STOP à l'intolérance!


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Capsule
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Message Posté le: Mer Mar 28, 2007 19:00 pm    Sujet du message:
Je ne vois pas en quoi je suis intolérante ou irrespectueuse de qui que ce soit.

Vous pensez pas que rabaisser ou critiquer des personnes sur leur post est plus intolérant que de lancer l'une ou l'autre réplique cinglante?

...
Térébenthine
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Message Posté le: Mer Mar 28, 2007 19:23 pm    Sujet du message:
@ Capsule:

Le respect est une valeur qui est valorisée pour soi-même par l'intolérance et l'irrespect qu'on voudra bien porter aux autres. Malheureusement pour toi, tu ne possèdes pas assez de charisme pour tout juger "parfaitement". Certains ici le peuvent.

En d'autres mots, Capsule a une opinion mais ce n'est que l'opinion de Capsule. Tu peux manquer de respect aux autres mais que cela ne dépasse pas le niveau de respect que les autres te porte. C'est l'évidence même.
Silver Mercure
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Message Posté le: Mer Mar 28, 2007 19:33 pm    Sujet du message:
La tolérance véritable et toutes les qualités altruistes en général se pratiquent dans la discrétion et la modestie, il est invraisemblable de s'en vanter.

et l'on voit toujours mieux chez les autres les défauts que l'on se connait à soi-même.
HAL
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Message Posté le: Sam Mar 31, 2007 11:58 am    Sujet du message:
Je pense que nous sommes tous "primairement" intolérants, dans le sens où c'est notre éducation et notre ouverture aux autres (donnée, entre autres, par la culture), qui nous permet d'être tolérant.
L'intolérance est le fait de ne pas accepter l'autre, ses manières de penser, d'agir... Or nous tolérons l'autre tant qu'il n'empiète pas sur nos plates-bandes, ou au-delà, si nous avons été éduqué a essayer de comprendre ses différences et/ou à défaut, de s'en accommoder.

Je pense par exemple que le racisme est un réaction primaire que l'on a tous : notre éducation (et notre intelligence, spéciale dédicace aux fans de Jean-Marie Cool ) peut nous en sauver en nous rappelant que désigner/stigmatiser une population est toujours l'idée la plus simple mais jamais la plus juste (cf. les immigrés italiens et espagnols dans les années 20, à l'image des immigrés algériens aujourd'hui). (re)lisez les Ritals de Cavanna !

Hal
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Message Posté le: Sam Mar 31, 2007 14:29 pm    Sujet du message:
Bref la tolerence c'est la langue de bois...alors je suis d'accord avec Capsule (dont certain prendrait plaisir à décapsuler...des gens trés tolérents)...la vie ne vaut que si on réagit avec sa tête et non des doctrines auquelles on adhère. (même dans la Drôme)
Blokos
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Message Posté le: Dim Juil 22, 2007 09:34 am    Sujet du message:
aahhhh l'intolérance quel belle invention pour parler de ce que l'on n'arrive pas a comprendre a actépter a faire soit meme.
l'intolérance c'est la lacheté l'ignorance la faible largeur d'ésprit heu je n'aime pas lire/entandre des propos intolérant heu... c'est de l'intolérance ?
dans la situation de la scociété j'ai malheureusement a te dire que l'intolérance doit encore faire avancé l'humanité par des erreurs plus monstrueuse et horrible les une que les autres

horrible=au fait c'est un sentiment que l'ont ne peut comprendre que durrant le bref(et pourtant si long)instant ou tu réalise que la seule que tu ai jamais aimer est morte.

en gros l plupart des gens ne peuvent pas comprend 100% ce chaque élément dans leurs vie a savoire des milliards de milliards de choses sentiements émotions donc personne ne ce comprend réelement ni soit-meme ni l'autre l'intolérance c'est le début le millieu la fin et le recomancement de toute choses.
quand on comunique c'est pour voir donc apprendre chacun combat sa propre ignorance de sa naissance a sa mort c'est la raison pour laquel je ne peut pas haïr plusieur minute d'affilé ni meme ressentire la pitié quand tu aurra toi meme dans ton fort intérieur compris cela tu aurra fait un long chemin seul et tu pourra alors changer de but sans regret

