snake59650
Petit nouveau
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Posté le: Mer Nov 29, 2006 14:45 pm Sujet du message: explication d'une phrase
bonjour tout le monde j'ai un texte a étudier sur kant mais je n'arrive pas
à expliquer cette phrase pouvez vous maider svp ? : "je ne puis refuser à
l'homme vicieux lui-même tout respect en tant qu'homme, puisque tout au moins
le respect qui lui est dû en sa qualité d'homme ne peut lui être ôté,bien
qu'il s'en rende indigne par ses actes"
merci pour tout
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bionique
Super actif
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Posté le: Mer Nov 29, 2006 15:23 pm Sujet du message:
càd qu'il y a en son côté être humain ce qui lui vaut un strict minimum de
respect, ce strict minimum qui nous est commun à tous. après les gens valent
plus de respect les uns que les autres selon les qualités qu'ils ont (et ils
n'est pas toujours facile de savoir réellement si telles personnes sont
meilleures que telles ou telles personnes). je pense que c'est celà ce qu'a
voulu dire kant ; enfin je ne connais pas très bien sa philosophie, vérifie
si cette interprétation est cohérente avec le contenu du texte.
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snake59650
Petit nouveau
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Posté le: Mer Nov 29, 2006 15:34 pm Sujet du message:
je pense que tu as raison ! merci de m'avoir éclairé
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snake59650
Petit nouveau
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Posté le: Mer Nov 29, 2006 15:44 pm Sujet du message:
maintenant j'ai une dexième question : je dois préciser le sens "les peines
infamantes qui déshonorent l'humanité"
jai commencé mais je ne sais pas quoi dire d'avantage ,pouvez vous y jetter
un oeil pour voir si je suis complètement hors sujet ou non? merci beaucoup
alors moi j'ai dit
tout d'abord la peine émane un effet moral par opposition à la peine
afflictive qui est une peine corporelle et physique qui frappe directement la
personne du condamné, par exemple les travaux forcés sont une peine
afflictive et infamante contrairement à la dégradation civique qui est une
peine infamante, mais non afflictive.Nous savons que sous l'ancien régime les
peines infamantes étaient appliquées pour châtier le coupable et le
stigmatiser en public. La peine infamante la plus courante était la
flagellation. Elle était souvent suivie de la flétrissure (marquage au fer
rouge) et du bannissement de la ville ou du comté de Flandre. Dans d'autres
cas, le condamné était stigmatisé quelques heures sur l'échafaud ou au
pilori ce qui le déshonorer même.
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