A la couche de l'horizon


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Bissecta
Petit nouveau
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Message Posté le: Mer Avr 11, 2007 22:24 pm    Sujet du message: A la couche de l'horizon
L'horizon attire tout à lui sur les chants ricanants de l'aurore à l'erreur roborative et bien souvent limitrophe par alliance démentes que poudre le courage des abysses bénins et balbutiés par les bulbes de la masse. Efface. L'amoureux glisse sur la capture des ratures à contraire, mais si sure, que la symphonie érige ses infinis de reflets de reflets de reflets qui te tissent le monde en une seconde. Lisse, toujours! Une rumeur. Assurance des clémences organiques durant la césures des ruissellements conscients mais sûrement pas confirmés par la charte des assassinats souhaités par tous. Démarrer le pavé. Des colonnes cascadent des cieux à certificat stellaire, ce passage des tortures amnésiques et privées, bien sur, sans glace que le vent ne saurait allumer d'un souffle de mots hystériques sur les radiateurs mis en place car ralentissant la croisée des destins. Légender aussi. Incarnation irisante. Cuire les molosses dans le jus des gosses avec Moloch qui s'en moque à présent que la truie n'est plus qu'a vomir sur la vierge et le saint esprit de mon vagin tout le temps dégoulinant en réponse à la voie lactée sans mamelle d'échos cloîtrés par crucifixion officielle des anges en adoration existentielle. Ces saignements de poisons sont nos heures sur la dépression de nos vies, tu as signé! Juste un signe! Besoin de voir les viscères de la nécessité de chaque individu à mort sure sinuant les falaises d'onyx éperdues d'hémoglobine en inscription principale pour vos futurs de porcs incapables de vivre, pour de vrai disait la belle dame sans merci. Quête totale. Et la fièvre des partances foudroyant et déchirant le combat dans les cieux, toujours espéré, visionné, non périmé par la gueule des industrialisations exponentiellement putrescibles où les rémunérateurs ne savent plus le sang du Munéra. Olwen je t'invoque au nom du genêt. Byanu mat dinon diom! Des lacs insensés sourient aux épées serpentines des enfances lacérées si son sourire lunaire réanime le rire dans les bois. Ô mon seigneur sort de ta dormition! Elles t'attendent toutes tendues… Epieu épidermique à pulsations possibles que palment la scansion des saisons du bitume à fissure sociale sans saturation semblable à l'improbabilité des accidents pathogènes mais sertissant la souveraineté de ses citées destructogènes. Un nombre meurt. Juste l'ouverture au napalm de drunes actuelles, vos sangsues, au sein de l'horreur, votre quotidien, décliné en enculade cosmique. Calvaire des caméléons bien trop honnêtes pour ne pas mentir le livre du vivre si ce n'est par mystification carnés au fil des tempos vitaux avec le gage de trouver un autre langage sans clés rassurantes au creux du lit, le berceau c'était aussi ainsi. Lune-moi. Recroiser la crypte des recorrections en récollections de bardismes cybernétiques en toute obscénité, toujours l'obscénité divine et fécondatrice, obscénité donc, qui mouille par son milieu en photosynthèse folle les fifres des fellations fulgurantes. Petite comptine sur le rétrocompteur des heures trop cathodiques en se croyant régent de sa propre durée spatiale. Je suis esclave. En traçant le cercle, des fleurs ont enflammé les actes fruitiers du tronc humanoïde qui sort cycliquement ses nouveaux essais. C'est la chance de la perfection, l'erreur. Et le ricanement de Diotima dans le noir. A dépasser tout comme le blasphème de notre mode de vie.

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