fotre avis


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la-romantique
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 17:01 pm    Sujet du message: fotre avis
Ô dieu,
Je ne peux croire en vous
Car la vie est si injuste

Ô dieu,
Je l’aime
Mais, lui ?

Ô dieu,
Dis nous
L’amour de deux êtres

Ô dieu,
Faites lui une belle vie
Il le mérite plus que moi

Ceux qui croient être l’or
De votre ciel
Ô dieu,

Ô dieux,
Quelle vie aurais-je
J’aime son regard, ses mots

Pourquoi ne me dit-il rien
M’aime t’il ?
Mon ange !
>


Lettre de Grasse, dimanche 15 janvier 2006



Sami,

Je ne sais pas où commencer ma lettre. J’aurai aimé te parler mais j’ai peur. J’ai beaucoup de chances de te connaître avec Hameza. Je vous aime beaucoup, et tu le sais…
Je sais que je suis parfois pas très sympas en classe … mais ça m’est pas la raison de ma lettre.

Sami, j’aurai aimé être une autre. Celle que je suis quand tu vois, aurait honte de te le dire. Mais cela n’est qu’un corps sans vie, sans rire sans larme elle n’est pas celle que je suis. Ce n’est qu’une image…
Mais celle que je suis, vit, danse, rit, courre chante, comme toutes celles qui sont autour de toi. Elle sait aussi d’aimer …
Quand je te vois je suis cela.
Et peut m’importe l’handicap n’ai-je pas le droit d’être aimer. Sami, pense à ces phrases
J’aurai aimé être une autre mais je suis celle là.
Sami, je tiens à toi depuis le mois d’octobre ne me juge pas
Ce n’est pas l’handicap qui t’aime Sami, c’est moi celle qui te piques ta trousse, celle qui aime l’histoire, qui rêve d’être avocat. C’est elle .c’est moi !

Je t’aime, Sami
natacha







Je te le dirai un soir d’été
A l’abri des regards
Que l’amour est né
un jour d’août

Sous l’oranger de ton enfance
Tu reverras des rivages lointains
Tu n’avais que vingt ans
Quand tu es parti de chez toi

La mer t’a bordé jusqu'à Strasbourg … Grasse…
Et puis l’amour de vivre est comme
Les vagues de la Méditerranée
On ne sait jamais pourquoi ils partent

La douceur d’une femme
Tu l’a connue
Elle est partie
Pour t’être plus proche

Celui que j’appelais
Pour entendre ta voix
Celui que je voudrais
Que la vie me l’a volé

Je voudrais partir là-bas
Loin de ce soleil qui n’existe pas
Loin de tes bras et de ton corps
Je voudrais refaire l’histoire

Pour refaire notre histoire sans rature
Ou ne pas l’a faire et vivre sans t’avoir
Connu



Les deux poèmes qui vont suivre sont également de moi de ma vie. Il vit au Portugal, je vis à Grasse. A l’age que j’ai, c’est l’ignorance, la joie, l’amour ; pour lui, c’est une vie remplie, un fils qui a vingt ans, Hugo, séparé de sa première femme. Il est venu s’installé dans le village natal de mon grand-père, il y a douze ans. Sa vie n’est pas gai, il boit et fumer beaucoup. Au village, on l’aime bien, sa « femme » elle le tape et je peu le dire … petite, il jouait ave moi parfois et puis en grandissant vers mes dix ans il a pris ses distances avec moi… Mon amant est peut-être l’avenir que nous aurions pu avoir. A mes treize ans, il commençait à me regardait comme une « femme » pour lui. Il est le seul homme que je n’ai jamais embrassé en public sur la joue.
A mes quatorze ans, il m’a demandé de l’épouser. Plus grande… un an après il m’a embrassé… quoi que l’on dise un jour : oui, je l’ai aime comme personne et lui aussi. Pense t-il à moi ? je me sais pas. Malgré 33ans de différence Fernando m’a toujours respect.
Il me manque. Cette personne est unique, c’est à traverslui et avec lui que j’ai eu une relation amoureuse (sans le sexe), c’était la personnalité de Fernando que je voudrais retrouver


Mon fils s’appellera Fernando.

