ma vie


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la-romantique
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Message Posté le: Ven Déc 01, 2006 21:47 pm    Sujet du message: ma vie
Cédric Monique

J’essaye d’écrire un livre sur ma vie sur tout ce que j’ai vécu. J’aipas fini il manque l’audition contre mon grand-père qui ce passerai lundi et mon hospitalisation à Nice. Et puis plein de petit details
Mais j’aimerai avoir votre avis
JE suis née un jour de neige le jeudi 21 janvier 1988. Ma vie a mal commencé : je suis handicap.
Ma mére a fait un arret cardiaque avant de me mettre au monde. J’ai manqué d’oxygène.
Toute ma vie fut un combat en permanence les médicéens me donnait pu d’espoir et pourtant j’ai 18 ans aujourd’hui. Ma vie fut un parcure du combatant pour mes parents et mon frére de six ans.

La nuit est belle, l'air est chaud et les étoiles nous matent
Pendant qu'on kiffe et qu'on apprécie nos plus belles vacances
La vie est calme, il fait beau, il est 2 heures du mat'
On est quelques sourires à partager notre insouciance
C'est ce moment là, hors du temps, que la réalité a choisi
Pour montrer qu'elle décide et que si elle veut elle nous malmène
Elle a injecté dans nos joies comme une anesthésie
Souviens-toi de ces sourires, ce sera plus jamais les mêmes
Le temps s'est accéléré d'un coup et c'est tout mon futur qui bascule
Les envies, les projets, les souvenirs, dans ma tête y'a trop de pensées qui se bousculent
Le choc n'a duré qu'une seconde mais ses ondes ne laissent personne indifférent
« Votre fils ne marchera plus », voilà ce qu'ils ont dit à mes parents
Alors j'ai découvert de l'intérieur un monde parallèle
Un monde où les gens te regardent avec gêne ou avec compassion
Un monde où être autonome devient un objectif irréel
Un monde qui existait sans que j'y fasse vraiment attention
Ce monde-là vit à son propre rythme et n'a pas les mêmes préoccupations
Les soucis ont une autre échelle et un moment banal peut être une très bonne occupation
Ce monde là respire le même air mais pas tout le temps avec la même facilité
Il porte un nom qui fait peur ou qui dérange : les handicapés
On met du temps à accepter ce mot, c'est lui qui finit par s'imposer
La langue française a choisi ce terme, moi j'ai rien d'autre à proposer
Rappelle-toi juste que c'est pas une insulte, on avance tous sur le même chemin
Et tout le monde crie bien fort qu'un handicapé est d'abord un être humain
Alors pourquoi tant d'embarras face à un mec en fauteuil roulant
Ou face à une aveugle, vas-y tu peux leur parler normalement
C'est pas contagieux pourtant avant de refaire mes premiers pas
Certains savent comme moi qu'y a des regards qu'on oublie pas
C'est peut-être un monde fait de décence, de silence, de résistance
Un équilibre fragile, un oiseau dans l'orage
Une frontière étroite entre souffrance et espérance
Ouvre un peu les yeux, c'est surtout un monde de courage
Quand la faiblesse physique devient une force mentale
Quand c'est le plus vulnérable qui sait où, quand, pourquoi et comment
Quand l'envie de sourire redevient un instinct vital
Quand on comprend que l'énergie ne se lit pas seulement dans le mouvement
Parfois la vie nous teste et met à l'épreuve notre capacité d'adaptation
Les 5 sens des handicapés sont touchés mais c'est un 6ème qui les délivre
Bien au-delà de la volonté, plus fort que tout, sans restriction
Ce 6ème sens qui apparaît, c'est simplement l'envie de vivre.
Texte de grand corps malade.



Les moqueries je connais et je compte bien en faire face un jour tiens un jour quand j’étais en CM2 : on avait un cross annuélle le profeseur de spore s’est fait un al malin plaisir de mes faire crourrir avec les cp. Il l’annoce devant la classe ! j’étais hors de moi je mez pouvais rien faire

Un jour, j’avais spore et j’avais pas mangé, on jouait avec Mel’ aux cerceaux je suis tombé et j’étai à l’hospital. Je m’en souviens encoure.
Les moqueries ont toujours continué et partout. Hélas !