Je suis space ? nan j'entand juste mon inconsient qui pense dur a vivre mais chacun sa me***
Méphistophélès
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Message Posté le: Dim Juil 22, 2007 13:28 pm    Sujet du message:
Entendez, mes bons amis, les très saints borborygmes d'une société idéalisatrice. Avez-vous jamais songé que tout ce vous nommez "tolérance", "respect", "égalité", bref, ce que l'on entend par "bons sentiments", ne puisse-t-être - somme toute - qu'un consensus social ? Un ensemble de règles sans fondement, édictées par le plus grand nombre, sous couvert de morale judéo-chrétienne ? Au fond, qui peut juger de ce qui est bien ou de ce qui est mal, de ce qui est correct ou non ? Si l'on écarte l'hypothèse qu'il y ait un Dieu omniscient et omnipotent pour nous montrer le droit chemin, comment pourrions-nous - et surtout - de quel droit vanterions nous les mérites de la bonté sur l'égoïsme, de la tolérance sur le rejet ? Sur quels critères nous basons-nous pour juger de la pertinence de nos valeurs ? C'est là une question que ce sont posés un certain nombre de philosophe et d'écrivains.

Sade bien évidemment est le premier auquel l'on pense; celui-ci affirmait que la nature seule devait dicter notre conduite: ainsi, céder à nos élans primitifs tels que l'égoïsme, le désir, la jouissance n'étant pas un mal, mais bien au contraire, la plus brillante et sublime forme d'honnêteté. L'on retiendra notamment, comme vecteur de cette idéologie, la Philosophie dans le boudoir.
Rousseau, et à sa façon, Diderot au travers de son Supplément au voyage de Bougainville, condamnaient eux aussi la civilisation, l'accusant de substituer à notre vraie nature, un ensemble de conventions avilissantes, nous conduisant à nous renier dans le seul but de ressembler à quelque fantasme: c'est tout le mythe du pédant et de l'honnête homme. La culture opposée à la nature.
Le mythe de Faust par Goethe, repris un peu plus tard par Pauwels, mettent en scène le diable non pas comme un condensé de tous les malheurs et les vices du mondes, mais comme un être savant, un philosophe tirant sa sagesse de sa capacité à voir au-delà de la dichotomie première entre Bien et Mal. Et le Dialogue aux Enfers entre Montesquieu et Machiavel par Joly, somme toute, ne dit pas autre chose.
Citation:
"Vous comptez pour rien les bons sentiments ?
-Pas pour rien, pour des tracas."

Président Faust
- Louis Pauwels

J'en resterai là pour les illustrations.

Il apparait à la lumière de ces diverses références que nous n'avons aucun moyen, en soi, de démontrer la véracité de nos valeurs. "C'est évident", diront certains, "tout le monde le sait", diront les autres. J'ai tendance à me méfier de ce qui semble évident, de prime abord. Car à force d'évidence, on finit par ne plus remettre en cause ce qui, pourtant, est loin d'aller de soi: je fais notamment allusion à la croyance, à la foi.
Il serait intéressant de s'interroger sur les racines de la morales, d'où peuvent nous venir de tels commandements ?
La nature et la physique n'y sont vraisemblablement pour rien: en effet, il semble peu probable que cette dernière insuffle à l'homme des besoins (jalousie, violence, méchanceté, ...) que sa morale réprime. Cela me fait dire que la morale est culturelle, fondamentalement culturelle. Elle est le fruit de nos expériences, de notre empirisme, d'une lente évolution de l'homme à travers les âges. Or, si la morale est empirique, sa pertinence est-elle démontrable pour autant ? Certes non, nous l'avons vu. Est-elle raisonnée ? Bien au contraire, la morale est affirmations, axiomes, tandis que la raison tend à argumenter chacune de ses assertions. Alors, la morale ne serait que croyance, et en tant que telle, rien en soi ne pourrait justifier sa supériorité sur ce qui est de l'ordre de l"'immoral". Si l'on ne peut la démontrer, comment ne pas établir le rapprochement avec la religion ? Sade le note avec beaucoup d'humour: lorsque l'Eglise catholique était faible, que ses pratiquants étaient martyrisés, elle prêchait plus que jamais la nécessité de venir en aide aux faibles et aux pauvres. Par intérêt, car il est dans l'intérêt de l'opprimé que de demander au fort de ne plus le dominer.