Il devait être deux heures du matin
Nous devions être les seuls à traverser les rues tranquilles et éclairées par la pleine lune
Nous marchions dans le silence et la pudeur de notre amour
Les ruelles nous menèrent au vieux port qui abritait les amants d’un soir ou d’une vie
Ceux qui s’aimaient sans avoir prier la terre et les Dieux
Ma tête posée sur son épaule, ses bras qui enlaçaient ma taille, nous dansâmes sur le rythme des vagues qui venaient se briser sur les rochers.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d’être hors du temps, qui nous unissait.
Bientôt le soleil brillera dans le ciel pour qu’une autre nuit s’offre à nous
Déjàs des bateaux partaient vers la grande bleue, laissant à terre ; une femme, une mère ou bien un frère
Nous les saluâmes d’un geste de nos mains…
Qu’est ce qui pouvait nous retenir à terre ? Puisque nous ne sommes libres d’aimer que dans les rêves et dans les livres.
La nuit allait s’achever et nous retournâmes sur nos pas en essayant de retrouver une indifférence l’un pour l’autre….















Le soleil du jeune matin de juin me réveilla…
Assise au bord de mon lit, je regardais la photographie de mon mariage, posée sur la table de nuit.
Cette photo réunissait pour la première et dernière fois : nos familles, nos amis, et toi qui m’embrassait.
Ce moment-là avait été mon second baptême tant espéré …
Je m’allongeais sur notre lit, fermais les yeux et revoyais ma vie passée :
De mes premiers à Paris, de l’écolière que j’étais autre fois et des toutes mes premières fois qui reflétaient la débutante que je suis toujours
J’ouvris les yeux et regardais autour de moi, et refermais les yeux
Adolescente, je passais mon temps à m’imaginer ce que serrait mon avenir … ma mère me l’a souvent reprochée.
Je me souviens des mes vacances au Portugal et de mon premier amant jamais oublié Fernando
Depuis une semaine ma deuxiéme vie que j’espérais
Jet’aime





































Seule
dans ce monde sans lumière
ma voix de petite fille t'appelle
tous bas
mais toi,
tu es parti
ce n'est qu'un
sentiment d'abandon
qui m'envahi
et j'ai froid
encor et encor
moi,
qui me suis
qu'une inconnue sans toi
pour le reste du monde.
dans le couloir de ma vie
ton nom résonne
encor et encor
tu disais que
quelqu'un t'attendait déjà
depuis dix ans
mais surtout
tu as compris
ce que moi j'ignore
encor et encor
devant le monde
c'est ma voix de fille
qui te murmure
je t'aime
encor et encor

















Le soleil du jeune matin de juin me réveilla…
Assise au bord de mon lit, je regardais la photographie de mon mariage, posée sur la table de nuit. Cette photo réunissait pour la première et la dernière fois: ma famille, mes amis, mon mari qui m'embrassait et sa famille.
Ce moment-là avait été mon second baptême tant espérait…
Je fermais les yeux et revoyais ma vie passée: de mes premiers pas à Grasse, de l'écolière que j'étais autre fois et de toute mes premières fois qui reflétaient la débutante que je suis toujours…
J'ouvris les yeux, regardas autour de moi en souriant au vent. Je m'allongea sur le lit, puis referma les yeux.
Adolescent, je passais mon temps à m'imaginer mon avenir que l'on allait m'offrir. ma mère me l'a toujours reprochée. Mais, je sais aujourd'hui que cela été offrir par la vie en guise de pardon pour ce que j'eus éprouvée durant une partie de mon enfance.
Malgré l'amour de mes parents, amis on m'avait pris mon sourire de demoiselle. On disait autre fois qu'il m'allait si bien …
Je me souviens de mes vacances au Portugal, et de mon premier amant jamais oubli.
En quelles minutes, j'avais été spectatrice de vingt et un ans de ma vie
depuis une semaine la deuxième vie que j'espérais en regardant cette photographie qui représentait à la fois mon passée et mon avenir où je pouvais lire dans ces sourires d'amour ou de compassion que ma deuxième vie avait bel et bien commencée.
Mon mari entra dans notre chambre avec un plateau où une corbeille de croissants, des tasses l'une de thé et l'autre de café y étaient posées, qu'il poussa sur sa table de nuit.
J'étais dans ces bras, ses yeux noires m'observaient comme pour la première fois…