Seiji,

Notre histoire à commencer le jour de ma deuxiéme rentrée de CE2.
Je me souviens que j’étais triste d’avoir redouble et d’avoir quitter Pierre & Sebatien

Je ne pense pas que nous nous sommes mis l’un à côte de l’autre le perniére jour. Mais petit à petit on s’est rapproche. En pause, nous jouiont ensemble j’étais ta Granysimite et toi mon Soja

Peu ti à peu ti je t’ai aimé. Mais le probleme s’était que j’avais trop vite grandi et toi tu n’étais qu’un enfant. Je te vois en Homme comme tu dois l’étre aujourd’hui.

Tu étais intéligiant comme aujourd’hui. En 6 éme la vie a fait que nous nous sommes séparrés. Toi tu étais doué moi rien. Je pense souvent à toi mon Seiji.

A causse d’une dispute tu m’as plus jamais parler. J’étais trop jalouse de la bauté de Marine et de Anne. Et puis la vie, nous a retrouvés, j’avais

Avec toi, c’étais la silence notre moyen de paroles tu m’a beaucoups manque je ne pouvais pas parler de ce que je vivais chez mes grand parents avec toi. Mais si je ne pouvais avec toi avec qui j’aurai pue ?





Seiji,
Mon permier amour sera toi pour toujours,
Bien que la vie nous a joue des tours
Tu es toujours prés de moi
Dans un coins de mon cœur

Ta mère j’en étais jalouse
Si bel si intelligeant
Que tu étais à mes yeux
La vie nous a maudit

Tu es où ? Mon sojas
Ta granysite t’appelle
Et te demande où tu es ?
En France ? au Japon ?









Ma tante,

Cette lettre, je te l’adresse seule. Sans personne comme fut mes 10 ANS dernières. Malgré que le silence, qui n’est qu’un simple château de sable, j’ai parlé seule.

Je me suis pas là pour te dire ce qui sait passée car au fond de toi, tu le sais ! Mais pour te demande d’avoir confiance en toi et en moi.

La curabilité n’a pas lieu d’être, Ma Tante, mais comprend que l’avenir est plus présie que le passée. Pense deux second, à tes enfants !

Moi, ma cousine et Julien avons vécu l’insce d’un grand pére et d’une grande mére qui me mérite ce titre.

Je suis venu sur la côte d’Assur pour « oublier ». Mais non ! ma range fut plus fort que ces souvenir : acts, films couteau … m’a fait que ravive cela.
voici ce que nous avions tous vécu et que l’on vit encore intérieures.

Cela se passait toujours après le repas de midi. Nous (les enfants) allons regarder un cassette dessin animé. Notre grand- père venait et change de cassette pour nous mettre un film promo.
Un grande majeur partie c’était des adultes noir ou asiatiques soumirent à des « blancs ».
Je te jure que je ne voulait pas ! il nous demandait à nous déshabité. Ce que je refusais toujours au début. Mais vers la fin, je le fessais seule.
A noté deux chose, la pièce était isomérie et qui a fait un couteau cachait sous le petit canapé à une place.
Il me (et à Tiffany) de lui faire une fellation. Apres moi, je vomissais pas Tiffa. Julien regardait et disait « tu as le droit papy ! » Non l’inceste personne n’a le droit de le faire vivre et encours moins de le vivre.
Je vomissais toujours. Mamy regardait travers la serrure.


Pour ce faite, j’ai l’éspoire de voire enfin (j’espère) la fin d’une dépressions long de deux ans : avec mil et une fois l’envie de disparaître à tout jamais. Mais j’ai des parents, un frére et deux grand amis qui m’aiment. nous oublions pas Julien.

Pour Tyffanie et mon Loïc, j’écris cette lettre. Je me sens seule d’avoir parler malgré mon entourage.

Je sorti très peu. Pourquoi privé ma vie et celle de tes trois enfant ? parce la peur d’être vu de ces pitoyables grands-parents me hante, pour ma part.

Pense à tous ça, ton seul devoir de mêre est de laisser les enfants parlé.

A note, que l’argent ne fait pas revenir l’enfant joyeuse ratée.

Je suis là, Ma tante, écris moi réfléchi bien que le regret ne te hante pas un jour.




Comment trouve t-on à dix huit ans, les mots pour parler d’amour ? Je ne sais si l’on peut dire que l’on a connu l’Amour à cet âge-là. Moi, je pense malgré tout, que oui !

Cet été-là, j’avais 16 ans ; l’une de mes cousines allait se marier. C’était également, la dernière année, que je vis mon arrière grand maman. Un mois avant, mon grand oncle, le grand père de la future mariée, nous avait quitté. Il est mort pour les autres, mais pas pour moi : Il était juste « parti en voyage ». Cette année-là, j’avais aussi eu mon brevet, et je n’avais cessé de penser à un homme au Portugal.

