Eric Lapointe est placé sous surveillance médiatique


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Gerry
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Message Posté le: Lun Mar 26, 2007 05:30 am    Sujet du message: Eric Lapointe est placé sous surveillance médiatique


De plus en plus instable, le rockeur québécois Eric Lapointe, un réputé buveur, vient d’être placé sous surveillance médiatique 24 heures sur 24 selon ce qui fut rapporté dans les tabloïds dimanche matin.

« Eric est dans une spirale descendante depuis plusieurs mois, » nous a raconté le compositeur Roger Tabra lorsque rejoint à domicile. En septembre dernier, le rockeur qui était loadé comme un gun se serait rendu chez Tabra pour y puiser des textes pour son prochain Album. Dès la première chanson choisie, Tabra savait que les choses ne tournait pas rond. « Il m'avait dit qu'il aimait bien une de mes nouvelles chansons en particulier et m'avait tendu la feuille qu'il avait choisi mais quand j'ai lu le titre j'ai su qu'il avait peut-être un peu trop forcé sur les shooters. »

Lapointe avait choisi, sans le savoir, la chanson "N'importe quoi" que Tabra avait composé pour lui en 1995. « Je lui ai dit, Eric on l'a déjà fait celle-là. Il m'a dit: Voyons! Niaise-moi pas! Ca va être bon je le sens »

Tabra n'a pas osé contredire le chanteur qui, malgré ses 5 pieds 2 pouces, peut être violent à ses heures. « C'est comme ça que la chanson est ressorti une nouvelle fois en novembre 2006. En toute honnêteté, je dois avouer qu’Eric l'interprétait mieux en 1995 alors qu'il ne fumait qu'un demi-carton de cigarette par jour. »

Débutant une nouvelle tournée récemment Lapointe, qui n'aime pas avoir le trac, a décidé de ne se présenter au bar que cinq minutes avant que le spectacle ne débute. « C'est aussi parce que la bière coûte moins cher s'il l'a boit dans son auto au lieu d'à l'intérieur du club, » nous raconte son frère Hugo. « J'ai toujours vu mon frère bien saoul mais j'ai juste commencé à m'inquiéter la semaine passé quand il s'est mis à oublier les textes de ses chansons. » Chanteur à ses heures, Hugo Lapointe nous livra quelques-unes des nouvelles lignes interprétées par Eric sur l'air de N'importe quoi:

Tu m'avais dit, "Maudit qu'tu bandes mou"
Faudrait que je prenne du viagra
Dans ma bouche, y a comme un drôle goût
Commande-moi un gin soda


« On arrive vers une étape critique de la vie de Lapointe. Ayant abusé de drogues, alcool et cigarettes pendant des années, on peut s'attendre à ce que cela se termine de façon explosive, » explique Herbie Moreau de Star Système. « C'est pourquoi c'est essentiel que nous gardions nos caméras pointés vers lui à tous moment. »

Lapointe qui a déjà fait deux séjours en prison pourrait bien s'y retrouver à nouveau s'il devait craquer complètement. C'est pourquoi les équipes de Flash, Star Système, La Semaine, Samedi Magazine et plusieurs autres doivent le suivre dans tous ses déplacements.

« Eric Lapointe est très vulnérable et a besoin de nous en ce moment, » explique Monsieur "Bonne semaine", Claude J. Charron, qui a sorti un nouveau magazine nommé Samedi Magazine récemment. « S'il se retrouve accusé de voies de fait conjugales ou qu'il se fait prendre en train de solliciter une prostitué ce sera une terrible tragédie, absolument. Mais si cela arrive, il pourra au moins se consoler en se disant que sa souffrance et sa honte sont partagés par des millions de spectateurs contrairement à son séjour dans la prison de la République Dominicaine où nous n'avions aucune caméra. »

Les médias se sont donc réunis pour Lapointe, lui consacrant du temps d'antenne, des couvertures de magazines et même des caméras qui filment en temps réels sur l'Internet dans leurs efforts de le garder sous observation constante.

Sa mère Doris explique que son fils Eric lui emmène toujours des fleurs lorsqu'il lui rend visite. « Eric est l'une des personnes les plus généreuses que j'ai connu dans ma vie, » explique-t-elle. « Il est aussi le seul gars que je connais qui est capable de vider une caisse de 12 en moins d'une heure à lui tout seul. »

Claude J. Charron, éditeur pour la semaine connaît bien les dangers de l'alcool. « J'ai bien peur que ce ne soit qu'une question de temps avant qu'on le retrouve sans pantalon sur St-Laurent, demandant aux passants de lui fournir une cigarette pendant que des policiers tentent sans succès de lui passer les menottes. »

« Lorsque ce terrible évènement se produira, » Charron continue, « Je ne peux que prier qu'un de mes journalistes, ou même n'importe quel journaliste, sera là pour tout capturer sur pellicule. »

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