| Alexandre-le-très-petit Actif
 
  
  
 Sexe:
  Age: 35
 Inscrit le: 24 Jan 2006
 Messages: 589
 Localisation: Dans la coque du parapluie
 
 | 
            
                Quand tu étais somnambule Posté le: Mer Déc 13, 2006 12:26 pm    Sujet du message: L'escalier sans barbe je t’ai embrassé le scalp
 sous tes cheveux
 
 Ça sentait assez fort le ricanement du piano blanc à queue blanche
 
 
 
 Sur un fond noir.
 
 Sourire se mue
 sourire se balance
 Balance qui s’éclate à jouer sur les méandres Au-delà des suggestions
l’animal maritime.
 
 Caché à présent sous les oreillers
 il parle bruyamment de cire de coliques névrosées
 
 
 
 
 et d’autres choses
 
 Virevolte mais non la révolte
 qui crache et frappe des coups sourds
 à la trompe
 ennuyeuse des lionnes
 
 
 Trois rentrées dans la pieuvre fumante
 des jalons parsemés sur les calembours
 et de la paresse teigneuse
 
 
 
 Griffonner le papier comme un coup de griffe sur le plafond
 
 
 L’empreinte est tachetée de nouveaux obus
 qui battaient
 le silence
 comme une cape
 claque
 dans le grand froid
 
 
 Le mur est un grand rideau de scène
 Les bougies parlementent avec
 
 lenteur
 
 et parfois
 
 quand l’une d’entre elles s’assoupit
 
 un grand rugissement fort comme le néant l’attrape par la plume
 
 
 
 
 On récite des vers disloqués.
 | 
	
		| Invité 
 
 
 
 
 
 
 
 
 | 
            
                « Je crois qu’on commence à devenir fous. » Posté le: Mer Déc 13, 2006 21:22 pm    Sujet du message: «  Non, on l’est déjà. »
 
 Oh oui Eliane, touche ma barbe.
 | 
	
		| Ps De passage
 
  
 
 Sexe:
  
 Inscrit le: 12 Déc 2006
 Messages: 22
 
 
 | 
            
                Griffonner le papier comme un coup de griffe
sur le plafond Posté le: Jeu Déc 14, 2006 15:19 pm    Sujet du message: 
 
 L’empreinte est tachetée de nouveaux obus
 qui battaient
 le silence
 comme une cape
 claque
 dans le grand froid
 
 
 Le mur est un grand rideau de scène
 Les bougies parlementent avec
 
 lenteur
 
 et parfois
 
 quand l’une d’entre elles s’assoupit
 
 un grand rugissement fort comme le néant l’attrape par la plume
 
 
 
 
 On récite des vers disloqués.
 
 j'aime ce passage.
 je comprends ton attirance pour le suréalisme (que je n'éprouve pas plus que
cela);
 ce passage est cohérent, ainsi il projette le lecteur au lieu de se projeter
tout seul, contrairement à la première partie.
 je ne pense pas que tu doives t'attarder sur le surréalisme. mais c'est
sûrement une étape qui t'es nécessaire.
 
 quelqu'un.
 | 
	
		| Invité 
 
 
 
 
 
 
 
 
 | 
            
                Cette fois, c'est charmant. Posté le: Mer Déc 20, 2006 21:44 pm    Sujet du message: 
 Mais c'est trop à la mode.
 | 
	
		| Alexandre-le-très-petit Actif
 
  
  
 Sexe:
  Age: 35
 Inscrit le: 24 Jan 2006
 Messages: 589
 Localisation: Dans la coque du parapluie
 
 | 
            
                La mode est passagère, mais je n'y peux rien si je tombe dans la mauvaise
saison. J'irais prendre un parapluie pour m'abriter la prochaine fois. Posté le: Mer Déc 20, 2006 22:03 pm    Sujet du message: | 
	
		| Invité 
 
 
 
 
 
 
 
 
 | 
            
                Je sous-entendais que tu la suivais, et non qu'elle te suivait. Posté le: Mer Déc 20, 2006 22:52 pm    Sujet du message: | 
	
		| Aelys De passage
 
  
  
 Sexe:
  Age: 35
 Inscrit le: 07 Déc 2006
 Messages: 26
 
 
 | 
            
                sans doute très bien dans son genre. Posté le: Jeu Déc 21, 2006 21:25 pm    Sujet du message: Moi, j'accroche pas, trop décousu, désolée ^^ (pas ta faute !)
 |