Paradoxe
De passage
Sexe:
Inscrit le: 18 Mai 2006
Messages: 62
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Posté le: Mer Déc 06, 2006 00:50 am Sujet du message: Un matin d’octobre
Un matin d’octobre
J’ai mis du temps avant de dire tout ça
Du temps avant de dire que ce matin là
Les mots n’avaient plus rien à dire
Qu’ils n’avaient rien d’autre à faire
Rien d’autre à faire que de se taire
Et nous, on n’avait qu’à se sourire
Depuis nos cœurs battent plus vite
Depuis les heures passent plus vite
Il a suffit d'un matin d'octobre
D'un moi un peu plus sobre
Pour quitter la solitude,
Pour rendre la vie un peu moins rude
C’est avec elle que tout vibre
C’est avec elle que tout est un peu plus libre
Elle est un peu comme le ciel
Elle un peu comme le soleil
C’est avec elle que je vois l’horizon
C’est avec elle que je perds la raison
Elle a ce que les autres n’ont pas
Comme si elle avait été faite pour moi
Il a suffit d'un matin d'octobre
D'un moi un peu plus sobre
Pour quitter la solitude,
Pour rendre la vie un peu moins rude
Ce matin là, l’hiver s’est enfui
Ce matin là, la route s’est éclaircie
Les couleurs ont repris le dessus
Bien plus que je ne l’aurai cru
Juste son regard dans le mien
Juste mon corps à coté du sien
Un matin pour combler la nuit
Pour l’aurore d’une nouvelle vie
Il a suffit d'un matin d'octobre
Pour que je lui appartienne
Il a suffit d'un moi un peu plus sobre
Pour qu’elle soit mienne
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taragone
Petit nouveau
Inscrit le: 13 Déc 2006
Messages: 18
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Posté le: Mer Déc 13, 2006 14:21 pm Sujet du message:
l'amour a ses raisons que la raison ignore,
et le temps d'un instant je me sens déjà pus fort,
l'insouciance qui me suit, depuis ce matin là,
ne m'aura rien appris mais je l'aime pour ça.
je n'ai plus besoin, de savoir et de connaissances,
j'ai juste besoin d'elle, de sa simple présence.
on me dira fou! on me dira bête! qu'importe!
je sais au fond de moi, que ma muse secrète,
ne m'invitera plus si c'est amour s'arrête.
alors, en dépit de ce qu'en disent les gens
je continue de vivre, ainsi, content, et demain peut-être je serai
malheureux....je me souviendrai qu'hier, ma foi, j'étais heureux.
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