Mais avant de vous raconter, l’été de mes 16 ans…
Sachez qu’un été auparavant, l’été de mes15ans, l’amour de ma vie est né.
Fernando et moi, nous nous connaissions depuis toujours. Il vivait au Portugal, dans le village natal de mon grand père.

Une dame du village, m’avait raconté que lorsque j’ai fait mes premiers pas, Fernando était là. Elle m’avait raconté que mon père m’avait posé à terre, et que Fernando était assis à une table : j’avais quitté les bras de mon père pour prendre la main de Fernando. Je n’avais que trois ans, et déjà, j’allais vers lui.
Croyez-vous au hasard ? Moi, non ! (roman)

C’était un certain jour de beau temps. Nous étions seuls. Mon grand père lui avait confié le café. Et il m’avait dit de surveiller Fernando. Nous restions tous les deux. Fernando faisait … le clown, l’idiot : il n’était pas saoûl pourtant, mais il voulait me faire rire. Comme d’habitude !

Mais, moi ? Rien ! je restais impassible et immobile. Je n’avais qu’une seule envie, qu’il m’embrasse. La télépathie avait marché et notre amour est né ce jour là !

Au village, je pense que beaucoup de personnes avaient compris, qu’un jour, la complicité que nous avions, tous deux, allait nous emmener jusqu’à l’amour.
(…)

Malgré le fait que tout devait nous éloigner : l’âge, nos familles, nos modes de vie… mais tout cela n’était que dans l’apparence.

Deux jours après ce baiser, je retournais en France. L’année qui passa, n’avait pas été belle mais rapide, très rapide ! heureusement ! le souvenir que je garde : sont mes derniers jours sur Paris et que j’avais eu mon brevet. Je l’avais promis à Fernando.

L’été suivant, nous retournâmes au Portugal. Il allait être pour moi, le plus important de ma vie.

Fernando vivait depuis plus dix ans avec une femme. Ils n’ont jamais eu d’enfant. Mon grand-père, m’avait dit « Heureusement ». Ah ! Mon grand-père, mauvaise langue ! Non, il avait raison.

Moi, petite, j’avais vu cette « bonne femme » le taper. J’étais petite, j’avais huit ans. Mais j’entends encore les coups.

J’avais peur de lui dire que je l’aimais. Lui, tout le village savait qu’il m’aimait. Je ne sais pas pourquoi nous ! Rosa, une dame de l’âge de ma grand-mère, me le disait… Elle parlait de lui, avec beaucoup de tendresse.

A ce moment-là, je comprenais pourquoi l’ex compagne de Fernando ne me supportait pas. Tant pis pour elle ! Et de toute façon, elle n’avait jamais aimé Fernando. Lui non plus d’ailleurs, ne l’avait jamais aimée.

Un jour je lui avais demandé pourquoi il vivait avec elle, s’il m’aimait. Il m’avait répondu qu’il m’attendrait

Quelques jours après, ma première fois ! L’été de mes seize ans. Voilà, pourquoi ce fut si important pour moi ! enfin, je pense que c’est surtout un très beau souvenir. C’était une après midi d’été, Et j’avais peur… plus la peur de lui dire que je l’aimais. Mais je savais que nous n’avions pas le droit ! Je me souviens, de mes petits doigts, j’avais ôté les boutons de sa chemise… De ses yeux noirs, ses mains si douces et de la musique de nos deux souffles.

J’avais dis à tant d’hommes, que je les aimais. Trop sûrement ! Mais pour aucun, ce n’était vrai… sauf pour lui, bien sûr !

Le soir même, nous dînions dans le café familial, j’étais silencieuse.. Fernando était face à moi. Nous nous regardions, tout le long du dîner. Les gens parlaient, criaient, sans doute. Moi , je ne les entendais pas. Je ne pensais qu’à nous , qu’à l’après midi que nous avions passée ensemble : L’avions-nous volée au temps ou le temps nous l’avait t-il offerte ? Je n’écoutais même pas mon amant, mais là, c’était volontaire. Il commença à s’innerver, parce qu’il savait que je faisais exprès. C’était drôle ! lui qui était si calme, d’habitude, je me mis à rire :« Ah femme ! » disait-il avec sa cigarette à la main.

Mon visage s’illumina et son autre main était dans la mienne. Dans le café, les autres ne voyaient rien. C’est ça : « le jeu des amants ».

