Bébé soleil


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Bissecta
Petit nouveau
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Message Posté le: Mar Avr 03, 2007 22:46 pm    Sujet du message: Bébé soleil
Le vent méthanique joue sur le terrain de jeu amoureux d’Elle-
Au silex que donne le crâne, viendra le murex en éjaculation syntaxique-
Sentir sur les ruines des corps, l’incendie prophétique de tous vos cœurs-
L’horizon doré n’a jamais cessé d’étoiler la rare raison d’une tour sans citation promise, juste la mise de l’envol vital-
L’or pétille au sein des dentelles du temple-
Le globe féconde le globe, grâce à la queue, celle du Saint axe, bien dit et soit entendu-
Toujours la marée des ombres, avant, dit la sextuple feuille qui s’adonne au nez de la Divinité afin de feinter le rite du poulpe quotidien, avec beaucoup de moqueries, quant à l’humilité : c’est tin du-
Divergence des spirales azurées, première coquille mondiale-
Tout ce que l’on veut c’est y être, avant d’avoir vu-
Mais, je vois l’égale en érection griffer la diagonale-




Le cuivre ondule-
Tissage numérique-
Ecrin nouveau à la Terre-


Coude à vulve et doigts en lèvre-
La sécrétion gicle sa danse de va-et-vient-
Le tube volcanique te cherche de l’œil-
Au quadrille des serres : la divine terreur-
Lorsque les terrasses de flammes ouvrent le cercle, l’œuf embrasse l’univers et lui fait plein de câlins-
Et les gouttes de pluie se mettent en chasse, rebondissant sur tout, à toute allure, leurs destriers de foudre, déchaînés invoquent les verges de safran luminescent qui ne pousse qu’au troisième œil, à la saison des champignons à âme en implosion-
Les ailes tapotent fébrilement la dernière tribu-
Notre lotus souffle la sentence des sept sérénités au delà du passage lumineux-
Le poisson laisse échapper des spires de nuées prédicatrices en traçant de ses nageoires sidérales le calice en espérance et qui mouille à l’abysse des sirènes-
Entre deux rochers, s’est perdu le bel enfant-
Ma révérence à la beauté pure, tapissée de cendres fécondées par les grandes cornes-
Toute seconde illumine le quanta-

Songe à déplacer-
Ecartèlement possible-
Souffler-
Souffler-
Souffler par l’harmonie de la Camarde-
BIG-BANG !
Amour, mes petits explosent la parcelle jusqu’à l’incendie cosmique-
Je tranche de flamme la lave en folie, j’éclate les membranes de nos chers ânes aux sexes de nano-robots, je lacère la félicité virtuelle sur l’écran crissant, la mouille aux lèvres, plus désireuse que vos rêves programmés-
La hache bissecte fantasque des claques parthénogéniques à combustion rapide-
Comment faites vous pour ne pas la voir ?-
Puisqu’Elle est là-
L’écume dore l’empire du geste-
Gouverner par des vagues qui ont noyé l’oreille---
Flûte ma vie, petit ruisseau sait sa laisse adorée-
Des points se suivent en comète-
Constellation possible-
Recueil cosmique-
Les oghams galopent dans le ballon qui sait faire resurgir-
Au bain orgasmique, l’eau dévoile les pentes de la levée minérale des cascades, bien trop coquines et sibyllines, mais pas rouquines-
9 grillons qui caquettent au scintillement de la nuit extatique-
Ô inondation !
Soit !
Des vagues de mercure affrontent des vagues de lave-
Au milieu, l’électricité est miroir-
Bleu aussi-
Le pic désigne ce dessein-
Destin tintant avec la fourmi-foudre des cervelles en étincelles fluides-
C’est une araignée sans pattes qui a tissée 13 toiles.
Un voile de braise descend des cieux afin de consoler la terre toute puissante-
Une roue qui signe-
Onde de vocable-
L’orage lâche ses perles atomiques-
La mort en nourrice loyale berce la vie en chantant l’infini-

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