Invité
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 11:31 am Sujet du message: La poésie d'Yves Bonnefoy est peuplée d'ombres (...)
Bonjour!
Alors voila, j'ai un petit exposé à faire en littérature et j'aurais besoin
de quelques idées, parce que je n'en ai pas assez et ça fait un peu
maigre...
Cet exposé porte sur les Planches
Courbes d'Yves Bonnefoy, poéte contemporain toujours en vie.
Voici mon sujet : La poésie d'Yves Bonnefoy
est peuplée d'ombres, comment l'interprétez vous?
Voila, voila... Merci d'avance ^^.
Ceci s'adresse bien sur à ceux qui connaissent un peu Bonnefoy, parce qu'il y
a vraiment trop de poëmes pour que je puisse tous les copier là.
Procne
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Méphistophélès
Suprème actif
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Messages: 4299
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 13:20 pm Sujet du message:
Tiens, tu es en terminale litteraire ? 
J'ai étudié ça l'an dernier.
Sur quelles sections des Planches Courbes travaillez-vous ?
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butterflyz0986
Habitué(e)
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 13:20 pm Sujet du message:
tu as quoi déjà comme idées sur ce sujet ?
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Invité
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 14:03 pm Sujet du message:
Je travaille sur les sections : Le Leurre des Mots, La Maison Natale et les
Planches Courbes
Comme idées : l'ombre comme un leurre, un mensonge, comme image de la mort,
mais aussi l'espérance.
Les angoisses refoulées, l'errance.
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Méphistophélès
Suprème actif
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Messages: 4299
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 14:43 pm Sujet du message:
| Procne Aesoris a
écrit: | | Le Leurre des Mots, La
Maison Natale et les Planches Courbes |
Bon bon, laissons là les images toutes faites telles que la mort ou le
mensonge, et raisonons de façon plus pragmatique.
*Le leurre des mots est une réflexion sur la poésie, celle ci est définie
comme permettant à l'auteur d'atteindre un état subliminal, il s'agit du
"vrai langage" et au contraire, le langage prosaique est définie comme étant
(je me refère a mon exemplaire des planches courbes que j'ai sous les yeux)
"les ruines de la parole".
*La maison natale est une référence à l'enfance de Bonnefoy ainsi qu'à sa
famille: les images récurentes sont celles du souvenir qui monte, du père
absent, des differents visages de la figure maternelle.
*Les planches courbes est un poème en prose (très joli d'ailleurs, c'est la
seule chose que j'ai aimé dans ce livre), le thème de l'enfant est à
nouveau evoqué, ainsi que sa croissance, sa recherche d'une maison et d'un
parent. On retrouve aussi cette idée tirée du leurre des mots: "il faut
oublier les mots".
C'est une oeure largement autobiographique, en somme.
Bien: "la poésie de Bonnefoy est peuplée d'ombres, pourquoi ?"
Que sont ces ombres ? Je ne puis que faire des suppositions:
Le caratère sombre des poèmes ? L'ecriture floue et impréçise ? les
métaphores employées ? Le contraste entre le champ lexical de la lumière et
de l'ombre ?
Cela fait déjà quelques pistes pour un plan.
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Invité
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Posté le: Dim Nov 05, 2006 14:48 pm Sujet du message:
oui, merci.
Je vais essayer de faire un petit truc avec ça. ^^
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