Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 13:41 pm Sujet du message: Madrigal I
Autocensure
Dernière édition par Raksone le Dim Oct 29, 2006 11:24 am; édité 1 fois
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Arsenic
De passage


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Posté le: Sam Oct 28, 2006 14:19 pm Sujet du message:
J'aime beaucoup les 2 premiers quatrains. Dommage que la dernière strophe ne
compte que 3 vers, ca rend le rythme bizarre. :"L'âme souffre t-elle et les
amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?"
C'est peut-être l'âme qui nous amène à brûler nos corps...
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Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 14:34 pm Sujet du message:
Autocensure
Dernière édition par Raksone le Dim Oct 29, 2006 11:24 am; édité 1 fois
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jkounine
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 14:36 pm Sujet du message: Re: Madrigal I
Raksone a
écrit: | Le soleil rompra
l'onde, et ses flambeaux épars
S'éteindront dans les flots, de la mer agitée
Les tourbillons rouant, notre écorce irritée
Eclateront ce corps, où l'âme se départ.
Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?
Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais
A ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement. |
Je dirais que c du nawak. Mais confus.
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Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 15:17 pm Sujet du message:
Autocensure
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jkounine
Membre

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Posté le: Sam Oct 28, 2006 15:23 pm Sujet du message:
du nimporte quoi.
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Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 15:26 pm Sujet du message:
Peut être que ce qui est confus c'est juste toi.
Sinon tu peux justifier parce que sinon ça ne mène pas très loin ton
commentaire.
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jkounine
Membre

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Posté le: Sam Oct 28, 2006 16:04 pm Sujet du message:
Citation: | Peut être que ce qui est confus c'est juste
toi. |
Hehehe
Citation: | Sinon tu peux justifier parce que sinon ça ne mène pas très
loin ton commentaire. |
Pas plus que "j'aime". Mais, soit. Je vais juste tenter de t'aider a rendre ce
poeme presentable.
Citation: |
"Le soleil rompra l'onde, et ses flambeaux épars
S'éteindront dans les flots, de la mer agitée
Les tourbillons rouant, notre écorce irritée
Eclateront ce corps, où l'âme se départ." |
Enleve les virgules au 2eme et 3eme vers, sinon ton poeme ne veut rien dire.
Tu ecris "notre ecorce irrite eclateront ce corps", alors que tu veux dire (je
suppose) "les tourbillons rouant notre ecorce irritee eclateront ce corps".
Pareil pour le 2 eme vers.
Citation: | "Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?" |
Incomprehensible. Et la declamation rend ce quatrain proprement ridicule. Lis
le a haute voix.
Citation: | "Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais" |
Tres mauvais, surtout le "Et sans corps souffre t-on, tout ces
bourrèlements?"
Citation: | "A
ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement." |
Attendrissante tentative d'estethique "A ma pauvre raison de petits
baillements". Met donc une virgule apres raison; cela fait plus correct.
|
Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 16:51 pm Sujet du message:
Hormis le problème des vigules, que je reconnais placer souvent mal, Tu n'as
dit que "imcompréhensible" mais cela semble pour ce quatrain dépendre de toi
uniquement.
Ensuite le genre de phrase "Jolie tentative d'éstetique..." c'est très
facile pour décridibiliser quelque chose mais ça s'arrète là.
Je suis loin de penser que mon poème est bien, d'ailleurs j'ai entiérement
changer les deux dernières strophes pour en faire deux tercets. Mais dire:
c'est du "nawak" c'est justement ça qui est n'importe quoi.
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jkounine
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 16:59 pm Sujet du message:
Non, non c du bon sens, ca ca nest pas comprehensible, c du nawak:
"Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais"
Et l'esthetique tu as raison, ca reste personnel, je te donne mon avis sur ton
esthetique mais il est vrai qu'il n'a que la valeur que tu lui donnes (mon
avis).
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Raksone
Actif

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Posté le: Sam Oct 28, 2006 17:01 pm Sujet du message:
Autocensure
Dernière édition par Raksone le Dim Oct 29, 2006 11:25 am; édité 1 fois
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Sisyphe
De passage