Oh Dieu, que tout cela est beau mais injuste ! Nous envisagions de vivre ensemble. Mais de nous marier, je ne pense pas, ni d’avoir un enfant, bien qu’il m’en ait parlé souvent.

Personne, sauf vous, le savez. Comment peut-on aimé la vie ? Quand on sait que cet amour est vrai mais qu’il est impossible ?

Quand on sait qu’un jour en qu’un jour, je devrai me marier avec un autre que lui, pour ma famille : Je trouve cela injuste.

Rassurez-vous, cette histoire vraie et peut être la seule partie de ma vie que j’ais réellement aimée. Elle est loin d’être la cause de mon mal être !

Aujourd’hui, je l’aime toujours et il s’est séparé de cette horrible femme


Mon amour

Il n’y a pas un jour que je passe sans penser à toi.

Ma maladie, le viol de mon grand-pére m’a détruite, je te grande au fond de mon cœur pour toujours mon Amour.

Désoulée de t’avoir demander en mariage c’étais mon rêve d’être ta femme et la mére d’un enfant .

Je t’écris parce que je ne peux pas trouver les mots au télèphone.

Mon grand père portugais n’aurai jamais ascpte cette amour je sais. Il aurait préfére que j’épouse ton fils Hugo.

Je t’aime, j’aurai voulu te chérir jusqu’à la fin des temps. Cela me coute d’écrire cette lettre mais il le faut.

Notre séparation est le seul moyen pour que l’on face notre vie séparément.

Tu as vécu eu autre femme … J’éspére que fernanda est pas partir par ma faute. Je m’en voudrai toute ma vie

Tu va me manquer

Je t’aime
(je t’aime…)
A mon village,

Je mange des bonbons et je pense à Antonio. Pas mon oncle parti en voyage, l’autre : le beau frère de mon loup. Je m’imagine assise sur le mur de l’église, ma tête posée sur son épaulé. Il me manque lui aussi.

Fernando me fait la tête. Lui, il ne sait pas ce qu’il veut. Il me saoule mais je l’aimerais toute ma vie. Dommage que les histoires de famille existent, j’y suis pour rien ni mon amant. Mais, je devrais être comme le reste de ma famille. Je devrais les traiter de tous les noms. Non, pas vraiment. Mais, ça me saoule tout ça.

Ma cousine, et son mari vont dans quelques temps les retrouvaient. Ils partiront sans doute au Portugal finir leurs vieux jours. Ma tante, enfin ma grande-cousine, c’est plus mes oncles que mes cousines, dans la logiques des âges, ne travaillent plus au resto car il va fermer !
Un jour où l’autre, je n’aurais plus personne en France. C’est sur !

Je paris que dans dix ans, je serai seul en France avec mes parents mon frère.

Je rêvais tout à l’heure de Antonio : car nous parlions souvent ensemble. Et puis nous étions complice, comme un oncle envers sa nièce, sans doute. Je me souviens qu’un jour, il m’avait dit : « je suis tonton Antonio », j’étais petite. Regardez, les histoires de famille ne comptent pas quand nous nous regardions dans les yeux.

Je voudrais redevenir la petite fille, qu’ils aimaient. A lui, à mon grand pére aussi

Maintenant, à quoi bon ? Tiens il y a un truc, j’aimerais bien un jour, quand je serai une vrai grande, que l’on me dise la vérité : Andréa, C’est ma cousine ? N’est ce pas ? Fernando devrait je pense, le savoir. Je pense, fortement que j’ai raison. Mais, elle n’y est pour rien. Alors pourquoi ma famille lui en veut ? Après tout, je peux le savoir je suis des leurs… Enfin je me comprends… c’est le principal, non ?

Drôle de famille, pas triste, je ne sais pas j’existe. Encore une comédie romantiques d’amants sans amour ! Ou un grand m’importe quoi !

Le dernier titre, est pas mal… Enfin, je me veux juger personne. Mais bon…

J’adore me moquer de ma famille, enfin pas de tous mais bon d’être spectateur de sa propres famille, c’est le meilleur rôle, je suis assurée !!!

Ce qui serait génial, ce serait que les jeunes de village jusqu’à une trentaine d’années… Soirée délire...