Je voudrais que tu revienne


Il devait être deux heures du matin
Nous devions être les seuls à traverser les rues tranquilles et éclairées par la pleine lune
Nous marchions dans le silence et la pudeur de notre amour
Les ruelles nous menèrent au vieux port qui abritait les amants d’un soir ou d’une vie
Ceux qui s’aimaient sans avoir prier la terre et les Dieux
Ma tête posée sur son épaule, ses bras qui enlaçaient ma taille, nous dansâmes sur le rythme des vagues qui venaient se briser sur les rochers.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d’être hors du temps, qui nous unissait.
Bientôt le soleil brillera dans le ciel pour qu’une autre nuit s’offre à nous
Déjàs des bateaux partaient vers la grande bleue, laissant à terre ; une femme, une mère ou bien un frère
Nous les saluâmes d’un geste de nos mains…
Qu’est ce qui pouvait nous retenir à terre ? Puisque nous ne sommes libres d’aimer que dans les rêves et dans les livres.
La nuit allait s’achever et nous retournâmes sur nos pas en essayant de retrouver une indifférence l’un pour l’autre….














s
Que tu me prennes dans tes bras
que tu trouves les mots
Afin que je ne sombre plus
Que tu me parles un peu de toi
et que tu restes prés de moi
Il suffirait que tu me donne
du temps et de l'amour
pour que j'Apprendre enfin à me plus avoir peur de l'avenir
Que j'admette
que Puisqu'il faut que j'oublie mon passé
Savoir pourquoi c'était à moi
Je voudrais que tu m'aides à oublier
ces homme qui m'a fait si mal
Ou de ceux qui m'ont abandonne
M'aider à trouver ça banal peut-être
pardonnes-moi malgré tout ce qui sait passé
ce dernier jour
j'apprendre avec toi un jour à s'aimer
je voudrais t'enlacer dans mes bras
et te sois comme
mon frère, mon ami, mon amant
J'ai rêve et pleuré ces nuit noires sans toi
Il suffirait que tu reviennes un soir
si tu veux aimer
j'apprendrai, si tu veux à me passer de toi
s'il faut s'oublier un jour
tu resteras toujours dans mon cœur
malgré tout ….

Il devait être deux heures du matin
Nous devions être les seuls à traverser les rues tranquilles et éclairées par la pleine lune
Nous marchions dans le silence et la pudeur de notre amour
Les ruelles nous menèrent au vieux port qui abritait les amants d’un soir ou d’une vie
Ceux qui s’aimaient sans avoir prier la terre et les Dieux
Ma tête posée sur son épaule, ses bras qui enlaçaient ma taille, nous dansâmes sur le rythme des vagues qui venaient se briser sur les rochers.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d’être hors du temps, qui nous unissait.
Bientôt le soleil brillera dans le ciel pour qu’une autre nuit s’offre à nous
Déjàs des bateaux partaient vers la grande bleue, laissant à terre ; une femme, une mère ou bien un frère
Nous les saluâmes d’un geste de nos mains…
Qu’est ce qui pouvait nous retenir à terre ? Puisque nous ne sommes libres d’aimer que dans les rêves et dans les livres.
La nuit allait s’achever et nous retournâmes sur nos pas en essayant de retrouver une indifférence l’un pour l’autre….