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Posté le: Sam Oct 28, 2006 17:01 pm Sujet du message:
Je suis plutôt d'accord avec jkounine, le poème est confus et les virgules
pour marquer l'hémistiche dérègle le propos. Tous les vers ou presque sont
décalés. De plus le passage strophe 3 à 4 est injustifié.
Enfin le titre: le propos est trop lourd pour que ce soit un madrigal, à
moins que tu ne possèdes une définition personnelle de ce genre de poésie.
Le poème me semble à retravailler. Il faut le recentrer, le rendre plus
clair.
J'espère que tu ne prendras pas mal ces critiques et qu'elles t'aideront à
écrire toujours de meilleurs poèmes.
A+
|
jkounine
Membre

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Posté le: Sam Oct 28, 2006 17:03 pm Sujet du message:
Raksone a
écrit: | Pourtant ce n'ets pas
ce quatrain que tu désignais d'incompréhensible plus
haut. |
je te met un exemple, je trouve plusieurs de tes quatrains incomprehensible
|
Raksone
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 17:05 pm Sujet du message:
Non je ne prend pas mal les critiques, mais je trouve ça ennervant et inutile
de dire "c'est du nawak".
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jkounine
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 17:07 pm Sujet du message:
Soit. Je tacherais de me montrer plus constructif a lavenir.
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Méphistophélès
Suprème actif


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Posté le: Sam Oct 28, 2006 19:01 pm Sujet du message: Re: Madrigal I
Raksone a
écrit: | Le soleil rompra
l'onde, et ses flambeaux épars
S'éteindront dans les flots, de la mer agitée
Les tourbillons rouant, notre écorce irritée
Eclateront ce corps, où l'âme se départ.
Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?
Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais
A ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement. |
A une madrigal triste.
Ce texte foisonne de mots d'ancien français, brrr...
Citation: | "Rompra l'onde" |
C'est un peu lourd.
Citation: | "L'âme se départ" |
Je pense qu'elle aurait plutôt tendance à se "déparer".
Une rime un peu facile.
Citation: | "Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?" |
Plusieurs solutions: ou ça ne veut rien dire (tant grammaticalement qu'au
niveau du sens), ou je suis très fatigué ce soir: en tout les cas ce n'est
pas très élégant comme formulation.
C'est lourd, ça
Citation: | Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais
A ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement. |
C'est extrémement élégiaque, beaucoups de lieux communs, un peu maladroit
à mon sens.
Cela étant, tu as du vocabulaire, les images sont assez jolies: le style est
à travailler je pense.
|
Méphistophélès
Suprème actif


Inscrit le: 10 Sep 2006
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Posté le: Sam Oct 28, 2006 19:08 pm Sujet du message: Re: Madrigal I
Raksone a
écrit: | Le soleil rompra
l'onde, et ses flambeaux épars
S'éteindront dans les flots, de la mer agitée
Les tourbillons rouant, notre écorce irritée
Eclateront ce corps, où l'âme se départ.
Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?
Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais
A ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement. |
A une madrigal triste.
Ce texte foisonne de mots d'ancien français, brrr...
Citation: | "Rompra l'onde" |
C'est un peu lourd.
Citation: | "L'âme se départ" |
Je pense qu'elle aurait plutôt tendance à se "déparer".
Une rime un peu facile.
Citation: | "Mais sans ce corps brûlant, qui étouffe la part
De la raison et sans, nos enfers imités,
L'âme souffre t-elle et les amours révoltés
Et tout les maux du coeur qui se tient à l'écart?" |
Plusieurs solutions: ou ça ne veut rien dire (tant grammaticalement qu'au
niveau du sens), ou je suis très fatigué ce soir: en tout les cas ce n'est
pas très élégant comme formulation.
C'est lourd, ça
Citation: | Est-ce l'âme du coeur, ou le coeur de notre âme,
Qui percute le corps, de ces ires infâmes
Et sans corps souffre t-on, tout ces bourrèlements?
Si c'est l’âme du coeur, qui n'octroie jamais
A ma pauvre raison de petits bâillements,
Prends le donc Alison, ou sinon je verrais,
Si jamais dans la mort, il y a changement. |
C'est extrémement élégiaque, beaucoups de lieux communs, un peu maladroit
à mon sens.
Cela étant, tu as du vocabulaire, les images sont assez jolies: le style est
à travailler je pense.
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