Déjà rien que moi, mon rôle : narratrice, et actrice: mon ex copain est le fils de mon ex amant qui l’ex beau père de mon « ex » meilleur amis qui est le meilleur ami de mon premier copain.
(Je suis fier de ma phrase…)

































Mon frére,

Notre histoire avait si bien que commencer que je te considérai comme un frère.
Je voulais juste te dire que si il y a eu des confies avec tes amis c’est pas moi mais ta chere Nancy et de son cheri et j’en ai la prouve !

pour tout le monde voit !
vollà ou j’en suis arrive avoir une depresion trois tentative de suide et d’arréter les cour pour TOIR CONS ! avec Megid


L'île des sentiments
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.
Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide.
La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit :
"Richesse, peux-tu m’emmener ?"
"Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi."
Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :
"Orgueil, je t’en prie, emmène moi."
"Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau."
Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là :
"Tristesse, je t’en prie, emmène moi."
"Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j’ai besoin de rester seule."
Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.
Soudain une voix dit :
"Viens, Amour, je t’emmène avec moi."
C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.
L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
"Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?"
"C’est le Temps" répondit le Savoir"
"Le Temps ?", demanda l’Amour, "Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ?"
Le Savoir plein de sagesse répondit :
"Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie".

Abdessatar

Un jour nos regards se sont croisses parmi tout ces gens,
Un soir

Nos vies qui se sont croisés,

A tous ceux que j’aime,
A toi Abde
Ou que tu sois, je voudrais te dire ce que tu m’a dit lors de notre deuxième journée passé ensemble, dans une langue que je ne connais pas « je tiens à toi » Ne me quitte pas, mon ange
Mediataique de Grasse, Juillet 2005

J’avais vécu durant 16 ans et demi prés de la capital. Mais cette éloignement ne m’a jamais été un regar, ni l’envie de repartir là-bas. Je m’ai plus jamais eu de nouvelles de personnes qui m’entouraient là-bas. Je me demand aujourd’hui, si il me reste toujours quelques choses, là -bas ? J’ai bo me souvenir mais rien, j’ai tout « rangé » dans des cartons avec ma mére, en juin 2004. Tout ? J’ai eu tord

Quand je me souviens aujourd’hui de là-bas, c’est comme si huit cent ans était passés entre aujourd’hui et il y a peines un an et demi. Malheureusement, j’ai le souvenir d’une phrase que j’avais dit à l’une des tantes de mon père qui parlait de son ex-mari, le maudissant par les mots mais qui dans ma vérité me souhaitait qu’une chose : son retour. « on ne refait jamais sa vie » Hélas, je devais avoir 12ans, j’étais et je le suis encore enfante, « la vérité sort de la bouche des enfants » cette phrase qui n’est que vérité, confirme la première phrase. Ou encor celle que où l’on dit que la distance est pire parfois.

Non ! j’ai 18 ans et je verrais le reste de ma vie à Grasse, ma ville d’amour, je dirai « oui » à l’homme de ma vie à la cathédrale. quand ? je sais pas, un jour ? sûrement. A l’amour, ça c’est un autre chapitre pas court, mais au final il n’y a rien a retenir.

Si tu savais comme je t’ai rêvé…Grasse.
Autour de ceux qui m’apporte beaucoup, trop et c’est ce qui me fais le plus peur, l’amour.
Oh mes parents et mon frére, ils sont toujours étaient là pour moi. Mais moi ?
J’aime trop ma liberté, un monde que je me suis crée pour me protéger, je pense.

Notre histoire s’est mal fini mais heureusement il me reconnaît


Merci pour mes 18 ans un jour que de joie que je m’oublirai jamais

Ma bilbiothéque luie où j’ai travail un certain été de 2005. merci à andane guibert, monique cédric seb ani anique …. Et tout l’équipe

A Ma Famille,

Sachez que je vous aime plus que tout : ni la mort pourrai detruire cette amour

A mes parents, mon frère, mes cousins et cousines Bruno, Daniel Mikael & son épouse , Mariline Sylvia & jp et ma petite petit cousine que je n’ai jamain vu …et toute la long liste
A mes grands parents portugais, mes oncles et tantes

Sans vous je ne serai pas là !!!
Lorna
Petit nouveau
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Message Posté le: Mer Déc 06, 2006 18:02 pm    Sujet du message: hé hé
j'ai pas tout lu bien sur mais quand même quelques passages...
Je trouve que c'est assez émouvant si c'est une histoire vraie.
Mais à ta place je ne publierais pas mon livre comme ca sur un forum, j'aurais trop peur qu'on me le vole !! Moi aussi j'écris un bouquin et jamais je ne le laisserais à la portée de gens que je ne connais pas !! Car le peuple est malhonnête...
Voila je te souhaite bonne chance...
***Lorna***

( C'est vraiment une histoire vraie ?? )
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Message Posté le: Sam Déc 09, 2006 08:33 am    Sujet du message:
oui c'est ma vie

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