vérité.
Notes:
1 http://www.fbi.gov/wanted/terrorists/terbinladen.htm
2 Éditeur du Weekly Standard de Rupert Murdoch et cerveau du PNAC, William
Kristol est le fils du trotskyiste et propagandiste anti-Soviet Irving
Kristol.
3 Les membres du CFR et du PNAC Richard Perle et Dick Cheney ont été tour
à tour directeur du Jewish Institue for National Security Affairs (JINSA), un
puissant lobby sioniste similaire à l’AIPAC et tout aussi partisan de la
guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre
l’Iran. Perle est très proche des Juifs sionistes Michael Ledeen, le
théoricien de la « destruction créative » du Moyen-Orient, et Eliott
Abrams, le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz. Les liens
étroits de Perle avec Israël lui ont valu, en 1970, d’être investigué
pour avoir passé des secrets à Israël, tout comme Wolfowitz l’a été
plus tard en 1978 (Piper, 2007).
4 Notons que dans cette liste, seuls Bush, Cheney et Rumsfeld, ceux qui
détiennent les postes les plus en vue, ne sont pas Juifs.
5 Né en 1919, le British-Israël est une organisation politico-religieuse
liée à l’empire britannique et fondée sur une vieille idée voulant que
les Anglo-Américains seraient une ‘tribu perdue d’Israël’ (ou, comme
le révèlerait l’origine étymologique de ‘british’, le « Peuple de
l’Alliance » ; puisque B’rith = alliance, et ish = homme ou peuple).
Suivant cette logique, l’Amérique est la « Nouvelle Jérusalem » et il
revient au monde anglo-américain d’étendre son Saint Empire sur toute la
planète.
6 Dans son best seller « underground » Final Judgment, Michael Collins
Piper démontre que le président John F. Kennedy a été assassiné par le
Mossad israélien pour avoir catégoriquement refusé de financer le projet «
sacré » de Ben-Gurion de doter Israël du plus important arsenal nucléaire
après celui des États-Unis.
7 Pour en savoir plus, lire Le nouveau paradigme nucléaire, de Jimmy
Siles, dans ce même numéro.
8 Les Juifs et les Sionistes ont tort de traiter leurs opposants d'«
antisémites », car la plupart des Juifs d’aujourd’hui n’ont rien de
Sémite et sont en fait d’origine Ashkénaze, descendants des Khazars
Turco-Mongols de Russie qui, au Moyen-âge, se convertirent au judaïsme (ce
qui ne se fait plus aujourd’hui). Les Juifs qui ont colonisé Israël, leur
prétendue terre ancestrale, ont simplement pris un nom de famille hébreu
(Scheinerman - Sharon; Jazerniski - Shamir; Perski - Peres, etc.). Les
Palestiniens en revanche sont d’authentiques Sémites. Techniquement, l’«
antisémitisme » devrait désigner la haine des Arabes, comme le démontrent
la majorité des Israéliens et des rabbins talmudistes et sionistes qui
considèrent les Arabes et les Musulmans, de même que tous les non-Juifs
(Goyim: « bétail »), comme des êtres sous-humains, des animaux, une
vermine à exterminer. Ironiquement, c’est au nom des idéaux racistes « du
sang et du sol du Peuple élu » que l’État juif justifie le génocide des
Palestiniens, véritable Holocauste antisémite, de même que l’érection du
mur entourant la Palestine tel un véritable camp de concentration.
9 En fait, Ahmadinejad a simplement cité Khomeini disant que : « Le
régime qui aujourd’hui occupe Jérusalem disparaîtra un jour des pages de
l’histoire ».
10 « On est en 1938 et l’Iran est l’Allemagne. Et l’Iran est dans la
course à la bombe atomique », discours public de Benjamin Netanyahu, 14 nov.
2006.
Bibliographie:
BOARDMAN, T., The China-America Relationship in the 21st Century and the
Spectres of 1776
BOLLYN, C. 2007, Exposer le réseau Criminel Sioniste derrière le 9-11
HUDON, J. 2007, La mission canadienne en Afghanistan et le 11 Septembre
KNIGHT-JADCZYK, L. 2006, 9/11: The Ultimate Truth,
_, 2005, Le culte le plus dangereux du monde
MEARSHEIMER, J. J. & S. WALT. 2006, “The Israel Lobby and U.S. Foreign
Policy”, Harvard Un.,
MEYSSAN, T., 2007, L’Effroyable Imposture 2: mensonges et désinformation.
Éditions Alphée
PASTORE, A.D. PhD, 2003, An Independent Investigation of 9-11,
PETRAS, J., 2006, The Power of Israel in the United States, Clarity Press,
Inc., Fernwood Books
PIPER, M. C., 2007, The Golem: Israel's Nuclear Hell Bomb and the Road to
Global Armageddon, American Free Press
_, 2004, The High Priests of War, American Free Press
_, 1994, Final Judgment – The Missing Link in the JFK Assassination
Conspiracy, American Free Press
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