Au frère de mon grand-père maternel, décès à côte de Paris en juillet 04. Un mois après, le mariage de sa première petite fille, Sylvie qui a donné la vie à Alexandra. Ma famille de ma mère est au Portugal mise à part quelles personnes… Antonio, il s’appelle Antonio et il me manque … Pourquoi ?le plus souvenir entre nous, et notre dernier instant que nous nous sommes jurés dans nos sourires d’être jamais loin de l’un de l’autre. Et sourire pour toujours…

Seul,
Dans ce monde sans lumière
Ma voix de petite fille t’appelle
Tous bas
Mais tous
Tu es parti
Ce n’est qu’un sentiment d’abandon
Qui m’envahie à ton souvenir
Et j’ai froid
Encore et encore
Moi,
Qui me suis
Qu’une inconnue sans toi
Pour le reste du monde
Dans le couloire de ma vie
Ton prénom résonne
Encore et encore
Tu disais que quelqu’un
T’attendait déjà de puis dix ans
Mais surtout tu avais compris
Ce que j’ignore
Encore et encore
Devant le monde
C’est ma voix de petite fille
Qui te murmure
Je t’aime
Encore et encore
Pour toujours















Je te le dirai un soir d’été
A l’abri des regards
Que l’amour est né
un jour d’août

Sous l’oranger de ton enfance
Tu reverras des rivages lointains
Tu n’avais que vingt ans
Quand tu es parti de chez toi

La mer t’a bordé jusqu'à Strasbourg … Grasse…
Et puis l’amour de vivre est comme
Les vagues de la Méditerranée
On ne sait jamais pourquoi ils partent

La douceur d’une femme
Tu l’a connue
Elle est partie
Pour t’être plus proche

Celui que j’appelais
Pour entendre ta voix
Celui que je voudrais
Que la vie me l’a volé

Je voudrais partir là-bas
Loin de ce soleil qui n’existe pas
Loin de tes bras et de ton corps
Je voudrais refaire l’histoire

Pour refaire notre histoire sans rature
Ou ne pas l’a faire et vivre sans t’avoir
Connu



Alger,
Ecoute
C’est moi,
Souviens toi
Je sais les années ont passés
Et la vie nous a séparé
Mais je n’ai jamais su t’oublier



Alger
Cesse de te rendre ivre pour oublier
On ne gueri jamais du passée, des guerres
Mais tu as une vie à batir
Et tu le sais

Alger,
Je me souviens de toi, de moi, de nous
On s’aimait avant que la terre tremble
Sous les feux de la guerre et de la liberté

Alger
Pourquoi es tu là et tune dis rien
C’est pour t taire
Mandos
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 17:16 pm    Sujet du message:
Si ta marge de progression est inversement proportionnelle à ta marge de régression, il te reste une chance. En attendant, il est dommage que je ne sache pas faire les marrons glacés. Je ne vois pas à quel autre usage destiner tout ce sucre.
la-romantique
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 17:18 pm    Sujet du message:
j'ai pas compri
Mandos
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 17:33 pm    Sujet du message:
Oh, d'un certain point de vue, c'était très gentil.
Méphistophélès
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 18:25 pm    Sujet du message:
Disons que les propos de Mandos sont inversement proportionnel à une analyse méchamment critique, du coup, en toute logique - et par un jeu de conséquences bizarre - ton poème peut être assimilé à des marrons glacés.
Je serais toi, je me sentirais flatté Aux anges
inthemoon
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 18:30 pm    Sujet du message:
Fleurs Laughing
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Message Posté le: Ven Nov 03, 2006 19:23 pm    Sujet du message:
vous êtes pas cool les gars Laughing
jkounine
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Message Posté le: Sam Nov 04, 2006 03:47 am    Sujet du message:
Oui, c'est touchant et important pour toi. Mais ce n'est pas de la poésie.
la-romantique
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Message Posté le: Sam Nov 04, 2006 10:54 am    Sujet du message:
c'est koi alors
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Message Posté le: Sam Nov 04, 2006 11:04 am    Sujet du message:
Du sucre voyons.
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Message Posté le: Sam Nov 04, 2006 14:58 pm    Sujet du message:
je dirais : du domaine du privé, qui n'intéresse personne ?????

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