Dernière question, tous nos "bons sentiments" sont-ils utiles à l'homme à défaut d'être pertinent ? Je le pense, oui. Si l'on s'intéresse plus avant à ses commandements, que nous disent-ils ? Respecter autrui, vivre en bonne intelligence avec lui, ne rien faire qui soit vecteur de conflit. La morale se fait catalyseur de l'ordre social; et la justice, celle-là même qui juge et condamne en fonction de ses critères en est la plus cinglante concrétisation. Sans morale, il n'y a pas de justice, sans justice il n'y a pas d'ordre, sans ordre, il n'y a pas de société; pour autant, l'homme a-t-il le droit de juger autrui ? De considérer tel acte comme bien et tel autre comme mal ? Assurément pas, ce droit, elle l'usurpe au nom de l'intérêt du plus grand nombre. Il s'agit là d'un critère de socialisation comme un autre.
Blokos
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 03:26 am    Sujet du message:
Méphistophélès tu es tomber HS en 2 ligne Wink
et puis les pauvres ils viennet peut-etre pas pour lire les andouilles comme nous Very Happy
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 06:58 am    Sujet du message:
Moi j'aime bien lire les andouilles Wink
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 13:19 pm    Sujet du message:
Je n'ai fait, somme toute, que poursuivre sur le HS collectif.
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 14:07 pm    Sujet du message:
maince encore cette bétise que j'ai de up les vieux sujets... celui-ci était de mars...bah de toute façon j'ai rien de mieu a faire il fait pas beau chez moi et mes potes sont tous partie a la plage et ma télé est meme pas arriver je l'attand depuis 2 semaines vous feriez quoi vous a ma place parce que j'ai plus trop d'idées XD
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 14:28 pm    Sujet du message:
Ca pour être vieux, il est vieux ton sujet. Je n'avais pas fait gaffe.
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 17:07 pm    Sujet du message:
bon c'est décidé je vais me pendre....ou est ma corde ?.....maince et y a meme pas de poutre !! et je suis trop timide pour me défenéster les cachton je peut pas j'ai pas de gaz dans ma cuisine je peut pas me coupé les veines(c'est pas propre) et j'ai vu que les empoisonnement a la télé ca ne marche qu'une foit sur 10 alors la je suis mal j'ai plus qu'a crever d'ennuis Very Happy
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Message Posté le: Lun Juil 23, 2007 17:52 pm    Sujet du message:
Lis un Stendhal: c'est radical.
Ragamatek
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Message Posté le: Jeu Sep 20, 2007 14:17 pm    Sujet du message:
je te comprends tout à fait avant hier il c passer un truc de dingue je suis passé devant une aire de jeux et là, 5 mecs me balançais des caillou plus gros que ma main a la gueule et je suis allé leurs demander pourquoi il faisait sa la seule réponse que g eu c : té grosse té moche.
mais je leurs est dit que si il ne me regarderais pas il n'aurait pas besoin de m'insulter enfin a un moment donner j'ai due appeler là police, car j'ai esquiver un coup de poing...imaginez le courage qu'ils ont 5 mecs qui s'attaque a une personne seule.... en tout cas je comprendrais jamais le besoin de certains d'insulter et de rabaisser les autres, en plus ses personnes là devrait se regarder avant d'insulter les autres comme je leurs est dit : pourquoi vous avez besoin d'insulter des gens que vous ne connaissez pas ? c pour sentir que vous êtes des hommes alors que vous êtes tout simplement lâche ! enfin bref se qui m'avais énerver c d'en venir au point d'appeler là police ! voilà mon coup de gueule !
oeildenuit
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Message Posté le: Dim Sep 30, 2007 22:57 pm    Sujet du message:
Dur temoignage , et tellement vrai .

J'ai peur en lisant ce topic de l'amalgame enrome que les gens font entre mechanceté et tolérance ...

++

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